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Initiation à la soumission

Initiation à la soumission



D. était ma petite amie depuis quelques années maintenant. Nous nous étions rencontrés sur les bancs de la fac. Si les études de géographie ne m’ont mené à pas grand-chose, j’ai au moins pu y découvrir quelque chose de beaucoup plus intéressant que les cours d’eau de la France : l’amour.

Ce fut un coup de foudre dès que je l’ai vue la première fois. C’était lors d’un cours en amphithéâtre, elle siégeait sur le rang juste devant moi. D. était un joli petit bout de femme. Pas très grande, sans doute un peu enrobée, mais un regard sublime et un visage d’ange. À ce moment-là, je n’ai plus suivi le cours du prof mais étudié les courbes de ma voisine.

Elle non plus ne semblait pas apprécier tant que cela le cours, elle riait discrètement de ce que son amie était en train de lui raconter. J’aimais observer son sourire, découvrant de temps à autre ses dents si blanches, j’aimais ses cheveux châtains coupés au carré qu’elle venait déranger lascivement avec sa main. Et, plus que tout, je fondais quand je voyais ses yeux : d’un bleu-vert intense, taillés en amande. Ils traduisaient chacune de ses expressions. D. était belle et j’en étais tombé amoureux dès cet instant.

Ce n’est que quelques mois plus tard que j’osai enfin l’approcher et venir lui parler. Je prétextai de grosses difficultés dans l’appréhension des leçons sur les enjeux économiques liés à l’industrie énergétique (ce qui n’était pas si faux d’ailleurs !), pour lui demander si elle pouvait m’aider. À l’approche des partiels, il était courant de s’entraider entre étudiants. Quelle fut ma joie quand elle me répondit qu’elle m’aiderait avec plaisir !

D’emblée je lui ai proposé de venir chez moi pour être tranquilles à l’étude de cette matière. Sans crainte, elle accepta ma demande et le rendez-vous fut fixé au vendredi soir suivant. Nous étions tous les deux des « campagnards » obligés de quitter nos petites bourgades d’origine pour venir « à la ville » pour les études. Ainsi, il n’était pas rare de me retrouver seul le week-end dans mon petit appartement d’étudiant.

Ce vendredi arrivant très vite, je mis toutes les chances de mon côté : nettoyage nickel de l’appart’ (il ne s’agirait tout de même pas qu’elle découvre un chez-soi bordélique), tenue soignée mais décontractée et, petite attention qui peut faire son effet, préparation d’un gâteau pour le goûter. D. est arrivée à l’heure, soit vers les 17 heures chez moi. Le simple contact de sa joue contre la mienne faisait son effet.

Pendant de longues heures, elle me fit découvrir toutes les subtilités de l’industrie énergétique et découvrit en moi un hôte aux petits soins : mon gâteau au chocolat avait fait fureur ! Si bien que les heures défilaient et ce n’est qu’à 21 heures qu’on se rendit compte de l’heure. Pour ne pas la laisser s’échapper, je lui offris de rester manger avec moi, ce qu’elle accepta avec plaisir.

Après notre frugal repas, nous avions laissé tomber les cours pour commencer à discuter de tout et de rien, le tout en dégustant une bouteille de vin que j’avais chez moi. Il s’avère que D. est une amatrice de bons vins et elle semblait bien apprécier la bouteille que j’avais achetée. Au fil de la discussion, je me suis permis de la sonder sur ses goûts, ses loisirs, ses amours… Avec surprise et plaisir, je découvris donc qu’elle était célibataire depuis quelques mois, que l’éloignement de sa famille et de ses amis était difficile et qu’elle était contente de tomber enfin sur quelqu’un qui était sympa dans cette fac.

Voulant battre le fer pendant qu’il était encore chaud, je me mis à la séduire de façon plus ou moins ostentatoire. Elle s’en aperçut rapidement je pense, tant j’étais maladroit et direct mais elle semblait s’en amuser et me laissait languir face à son joli minois. Ce n’est qu’à la fin de la bouteille de vin que j’osai enfin venir l’embrasser. Elle me rendit ce baiser sans attendre et nos langues se trouvèrent une cadence délicieuse.

D. sentait bon. Pas une odeur de parfum parce qu’elle n’en portait pas ce soir-là mais un parfum corporel qui titillait mes narines. Ses yeux en amande me dévoraient et je plongeais dedans à chaque fois que je croisais son regard. Elle rigolait, m’embrassait, passait ses mains dans mes cheveux, me caressait les bras. D. semblait en confiance avec moi et j’en étais fier et content. Moi, de mon côté, je n’étais pas en reste et, tout en continuant à l’embrasser, je partis à la découverte de son corps.

Il ne faisait pas de doute que nous avions tous les deux envie de passer cette nuit ensemble, jamais D. ne m’a évoqué l’idée de partir. Mon appartement étant assez petit, nous nous sommes retrouvés en une petite seconde du salon à ma chambre. Il faut dire qu’il n’existait aucune différence entre mon canapé et mon lit puisqu’ils ne formaient qu’un seul et même objet ! J’allongeai alors D. sur mon lit, je vins me coucher sur elle pour venir à la rencontre de sa bouche. Ma main caressait ses cheveux pendant que je la regardais. Puis je la fis descendre le long de son bras pour me retrouver sur son ventre.

Tout en la regardant droit dans les yeux et sans dire un mot, je passai ma main sur ce ventre certes un peu rebondi mais si attirant pour cette main qui ne demandait que ça. Mes doigts remontaient lentement jusque sa poitrine. D. semblait avoir une très belle poitrine et je dois avouer que je l’ai souvent regardée, épiée lors de nos cours en amphithéâtre. Étant souvent sur un rang au-dessus d’elle, je m’amusais à glisser mon regard dans son décolleté quand sa tenue m’y autorisait.

Mais ce soir, c’est bien ma main qui passait sur ces deux globes de chair. À ce passage, je sentis sa respiration s’accélérer. Je continuai et insistai sur le dessous de ses seins, afin de sentir toute leur grosseur emplir ma main. Enfin, je m’amusai à défaire un à un chaque bouton de sa chemise. En dessous de celle-ci, je découvris un soutien-gorge totalement noir, en dentelle. La douceur du tissu, mêlée à son regard insistant, ne fit qu’attiser mon excitation. Je sortis son sein droit de sa couverture de tissu. Son sein était blanc, signe qu’il ne voyait pas souvent le soleil. Le téton était déjà un peu dressé. Il était gros, entouré d’une belle aréole brune, ce qui se détachait de la couleur laiteuse du reste de son sein.

Mon pouce et mon index vinrent pincer gentiment ce téton pour le faire se dresser un peu plus. D. avait une respiration désormais saccadée, signe qu’elle appréciait ce que je lui faisais. De son côté, elle ne tentait rien envers moi. Pas une main venant à la découverte de mon entrejambe, pas de caresse sur le torse, rien. D. se laissait faire. J’en profitai alors pour la dévêtir. La chemise puis le soutien-gorge se retrouvèrent au pied du lit. Elle n’était plus qu’en pantalon pendant que je vins sucer cette poitrine opulente. Ma langue y découvrit un terrain de jeu de rêve tant ses seins étaient une merveille. Jamais je n’avais connu une aussi grosse poitrine. Ses tétons étaient maintenant totalement tendus de désir et je prenais plaisir à venir les mordiller pour les exciter encore plus.

Pendant que je léchais cette poitrine si belle, ma main gauche partit à la découverte de ce qui se cachait un peu plus bas. À l’approche de ma main, D. écarta doucement les jambes, telle une invitation à la poursuite de mon exploration. Je caressai ses cuisses. Je sentais la chaleur se dégager de son corps à mesure de mes caresses mais ce ne fut rien par rapport à ce que ma main sentit une fois posée sur son sexe. Au travers du pantalon, je sentis un sexe totalement brûlant. En le caressant, je sentis même poindre l’humidité qui s’en dégageait.

Plus que curieux et totalement excité, je quittai ses seins pour venir délivrer cette source de chaleur. Je lui enlevai son pantalon, ne la laissant qu’en petit string, assorti à son soutien-gorge. Mademoiselle avait beaucoup de goût en matière de lingerie, me dis-je alors. Directement, je vins poser mes lèvres sur ses cuisses, embrassant l’intérieur de celles-ci et je remontai lentement et langoureusement vers son sexe.

À ce moment-là, D. se prit les seins avec ses mains et commença à se les caresser. Ma bouche venait de se poser sur son string. Il était mouillé et une odeur d’excitation venait chatouiller mes narines. Je passai mes doigts sur ce bout de tissu, pour venir l’exciter plus qu’elle ne l’était déjà. Enfin, je tirai sur ce dernier rempart de tissu pour l’envoyer valser au travers de la pièce et me retrouver face à cette intimité.

D. avait un sexe quasi imberbe, elle avait fait le choix de ne laisser qu’un mince filet de poils au-dessus de son mont de Vénus. Ses lèvres intimes étaient déjà entrouvertes. N’y tenant plus, je vins poser ma langue sur ses lèvres. Je lapais ce sexe si chaud, si humide mais si bon. Son clitoris était sorti de son capuchon et je jouais avec du bout de la langue. D. commençait à gémir sous mes coups de langue. Il faut dire que j’adore sucer le sexe féminin et je prends un malin plaisir à faire monter l’excitation chez ma partenaire. Mes doigts vinrent aussi à la découverte de cette caverne magique. Ils en ressortirent totalement trempés tant la mouille de D. était abondante. Je la doigtais, la suçais, la léchais de façon à faire monter son excitation.

Mais si D. semblait prendre du plaisir, elle semblait aussi totalement m’oublier, à tel point que j’étais encore totalement habillé ! Voulant poursuivre cette soirée magnifique, je pris le parti de me déshabiller seul. Je me relevai alors du lit, éclipsai rapidement mes fringues pour me retrouver totalement nu face à elle. Mon sexe était tendu depuis déjà de longues minutes et il tressauta à la vue de ma belle amante nue.

Je me rallongeai près d’elle, je vins l’embrasser, caresser ses seins. De son côté, D. prit enfin les choses en main et mon sexe se retrouva entre ses doigts. Elle les agitait maladroitement sur ma tige et commença à me branler rapidement. Voulant profiter un maximum de son corps, je vins m’allonger sur elle et déposai mon sexe à l’entrée du sien. Je coulissai en elle lentement. Je vins emplir cette grotte de mon membre de chair. C’était chaud, c’était étroit mais c’était divin. D. avait une chatte totalement adaptée à mon sexe. J’allais et je venais en elle lentement puis plus rapidement. J’alternais les rythmes pour profiter. D. n’était pas en reste et elle se mit à crier sous les assauts sexuels. Ses seins s’agitaient sous mon regard, je les gobai comme je pus avec ma bouche. Je sentis la jouissance venir alors j’explosai en elle et je sentis mon sperme venir remplir son sexe pendant qu’elle contractait ses muscles vaginaux, signe que la jouissance était au rendez-vous aussi pour elle.

Totalement épuisés, nous nous sommes allongés l’un à côté de l’autre sur le lit. Je me mis à la questionner sur ses goûts en matière de sexe. À l’entendre, je me rendis compte que ma belle n’avait pas une grande expérience et que ses pratiques étaient limitées. Un peu gêné, je lui expliquai ce que j’aimais, ce que j’avais testé et ce que j’aimerais tester un jour. Elle semblait très étonnée de tout ce que je pouvais lui raconter, à tel point que je me sentis comme un obsédé.

Mais la nuit passa, et après avoir fait encore deux fois l’amour, nous finîmes par nous endormir…

Les semaines et les mois passèrent, D. et moi sommes devenus inséparables. Nous passions quasiment toutes nos nuits ensemble et l’histoire que nous avions débutée semblait prendre un joli chemin. Mais si tout était paradisiaque, je remarquai que nos ébats sexuels, aussi nombreux fussent-ils, restaient très banals, si je puis dire.

En effet, si D. prenait toujours autant de plaisir quand je lui faisais l’amour, elle ne prenait que peu d’initiatives et nos positions restaient très conventionnelles : en missionnaire, en amazone et depuis peu en levrette. Si tout cela était déjà très bien, et j’en conviens, je commençais à avoir envie d’autres choses, de lui faire découvrir de nouvelles pratiques. Mais D. était peureuse sur ce plan-là. Si je n’avais eu aucune difficulté à lui faire apprécier le cunnilingus (celui que je lui avais offert lors de cette première nuit était en fait son tout premier), D. ne m’avait pas encore offert le plaisir d’une fellation. Peut-être n’étais-je pas assez expressif ? Fallait-il que je le lui demande ?

Un soir, n’y tenant plus, alors que je lui prodiguais un cunnilingus, je me relevai et je vins présenter mon sexe face à sa bouche. Elle me regarda alors. Je lui dis simplement :

— Suce-moi, s’il te plaît.

Étonnée, elle ne me quittait pas du regard, puis vint prendre mon sexe en main, sortit sa langue pour venir lécher mon gland.

— Prends-le en bouche, c’est bon, je me surpris à lui dire.

Elle ouvrit alors la bouche, s’avança et enfonça mon sexe dans sa bouche. Cela faisait longtemps que je n’avais plus ressenti cette sensation, celle d’une bouche féminine qui engloutit votre sexe et qui le suce. D. Sembla s’exécuter et me prodiguait une belle fellation, à tel point que je doutais que ce fût sa première. Je la regardais me sucer et je profitai d’être à genoux et elle allongée pour venir caresser ses seins.

Sentant la jouissance monter, je quittai sa bouche et je vins la pénétrer. Au bout de quelques minutes, la jouissance jaillit. Je m’allongeai sur elle. Puis je la regardai et, pris d’un remords, je m’excusai pour mon comportement en lui disant que je n’avais pas à lui parler comme cela, ça ne me ressemblait pas. Mais D. me regarda alors et me dit :

— Non, ne t’inquiète pas, ça ne m’a pas dérangée. Au contraire, j’ai trouvé cela excitant que tu me parles comme cela, de façon autoritaire. On ne m’avait jamais parlé avant comme ça. Bizarrement j’ai bien aimé.

Quelle ne fut pas ma surprise face à ses dires !

Les soirs suivants, je sentis que D. devenait plus chienne au lit. Les fellations devinrent plus fréquentes, à tel point que je n’avais plus besoin de les lui demander. C’est en léchant une énième fois son minou que je me mis à passer mes doigts sur son petit trou. Sa mouille mélangée à ma salive était venue humidifier cet orifice et j’eus envie de venir le titiller.

— Mets-toi à quatre pattes, lui demandai-je.

D. s’exécuta et j’écartai ses belles fesses dodues pour admirer son petit trou. Nous n’avions encore jamais pratiqué la sodomie. Ce soir-là, j’en avais envie. Je passais mon index sur ce petit trou, je sentais son muscle se refermer à chaque passage. Pris dans mon excitation, je vins passer ma langue dessus. Je n’avais encore jamais léché le trou du cul à mes partenaires avant. Mais là j’en avais envie. Je tentai de forcer son œillet intime mais ma langue n’avait pas assez de force. C’est mon index qui réussit.

— Caresse-toi le sexe pendant que je te sodomise, lui ordonnai-je.
— Mais je n’ai jamais fait ça, ça va faire mal, me dit-elle.
— Ne t’inquiète pas, lui répondis-je.

Et sans attendre, je pris mon sexe en main et je vins le coller à son petit trou. Je vis qu’elle s’exécutait et sa main passa sous son ventre pour venir timidement caresser sa chatte.

— Caresse-moi les couilles, lui ordonnai-je.

Et elle prit mes testicules de sa main pour les caresser. Je devins de plus en plus dominateur avec elle. Bizarrement, nos parties de jambes en l’air étaient beaucoup plus vicieuses quand je lui ordonnais de faire telle ou telle chose. Ce soir-là, D. eut droit à sa première sodomie. Si la douleur se fit ressentir au début, elle découvrit ce soir-là une nouvelle pratique qui lui offrait de nouvelles perspectives de plaisir.

Plus les mois passèrent, plus je devins maître dans l’art de lui ordonner les choses en matière de sexe. Elle ne me le reprocha jamais, au contraire, elle semblait prendre plaisir à répondre à mes exigences. Mes demandes s’accumulaient au fil du temps :

— Je voudrais que tu aies le sexe totalement épilé.

Et D. s’exécuta. Le soir venu, elle m’appela alors qu’elle était dans la salle de bain. Elle était assise sur les toilettes, totalement nue, les jambes écartées, un rasoir à la main.

— Donne-moi la mousse à raser, lui dis-je.

Je voulais prendre ce plaisir et je fis sortir une grosse noisette de mousse à raser. J’approchai ma main de son sexe où les poils n’étaient certes pas très nombreux mais quand même bien visibles. Je posai la mousse à raser sur son sexe, de façon à recouvrir chaque parcelle « souillée » par les poils. Une fois l’opération terminée, elle prit son rasoir et vint délicatement raser son minou. Je prenais plaisir à la regarder faire. Je sentais l’excitation monter dans mon caleçon à la voir faire cela. En plus, elle prenait un malin plaisir à prendre son temps pour le faire, prenant grand soin de n’oublier aucun poil. Une fois terminé, c’est moi-même qui vins passer une serviette humide pour enlever le surplus de mousse à raser et pour découvrir un sexe totalement glabre et vierge de poil.

— Viens t’allonger sur le lit, lui demandai-je alors.

D. se leva et alla sur notre lit.

— Écarte tes jambes, ma belle, je veux voir cette merveille.

Les jambes grandes ouvertes, je m’approchai de ce sexe qui était magnifique. Je me mis à le caresser tendrement, passant mes doigts délicatement entre ses lèvres. Du bout des doigts, je vins jouer avec son clitoris. Des gouttes d’excitation venaient perler sur son sexe. J’approchai ma bouche, léchai lentement ce petit abricot tout en la doigtant. Comme à son habitude, D. prenait du plaisir sous mes coups de langue. J’entrai deux doigts en même temps et j’accélérai mes allers-retours dans son sexe. Le plaisir montait encore en elle. Voulant aller plus loin, j’ajoutai un autre doigt. Son minou était déformé par l’envergure de tous ces doigts la pénétrant. Je n’avais plus que le pouce en dehors de son sexe.

Sans lui demander son avis, je me mis à vouloir passer ma main entière dans son sexe. À force d’allers-retours lents, mes doigts se sont humidifiés de son plaisir et ont pu coulisser totalement dans sa chatte. Je venais de tester pour la première fois le fist. Ma main entière était à l’intérieur de son sexe, mes bouts de doigts venaient caresser au plus profond de son sexe et D. était devenue une vraie furie sous ces coups. Elle jouissait abondamment et bruyamment. Le bruit si distinctif d’un sexe en pleine jouissance venait casser le silence de la pièce, si ce n’est ma copine qui maintenant hurlait de plaisir. Mes draps étaient trempés de son jus. Lorsque j’ai retiré enfin ma main après qu’elle eut joui comme jamais, son sexe resta béant, grand ouvert. Jamais je n’avais vu une vulve si ouverte que maintenant. D. était en sueur mais ses embrassades me prouvèrent qu’elle avait aimé l’exercice.

Le plaisir de soumettre ma petite amie à toutes mes envies et fantasmes venait alors décupler la force de notre couple. Chaque soir maintenant nous faisions l’amour comme des bêtes et plus je lui offrais mes volontés, plus elle s’exécutait. Nous prenions tous les deux plaisir à ce petit jeu-là. À tel point que le niveau de mes exigences montait au fil des semaines. Un jour, alors que nous devions aller chez des amis communs pour dîner, je lui ai demandé de se vêtir d’une courte robe, mettant en avant son opulente poitrine et de ne pas porter de sous-vêtements en dessous. Comme à son habitude maintenant, D. accepta et sortit de la salle de bain telle une vraie déesse. Ses rondeurs faisaient ressortir ses atouts : le décolleté offrait une vue imprenable sur ses seins et la longueur de ses jambes découvertes faisait que dès qu’elle se baissait un tout petit peu, on pouvait distinguer ses fesses nues et son sexe.

Pour nous rendre chez nos amis, nous avons pris le métro. Il n’y avait pas grand-monde dans notre rame. Assis au fond de celle-ci, je me mis à passer ma main sous sa robe pour venir lui caresser le sexe. Et que dire quand je me suis rendu compte qu’elle était déjà tout humide ! Cela m’excita et je me mis à la doigter. En tournant la tête, je devinai un homme, dans la cinquantaine, qui ne semblait pas dupe sur nos jeux. Je pris alors plaisir à continuer tout en susurrant à ma belle de regarder cet homme pendant que je la touchais. Ce qu’elle fit avec plaisir.

Une fois arrivés chez nos amis, je devinai tout de suite le regard intéressé de mes amis masculins sur D. Pourtant tous étaient aussi en couple et leurs copines présentes à la soirée. Chauffé par ce qui s’était passé dans le métro, je restais en éveil sexuel et j’espérais oser encore quelque chose de nouveau. D. et moi continuions dans notre spirale sexuelle. Il nous fallait de la nouveauté pour prendre toujours plus de plaisir.

Aussi, alors que la soirée continuait après un bon dîner, tout le monde s’est mis à danser. Moi, je n’aimais pas trop ça. Alors, assis à une chaise en fumant une clope et en buvant un bon verre de vin, je regardais D. danser, lascivement, sous le regard coquin et envieux de mes amis présents. Même les autres filles semblaient jalouses de l’aura sensuelle et sexuelle que dégageait D. vers une heure du matin, tout le monde commençait à être soit bien éméché soit bien fatigué. Je me lassais un peu de la soirée et des tubes des années 80, aussi je vins prévenir D. que j’allais me coucher. Elle me répondit qu’elle venait avec moi. Nos amis qui nous recevaient avaient proposé à tout le monde de rester dormir, ce qui était plus simple. Mais la place manquant, nous devrions partager quasiment tous la même chambre. Il y avait donc nous ainsi que deux autres couples.

Quand nous sommes allés nous coucher, nous étions les premiers à y aller. Aussi nous avons choisi le matelas deux places tout confort au beau milieu de la pièce. Après nous être dévêtus, nous nous sommes couchés sous la couette. L’ambiance de toute cette soirée et la vue de ma belle dansant toute la soirée n’avaient fait que m’exciter, alors dès que nous nous sommes retrouvés couchés, je me mis à l’embrasser tendrement, tout en parcourant son corps. Elle était réactive au moindre contact. Je bandais dur et elle était totalement trempée entre les jambes. Mais c’est à ce moment que nos amis sont venus également se coucher. Arrêt des câlins. Mais la fatigue et l’alcool aidant, en à peine 10 minutes, j’entendis déjà les autres dormir. Alors je me remis à caresser D. Nous étions discrets mais les petits bruits que provoque parfois le sexe se faisaient entendre… Heureusement personne ne semblait y faire attention et les ronflements étaient encore présents.

Je me mis à pénétrer D., allongé sur le côté, j’étais derrière elle et je venais et rentrais en elle tout en lui caressant les seins. Elle dut poser sa tête contre l’oreiller pour éviter de gémir trop bruyamment. Tout à coup, je vis une main surgir près de D. ! C’était celle d’un de nos amis qui était couché à côté. En le regardant, j’ai eu l’impression qu’il dormait et que son bras s’était retrouvé ici fortuitement. D. s’en amusa et vint coller son sein contre cette main endormie. Mais les petits cris, aussi discrets fussent-ils, ajoutés à la chaleur de ce sein qui la collait, ont fait que cette main s’est mise à caresser le sein de ma belle. D. n’en avait cure et se laissa faire. Mon ami avait maintenant les yeux ouverts. Dans la pénombre je les devinais reluquant le corps de D. Elle prit sa main et la posa de toute sa largeur sur ce sein. Il prit cela comme un signe et se rapprocha discrètement d’elle.

Glissant de son lit, il vint se coller à D. pour lui embrasser les seins. Lorsqu’il voulut l’embrasser sur la bouche, elle refusa en tournant la tête. Elle me réservait sa bouche. Je pris alors la main gauche de D. et j’allai l’emmener à la rencontre du sexe de notre ami. Elle s’exécuta et commença à le branler doucement. Pendant ce temps-là, j’étais toujours en train de la pénétrer tout en douceur par-derrière. Alors que sa copine dormait à poings fermés dans le lit d’à côté, notre ami approcha sa queue du sexe de D. Je me retirai alors de son sexe pour lui laisser la place. Mais ne voulant pas rester tel un spectateur, je me mis à lui prendre les fesses. D. se faisait prendre en double pénétration alors que plusieurs de nos amis étaient à côté !

Cette expérience de triolisme se conclut par une jouissance quasi instantanée pour nous trois et D. se retrouva pleine de notre jouissance. Après un tel épisode, le sommeil vint rapidement. Sans jamais l’avoir refait, nous avons maintenant un secret avec notre ami et rien ne dit que nous ne retenterons pas cette expérience à trois. J’ai adoré voir D. se faire pénétrer par un autre homme.

Plus récemment, lors de notre dernière nuit de sexe, je lui ai ordonné de goûter à mon plaisir. Aussi bizarre que cela puisse paraître au vu de ce que nous avions déjà testé, jamais D. n’avait déjà avalé mon sperme. Et cela faisait partie de mes fantasmes. Aussi, quand je fus proche de la jouissance, je me suis retiré de son sexe et je suis venu au-dessus de son visage.

— Ouvre la bouche ma belle, je veux jouir dedans et je veux que tu avales.

Je me suis alors mis à me masturber en la regardant dans les yeux alors que sa bouche était maintenant grande ouverte, prête à recevoir ma semence. J’ai joui rapidement et elle eut sa bouche remplie de mon sperme.

— Avale, s’il te plaît.

Et sans rien dire et tout en me regardant, elle ferma sa bouche et avala mon jus. Ma petite D. était devenue une vraie soumise. Elle faisait tout ce que je lui demandais.

Pour autant, en dehors de ces moments de sexe, nous n’étions pas du tout comme cela. Nous nous aimions toujours autant si ce n’est plus qu’au tout début. Il n’y a que quand on se retrouvait excités que cette situation de dominateur / soumise prenait alors place.

Ce soir, j’ai prévu de lui demander de se masturber en pleine séance de cinéma. Je sais qu’il y aura du monde autour et cela m’excite de savoir que quelques personnes autour pourraient la surprendre. J’aime cette idée que D. est ma soumise et qu’elle obéit à toutes mes envies. Si elle était encore très prude lors de notre première fois, elle est aujourd’hui une vraie tigresse qui répond à toutes mes attentes.

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