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Fin de vacances

Fin de vacances



Alain après une période plutôt cool repend progressivement l’habitude de me punir à la moindre bêtise. Pour la moindre occasion, j’ai droit à une fessée. Lors d’une de nos dernières randos, j’ai du supporter de douloureuses pinces à linge sur chacun de mes tétons. C’est à croire que ça me manquait tant je coulais. L’autre soir, nous avons un peu trop arrosé ma fête et c’est moi qui lui ai demandé une fessée. Autant vous dire qu’il s’en ait donné à cœur joie. Il m’a claqué le cul d’une force qui outrepassait mes désirs. En pleure, le cul rouge violacé, il m’a consolé et nous avons fait l’amour avec une intensité peu commune.
Dés le lendemain, il a acheté un martinet. Pour la moindre raison, il me sollicite par un coup sur mes fesses ou mes seins. Ca me met dans des états d’excitation permanente et que je coule comme une fontaine toute la journée. Pour notre retour à la maison, nous décidons de fêter la fin de nos vacances. Alain invite pour cette occasion nos guides et accompagnateurs.. La soirée est évidemment un peu alcoolisée. Pour le désert, il propose à nos invités de leurs faire une démonstration de l’usage du martinet sur moi. Bien entendu, ils en sont tous réjoui. Il me demande :
« Ma tendre, veux-tu aller chercher ton instrument de prédilection ? »
Rougissante, mais docile et très excité, je rapporte me martinet à quatre pattes en le tenant dans les dents. Nos ôtes applaudissent. Alain affiche un large sourire en me disant :
« Tu es dans la position idéale ma chérie. »
Il retrousse ma jupette, baisse mon string où l’on peut facilement percevoir les sécrétions de mon excitation, et me voilà le cul bien offert devant ces mâle avides de sexe. Alain clame alors :
« Pour notre départ, je vais vous démontrer le plaisir que la fessée érotique procure à ma femme ! »
Alain commence sur ces mots à me rougir les fesses. A chaque coup, je pousse un petit cri qui est autant de douleur que de plaisir.. Puis comble du raffinement, il alterne les petits coups espacés et quelques autres plus rapprochés. Mon corps se cabre en suivant le rythme. Il arrête un instant et propose à nos invités de venir verifier mon état d’excitation. A tour de rôle, les voilà qui me fouille la chatte pour constater que je mouille comme une folle.
« Vous voyez ? Elle ne peut pas dire qu’elle n’aime pas ça ! Attendez de voir sa réaction sur les seins ! »
Après quelques coup bien senti, Il m’ordonne de me mettre nue et demande aux autres :
« Ca vous dirait d’essayer ? »
Ils ne se font pas prier. En se passant l’objet de torture, tout mon corps est investi de la morsure des lanières. J’ondule, je cri, je miaule sous leurs coups. J’ai une envie irrépressible de me faire sauter. N’y tenant plus, je les supplie de me prendre. Yoyo dit alors :
« Tu veux qu’on te baise salope ? Ok, on va te sauter. Mais on va t’attacher sur la table. Ainsi on pourrat t’utiliser à notre guise ! »

Ni une ni d’eux, ils entreprennent de m’immobiliser les chevilles et les bras de telle façon à ce que je sois totalement écartelée et offerte. Trop excité, je me laisse faire sachant parfaitement l’objectif qu’ils recherchent. Mais avant de me pourfendre de leurs dards, à ma grande surprise, l’un d’eux brandit un énorme double dong qu’il m’enfonce sans ménagement dans mon con juteux. Ensuite, il l’a plié et enfoncé dans mon cul. Je pousse un cri de surprise et la sensation est étrange mais merveilleuse. Je n’ai pas le temps de dire un mot que Pat sort sa verge raide comme la justice et me la fourre dans la bouche. Puis c’est au tour de Yoyo de me baiser la bouche et un de ci de suite. Mais lorsqu’il a eu fini, j’avais un nouveau sexe, tout beau, tout lisse, et orné d’un bijou. C’est Pat qui a joui le premier dans ma bouche. J’ai avalé et Alain pendant ce temps a retiré le gode de ma chatte pour le remplacer par sa queue. Pendant que je me fais baiser par mon homme et qu’un autre me prend la bouche, les autres sont loin d’être inactifs et s’occupe de mes seins et du gode qui me perfore le cul. A ce rythme, j’ai un orgasme fulgurant, suivi de l’éjaculation de mes quatre lascars. Une foi remis de nos émotions, ils me détachent et on péte le champagne.
Voilà la fin des vacances.

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