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Suite (hucow) : La déchéance d’une étudiante

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Chapitre 2 : « La transformation »
Je serais incapable de dire si nous avons roulé quelques minutes à peine ou plusieurs heures mais nous sommes enfin arrivés chez Monsieur Charles. Je n’eus pas le temps de m’opposer au routier : il me fit descendre du camion alors que j’étais toujours souillée. Mes fesses plus que rebondies étaient découvertes autant que mes seins : ma petite robe de soirée n’avait plus aucune utilité. En plus de me sentir humiliée, j’avais très froid et mes tétons pointaient tellement qu’ils étaient endoloris. En plus de cela, je sentais que mon anus défoncé était douloureux, mon bourreau n’y avait pas été de main morte mais cette douleur m’excitait étrangement.
Après avoir marché sur un sentier de terre battue entre les arbres en ayant les mains liées dans le dos, j’aperçus une ferme. Le camionneur m’y mena à bons pas en tenant mon bras fermement, provoquant chez moi une douleur supplémentaire.
Le propriétaire devait être au courant de notre venue car il nous attendait dans la petite cour au centre des bâtiments. Il était vêtu d’un pantalon d’un jean slim et d’un pull en laine brun. Sa barbe bien taillée et ses cheveux coiffés à la perfection ajoutaient de la sévérité à son autorité naturelle.
– Ah ! te voilà enfin, je t’attendais avec impatience. Tu ne m’as pas menti en effet, cette femelle a beaucoup de potentielle, déclara-t-il à mon bourreau, tout sourire.
– Je ne suis pas une fem… ! répondis-je durement avant de recevoir une gifle d’une fermeté surprenante.
– Je ne t’ai pas demandé de répondre, petite catin. Tu ferais mieux de t’habituer à fermer ta gueule à partir de maintenant ou je devrai user de la force pour te faire taire, bien que ce ne soit pas ça qui me dérange, me lança Monsieur Charles.
Il reprit sa conversation avec l’homme qui m’avait violée un peu plus tôt, sans plus prêter attention à moi.
– Je t’en propose 2500 euros. 3000 même, je pense qu’elle a de quoi faire cette salope, déclara-t-il en me palpant les seins. De belles mamelles que nous avons là, du DD je suppose ? Quelques injections et elle sera parfaite.
– Ça me va. Je te la laisse à condition de pouvoir lui rendre quelques visites.
– Bien sûr, tu sais que tu es toujours le bienvenu quand tu passes par ici, dit-il de bonne humeur. Allons régler cette affaire dans le bureau, veux-tu ?
L’homme me passa alors une corde au cou et m’attira jusqu’à l’entrée d’une des constructions. J’avais beaucoup de mal à marcher avec mes escarpins interminables sur les pavés. Je n’étais pas sûre de comprendre, étaient-ils sur le point de conclure un marché ? Etait-ce vraiment de moi qu’il s’agissait ? Soudain, je fus prise du stress, j’hyperventilais, je ne savais pas ce qu’il m’arrivait. Je n’avais aucune idée d’où je me trouvais. J’entendais le bruit des vaches qui meuglaient et des machines.
– Qu’allez-vous faire de moi ? S’il vous plaît, relâchez-moi ! suppliai-je alors que des larmes commençaient à couler. Je ne dirai rien à personne, je le promets !
– Ah non, pour ne rien dire, tu ne diras bientôt plus rien, lâcha-t-il en rigolant pendant qu’il m’attachait au mur extérieur.
Les deux hommes entrèrent alors dans la pièce en me laissant totalement seule. Je pleurais à chaudes larmes. Je devais être dans un état pitoyable. J’avais peur de ce qui allait se passer. Je voulais crier au secours mais personne ne m’aurait entendu, la ferme était si isolée ! De l’autre côté de la cour, deux hommes sont passés. Ils étaient habillés en salopette de travail. Il s’agissait certainement des fermiers engagés pour s’occuper des bêtes. Ils me dévisagèrent attentivement. J’étais gênée mais j’espérais qu’ils allaient prévenir la police. Au lieu de ça, ils lâchèrent quelques sifflements obscènes avant de continuer leur route comme si de rien n’était.
Enfin, les deux hommes réapparurent. Après m’avoir adressé une fessée, le camionneur regagna son véhicule en me promettant que l’on se reverrait très bientôt. Je n’en étais pas spécialement ravie mais je ne savais pas ce qui m’attendait…
– Bienvenue dans ta nouvelle demeure ma belle ! Tu verras, tu vas vite t’adapter. A partir de maintenant, je suis ton nouveau propriétaire ! J’espère que tu me rendras fier de toi. Tu m’appelleras Maître. Tous les autres hommes ou femmes s’appellent Monsieur ou Madame. Compris ?
– Oui, dis-je les larmes aux yeux.
Je reçus une gifle en guise de réponse.
– Oui qui, pouffiasse ?
– Oui Maître.
– C’est mieux. Tu apprends vite. Allons te préparer à présent.
Mon nouveau détenteur me mena dans une salle blanche. L’éclairage y était agressif et il n’y avait là aucune décoration. Juste une table en inox sur laquelle il me lia et du matériel quasi chirurgical.
– Je te laisse avec le docteur Marius, ne t’inquiète pas, il est de très bonne compagnie avec les chiennes comme toi. Marius arriva. Cet homme quinquagénaire avait bonne allure. Les cheveux poivre et sel, rasé de près, bien habillé, il aurait pu être mon médecin de famille.
– Bonjour ma petite. Comment vas-tu ? Je suppose que tu es morte de peur. En réalité, je te comprends. J’ai déjà dit à Monsieur Charles qu’il ne fallait pas être si dure avec les nouvelles arrivantes mais peu importe, cela vous permet de vous habituer plus vite. J’aime que la préparation se fasse dans le silence, m’expliqua-t-il avant de me mettre un bâillon dans la bouche. Voilà, bonne fille, me félicita le docteur.
Il alluma la radio, me déshabilla puis commença à me coiffer : deux petites couettes sur les côtés, comme on fait aux petits enfants. Il semblait prendre son pied à me modifier comme cela. Moi, j’étais terrorisée et ne savait pas quoi faire. Je me sentais humiliée : de la bave coulait le long de mon visage à cause de cet objet qu’il m’avait enfoncé entre les dents. Je m’attendais au pire si je me rebellais.
Après avoir désinfecté mon nez, il se munit d’une grande pince et d’une aiguille. Il me perça alors, la douleur était vive mais il ne s’en préoccupait pas et plaça un anneau décoré d’une cloche. Il fit de même à mon oreille et me décora alors d’une plaque jaune servant à mon identification.
– Bonjour Azalée ! Monsieur Charles t’a choisi un magnifique prénom, il doit déjà beaucoup t’apprécier ! En même temps, avec les mamelles que tu as, je le comprends. Tu portes le numéro 3277.
Il me mit alors des genouillères blanches tachetées de noir et des sabots qu’il ferma à l’aide d’un cadenas intégré. A l’intérieur, mes poings étaient serrés sur une barre et je fus agréablement surprise de leur confortabilité. Il s’est alors penché sur mes seins, posant un lien sur chacun. La base était maintenant plus étroite que le reste, c’était douloureux et humiliant, mes larmes coulèrent de plus belle. Le médecin ne s’en préoccupait pas et enfonça un plug muni d’une queue de vache dans mon cul déjà béant par la sodomie de mon premier bourreau. Il prépara pendant ce temps le fer et quelques seringues. J’avais de plus en plus peur, j’essayais de me débattre et je reçus pour toutes réponses un coup de taser.
– Je n’aime pas faire de mal inutilement mais si tu bouges comme cela, tu vas me faire rater ta préparation. Et je suis sûre que Monsieur Charles en serait très déçu. Ce n’est pas ce que tu veux, n’est-ce pas Azalée ?
Entendre ce prénom me révoltait mais je n’avais plus le courage de me débattre. Je fus ainsi marquée à deux reprises : « Vache laitière Azalée » au-dessus de la poitrine et « Propriété privée » sur la fesse gauche. La douleur était si horrible que lors du deuxième marquage, je m’évanouis.
Lorsque je me réveillai enfin, je dû faire un effort surhumain pour me rappeler ce qu’il m’était arrivé. Je regardais autour de moi : j’étais dans un box. La paille recouvrait le sol. Les grilles n’étaient pas très hautes mais les sabots m’empêchaient de me mettre debout. A travers ces dernières, je réussis à voir une vraie vache. L’autre côté s’avérait être un mur. Dans le coin de ma nouvelle demeure, il y avait un abreuvoir collé au mur ainsi qu’une mangeoire, remplie de flocon d’avoine. J’avais tellement faim ! Je me suis alors ruée sur ma gamelle et ai dévoré les céréales comme une bête. J’avais aussi envie d’aller à la toilette mais il n’y avait aucune présence de toilette. Ne sachant plus me retenir, je me suis déplacée à quatre patte jusqu’à un coin du box avant de pisser comme la vache que j’étais devenue sur la paille.
En me déplaçant, j’avais remarqué que mes seins avaient fameusement grossis : ils étaient énormes et d’autant plus douloureux, j’avais envie de les masser mais il m’était impossible de le faire.
Je vis Monsieur Charles apparaître devant moi.
– Bonjour Azalée ! Comment vas-tu ma petite laitière ?
Je voulus répondre mais tout ce qu’il sortait de ma bouche, c’étaient des sons graves et rauques s’apparentant à des meuglements.
– Aaah, tu n’avais pas encore découvert ce changement, se contenta de me lancer mon détenteur. Tes cordes vocales ont été sectionnées. Tu parlais beaucoup trop à mon goût et mon ami était d’accord avec moi. Tu es beaucoup mieux comme ça.
Je recommençais alors à pleurer. Comment avait-il pu faire une chose pareille ? Les marquages n’étaient pas suffisants pour satisfaire sa cruauté ?
– Inutile de pleurer, grosse vache. Tes seins ont bien grossi ! Les injections d’hormones te réussissent bien, ma putain.
Il ouvrit le box, attacha une laisse à mon anneau nasal.
– Allez viens, je vais m’occuper personnellement de ta première traite.
J’arrivais dans une salle de traite industrielle. Des vaches étaient en plein traitement. A la fin de la salle, j’aperçus plusieurs cases aménagées pour les vaches humaines. Monsieur Charles m’installa dans l’une d’elle et calla ma tête sur le support prévu à cet effet. Il brancha d’abord un tuyau sur mon plug anal et actionna un bouton, je sentis du liquide se déverser dans mon ventre. Je voulais lui demander d’arrêter ça mais je n’arrivais qu’à meugler. Il rit et pinça mes tétons, je voulais hurler de douleur. Il prit deux pompes et les mit sur mes seins. Ces dernières se misent en route et je sentis mon lait se déverser. La pression qu’exerçait la machine était horrible mais quel bonheur de sentir mes seins se dégonfler.
– Je t’explique, grosse vache. A partir de demain, tu subiras la même chose que tes copines. La première traite est à 5h. Il y en a deux ou trois autres, cela dépend de ta production. A 11h, 16h et 21h. Extinction des feux à 22h sauf pour les soirées spéciales. Le reste du temps, je te ferai un planning différent que pour les autres vaches. J’ai de grandes ambitions pour toi, sale pute. Je vais me faire des couilles en or.
Il se plaça alors derrière moi. Je l’entendis malgré le bruit des machines descendre sa braguette. Il présenta alors sa queue devant ma chatte. Paniquée, je voulais me débattre mais c’était inutile : ma tête était immobilisée et je ne savais pas me dresser sur mes pieds.
– Tu peux essayer ma salope, ça ne sert à rien, tu vas juste te faire du mal et crois-moi, je t’en ferai bien assez sans ça.
Je sentis son gland se présenter devant mon trou de vache avant qu’il ne s’enfonce entièrement d’un coup de rein. Il me pilonna la chatte pendant plusieurs minutes. Mes seins faisaient se balançaient au rythme qu’il imposait.
Soudain, je compris qu’il allait se vider en moi. Je me rappelai alors que je n’avais plus pris ma pilule depuis la soirée. Je me débattu alors, essayant de lui donner des coups de sabot mais rien ne remédia à son envie de se répandre en moi. Je sentis sa queue se relever alors que son sperme se déversa dans ma chatte.
– Hum, super. Tu es encore toute serrée en plus, c’est top. Tu en as encore pour 15 minutes de traite. Je te laisse, je reviendrai te voir juste après, ma petite putain pleine de sperme.
Il prit un plug et me l’enfonça dans la chatte. Je voulais le prévenir que j’étais fertile mais seuls des meuglements sourds se faisaient entendre.
– Tu en veux encore ? Ne t’inquiète pas, tu en auras assez très bientôt, salope.

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