J’étais redevenue célibataire après une histoire qui aurai pu être belle si il n’avait pas fait des conneries, mais passons, j’avais des amies pour me remonter le moral !
Zahia m’annonça un jour qu’il y avait une soirée samedi prochain, et décida de m’embarquer, en me disant qu’il y a forcément de beaux mâles pour en profiter un peu…
« On va vérifier si ce qu’on dit sur les blacks est vrai… » me glissa t’elle à l’oreille, d’un air complice.
La soirée de juin s’annonça chaude, je m’habilla en tenue assez légère, assez sexy, tout comme Zahia qui nous conduisait à la boîte de nuit.
Nous devions être au goût du videur car il nous laissa passer gratis en nous souhaitant une bonne soirée, et en nous reluquant attentivement.
Zahia était un peu plus grande que moi, blonde, un poitrine un peu plus petite, mais elle attirait plus les regards que moi, sans doute par sa chevelure blonde et ses yeux bleus.
Pourtant, après quelques danses et une consommation, nous nous faisions abordées l’une et l’autre assez facilement.
Il faut dire, deux nanas célibataires plutôt pas mal (oui, je me lance des fleurs, mais je connais mes atouts) entourées de mecs, ça attire le regard…
Zahia se faisait draguée par un bel Algeroi, et leur danse devenait plus collée-serrée. Moi, je n’avais pas trouvé celui qui me plairait …Mais ça n’allait pas tarder, quand un black m’apporta un verre de punch. Il faisait au moins 1m90, large d’épaule et plutôt musclé, a en croire les muscles qui se dessinaient sous son tee shirt. Il me colla lors d’une danse, ses mains posées sur mes fesses, mes mains touchaient son torse, oui, il était vraiment très musclé.
Zahia , me fit un signe complice, et me dit qu’elle allait finir la soirée avec son amant d’un soir, « teste bien la marchandise » me dit elle.
Doumia – c’était mon amant – m’offrit un second verre, et me demanda son équivoque si j’étais partante pour venir chez lui, finir la nuit. L’alcool aidant, et la curiosité, l’excitation faisant le reste, j’acceptai volontiers.
On quitta la boite de nuit et les rythmes endiablés pour aller chez lui. En conduisant, il jeta des regards en direction de mes jambes et de ma jupe qui était bien courte. Il posa sa main sur ma cuisse gauche, et remonta lentement vers mon entrejambe, j’eus des frissons…
On arriva chez lui, il ouvrit la porte et me laissa entrer, c’était assez spacieux, un salon assez grand, avec une belle baie vitrée, Puis il vient se coller derrière moi, caressant mon ventre puis ma poitrine, en me complimentant. Il passa ses mains sous mon top, soulevant mon soutien gorge, et pinçant leur pointe…
Je laissa un soupir de plaisir s’échapper.
Je senti également une belle bosse contre mes fesses…
Il retira mon haut, et je me retourna pour goûter à ses lèvres, notre baiser fur long et passionné, je baladais mes mains partout sur son torse, il fit de même, les laissant sur mes fesses, remontant à mes seins…
Puis, j’ose. Une de mes mains glissa vers son entre jambe, et toucha ce que je pris plus tôt pour une bosse, c’était vraiment très long et se poursuivait le long de sa cuisse…Mon dieu…
Je m’agenouillai devant lui et défis son pantalon, je pu voir a travers un boxer très moulant un véritable gourdin de plus de 20 cm. Je jeta un œil vers ses yeux, il sembla très sur de lui, me disant que j’étais bien curieuse,
Je lui souris, et retira son boxer !
Mon dieu !!
Je n’avais jamais vu ça !!
ENORME !
Une véritable matraque noire s’échappa de son boxer.
J’étais stupéfaite, je n’osais plus rien faire, ni toucher, ni bouger.
« Tu n’as jamais vu ça ?
– Non … jamais … elle est énorme …
– N’ai pas peur, touche la, touche la comme est douce
Je posais mes doigts sur sa queue, et la caressa. Il avait raison, elle était douce, et durcissait doucement sous mes caresses. Je n’arrivais pas à faire le tour avec ma main !
Je ne pus m’empêcher de lui demander combien elle faisait.
Il me répondit, 26cm, et plus de 7cm de diamètre.
Je ne savais que faire avec un tel engin, ça allait me déchirer ma petite chatte …
Son énorme gourdin était maintenant tendu vers mon visage, Je n’allais pas me dégonfler, malgré la peur que cette monstrueuse queue me faisait. Je me décida à la lécher, je passa ma langue de la base de sa queue, et remonta tout le long vers son gland majestueux. Je fis plusieurs aller retour, mais je senti que Doumia en voulait plus car il me dit :
« Suce la, goûte la »
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