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Un festival plein de surprise

Un festival plein de surprise



Chaque année, deux festivals important se déroulent dans mon département. Une faune venue des quatre coins de la France se déplace pour assister à ces concerts.
Mais aussi, il y a des prédateurs qui ne sont là que pour se faire de la viande fraîche. C’est assez couru de savoir que ces rassemblement offrent de nombreuses opportunités sexuelles.
Depuis mon plus jeune âge, je m’y rends pour écouter mes idoles et participer à cette ambiance estivale festive. Comme c’est l’été, je suis toujours habillée très léger. Les gars se retournent souvent sur mon passage. Ce jour là, je suis en mini jupe avec un top. J’ai juste dessous un string et mes seins opulents sont libres sous le fin tissu de mon petit tee-shirt.
Je rejoins ma copine Katia. Elle aussi a une silhouette aguichante. D’ailleurs nous n’hésitons pas à nous embrasser sur la bouche et à nous cajoler en public. Dans ce genre de festival, personne n’y prête attention. Prises dans l’ambiance de fête, nous ne remarquons pas ce type qui nous mate. Dans un mouvement de foule, cet homme se colle à nous négligemment. Tout à coup, je sens une main qui se plaque sur mes fesses mais prise dans cette ambiance, je ne dit rien. Là, il s’enhardit et commence à bien me peloter. Coquine invétérée, je glisse à l’oreille de Katia :
« Le mec derrière nous me pelote le cul ! »
Elle explose de rire et par provocation, je fais celle qui ne se rend compte de rien. Alors, il se fait plaisir et se repaît de mon derrière offert. Je sens des fourmillements caractéristiques qui naissent dans mon ventre et je me met à mouiller. Curieuse, je me retourne furtivement pour voir quel est le malotru qui s’occupe de mes fesses. C’est un black. Sans doute un des hommes du flux migratoire qui est hébergé non loin. Ces gars n’ont pas de femmes à se mettre sous la dent et sont friands des européenne comme nous. Proches de la scène, et des immenses baffles qui crachent leur décibels, la foule danse. Je suis passablement excitée. Le black maintenant s’occupe du cul de ma copine qui me fait un clin d’œil complice. Quand je sens moi aussi une main malaxer mes fesses. Je me met à ricaner bêtement et me laisse faire.
Nous voyant réceptives à ses attouchements, il en profite alors pour glisser ses mains sous nos jupettes. Il tire mon string vers le bas et cette fois ses doigts deviennent inquisiteurs. Je me cambre et me tortille sous cette caresse qui devient de plus en plus invasive. Je ne m’occupe plus de Katia qui doit subir le même sort, n’y de la musique si présente. Je me débarrasse de mon string qui m’entrave les genoux et suis nue sous ma jupe à la merci de cet émigrant et de ses doigts fureteurs. La foule est compacte et c’est à ce moment que je sens quelque chose de plus gros qu’un doigt s’immiscer en la raie de mes fesses. Au lieu de me défiler, je me cambre un peu plus . Sa queue raide glisse entre mes fesses et sont gland se retrouve à l’entrée de mon vestibule trempée de mouille et prêt à recevoir cet engin inconnu. J’écarte un peu plus mes cuisses pour lui laisser la liberté d’entrer dans mon conduit d’amour. D’un coup de rein il me pénètre. Mon cri de plaisir passe inaperçu dans ce brouhaha. Seule Katia n’est pas dupe de ce que je suis entrain de vivre. Sa verge progresse dans mon vagin surchauffé. Puis il se met à me limer comme un sauvage. C’est vraiment délirant de me faire sauter par un inconnu dans cette foule compacte qui ne se rend même pas compte du spectacle que je pourrais leurs offrir. C’est trop bon. Il agrippe mes seins qui ballottent sous ses coups de boutoirs. Je sens mon orgasme arriver et j’explose lorsqu’il se lâche sans prévenir dans mon con en ébullition.
Une fois satisfait, il se retire de mon conduit et quand je me retourne, il a déjà disparut dans la foule compacte. J’ai les jambes en flanelle et ma copine me demande :
« Alors c’était bon ? »
Je lui réponds par un large sourire qui en dit long.
Elle me prends par la main et m’entraîne dans un coin plus tranquille en me disant :
« Ca m’a excitée comme une puce de te voir te faire sauter à côté de moi. Fait moi jouir aussi maintenant ! »
Je glisse mes doigts sous son tee-shirt et caresse doucement ses seins dont les tétons réagissent instantanément et pointent comme deux beaux diables. Une chaleur intense et chaude m’envahis. Je la sens à ma merci. Là, elle me supplie presque de lui bouffer la chatte. Elle écarte largement les cuisses. Je me met à genoux et ma langue commence à explorer les recoins les plus intime de ma copine qui se cambre et gémie sous mes caresses buccales. Je passe furtivement un doigt dans ses fesses et agace sa rosette palpitante. C’est si bon de sentir sa cyprine couler sur ma langue inquisitrice. Je suis aussi surexcitée que Katia qui me saisit la tête pour mieux l’appuyer sur pubis en feu. C’est si bon. On ne se préoccupe que de notre plaisir et tant pis si des voyeur nous regardent. Au bout de quelques minutes, Katia atteint le nirvana dans un orgasme puissant.
Je joui doucement du plaisir que je viens de procurer à ma copine et l’embrasse fougueusement en me relevant, la figure couverte de sa mouille.
Remisent de nos plaisirs, nous revenons au spectacle pour profiter de la fin du concert. J’ai perdu mon string et je sens le sperme de l’inconnu me couler le long de cuisses. Mais peu importe quel pied.

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