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Marika – Scènes de vie

Marika – Scènes de vie



A. Epoque 1

Je voulais depuis longtemps écrire un recueil de mes aventures sentimentales.

Amour, flirt, sexe, rencontre d’un soir, comment classer ces nombreuses aventures dans lesquelles je me suis épanouie ?

Je trouvais intéressant de les séparer en 4 époques :
1. Mon adolescence et la découverte de mon corps et de celui des autres…
2. Mon mariage avec Paul, la naissance de ma fille, des « années sages », mais parsemées d’occasions diverses, de tests, de rencontres sensuelles, des flirts discrets, du sexe plus que de la tromperie.
3. Ma séparation, ma quête d’aventures qui en a suivi, jusqu’à mettre ma vie en péril jusqu’à ma rencontre avec Camille qui a révélé une partie cachée de ma sexualité sont des moments intenses à disséquer avec patience et discernement.
4. Mon renouveau en tant que femme dans la cinquantaine, mes amants, mes amantes, la découverte d’autres pratiques avec Alice, Romain et Paul revenu en tant que complice et qui partage mes derniers soubresauts sexuels…

Quelques-uns de ces souvenirs intimes ont été intégrés dans certains de mes textes.
Mais adaptés à l’histoire en cours et sortis de leur contexte premier, ils se sont confondus en temps, en date et ont perdu leur originalité. Sans chronologie, juste pour apporter au récit un témoignage puisé dans ma mémoire, afin d’y laisser une empreinte de vérité et d’authenticité.

Je vais essayer de reconstruire ma vie sentimentale pour vous en utilisant mes souvenirs.
Il est temps de le faire, avant qu’ils ne s’envolent pour toujours…

Le seul souvenir qui a perduré en moi pendant longtemps, ce fut avec mon cousin Pierre, perdu de vue depuis, qui a été à l’origine de mes premiers émois, et même mon initiation.

En effet, nos parents n’ont jamais soupçonné que deux ados de 15 ans, qui se fréquentaient aux vacances depuis leur plus jeune âge et dormaient depuis ces temps dans le même lit faute de place dans la maison familiale, pouvaient en arriver à d’autres jeux que la bataille et le Monopoly.
Certes, eux jouaient à la belote, mais nous, sitôt 23 heures, nous étions priés de regagner sagement notre chambre pour les laisser à leurs plaisanteries grivoises…

Ce fut là et avec lui que je découvris mon sexe et le sien par la même occasion.
Il était en retard, comme beaucoup de garçons, sur certains points de la sexualité, que l’on parlait souvent entre copines du zizi, que nous avions nos règles pour la plupart, nous étions informées des risques à avoir des rapports sexuels…
Pas de pilule, pas d’autre contraception en ce temps là… Le danger était donc cette chose bizarre dont était doté la gente masculine, qui grossissait à notre approche, et pouvait mettre en danger notre stérilité…

Ce fut un soir d’orage que je connus mon premier émoi…
L’électricité coupée, je restais immobile. Il était allongé sur le dos, à mon côté…
Le coup de tonnerre me fit sursauter et crier de surprise… Il me prit dans ses bras et me calma…
– Ce n’est qu’un orage, ce n’est pas le premier ni le dernier… Tu as peur de quoi ?
– Du bruit, de la foudre qui peut tomber sur la maison…
– Ça te rassure d’être contre moi ?
– Oui…
Nous partagions un lit au second étage, habitude entre cousins, parfois nous étions 3 avec une cousine.
– Tu as déjà fait l’amour avec un garçon ?
– Oh, non… Je suis trop jeune, c’est pour les filles plus âgées… Et toi ?
– Moi non plus, je préfère les filles… J’ai lu des trucs, et on en parle souvent avec les mecs, il y en a qui se vantent… Tu te touches ?
La question était abrupte…
– Le sexe ?
– Ben ouais…
– Pour me laver… Pourquoi ?
– Parce que c’est bon, tu sens ton corps réagir…
– Et toi tu le fais ?
– Oui, de plus en plus souvent, tous les jours maintenant…C’est bon…
– Tu sais que tu peux mettre une fille enceinte ?
– Oui… Mais il faut que je sois dans son sexe… Quand on est seul, c’est de la masturbation. Les hommes ont besoin de se libérer, alors pour eux c’est normal. C’est mon père qui me l’a dit, il m’a vu… Bien sûr, ce n’est pas ça faire l’amour… Les femmes aussi peuvent se masturber…
– Tu crois ? Je ne l’ai jamais fait…
– Elles ne t’ont pas tout dit tes copines… Entre filles, on ne risque rien à se toucher. Tu l’as fait ?
– Avec une fille ? Juste une fois… Bof, pas terrible, elle non plus d’ailleurs…
– Si on se caresse chacun de son côté, je ne peux pas te mettre enceinte…
– Ben non, il ne faut pas que tu viennes sur moi, c’est tout…

C’est beau la vie… C’est simple… Je pense que je lui ai menti… Lorsque je prends ma douche, j’insiste sur mon pubis, là où quelques poils blonds ont fait leur apparition… Puis je procède à ma toilette, et mes doigts glissent de plus en plus souvent dans ma fente… Je ressens des choses et ferme les yeux… Maman m’a dit qu’il ne fallait pas enfoncer un doigt en moi, dans mon vagin, que je perdrais ma virginité…

Des copines m’ont dit que ça faisait mal la première fois et que ça saigne…
Mais j’aime le contact avec ce bouton caché, je me sens légère après…
Il paraît que les gouines font l’amour en se le suçant… Clitoris, elles disent… C’est très sensible et si tu le cherches et le caresse, il se dresse et tu jouis…

– Qu’est-ce que tu fais Pierre ? Je te sens bouger…
– Je… Tu en as parlé… C’est bon… Mon sexe est devenu dur, il a grandi…
– Il ne faut pas, je ne veux pas tomber enceinte, et puis nous sommes cousins, c’est mal de faire le sexe entre cousins…
– Oh, sainte Nitouche… Il n’y a pas de mal à ce qu’un garçon le fasse… Tu veux le faire à ma place ? Tu peux apprendre… Et moi, je glisserai une main entre tes cuisses et si tu enlèves ta culotte… Je pourrais caresser ton minou…

Il est fou !… Je ne veux pas toucher cette chose difforme… C’est un zizi tout petit et d’un coup il grossit et si tu le remues d’avant en arrière, il gicle…

– Tu veux bien ?
– Non…

Je le sens bouger de nouveau, sa respiration se fait rauque, il souffre ?…
– Tu as mal ?
– Mais non idiote…. Donne-moi ta main, juste pour sentir combien il est gros…

En effet, il soulève le drap, saisit ma main et la referme sur sa chose, dressée en l’air comme un petit bâton… Puis il me guide, de bas en haut, lentement… Je sens la chaleur de son zizi…
Il essaie de passer la sienne dans ma culotte….
– Non, pas encore…. J’ai peur… Attends… Je vais te le faire doucement…
– Tu sais, il y a des filles de 13 ans qui le prennent dans leur bouche. Elles ne risquent rien comme ça… Et puis une bouche, c’est doux… Un copain m’a dit que c’était un fourreau pour notre épée… Que la salive augmentait le plaisir.
– Ah, c’est dégoûtant, j’ai envie de vomir… C’est sale, ça sent le pipi…
– Il ne m’a pas dit… Mais quand je le fais ça ne sent rien… Sens ta main…

Je retire ma main qui s’était égarée en manipulant la chose… Non, c’est sans odeur…
– Tu continues ?
– Pourquoi ?
– Ben pour qu’il crache…
– Je peux vraiment sans être enceinte ?
– Bien entendu… Ton sexe est loin du mien, ils ne sont pas emboîtés ! Je ne peux donc pas te transmettre la graine…
– Je…

Je continue à monter et descendre ma main… Mais un nouveau point m’inquiète…
Il me semble…
Je passe une main entre mes cuisses… Mes doigts sont poisseux…. Je les regarde à la dérobée… Ce n’est pas du sang… Je coule… C’est bon…
Mon ventre a senti que je faisais quelque chose à Pierre et il réagit… J’ai envie… Envie de faire l’amour ? C’est ça ? Qu’un autre te donne du plaisir…

Que je suis bête, je ne sais rien de précis… J’ai toujours fermé les yeux… Bouché mes oreilles…

– Doucement, tu vas trop vite…
– Pardon, je pensais à autre chose…
– Tu n’as pas envie que je te caresse aussi ?
– Non !… Ca vient ? C’est long ! J’ai mal au bras…

Pendant qu’ils vont au marché, je suis seule dans la maison…
On a un dictionnaire… Je trouve femme, gynécologie, sexe féminin, description, croquis…
C’est compliqué… Lèvres, hymen ah !… membrane qui se déchire lors du premier rapport sexuel…
C’est ça qui a coulé… Mais pas de sang !…

Rapport sexuel, préliminaires, sécrétions, cyprine… Afflux de sang, dilatation de la vulve et des parties génitales…

J’ai mouillé… Elle m’avait prévenu ma copine, quand tu te touches et que c’est bon, tu mouilles, c’est délicieux… Le sexe de l’homme peut alors entrer sans te faire mal… Blablabla…

Je remets tout en place… Et l’homme ?
Verge, préliminaires, caresses, masturbation, gland, liquide…

Ça semble plus simple, tu le masturbes, il gicle du sperme qui entre chez moi, dans mon vagin, puis les petits spermatozoïdes se battent pour entrer vers les trompes et venir féconder un œuf. Dès qu’un y est parvenu, tout s’arrête…
Super ça…

Rapport sexuel, positions, kamasoutra, Oh !… les croquis sont explicites !…
Rien de bien interdit, Pierre a raison, ce n’est pas « sale »…

Donc, je caresse ma vulve, y trouve mon clitoris qui met le feu aux poudres, et je peux entrer le sexe facilement, car je suis inondée de cyprine et de son jus séminal aussi qui lubrifie le gland… Ah, bien… C’est clair…

Tant qu’il n’est pas en moi, je ne risque rien…

Il peut jouer à loisir avec ma chatte, la caresser, caresser mon clito pour que je jouisse et coule de plaisir… Il peut se servir de ses doigts et les glisser dans mon vagin, là il me déflore, je deviens femme, je perds ma virginité, je pourrai mettre des tampons, certaines le font…

Le clitoris et le vagin sont deux sources de plaisir et catégorisent les femmes, certaines sont plus portées vers les caresses externes et d’autres doivent se pénétrer pour jouir pleinement…
La plupart aiment tout…

Bon, j’ai vachement avancé… Je me sens une autre ce matin… Quelle nunuche j’ai été…

Je passe aux travaux pratiques sous la douche… Ma main glisse entre mes cuisses que j’écarte…
J’ouvre ma vulve avec mes doigts repoussant les grandes lèvres, puis découvre le bouton caché… Je sais… Je sursaute, il m’électrise au premier contact, j’insiste… Je fonds… Je me sens toute chose…
C’est quoi jouir ?

J’entends du bruit, merde, le dico sur la table ouvert à orgasme !…

Ouf !…

– Tu dors ?
– Non… Et toi ?
– Ben tu le vois…
– Tu attends un orage ?
– Pourquoi ?
– Pour que je te caresse à mon tour…
– Non… Tu es fou… Tu as explosé au fait ?
– Oui, mais sans toi !… Tu dormais…

J’ai honte…

– Je ne suis pas douée pour le sexe…
– Mais bien sûr que si… Tes seins sont magnifiques, j’ai envie de les toucher, je peux ?

Merde, j’ai oublié les seins… C’est vrai que quand je les touches, les masse, les pointes sont dures…
Et puis merde !… C’est trop con… Il est beau, gentil, on se connaît bien…
– Oui…

Il dort…

Quelle conne !…
Je viens de rater une occasion de faire une partie de l’amour, les seins…
Je les caresse, les titille, les bouts durcissent, je les roule entre mes pouces, pince… Oh, mon ventre se tort, tout est lié en fait, tu touches d’un côté, ça coule de l’autre…

– Qu’est-ce que tu fais ? Tu as mal ?
– Non, je touche mes seins…

Sa main vient aussitôt prendre la place de la mienne, je les projette en avant, bombe mon torse…
Que c’est bon quand c’est un autre !… Sa bouche vient sur mes bouts, ça doit faire partie du rituel…
Je gémis doucement… C’est délicieux, envoûtant, ça explose dans mon ventre qui se soulève, je sens la source jaillir de plus belle, ma chatte coule… Ma culotte est trempée…

Oh, c’est impossible, je sens une bosse… Il est en slip… Contre moi…
– Caresse-le… Prends-le dans ta main comme hier, coulisse-le lentement, je te regarde… Tu le fais seule, vas-y, apprends à masturber un garçon, tu seras moins greluche…
Il masse mes seins, je suis au supplice… Ma main ouvre son slip, il est énorme ce soir, plein de vie… Je le serre entre mes doigts… Il grogne… Je le manipule lentement… Plein de bébés ?

– Oh, oui… Continue…

Je n’en peux plus… Mon ventre me fait mal… Il faut que je me calme…
J’arrive à passer mon bras entre mes cuisses, doucement je sens ma rivière désormais, mes doigts sont poisseux… J’appuie sur mon bas-ventre, mais rien n’y fait, surtout qu’il se met à onduler contre moi, son bassin se soulève vers ma main…
– Suce-le…

J’ai compris, il veut tout m’apprendre… Je me déplace sur lui, et ouvre les lèvres, il glisse contre ma langue…
Il gémit de plaisir… Je sens de nouveau mon ventre brûler…… Mais ce n’est plus clitoris, ni pubis, ni tétons, c’est mon vagin que je sens s’ouvrir, demander…

Mes doigts s’agitent entre mes cuisses, je pince mon petit bouton… Je le calme, déplace le problème…
Il va et vient dans ma bouche, proche de ma gorge que je dois éviter de provoquer, je le sens durcir sous mes lèvres…
– Ça vient, tu veux avaler ?

Ah, ce n’était pas marqué ça… !

J’articule difficilement :
– Avaler, ça peut correspondre avec mon vagin, mes trompes ?
– Non !… Mets tes mains autour et continue à le branler…
Oh !… Il gicle…

Merde j’ai juste eu le temps, il a giclé dans mes cheveux, évitant mon œil de justesse… Oh, il ne s’arrête plus de se vider sur mes seins… Bah, c’est poisseux, blanchâtre, ça coule…

Je sens ses lèvres sur les miennes… Le baiser est un vrai baiser d’amour, tendre et humide… Ma langue se fait happer par la sienne, il a joui vraiment cette fois… Il me le dit…

– Tu es géniale, tu suces comme une reine…

Il ne fallait pas dire ça !… Oh, Pierre, tu gâches tout…
Certes tu es mon cousin et tu viens de me rouler une pelle de première…
Je le passe sous le coup du plaisir… Moi, je viens de réussir ma première fellation…

Le lendemain, fellation, cunnilingus, mon vocabulaire s’enrichit, avec l’orgasme mammaire, la femme fontaine…
Le dico est prolixe en ce qui concerne les maladies, ce qui freine un peu mon enthousiasme…

Le soir, on est boudeur, je lis un magazine féminin, bien dans le temps, la mode, avec des rubriques, cuisine, et des reportages, « Que faire pour rendre son homme heureux ? »…
– Hum…
– Oui ?
– Tu boudes ?
– Non, je lis…
– Quoi ?
– Sade…
– Non ?
– Si…
– C’est excitant ?
– Oui… J’apprends des choses…
– Fais-les moi…
– Idiot, ce sont des recettes de cuisine…
Sa main vient sur ma poitrine, je l’enlève vertement…
Elle recommence… Il cherche ma bouche…
– Eh ! Va te chercher une pute pour dégorger ton poireau !….
– Hou ! Méchante !… Contrariée ? Tu as tes ragnagnas ?
– Non…
– Je t’ai sentie jouir hier… Tu étais trempée… Tu te touchais…
– Vicieux, voyeur, sale con !…
– Ben, si tu veux, c’est moi qui te fais jouir ce soir… Sans te prendre, juste je te caresse…
– Non !… C’est fermé !… Tu as eu ce que tu voulais…
– Je vais être obligé de me masturber seul…
– Et pas dans mon lit sinon je crie…
– Saleté !… Avoue que tu as envie de sentir une autre main caresser ta vulve douce… Effleurer ton petit bouton, le réveiller, sentir ta chatte s’ouvrir, couler de désir comme hier…
– Arrête… Non, ma source est tarie, tu ne me fais plus d’effet… Alors rengaine ton machin dans ton slip et dors !…

Je me tourne, lui offrant mes fesses comme décor de ses rêves…

J’ai gardé ma nuisette, je compte les moutons…
Le troupeau y est passé, celui du voisin, ceux du village, je sens l’écurie bouger… Il se…
Je compte les autres moutons, les vaches, les cochons…
Ca bouge encore…
– Arrête de te tripoter… Je ne peux pas dormir, le lit remue, lève-toi, va dans les chiottes de masturber…
– Ce n’est pas moi qui bouge…

Le con… Ma main remue doucement entre mes cuisses et mes doigts ont écarté ma culotte…

Il se colle dans mon dos…
Ses bras enserrent ma poitrine, son souffle embrase mon cou…

Sa bite me saute aux yeux, les remplit…
Elle est là, telle que je l’ai découverte hier au soir, tandis que mes lèvres s’ouvraient… Je ne pense qu’à elle, au plaisir… Il a joui de moi…

Ma vulve est gonflée, ma chatte est trempée… Je le sens contre mes reins… Un bâton déjà bien dressé…

Sa main passe sous la culotte… Je me tourne lentement sur le dos…
Il passe une cuisse sur moi, pointant son dard… Je l’imagine…

Je gémis…
Ma nuisette remonte, je fais glisser ma culotte… Ouvre les cuisses… Sa main m’envahit…

Je pleure de bonheur !… Que c’est bon de sentir ses doigts m’ouvrir, glisser, effleurer, puis se mettre à tourner sur mon clitoris, le salaud, il savait, il avait les clés…

Ma vulve est en émoi, prend l’eau de tous bords, mes cuisses s’écartèlent seules…

Je vais me faire déflorer par mon cousin…

Je vais m’ouvrir, et ses doigts fureteurs vont plonger dans mon vagin tout neuf, détrempé de désir…
Je ne serai jamais la femme pure qui se donne à son mari le soir des noces…

Je vais attendre, le supplier de me faire jouir encore et encore…

Je veux qu’il me respecte, respecte ma virginité, en prenne soin, puis déchire délicatement mon hymen enfin, qu’il plonge en moi, et me donne cet amour physique qui lie deux ados en transe…

Je lui parle doucement, à haute voix…

Oui, masturbe-moi encore, caresse mon intimité, mes seins, donne-moi ce plaisir qui me torture depuis quelques mois, libère moi…
Mais attention, je suis vierge.
Je me donne à toi pour découvrir ma sexualité, je ne peux plus attendre, je suis trop tenaillée par le désir de l’inconnu…

Aïe !…

Une piqûre ? Tout revient normal, il n’est que douceur… Je fais confiance, me détends… Son doigt humide continue sa progression, je découvre ce plaisir inconnu qui envahit mon ventre…Oui !….

Son doigt écarte mes tendres chairs, je fonds de plaisir, mon ventre se soulève, je tremble… Son doigt atteint le fond, tourne, m’emporte, la chambre tourne, je vis un rêve, je suis femme… Ou presque… A un doigt près…

Je gémis doucement, m’abandonne, il recommence, plus vite, plus lent, mes seins, je griffe les draps, écarte les jambes, relève mes cuisses, je sens le membre à ma porte…
– Non !… Bêtise… Enfant !…
Il est en moi, gros, délicieux, me possède, bouge, je pleure de joie…
– Attention, Pierre…
– Oui… je te promets…
Son sexe grossit encore, ouvre ma chatte, il va et vient quelques temps…

Je dis des mots, je l’aime, je le veux, viens, toujours, amour…

Ses lèvres s’écrasent sur les miennes, je deviens trop bruyante, nos bouches sont rivées, il me prend encore et encore… Muette et consentante…
– Attention !…

Le lit craque, il sort d’un coup, prend son membre et le dirige vers moi, je l’embouche pour recueillir son sperme, un flot de merveilles, salé, imprégné de mon odeur, de la sienne… je vais et je viens jusqu’à ce qu’il débande…

Il s’allonge alors entre mes cuisses et me lèche, me suce, me délire pendant des heures, goûtant et regoûtant mes sucs, à ma source inépuisable, je me liquéfie, fourbue et heureuse, les seins gonflés de bonheur…

Je viens de faire l’amour pour la première fois…
J’ai presque 16 ans, je ne suis plus vierge, plus une enfant, mais une femme, je sais l’amour maintenant…
Je ne vais plus m’en priver…

Ce départ en fanfare dans le monde sexuel fut une aubaine. Pierre a été d’une efficacité, d’une précision, il m’a montré tout, de suite, la voie royale du plaisir physique…
Efficace, trop sans doute ? Je devins exigeante au fil de l’âge…

Mes copines parlaient de saccage de leur première fois, de baise dans la voiture, d’acte interrompu, de saignement, d’autres avaient cédé trop vite à un inconnu malhabile, macho, parti dès l’acte terminé…

Moi, j’avais passé le reste de la nuit serrée dans ses bras, les yeux rouges, avec cette chaleur dans mon ventre qui ne m’a plus quittée…

Comment alors vivre sa vie de jeune femme, entre ses parents, ses amis, ses obligations. Le but immédiat, le bac, puis la suite…
C’était trop important pour me laisser déborder. Je laissais de côté mon plaisir, mais je savais le contenter désormais et me consacrais à mes études.
Je ne parle pas de désert, je parle juste de priorité.

Entre ces 16 ans et mon bac à 18, je ne me suis autorisée que les sorties du samedi, avec quelques flirts, et certains dimanches ou soirées d’anniversaire entre amis…

Pas de nuit d’amour de folie, le flirt à cette époque c’étaient des baisers au fond du cinéma, torrides parfois, quelques caresses intimes, un brin de masturbation réciproque, je suis allée jusqu’à la fellation à l’arrière de la voiture ou dans la nature, jusqu’à mon bac…

Ce fut le soir même de mon anniversaire que je rencontrais Alain…
J’étais décidée à m’offrir des vacances, mes parents m’accordaient ce mois, bien que ma liberté ait été actée par ma majorité.

Je fonçais voir un gynécologue et réglais la partie danger… J’avais mûri, étudié, échangé entre amies, avec d’autres femmes plus âgées. Je savais maintenant comment me comporter, connaissais les jours de mon cycle menstruel et les périodes à risque. Surtout celles où je pouvais me laisser aller…

Bref, la minipilule simplifiait le sexe, mais le Sida faisait des ravages… J’évitais de sortir avec n’importe qui pendant ces soirées ou en discothèque… Mon cercle d’amis me suffisait, mais les occasions sont souvent dues à l’attrait de la nouveauté…

A 3 copines nous prenions la direction du sud-ouest, voiture prêtée par son père, Marine était comme moi, sage, de bonne famille, un peu plus aisée… Amandine nous accompagnait, la fille sans souci, tout était toujours bien, elle ne parlait que très peu, mais était très vive.

Belles évidement, du même âge, à quelques mois près 18 ans…
Nous avions retenu un emplacement dans un camping en bord de mer, piscine, discothèque, la liberté et tentations…
La tente était vaste, assurant une zone de vie et deux chambres. Si l’une de nous voulait s’isoler avec un amant… Nous avions emporté table, chaise, un minimum de cuisine, réchaud, tout l’attirail des parents d’Amandine…

On parlait de capote, elles avaient fait le plein avant de partir et m’en avaient fourré dans mon sac à dos… On désirait marcher aussi pendant notre séjour…
La première journée fut consacrée à la découverte des environs et des services, et nous nous rodions aux plaisirs de la toile…

Les sanitaires étaient parfaits, l’équipement complet.
Naturellement, en fin d’après-midi, nous sommes allées sur la plage étrenner nos maillots arachnéens… On n’attire pas les mouches avec du vinaigre.
Blonde, châtain et brune nous formions un trio assorti…
Les mouches arrivèrent rapidement, nous invitèrent à jouer au ballon, dans l’eau…

Alain en faisait partie… Mouche dorée par le soleil, regard incisif, la vingtaine… Bref, je flashais dès le premier regard.

Plage, baignade, rires, les couples se formaient…
– Vous êtes seules ici, je veux dire sans parents ?
– Oui… On a une tente…
– Cool, nous aussi, nous sommes deux par tente, un peu petit mais pour ce qu’on dort…
– Ça fait longtemps ?
– Non, 5 jours… Le temps de se poser, il a fait frais les deux premiers jours… Vous reste longtemps ?
– Non, fin de semaine…
Je passais les consignes aux autres, faut pas se dévoiler…

La soirée s’avançait, on avait fait connaissance, prénoms, ville, situation, ils étaient étudiants en seconde année technique, informatique et commerce… Ils étaient six au départ, une moto et une voiture, de Lyon… La moto était repartie, et deux retournaient après le week-end.

Les jeux de plage rapprochent et libèrent les instincts…
Alain était beau, un corps racé, athlétique… Il me regardait souvent…

Nous mangeons ensemble, Amandine avait choisi Yann, un breton sympa aux yeux bleus, et Marine avait craqué sur un l’adorable lyonnais pure souche aux yeux verts, Ludo…

Pas de discothèque le lundi soir… La nouvelle nous avait anéantis…
– On ira sur la plage, on fera un feu de camp d’autres l’on fait hier…
– D’accord…

Nous étions au centre du camping sur une table de pique-nique…
– On va se doucher les garçons, on se retrouve ici dans une heure ?
– OK les filles à plus…

Hou… J’étais trempée de sueur, j’avais envie de faire pipi, j’avais du sel qui me grattait, elles se libéraient dès qu’ils ne furent plus en vue…
– On a de la chance, ou c’est normal de tomber sur des mecs si beaux et si gentils ?
– Je ne sais pas, j’ai craqué sur Alain…
– Et moi, c’est Yann, un breton adorable, je fonds…
– Moi, c’est Ludo, qu’est-ce qu’il est bien ce gars…
– Et les filles attention, premier jour, ne vous emballez pas !
– Mais c’est vrai, ils sont super, chez nous y a pas ce genre de gars…
– L’université sans doute, et ils sont de bonne famille, comme nous…
– Tu as raison…
– On va craquer ? Tu vas faire l’amour ce soir ?
– On les invite ici ? Quatre et deux ?
– On peut tirer un matelas dans la cuisine et avoir chacune notre intimité…
– Intimité avec une toile, autant rien… Attention aux voisins aussi, faut baisser le son si vous êtes sonore…
– Moi oui… Je crie, je griffe, je gémis…
– Ça dépend, je suis entre les deux, mais je peux m’envoler et là je ne réponds de rien…
– Moi je ne sais pas…
– Ah ?
– Je n’ai jamais fait l’amour toute une nuit…
– Mon dieu tu es vierge Marika ?
– Mais non, juste que je flirtais, je faisais tout avec mes copains sauf la pénétration, je ne voulais pas d’aventure… Je voulais avoir mon bac et limitais mes sorties…
– Toi alors… Moi j’ai baisé avec la moitié de la classe dès mes 15 ans… Et après avec les mecs du foot que mon père entraînait… 11 garçons pleins de vie et les remplaçants…
– Ensemble ?
– Non, en un an, un par mois en gros, la première année !… Puis il a changé d’équipe, il est monté en grade avec des 20 ans et plus et je suis devenue leur mascotte. Je les accompagnais partout, dans les douches, à l’hôtel, en déplacement, avec des costumes sexy… Je ne te dis pas à l’arrière du minibus… Mon père était en voiture, c’est le règlement…
– Tu as fait des orgies…
– Oui, et pas que ça… Un jour ma mère est venue avec moi, elle a voulu m’accompagner… Je n’ai pas eu le temps de la prévenir, ni eux… Ils nous ont emmenés à l’arrière, comme d’habitude, ma mère s’était maquillée, elle faisait jeune, superbe…
Ils n’ont rien vu, juste qu’elle baisait mieux que moi…

Elle est ressortie défaite et sur les genoux de la dernière rangée, à moitié déchirée, et m’a fait jurer de ne rien dire à papa…
Je vous jure qu’en 2 ans, je suis devenue une experte en pipes et en baise en groupe…

– Elle ne t’a jamais accompagnée de nouveau ?
– Si… On a joué une finale… Le voyage durait plus longtemps, à Lille je crois…
– Et alors ?
– Ils ont gagné, et si à l’aller c’était tiède car les actes sexuels sont bannis pour garder l’afflux nerveux, je te dis pas au retour !… J’ai vu ma mère embrasser deux costauds, simultanément, ses deux beaux seins dénudés. Je l’ai entendue gémir doucement, et passer de siège en siège, comme je le faisais, mais je ne pus en voir plus étant moi-même copieusement débordée… Elle me confia s’être libérée d’un complexe, ne me fis plus aucune remarque sur mes tenues et mes sorties nocturnes.

– Et toi Marine ?
– Oh, je n’ai pas eu de liberté comme toi Amandine, j’étais dans une classe premium, je me devais de réussir pour accrocher une école de renom… Je m’accordais le minimum, les soirées d’anniversaire… J’ai été déflorée par un voisin de trente ans, un salaud qui battait sa femme… Je ne l’ai su qu’après car on s’est revus…
Ensuite je trouvais les mecs de mon âge cons… J’ai fréquenté un garçon plus âgé pendant six mois, on dormait ensemble dans sa chambre. Un soir il n’était pas là, les parents non plus… Son frère et sa sœur m’ont dit de rester avec eux et son frère m’a prise dans ses bras, il était plus grand, plus mûr… On a dîné, on a bu, on a regardé un film, un peu sexe. Il m’a embrassée, caressée, puis il m’a sautée devant sa sœur qui nous regardait en se masturbant…
Et elle m’a fait l’amour en m’emmenant dans sa chambre…
– Initiation lesbienne…
– Oui, j’ai aimé, elle était douce… J’ai rompu avec mon copain, mais j’ai revu son frère et sa sœur dans des soirées… Parfois sa tendresse me manque, je lui téléphone, on passe la nuit ensemble…
– Tu es bi alors ?
– Oui, c’est vrai, mais je préfère une bonne queue…

Une fois prêtes toutes les trois et après ces révélations, nous avons rejoint nos soupirants.
– Alors ? Soirée plage ? Il y a d’autres copains qui y sont allés, on va se marrer, danser sur le sable…

C’est là que j’ai connu Alain intimement, dans la nuit, après une soirée arrosée, j’étais prête. Je ne regardais que lui, que ses yeux… Il m’a emportée dans les vagues, m’a tout retiré, lui aussi… Il m’a fait l’amour dans l’eau tiède, un délice… Je me suis laissée faire sans penser à rien, juste profiter de ses caresses, me libérer de près de deux années de privation…
Debout, puis rivée à ses hanches, portée par l’eau, il m’a donné le plaisir presque oublié que j’étais venue chercher ici…

Je voyais d’autres couples danser autour de nous… Je captais des râles… Il m’a serrée dans ses bras avant la conclusion…
– Je veux passer la nuit avec toi. On va chez vous ?
– Oui, elles sont là, on prendra la petite chambre…

Il m’a soulevée, juste couverte d’une longue serviette, je l’ai conduit jusqu’à la tente.
Il m’a déposée sur mon duvet, l’a ouvert en grand, a refermé la chambre, a ôté ma serviette…
– Je voulais me doucher…
– Je vais t’enlever le sel moi-même…

Allongée sur le dos, je me suis laissé faire. Il ne m’avait pas prise avant, il attendait le confort et l’intimité de ma tente… Il me caressait, doucement, me faisant revivre nos premiers moments, reprenant ses gestes doux sur mes seins, puis sa bouche vint apporter sa touche de délicatesse, et décupla mon désir. Il pinçait mes tétons entre ses dents, les massait, puis descendit lentement, embrassant mon ventre, s’attarda sur mon pubis, ouvrit mes cuisses et envahit mon minou affolé…

La langue mit le feu, réveilla des sensations éteintes, je compris le sens de « préliminaires » avec lui…
Ses mains volaient sur mon corps, glissaient sur ma peau, sur toutes mes zones intimes, érogènes, tactiles…
Je ne bougeais pas, attentive et voulant profiter de sa patience…
Je lui avais parlé de Pierre, lui m’avait rétorqué qu’il serait le second…

Sa tendresse, et sa façon de me découvrir et de m’aimer, me sont allées au cœur…
Je gémissais doucement, imperceptiblement…
Sa langue atteignit mon centre premier, souleva doucement mon clitoris qui s’embrasa, je laissais échapper des râles profonds, mon corps s’ouvrit, coula mon désir…
Ses doigts préparaient ma vulve, écartaient mes lèvres humides, ils effleuraient plutôt que caressaient… Je m’ouvrais comme une fleur envahie par cette douceur, convaincue d’avoir atteint le sommet, mais un autre coup de langue m’emporta plus loin, d’autres doigts touchèrent d’autres moi…
Je vibrais, il glissa une phalange, je sentis mon vagin pleurer de désir, la phalange glissa…

Je sentis une vague m’emporter, je perdis la notion de temps, son membre énorme, tendu, à peine effleuré dans l’eau, se posa contre moi, je tendis ma main… Il était chaud, dur…
Je fermais les yeux et imaginais ma chatte ouverte, béante, mon orifice à sa merci…
Je le dirigeais vers lui, il poussa un peu, le gland toucha ma vulve, écarta mes petites lèvres, s’enfonça de quelques millimètres dans l’orifice béant de désir…
– Oh !… Oui !… C’est merveilleux… Je jouis de toi… Prends-moi… Je suis tienne…

Doucement, le membre glissait, ressortait un peu, revenait lubrifier son chemin, progressait comme dans de la soie…
A chaque mouvement je laissais échapper des soupirs, des râles, des cris de plaisir…

Puis il entama sa danse d’homme… Prenant mon corps, le poussant à s’ouvrir encore et encore, mon ventre à onduler, sa verge me pilonnait…
– Oui !… Viens !… Je veux être tienne, je veux te recevoir en moi…

Il accélérait… Je jouis encore et encore… Je le sentais me pourfendre, écarter mes chairs, me posséder…

Je me soulevais vers lui, devançant ses allers-retours… Il grossit encore, devenait dur…
– Je vais venir…
– Oui, viens !… Donne-moi ta semence en guise d’amour…

Il empoigna mes seins, je sentis une onde me parcourir, m’envahir, je m’effondrais, son dard encore planté en moi…

Le liquide s’échappa sur mon duvet, il ne bougeait plus, juste allongé sur le côté…
Son sexe ****tissait, glissa hors de son fourreau, libérant un autre flot de jus blanc…
Je le pris dans ma bouche et le nettoya… Cela le surprit…
– Tu es magique toi, tu devances mes envies…

Il me fit pareil, léchant ma vulve, aspirant nos sucs dans mon intimité écartelée pour lui…

Je sentis un peu de frais sur ma peau, des yeux regardaient par la moustiquaire, deux têtes…
Je fis mine de ne rien voir, il faisait sombre…
J’entendis un frôlement, des bruits de succion, des soupirs légers, un gémissement profond, étouffé, puis le bruit d’une ondulation, discret, lent, qui s’accélérait, qui dura, et enfin, un double soupir, des baisers…

Ils venaient de le faire juste à côté, je sentis Alain se tendre, écouter jusqu’au bout. Il me prit contre lui et m’embrassa voluptueusement, en caressant mes seins…

Je venais de faire l’amour pour la première fois, de jouir mes orgasmes, de recevoir son sperme, de lécher sa verge détendue… J’étais femme, j’étais devenue amante…

Je n’entendis plus rien jusqu’au matin. Il resta avec ses copains pendant une semaine, couchant chez nous, mangeant comme des vieux couples, me faisant l’amour chaque nuit, parfois l’après-midi aussi. Nous ouvrîmes les rideaux, libérant l’espace, car entendre est pire que voir…
La nuit suivante, je sentis juste une main serrer la mienne après l’avoir reçu en moi en jouissant malgré moi, Amandine sans doute me témoignant son affection…

La dernière nuit j’entendis des râles, des feulements de lionne…
Marine partit en vocalises discrètes, mais présentes.
Le lendemain, elle me confia s’être laissé sodomisée pour la première fois par lui, gage d’amour infini envers son compagnon…

Lorsqu’ils partirent, ce fut les grandes eaux pour chacune.
Ils ne brillaient pas non plus, et disparurent très vite dans le petit matin. Je reçus des SMS toute la semaine, la semaine suivant, puis ils s’estompèrent…

J’étais rentrée, avais intégré une fac à Montpellier, l’été était loin, Alain aussi…

Pendant nos vacances je connus Jan, 2 nuits ; Greg 3 nuits ; Serge une soirée torride, et la dernière, toutes ensemble, nos amants échangés jusqu’au matin, dans un mobile-home voisin du notre…
Au latin, Amandine et Marine me donnèrent un récital, je m’offris un moment magique entre leurs mains et sous leurs langues, je jouis comme jamais, mais cela ne veut rien dire…

Je connus ma première sodomie avec Yann, avec la bénédiction et l’assistance active de Marine…
Mes progrès en terme de libertinage furent meilleurs que mes notes au concours d’entrée de la Fac, mais la moyenne étant atteinte, je m’offris un second voyage au soleil…. à Lyon…

J’avais deux ans pour tracer ma voie. Le Bac C en poche m’avait ouvert quelques voies, mais je ne me voyais pas ni avocate, ni médecin, ni dans un hôpital… L’informatique me branchait, créer des sites aussi, je pensais aux occasions de côtoyer de bons partis pour plus tard, en restant à ma place. Une carrière commerciale me permettrait de voyager, de rencontrer des gens. Les arts ne me tentaient pas, les techniques me faisaient peur, le sport pas question, la communication ?

Je cherchais tout en présentant des concours et en écrivant des courriers un peu dans toutes les directions…
Le fait qu’un des premiers soit émis de mon département attira mon attention, on me proposait d’intégrer immédiatement un grand groupe avec mon simple bac, avec une formation interne spécialement conçue par cette pieuvre…

C’était simple, je pouvais travailler en septembre dans un groupe international, et dans deux ans ou plus, finir cadre, ou même cadre supérieur avec une carrière assurée et un salaire confortable. Fi de toutes les autres réponses, je dis « oui » en appelant le numéro inscrit sur le courrier et attendis… Quelques jours plus tard, un rendez-vous, et je fais la connaissance de cette école originale. De l’administratif à la technique, de la gestion au commercial, tout était passé en revue, deux ans pour intégrer le premier niveau cinq ans ingénieur, équivalent au diplôme d’état… Je sautais au plafond, constituais mon dossier qui fut accepté au vu de mes notes au Bac, avec une date d’entrée au 5 septembre… Salaire de base 800 euros, de quoi commencer une cagnotte pour ma première voiture… Le matin cours, l’après-midi stage actif.

Je regardais immédiatement les destinations idéales après en avoir référé à mes parents qui furent bouche bée… Amandine sauta au plafond, Marine avait trouvé aussi sa voie dans le médical…
Elles ne faisaient rien en août, partir quinze jours vers le 15 ?, oui… La tente avait bien supporté…
– Et si on louait un mobile-home toutes les trois ?
– Après le quinze il y a des affaires à faire…
– On serait à l’abri pour tous les temps avec le confort, des lits accueillants…
– On le dit à nos lyonnais ?
– Bof, ils sont bien, mais je pense que l’on peut partir encore à l’aventure… Tu es amoureuse ?
– Non, tu as raison, c’est de l’attachement car il a marqué mon éducation sexuelle…
– Et nous ?
– Vous étiez déjà dans la classe supérieure ! Moi j’étais presque vierge, en maternelle…
– Maintenant tu ne l’es plus, donc tu peux affronter un peu tout…
– Qui a une voiture ?
– La même, ma mère ne s’en sert pas ou rarement…
– Qui a les sous pour vivre 15 jours de folies ?
– Moi ça ira, j’ai travaillée à la brasserie…
– Moi aussi, pas de soucis de ce côté, je peux même vous inviter si vous êtes justes…
– Oh, merci… Moi je gère, je sais que je vais gagner ma vie…
– Tu as de la chance d’avoir trouvé ça, on peut postuler ?
– Certainement, va voir les sites du gouvernement, les grandes entreprises partenaires et les offres d’emploi et de formation… Y en a plein…
– Bon, on est d’accord, ça va chauffer… On va où ?
– On a fait l’Ouest, on fait la Côte ?
– Six-fours, plus loin ? Ste Maxime, St Trop ?
– Pourquoi pas, je regarde les offres de campings en mobile-home…
– OK on se rappelle, moi aussi je vais chercher sur Booking et ses frères…
– Super, on va s’éclater… On fera le plein de conserves, de pâtes avant de partir, pour n’avoir que le strict minimum à acheter localement…
– Tu as raison, économisons sur la bouffe…
– Les capotes n’ont pas augmenté que je sache…
– Marine, tu ne penses qu’à ça !
– Et alors Amandine ? On y va pour quoi à la mer ?
– Pour baiser !…

Réponse collégiale : Rires et pleurs !….

Direction St Tropez, un camping en bord de mer vers la plage de Pampelonne, chalets 3ch climatisés avec SPA, à un prix d’ami, fin de saison oblige…
De plus nous héritons en arrivant d’un surclassement après discussion avec l’équipe d’accueil, si nous leur jurons de participer aux deux fêtes du camping, chaque samedi…
Le gérant aux yeux bleus Max, et son épouse Marie-Carole nous font l’honneur de notre cottage tout confort, 3 chambres, Spa privé, clim, etc…

Le courant passe immédiatement, je vois Marine regarder discrètement la jeune femme très appétissante d’une façon particulière… Amandine est plongée dans les yeux bleus et a du mal à trouver le contrat internet… Voilà… Dans son sac de plage !… Oui, acompte CB… Le large décolleté tourné vers lui, elle répond du tac au tac, les yeux dans ses yeux… Il a du mal à garder ses esprits, sa femme le tirant par le bras pour le récupérer… Parfait ça va chauffer…
– On a une seule clé…
– Oui… On ferme rarement ici… Venez boire l’apéritif tout à l’heure, en maillot de préférence, ambiance Club Piscine…
– Max, tu viens ?
– Oui… Je viens…
Nous les regardons s’éloigner tous les deux dans une voiturette électrique…
– Cela m’étonnerai fort qu’ils finissent la saison ensemble…
Celui qui a parlé, c’est Mario, beaux ténébreux aux yeux noirs et cheveux corbeau, il s’occupe des espaces verts, des allées et des fleurs, des plantes vertes, et des yeux d’Amandine…

– S’ils le sont encore. J’ai croisé Madame qui venait d’un chalet vers le roof à 6H00…
Linette, une responsable accueil, au sourire désarmant, blonde cuivrée aux yeux verts, robe verte, baskets vertes et blanches…

Ses yeux viennent souvent sur ma poitrine…
– A 6H00 ? Tu y faisais quoi ? Tu aides aux cuisines ?
– Non, j’aide au nettoyage de la piscine et des douches avant les touristes…
– Et le maître-nageur en fait partie ?
– Espèce de salaud !…

Grands rires parmi l’assistance, l’équipe à l’air soudée et pleine d’entrain… Nous aussi…

Après avoir rangé nos affaires dans nos chambres attribuées par le sort, nous nous rendons en maillot à l’apéritif au bord de la piscine, soit à deux pas…
Aussitôt les têtes se tournent vers nous, les questions fusent, une trentaine de personnes, jeunes et moins jeunes nous accueille, nouveaux arrivants et l’on reçoit verres de bienvenue, bracelets, petits souvenirs du camping, avec le sourire et les compliments de Max et de Marie-Carole… Linette est à ma gauche, me sourit et me tend sa joue pour un bonjour perso…
– J’adore ton maillot, il vient d’où ?
– Oh, chez nous, Montpellier…
– Il faut que j’y passe quelques jours, il a l’air d’y avoir de très belles choses…
– Oh, oui et tu ne les dépareillerais pas…
– Vous faites quoi ce soir ? Venez à la fête, on s’éclate, on danse la farandole, et on a des surprises puisque vous participez toutes les trois… Les reines de la méditerranée….
– Oui… je… participerai…
– Tu n’es pas timide, tes copines ont l’air cool, vous êtes lesbiennes ?
– Oh, non… Bi à la rigueur…
– Ah, j’attendais ça… Reste avec moi ce soir… Si tu aimes les filles…

Elle se noie dans la nuit, je suis propulsée vers l’eau, et plouf !… J’y retrouve Amandine et Marine, une Marine sans soutien-gorge, parti lors de l’amerrissage… Elle s’en fiche, et offre ses seins à la vue de l’assistance, jusqu’à ce qu’une âme charitable lui passe un tee-shirt et le résultat est pire que sans le vêtement…

Tout le monde est plié de rire, elle aussi, regardant ses tétons pointer le tissu transparent…
Je retrouve son haut dans un coin, le lui tends et elle le repasse sans gêne…
Ouf…
Marie-Carole n’a pas loupé un instant de l’accident, son mari non plus…

La fête continue car ils nous invitent à partager leur repas simple, barbecue, frites, salades variées, tomates mozzarella, basilic, fruits… Super gentil et je retrouve Marine et Amandine bien entourées…
On parlait pour cet après-midi, ils vont un peu à l’écart des touristes, ils ont une crique tranquille, jusque vers 16 heures…

Nous dînons rapidement, aidons à débarrasser, puis nous les suivons… Des couples semblent s’être formés dans le rang des saisonniers…

La plage est agréable, un peu à l’écart avec quelques galets, mais l’eau est divine et claire, un plaisir…
On joue au ballon, on nage, on revient, on partage quelques biscuits, des boissons, notre vie…

Ils sont jeunes entre 18 en 21 ans pour la plupart, et viennent de la région. Job de vacances agréable, les cadres sont cool, Max est le directeur, Marie-Carole sa secrétaire, son bras droit… Et … Mais le couple semble vaciller et craqueler, des rumeurs circulent…

Linette revient vers moi…
– Tu marches un peu avec moi ?
– Oh, oui…
La plage s’éloigne, un sentier circule en s’élevant entre mes dunes remplacées par une végétation de bord de mer…
– Ici, il y a un truc entre nous. Nous sommes tous des ados et des jeunes adultes, le sexe fait partie de nos loisirs, de notre liberté. Nous sommes libres de prendre ce que l’on veut quand on veut, si le partenaire est consentant… Pas de souci de concurrence, rien n’est à nous, on se sert, on consomme, on oublie. Pas de sentiments, pas d’attachement. Pas de cris, pas de jalousie, on est à tout le monde…
– Oui, c’est une philosophie de partage et d’amitié très simpliste… Nous faisons pareil… On se sert, on partage parfois, on s’isole, on revient…
– Tu es finaude… Là il y a un creux à l’abri du vent…
– Et des regards ?
Elle sourit, me tend la main… M’aide à descendre vers la dépression, quelques mètres carrés de verdure, de la mousse, pour s’allonger…
Sa bouche est douce, ses mains actives… Je fonds au bout de quelques minutes d’échanges passionnés…
– Je savais que tu aimerais…
– Je savais que tu en avais envie…

Presque nues, nous flotons sur la mousse divine, nous donnant, partageant nos atours, offrant nos corps… Sa tête dodeline entre mes cuisses écartées, je masse tendrement ses petits seins aux pointes érigées… Puis arrive à les sucer, elle se laisse aller, ma chatte est trempée, la sienne est ouverte sous mes doigts, on se caresse, on échange, on partage, nos gémissements emportés par le vent…

Soudain, elle me veut, m’appelle, sentant son plaisir arriver… Elle se met à onduler son bassin, ouvrant ses cuisses en cadence, je glisse trois doigts dans sa chatte, elle jouit, emportée par un orgasme, et se déverse entre mes doigts…

Sa langue envahit mon minou, écarte, joue avec mon capuchon, délivre mon clitoris, l’effleure, puis trouve l’entrée secrète, son doigt pénètre lentement, doucement, elle m’emporte vers le plaisir, tendrement enlacées… Sa bouche glisse entre mes cuisses, sa langue me fait minette, Une torture !… Je pince mes seins pour me calmer, bouge en tous sens, la supplie…
Je jouis à mon tour, abandonnée contre elle, nos seins gonflés se touchant, nos baisers se font tendresse, nous profitons de ces quelques minutes pour nous reposer, découvrir nos corps, parler…

Elle a très vite été attirée par les filles, et même si elle aime avoir des rapports sexuels avec les garçons, elle adore vivre des instants comme ça, doux, tendres, passionnés, nos caresses sont bien différentes, plus intimes, plus vécues…

– Il me semble jouir en moi, sentir mon ventre communier avec le tien, mieux partager ce que l’on ressent… Tu es belle, offerte, désirable, ils vont adorer te croquer…
– J’aime être croquée, dévorée, butinée, parfois par plusieurs…
– Oh, coquine jusqu’au bout des ongles…
– On est venues pour ça…
– On est toutes pareilles… En tous cas ici, c’est le cas, toutes les filles baisent à qui mieux-mieux… Les mecs ont toujours la bite à la main, comme d’hab…
– Vous organisez des soirées entre vous ?
– Pas besoin, c’est open bar… Tantôt chez l’un, parfois chez une résident ou une… Il a des femmes mariées seules qui aiment les petits jeunes, ça défile, elles se le disent… Même nous…
– On connaît… La mère d’une copine se tapait l’équipe de foot… Tu parles qu’ils perdaient…
– Non ?
– Si… C’était la femme de l’entraîneur en plus…
– Cougar et fière de l’être… Le sexe est bon à tout âge, même mes grands-parents ne s’en privent pas, le seul hic, ils sont sourds et ne m’entendent pas rentrer…

Nous nous accordons quelques minutes d’intimité, nues sous le soleil, entre ciel et mer… Elle est magnifique, elle a eu ses vingt ans cette année, s’est offert un voyage avec une amie…
– Mes parents ne savent pas mes goûts… Je risque de changer en rencontrant un type bien dans quelques années et rejoindre le clan des mamans…
– Tu aimeras toujours le faire…
– Sans doute aurais-je quelques aventures féminines, oui… Ce n’est pas tromper…
– Ah… Eternel dilemme…
– Et toi ? Tu aimes les queues ? Tu as un ami ? Tu pratiques en groupe, sodomie ?
– Oui, un peu tout au hasard… Il faut tout essayer pour juger. Mais je reste dans la norme, pas de drogue, juste pour goûter, pas de v******e, de donjon et autres soumissions et avilissement.
Le travail avant tout, le plaisir au second plan. J’ai en vue un deal de deux ans, je vais devoir me battre, je peux ensuite opter pour passer en formation d’ingénieur…
Je me dois d’être sérieuse, je l’ai appliqué pour mon bac en m’accordant le strict minimum de sorties et de plaisir…
– Ça a marché ?…
– Oui. Mention bien soit entre14 à 16 de moyenne…
– Tu es une fille bien…
– C’est mal ?
– Il manque le fun, non ?
– Non, je sais m’éclater, je l’ai fait en juin… J’ai rattrapé en un mois deux ans de privations…
– Ils ont dû être sur les rotules tes copains…
– Surtout qu’il y avait les deux autres derrière…
– Ah, bon et vous avez mélangé ?
– Bien entendu… Première sodomie pour moi, elle m’a prêté son mec pour ça et a assisté à la scène avec le mien… L’autre couple a explosé en nous entendant et ils nous ont rejoints…
– Chaudes vos soirées… Bravo… Tu me plais vraiment… On pourrait passer une nuit ensemble avec tes amies…
– Toutes les 4 ?
– Oui… Avant ou après les mecs…
– J’aime… Mais Amandine n’est pas très lesbienne, elle préfère 2 gars qu’une fille…
– Lors d’une soirée alors avec Marine et toi… A trois…
– Nous verrons bien comment ça se passe, mais je m’en souviendrai de toi… J’ai aimé…
– Moi aussi, j’ai joui comme une reine…
– C’est vrai…
– C’est lequel le meilleur ?
– Ici dans l’équipe ? C’est Kevin… Vingt ans aussi, beau, une bite je te dis pas… Il te prend toute la nuit quand il est en forme, il te met à genoux…
– Kevin c’est noté… Tu l’as eu ?
– Non, hélas, c’est difficile de l’avoir, il est demandé…
– T’inquiète… Je sais y faire…
– Si tu y arrives, penses à moi…

Après un autre baiser torride, nous regagnons la crique où les choses ont évolué. Moins de gens dans l’eau et sur le sable…
J’aperçois Marine couchée sur un corps sans vie, lui faisant du bouche à bouche…
Amandine est hors radar, nous regagnons le bar…
– Tiens, un jus de fruit fera du bien…
– Oui, j’aime le thé aussi…
– Froid ?
– Glacé lui dis-je les yeux dans les yeux…
– Tu connais le mec avec Marine ?
– Heu… Chérie, mets tes lunettes c’est Marie-Carole…

Trop tard, elles s’en vont sur le destrier électrique vers un monde moins fréquenté… Cacher leurs étreintes…

– Elle aussi tu vois, elle se ravitaille chez nous…
– Marine a dix-huit ans…
– Marie-Carole a passé les trente…
– Tu l’as eue ?
– Oh, oui… Tu parles, elle a butiné toutes les filles en CDD, les mecs et pas qu’en CDD, c’est elle qui les embauche et les gère… je suis certaine que Max…
– Et toi ?
– Non… Il a dû voir que j’aimais les filles… Non !… Il a essayé en soirée, m’a prise contre lui en dansant, m’a caressé les seins, puis m’a embrassée…
– Et alors ?
– J’ai pris sa bite dans ma main, et j’ai serré, puis j’ai tiré comme une folle… Et me suis sauvée… Aucune remarque, plus croisé dans les couloirs, ni les allées propices aux flirts discrets… Si tu le coinces, essaie de savoir…
– Volontiers… Mais je ne reste que 15 jours…
Nous rions de bon cœur, elle est vraiment bien cette fille…

– Tiens ça te dirai d’espionner MC ?
– Ah, Marie-Carole…
– Oh, elles ont dû aller dans notre maison…
– Ah, je ne pensais pas à ça… On va se marrer… Viens…

Elle me guide à travers les cuisines puis elle sort par une porte dérobée, remonte une allée privée…
Pas de voiturette, on fait le tour… On s’approche… Rien…
Je la laisse faire, elle me conduit vers notre gîte… La voiture est dissimulée au fond d’une allée sans issue… J’entre sans faire de bruit, elle me suit à pas de loup…
Le plancher craque, on manque éclater de rire…

On entend des soupirs dans la chambre de Marine… Elles sont là toutes les deux, MC écartelée devant la bouche dévoreuse de mon amie, nues et excitées, elles se dévorent, se pourlèchent, se frottent, se… La porte de communication s’ouvre, Max apparaît suivi d’Amandine, ils étaient dans l’autre chambre…. La mienne !…

MC fait une place aux arrivants, Amandine se glisse contre MC, Marine prend le sexe de Max dans sa main, elle le pompe avidement, il caresse les atours divins devant lui, les seins magnifiques, le ventre plat, les cuisses douces, le pubis légèrement roux… Elle le dévore littéralement, le portant au supplice, il fouille, embrasse, ouvre, écarte… Marine est assise sur lui, le sexe la prend quasi instantanément, s’enfonce d’une traite, elle se balance, il la prend par les hanches, la guide, elle jouit doucement s’empalant à son rythme… Sa femme les regarde ouvre sa chatte et se masturbe énergiquement à la vue du couple…

Lisette me pousse à l’intérieur, elle est nue en une seconde et se rue sur la vulve offerte…
MC crie de plaisir, butinée par les deux jeunes femmes…
Marine me voit seule, caresse ma chatte déjà bien humectée… Max m’embrasse, puis empaume mes seins… Je m’accroupis sur le sexe libéré par mon amie… Je le sens doucement ouvrir ma vulve, écarter mes lèvres, glisser vers mon orifice…
Je suis au bord de crier…

Il me pénètre, c’est bon, divin, oui ! Vite ! Crac !… Il m’a aidée, me l’a enfoncée à fond… Il bouge, me possède en soulevant mes fesses, encore et encore, puis il me projette en avant, sur le ventre le nez entre les cuisses de sa femme… Il me prend en levrette… Position idéale, pour me pourfendre comme une souillon…

Sa bite grossit en regardant sa femme fermer les yeux et jouir sous ma langue et les doigts de Lisette, dont Amandine caresse les fesses et la chatte, s’employant à la masturber délicatement… Marine est derrière MC, profitant de la bercer…

Nous sommes cinq filles à gémir, jouir, exprimer notre plaisir… Le lit craque à chaque changement de position…

– Tu les as eues toutes les quatre, tu les as faites jouir devant moi avec ta grosse queue, à moi maintenant ! Viens me baiser…

Max vient prendre sa femme, la vulve ouverte pas ses doigts tendus, le membre droit plonge sans hésiter dans le vagin, pousse en elle, elle se met à crier, vibrer, onduler… Il la prend sans arrêter…

Elle nous regarde, nous fait signe, nous veut… On caresse ses seins, d’autres seins, des chattes béantes, dégoulinantes, on se tord pour l’embrasser à pleine bouche et la sentir jouir du membre effréné…

Que de râles, que de feulements de lionnes assoiffées…
Il se vide enfin, à grands coups de reins rageurs…
Elle rugit, rugit encore et encore en sentant la semence se répandre…
Lisette est la première à lécher la chatte maculée de sperme, puis on se partage la tâche en riant, puis mélangeant nos propres sucs en nous frottant sur elle, atteignant les transes d’orgasmes bien lesbiens…

Epuisées, Max au milieu, éreinté, nettoyé par Marine et Amandine, je sens des mains, des caresses, de la tendresse…
C’est bon l’amour !…

Plage, détente et lecture, je m’évade en les laissant récupérer, Marie-Carole passe près de moi, un sourire aux lèvres…

– Bonjour, tu es Kevin ?
– Oui, on se connaît ?
Il attend sa boisson au bar, beau c’est peu de le dire…
– Tu es en CDD ici…
– Ah, oui, tu te renseignes si j’abandonne ?
– Non, mais pourquoi pas… L’ambiance est très prenante ici…
– Si… Oui… On ne s’ennuie pas dans ce sens.
– Ton travail c’est quoi ?
– Tu le vois, porter et servir les clients…
– Les clientes surtout non ? Surtout jeunes, mais pas que…
– On t’a parlé ?
– De toi, non, mais des pratiques instaurées.
– Oh, y a pas qu’ici, j’ai fait les 4 campings près de chez moi…
– Et alors ?
– Fatigant, mais sans histoire, parfait pour les vacances…
– Ça me plairait de travailler comme ça…
– Tu n’as pas besoin de travailler pour ça, tu es canon…
– Merci… Tu finis quand ?
– Je peux avoir une pose pour te donner un aperçu…
– D’accord, j’attends là-bas…

Il arrive au bout d’un quart d’heure…
– Ton prénom ?
– Marika et toi ?
– Tu commences bien…
– Pardon… Kevin, je sais…
– Viens, je vais te montrer…
Je ne sais pas quoi, mais je me lève, prends mon sac et le suis…
– Je n’ai qu’une demi-heure. C’est par là…
Il m’emmène dans la serre, c’est magnifique…
– Je m’occupe de ça, aussi, je les reproduis sous serre, viens…
Son espace est compté, un lit, frigo, armoire… Il me tend un verre…
On s’assied sur le lit ensemble… Sa bouche est sucrée autant que mon jus de fruit, il découvre mes oranges, mon pamplemousse, je suis nue, lui aussi et il bande déjà comme un spécimen inconnu…
La demi-heure est avalée, son sexe aussi, performant, envoûtant, électrisant et il me porte à jouir sans relâche, jusqu’à l’explosion finale, dictée par la montre… Il m’a prise dans les positions les plus banales, les plus sûres, jusqu’à la levrette, me clouant sur le lit grinçant, son sperme giclant encore sur mes fesses… C’est une force de la nature… J’ai joui délicieusement, perforée, emportée, vite fait sur le gaz, comme une femme trompant son mari… Délicieuse expérience…
– C’est un service rapide… Tu es toujours pressé ?
– Non…
– Nous pourrions essayer plus calmement…
– J’allais te le proposer…
– Ce soir ?
– Oui… 22H ici, on verra comment, où, avec qui… Bises… Ah, tu peux amener tes copines…
– Lisette ?
– Oh… Tu as bon goût, mais elle est gouine non ?
– Avec moi oui, mais elle a d’autres facettes… Comme Marie-Carole…
– Tu es rapide… Les deux meilleurs coups de la place…
– Tu l’as eue aussi ?
– Non, ni la première… Je n’ai pas fait le tour encore… A 22H00…

Purée… Il m’abandonne dans la serre après avoir fermé sa tanière, je regarde par-ci, par-là… Il fait bon, tempéré, humide… Je trouve une fontaine, je fais glisser mon short et me lave sommairement, c’est délicieux, frais. Je fais pipi, me relave… Je me passe de l’eau sur les seins, remets mon tee-shirt… Je suis bien, détendue.
Je pense à mes copines, où sont-elles maintenant, sur quelle queue ? Quand Lisette apprendra pour Kevin…

Je referme derrière moi, en disant au-revoir aux plantes et aux fleurs qui ont partagé ma nudité et mes orgasmes…

Je retourne au chalet, vide… Je me change, et refais une ablution rassérénante…
L’eau me fait grand bien, je m’allonge sur mon lit, un peu défait…
Je revois le sexe de Max plongeant dans celui ouvert de sa femme… Quel couple de cinglés du sexe !…

Enfin, je soupire, ferme les yeux, disparaît…
– Coucou !
Elles sont là toutes les deux, sourire, bises,
– Racontez-moi, je suis endormie et m’ennuie…
Elles commencent pas la suite, avec des variantes entre Max et MC, après quelques caresses, il reprenait vie et s’est mis en tête de la sodomiser…
– Elle était aux anges et nous les avons aidés, assistés, imités… Ce fut très chaud entre elle et lui Marine et moi aussi, et il est venu nous prouver qu’il y a une différence entre un homme et une femme, le sexe est plus grand et actif que le doigt…
– MC était ravie de nous voir partager son mari par ce côté, elle était folle complet, délirant à mesure que nous jouissions. Elle nous a aussi partagées, augmentant sensiblement le volume de nos orgasmes…
– Ils sont partis dans la voiturette en s’embrassant tendrement, oubliant sa culotte ici…

Marine est partie sous la douche, Amandine me fait des gestes de pleurs… Et en aparté ajoute : « Elle est amoureuse de MC… »

– Ensuite nous sommes allées prendre un bain dans leur crique, on a rencontré quelques garçons sympas. On a discuté sagement, joué au ballon, on s’est baignées longuement avec eux, quelques gestes discrets sur un matelas pneumatique, un petit flirt anodin pour les remercier, c’est tout…

Voilà qui augure pour la soirée…
– Et toi ? Lisette te plait beaucoup…
– Oui, pareil, nous nous sommes isolées et nous avons parlé… Elle est lesbienne, mais pas que. Elle connaît tout le monde, adore le camping, ma robe, mon corps, elle m’a fait l’amour dans un havre de verdure…
– Et bien…
– C’est là qu’on a vu Marine avec MC et qu’on vous suivies et trouvées…

– Je suis repartie me baigner, vous laissant ici toutes les 3 avec Max… Je me suis allongée sur leur plage, c’est là que j’ai rencontré Kevin au bar, il

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