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Nouvelle Eve

Nouvelle Eve



Je n ‘aime rien temps que les surprises. Coup de canif dans la grisaille
du quotidien. On peut parler de divine surprise. Celle-ci peut nous
venir d’une femme. Au contraire d’Adam je n’ai pas eu à me plaindre de
l’Ève du jour. Elle en avait le trait banal. Une collègue que je
croyais connaître si bien. Il est dommage qu’elle ne voulut jamais
donner une suite à l’épisode. Celui-ci en a d’autant de charme et de
prix. Je ne le conte pas maintenant sans émotion. C’était à une pause de
midi. Nous nous étions furieusement ennuyés à une réunion. Des collègues
et notamment de jeunes femmes s’éparpillèrent. A mon grand dam je dus me
contenter d’Isabelle. Ainsi était son nom.

Elle n’était point vraiment jolie. Femme de quarante ans mais qu’on eût
cru sans âge. Elle n’en avait pas moins un corps plus qu’intéressant. En
le jargon mâle on eût dit : pas mal foutu. Ainsi me consolais-je d’une
telle considération tandis que nous nous tournions vers l’entrée du parc
avec notre déjeuner débusqué au kebab le plus proche. Nous parlions par
routine boulot afin qu’il n’y eût trop de silences et que l’ennui
poisseux ne s’instille en notre échange. Nous montâmes une côte à
l’ombre de grands arbres. Nous nous assurions d’être tranquilles
éloignés du quidam. Nous dévorions à pleine dent nos viandes. Nous
songions déjà à nos retours respectifs au bureau.

Machinalement je vins à contempler et admirer le galbe des cuisses. Oui
cette garce était bien foutue. Surtout je remarquais qu’elle n’avait pas
à froid aux yeux à porter ainsi mini jupe et bas. Bref on lui voyait la
chair blanche et succulente affleurer. C’était bandant. J’avais scrupule
à laisser ma queue s’épancher de la sorte. J’avais honte par ailleurs
que cette brune, visage revêche, cheveu court et qui put être une
lesbienne ne décèle mon commencement d’érection. Je trouvais surtout que
devant moi elle ne fit montre de pudeur à croiser et décroiser ainsi les
jambes. Au bout de dix minutes j’avais vu maintes fois sa culotte
blanche dont je pus dire qu’une partie était transparente.

Mon intérêt dut enfin se trahir car tandis que je relevais la tête vers
son visage je vis celui-ci barré d’un sourire. J’étais pris la main dans
le sac. Je rougis ce qui augmenta ce sourire. Penaud je baissais mes
yeux. La conversation depuis un moment languissait. Nous avions épuisé
tous les sujets. De toute façon cela me gonflait. Je crus pouvoir pour
donner le change lui dire brutalement : « Tu sais par une belle journée,
on s’en tape un peu de leurs conneries. »Elle rit de bon cœur. En fait
elle pensait même chose. Elle se releva d’un coup et me dit : « Marchons
un peu ! » et de chantonner aussitôt la rengaine : »Promenons nous dans
les bois. »

Maintenant je matais son joli cul. Elle me faisait inexorablement envie.
Je la rattrapais et arrivé à son niveau nous écharnages un même regard
complice. C’est elle qui me saisit la main la première. Elle me mena en
un coin écarté sur un espace pentu. Là elle ouvrit le haut du chemisier
afin que je vis le haut de seins qu’elle avait petits mais que je
trouvais en l’occurrence mignons. Elle m’intima d’y mettre la main. Une
minute plus tard nous nous embrassions une de mes mains apposée sur son
cul et le pelotant. Elle se laissait volontiers tripoter., la garce.
J’eus idée qu’elle faisait souvent cela avec les mecs.

Entre temps point trop en reste elle avait à son tour porté sa main à ma
queue. Celle-ci était devenue de béton au fond du pantalon. Elle
commença à la caresser et la branler au travers du tissu. C’était
insupportable. Comme pour respirer je la libérais du coup l’extirpant de
ma braguette. La garce fut en un instant à mes genoux lapant d’une
langue ce gland. Le sexe fut peu à peu enfourné puis sucé. A présent
revenu à moi je regardais hagard si on ne nous espionnait. Il était
temps. De toute façon elle ne semblait avoir cure qu’on nous vit.
Témoignage que j’avais affaire à une salope. Qu’y pouvais-je de toute
façon si ce genre d’endroit générait quelque voyeur ? Tout à mon plaisir
j’exultais.

Le résultat ne se fit point attendre. Au faîtes d’une jouissance et n’en
pouvant plus j’exaltais dans sa bouche tout mon foutre. Elle me marqua
son dépit. « Mon gars tu ne sais te retenir. » J’étais tout penaud.
J’avais escompté bien la foutre. Philosophe elle dit : « C’est pas grave.
Allons ! ». Nous marchâmes encore plus loin. A cet endroit nous longions
parvenus aux bords du parc, une voie ferrée. Peu de gens devaient y
frayer hormis les voyous et autres gens douteux. D’ailleurs le sol était
jonché de loin en loin de carcasses, de capotes usagées ou seringues
pour drogués. En ce paysage de fin du monde nous pouvions nous croire
bien seuls.

Là nous nous enlaçâmes de nouveau. Je la pelotais maintenant sans
vergogne. Toute jupe relevée elle n’avait cure que je pétrisse ses
fesses et les montra alentour. Je percevais son excitation. Moi même je
renouais avec ma vigueur. Elle put s’en apercevoir. A cet égard j’eus
droit à une seconde pipe. Il fallait ranimer le mort. Ma bite animée
d’une seconde vie se dressait à nouveau vers le ciel. J’avais envie
cette fois de la prendre et la pourfendre. Elle se baissa un instant
pour ranger doctement son sac et peut-être ménager un endroit dans
l’herbe où s’ébattre. Quel joli spectacle !

Ainsi penchée elle me laissait voir le haut du bas et sa culotte
transparente que je rêvais d’arracher. Prévenant mon désir elle la
retira lestement jetant par défi celle-ci dans l’herbe tout près du sac.
Elle avait la chatte non moins lisse que son cul. En un éclair elle fut
à quatre pattes dandinant de son cul. Le dodelinement de la tête par
ailleurs me signifiait qu’il fallait attaquer et lui faire son affaire.
Je dus avoir le rugissement du lion car je me jetais d’un coup comme un
seul homme sur elle. J’escomptais bien qu’elle fut satisfaite de son
choix. Mes coup de rein ne l’épargnèrent pas. Je fus confirmé qu’elle
aimait la queue.

Elle ne fit pas de manière quand après avoir avisé l’anus j’entrepris
d’introduire celui-ci. Nous n’avions pas le matériel requis et notamment
la crème et à ma grande satisfaction celui-ci était humide. De toute
façon on y entrait sans peine. Madame devait se faire souvent enculer.
Quelle aubaine. Il n’est pas tant de femme qui le midi vous accorde la
sodomie dans un bois.
L’impressionnant fut que je pus limer ainsi d’interminables minutes.
Elle encaissait m’abjurant de ne défaillir et de finir l’ouvrage. Enfin
Presque de guerre lasse mon sexe peu à peu s’anémia et s’éteint. Je n’en
avais pas moins maculé de sperme le trou. Celui-ci reluisait au soleil.

Sourire empli de gratitude elle se remit sur son séant et concéda la
troisième et dernière pipe. Elle remerciait ainsi son champion. Tout à
mon émotion je lui avouais que ma journée était géniale.Elle l’avait
sauvé. Je signerais pour que toutes mes réunions de travail finissent
ainsi. Elle en pensait pas moins. Je compris surtout qu’elle était
coutumière de débaucher ainsi les hommes. Un peu dépité je devais
admettre de n’être qu’un sur une longue liste. Elle eût mérité le terme
: mangeuse d’homme. Je n’avais été qu’un déjeuner. De toute façon on ne
m’avait jamais vidé les couilles autant. J’étais gagnant. En vain je
tins à la contacter. Elle ne fit jamais suite.

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