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Karine – Fabuleuse soirée

Karine – Fabuleuse soirée



Karine – Fabuleuse soirée…

1. Emois

33 ans ! Quel pied….
Blonde, de partout, pas la fausse, la vraie avec des cheveux fins, soyeux et des poils épars qui font dire à ceux qui en ont l’usage : »Ta chatte c’est un bonbon, j’adore ce parfum, ce goût de miel… »

Depuis mon plus jeune âge j’aime me caresser, sentir mon ventre se serrer, mes seins enfler et les pointes durcir, mon minou s’ouvrir pour pleurer de désir…

Sens propre et figuré, car j’ai eu envie très tôt de connaître une pénétration vaginale, ce fut vers 14 ans, avec un garçon bien sous tout rapport, et surtout celui que je désirais…

A l’époque, pas de pilule, ma mère m’aurait tuée, juste la capote, le retrait, la confiance… On m’avait dit de choisir un mec plus âgé, sachant se contrôler…

J’étais décidée… Internet balbutiait, les descriptions et renseignements étaient laconiques et contradictoires…
J’allais partir à l’aventure, mais ON m’en dissuada, autant motivée que moi pour la chose…

‘On’ était aussi jeune et aussi inexpérimentée que moi… Je ne pouvais la mettre dans le secret, sauf qu’elle était mon alibi pour la soirée et la nuit s’il le fallait, alors je craquais en lui avouant mon plan…

Plage, feu de bois, guitare, puis danses, baignade en groupe, liberté, oubli, heureux, fiers, les yeux brillants, le désir de se jeter dans le monde des ‘grandes’, celles qui ont couché… Devenir femme…

Blond, barbu, hirsute, 18 ans, un vieux… Jean-Rolland (JR), père médecin (ca pouvait servir), mère professeur de français dans mon lycée…
Finalement, j’avais pris quelque chose pour ne pas déclencher une descendance non planifiée…

‘Il’ et ‘On’ m’avaient aidée sans le savoir pour l’une et Il avait une soeur, copine avec ‘On’, ce soir présente, qui partageait mon désir de confiance et lors d’une soirée précédente avait bien voulu m’en dire un peu plus sur ces nouveaux trucs anti gosses…

Bref j’étais parée, j’avais un peu bu comme nous tous, j’avais dansé comme une folle avec mes copines, flirté avec la plupart des garçons présents, surtout avec JR qui m’avait caressé les seins dans l’eau, en voulant jouer, et m’avait électrisée…

Nous testions toutes et tous notre pouvoir de séduction et affirmions nos choix.

La soirée devenait torride, un air de puberté et d’enfance révolue planait sur la plage. Minuit, bain de minuit !…

Marie était grande, autant que son frère, aussi blonde et aussi belle…

Le dernier bain avant de rentrer, une tradition à minuit.
On riait en jetant nos maillots sur nos serviettes… Ce n’était plus l’heure d’être nunuche…

Jeux, caresses effleurées, baisers volés, sable, serviette, essuyage, séchage, Marie vient me parler…

– Alors, tu veux le faire ?
– Oui ! Et toi ?
– Oui, mais…
– Quoi ?
– Viens !

Je la suis, nous retournons dans l’eau, nues…

– Il me plaît… Et toi mon frère ?
– Oui, il est craquant, il m’a pelotée… Je suis OK…
– J’ai envie de le faire aussi…
– Moi aussi, je sens le désir dans mon ventre…
– Tu parles…

Elle me demande si je me suis protégée, je réponds qu’assurément, j’ai suivi ses conseils.
Les conseils de son docteur de père, pilule et crème… Un barrage anti-bébés !

Sa main caresse mes seins, passe entre mes cuisses, ses lèvres se collent aux miennes…

Je n’ai rien vu venir, un éclair !

C’est bon, doux, tendre, je commence à ressentir ses doigts sur mon clito, je lui fais pareil, elle écarte ses cuisses…
On se caresse, on s’embrasse, son doigt tourne, m’emporte, ouvre, glisse, je laisse échapper un petit cri, puis mes premiers soupirs…

Elle guide ma main sur sa chatte, m’embrasse passionément… Son minou est brûlant, humide, tentant… Elle me demande de lui faire pareil…
Elle gémit, s’ouvre encore, garde sa main sur la mienne, noyée dans ses trésors qui réagissent sous mes doigts… ‘Oui, c’est bon, enfonce-le, comme ça…’

Son doigt m’emporte loin, me fait trembler, une onde me parcourt, je gémis….
Nos poitrines se frottent, elle se penche vers moi, embrasse mes seins, j’effleure les siens, titille les pointes dressées, elle me veut ‘Viens! Oui! Doucement !…’

Je la pénètre d’un doigt hésitant, je la sens s’ouvrir, se détendre, s’offrir, balbutier, couler entre mes doigts…

Je tourne mon doigt dans son vagin, elle explose, étouffe ses râles : ‘Oh, oui ! Encore! Je…’

– Tu m’as faite jouir !… Oh, que c’est bon… J’ai vraiment envie de son sexe maintenant, Rolland, le grand frère de Candice.
– Il est un peu plus vieux, non ?
– 21, il est en fac, il m’a embrassée tout à l’heure…
– Qu’est-ce qu’ils font ?
– Guitare, ils boivent… Ca t’a plu ?
– Oui… Je ne l’avais jamais fait… Enfin avec une fille… Tu m’as dépucelée…
– Ben, toi aussi, je ne l’avais jamais fait non plus !…
– Mais tu m’avais dit…
– Pas à fond, il m’avait juste léchée avec sa langue. Eric était patient, mais trop con… J’ai refusé sa bite, me suis levée et suis partie…
– On va où ?
– Chez moi, on est seuls, nos parents sont à la montagne ce soir… C’est pour ça que je… Tu ne m’en veux pas ?
– J’ai trouvé ça trèx doux, très tendre, tes baisers, tes doigts aussi coquins que les miens…
– Moi aussi j’ai aimé, on pourra le refaire… On y retourne sinon ils vont se douter de quelque chose…
– Marie ?
– Oui ?
– J’ai perdu ma culotte… Une vague l’a emportée…
– Non ?
– Non, j’en avais pas, comme toi !…

On rit en sautant dans l’eau, s’aspergeant, on revient sur nos serviettes, on remet nos maillots, deux naïades luisantes et désirables…

On chante, on danse, on se frotte, on se change, on en a envie, on se regarde…

– JR, si on rentrait écouter de la musique ?
– A la maison ? Oui, bonne idée ma tendre soeur… Il fait frais ici. Qui vient ?
– Marie, Rolland, Karine tu en es… C’est tout ? 4 ? ‘On’ émet un petit cri, je lui fais comprendre que je reste…
– Bon, rentrez bien, vous êtes obéissants, vous rentrez un petit peu après minuit. On va écouter de la muz chez moi, salut !…

Nous retournons à pieds, la maison est proche, nichée dans la nature à l’entrée du village, les autres continuent…
Marie m’invite à prendre une douche, les garçons vont dehors se rincer au jet, en riant comme des bossus…

Je remets ma culotte de maillot, elle me fait signe que c’est inutile, elle me propose un peignoir, doux, mi-cuisses, très sexy…
Elle passe une robe d’intérieur, fine et transparente, pas très longue non plus…

La musique retentit, nous sortons peu après, ils nous sifflent, on rougit…
Ils nous encadrent, nous attirent contre eux pour un slow merveilleux, chacun le sien…

Boissons fraîches, main dans la main, sourire crispé… On y retourne… Baisers, caresses, lumières éteintes…
Je ne vois plus Marie… Ni Rolland…

JR me prends dans ses bras, détache le peignoir.
Comme il est torse nu, mes petits seins s’écrasent contre sa poitrine, mon ventre contre le sien…
Je le sens contre mon pubis, dur, pointé, au garde-a-vous… Son dard…

Elle m’a dit : « Il aime la fellation. » Oui, mais…

Il m’entraîne vers le large sofa… Je suis nue en quelques instants, lui aussi… Je comprends pourquoi il tapait à ma porte…

On fait tout, tout ce qu’il faut, tout ce qu’on sait faire, tout ce qu’on a vu faire…
Je n’y vois pas grand chose, je n’entends que mes soupirs…
Je suis en train de caresser cette verge qui me fascine, longue, dure… Il m’encourage… Son conseil me revient, je m’allonge tête-bêche, son membre glisse entre mes lèvres… Première fois, j’en ai souvent entendu parler, pas trop vite, la peau coulisse, tu peux le lècher, saliver…

Je sens sa langue, il m’a écartelée, je suis dessus… Elle est caresse, elle se fait plume, me fait mouiller, il doit me boire…

Je l’ai glissé tout entier dans ma bouche et entouré de mes lèvres, il coulisse doucement, comme dans un fourreau humide et chaud…
Il butte, je m’aide de mes mains, le gland sort, impressionnant…
Je sens mon sexe s’ouvrir de désir, il tourne un doigt sur mon clito, je fonds quand il vient flirter autour de mon puits d’amour… Que c’est bon… Mieux que Marie, plus profond, plus intime…
Je me mets à râler, feuler mon plaisir…

Je coulisse mes lèvres de plus en plus vite, il me calme, lentement, je comprends, je caresse les bourses, enserre ce pieux prêt à me prendre… Ses doigts m’affolent, mon clitoris devient énorme, dur… Mes seins me font mal… Je le supplie… Je le veux !…

Il vient entre mes cuisses, en position… Je me laisse guider, je suis trempée de sueur, de froid, de chaud, de peur…

Il me parle doucement, son gland tape à ma porte… Il caresse mes seins… Je tremble encore plus, mon ventre se serre, mon sexe s’ouvre…
Il avance, il est là… Avance encore, centimètre par centimètre, il fait le chemin du plaisir…

– Tu me veux ? Tu es vierge ? Protégée ?

Je suis pétrifiée, je baisse les yeux, lui fait oui de la tête… Il m’embrasse tendrement..
Son gland luisant écarte mes tendres chairs, je vais à sa rencontre, poussant moi aussi, n’y tenant plus…. ‘Oui ! Viens !….’

Il pousse encore, glisse, il est énorme, je me sens dilatée, exangue, c’est torride…
Je jouis, enfin, je crois…

Il est enfermé en moi… Mon dieu ! C’est pas fini !… Il me soulève, m’empale encore, puis encore et va-et-vient lentement, longuement, je griffe son dos, je gémis, je feule, je jouis, cette fois je le sais, encore et encore, je bouge mon bassin, comme lui, vers lui…

Oh, que c’est bon!… Il est au fond de mon fourreau, planté, au bord de l’explosion !

Il sort d’un coup, me présente ce dard gigantesque qui explose à mon visage, crachant un jet de liquide clair, en saccades chaudes, semence d’amour… On s’embrasse… Je l’aime !

2. Le chemin

Après cet épisode qui m’avait calmée jusqu’à mon bac en poche, je passais en revue les copains, les voisins, les copains de copines, les copains de cousins, il m’en a fallu plus d’un, blond, brun, grand, gros, puis noir et très gros (pas l’homme…) pour me ratt****r de près d’un an de sevrage…

Je pensais à ‘On’ qui s’en était allée en pension, prise sur le fait chez elle par ses parents, embrochée sur le canapé, par un boutonneux, jusqu’à la garde, soufflant comme une forge sur le métier…

Je sortais donc avec mes copines de lycée, j’avais eu dix-huit ans. Je travaillais pour l’été chez une cousine, dans son salon de coiffure mixte…

Plus âgée que moi, 25 ans environ, Cécilia s’était attirée une clientéle assidue, surtout chez les hommes…

Je compris vite pourquoi. La chaleur allant en grimpant en ce moi de juin, elle avait pris l’habitude de porter sa blouse sans rien dessous, et comme elle se penchait souvent pour fignoler tempes et bacchantes, poser ses instruments, se contorsionner au dessus du lavabo pendant le schampoing, brancher le sèche-cheveux à main…

Les clientes s’en amusaient dans leur coin en séchant, me regardant parfois, elles traquaient le regard vicieux des hommes, et mouillaient certainement, par jalousie quand le spectacle devenait torride lorsqu’elle s’activait sur une charmante tête blonde et que la blouse blousait en se relevant dans son dos…
Certains clients amenaient leurs enfants de plus en plus souvent, preuve d’une raison spéciale…

Le pourboire semblait être à la hauteur du spectacle… On en riait à la fermeture…

Cécilia était célibataire, maman (il était parti en apprenant son état de père), mais sa généreuse poitrine contre-balançait un corps svelte et bronzé. Brune aux formes très sensuelles au demeurant, elle attirait les regards même hors salon…

Nous décidions d’unir nos solitudes estivales pour aller danser et quérir l’aventure…

Elle me parlait sans détour de sa libido, très malmenée par son accouchement, son retour de couches qui s’éternisait et sa séparation, ne sachant vers qui se tourner pour assouvir ses désirs renaissants…
Si elle s’en chargeait pour le quotidien, elle avait peur de se laisser aller avec un homme du village. Mére célibataire, affamée de sexe comme elle le montrait dans son salon, ça ferait les gorges chaudes des grenouilles du village… Elle oubliait ses décolletés généreux et sa blouse coquine… Mais cela restait du domaine privé, et semblait consensuel.
Je me permis de l’imiter, sans trop de succès, je ne pouvais lutter dans la même catégorie… Mais j’eus quelques pourboires généreux, lorsque je supprimais le soutien-gorge…

Elle avait des parents en or, qui se mettaient à son service afin qu’elle sorte de ce cocon et de ses lotions… Son petit ayant été sevré, elle put programmer un premier essai, en ce samedi soir, fête de la musique…

A son contact, j’avais pris une certaine assurance. Les clients d’un côté, parfois des gestes déplacés qu’elle savait remettre à leur place avec tact et autorité. Elle avait déteint, et je pus aussi déjouer les tentatives courantes, les excès verbaux, et les contacts furtifs…

Remis à leur place, nous connaissions femmes, enfants, parents et autres maîtresses…
Le salon est un véritable confessionnal, de vérités, de comérages, d’inventions et de mensonges.
Chauffées, détendues, ces dames se laissaient aller aux confidences, sur elles, leurs amies, les voisins, un journal intime public, ouvert et très fourni.
De plus on avait la suite le mois d’après… Que de bonnes nouvelles que de savoir qu’une telle vient de se faire avorter sans que son mari ne s’en doute. On connaissait ainsi, le père, le médecin, la clinique, l’heure, le sexe, etc… On pouvait aussi en déduire qu’une blonde devenant rousse, prenait amant, et qu’une brune devenant blonde cherchait aventure…

Le samedi arriva très vite….

3. La fête

Un orchestre s’était installé sur la place, estrade montée par la mairie, sécurisée, autorisée…
Le bar-restaurant avait loué des tables et chaises pour augmenter sa capacité, nous avions décidé de nous offrir ce dîner.
Très en forme, drappées dans des tenues lègères, la chaleur dévastait les cultures, nous attirions les regards, les sourires et ce fut un joyeux défilé qui passait nous embrasser, car entre clients, familles, copains, nous nous retrouvions bien entourées rapidement…

Le repas terminé, nous passions côté bar, l’orchestre commença à booster les watts, musique moderne que les jeunes se firent un devoir de danser…
Nous étions souvent en piste pour nous trémousser, montrant la marchandise, comme je me suis surprise à lui dire…

Le vin, l’alcool, la soirée avançait, mais les danses se calmèrent, et si on nous invitait sans cesse au début, les slows langoureux, et danses de salon que nous pratiquions toutes les deux, et les danses contemporaines, kuduru, salsa, avec les traditionnelles lambada et autres délices, ne motivaient pas un public plutôt aviné et juvénile…

Nous étions cinq filles à notre table, cinq démons de minuit…

Ayant fait connaissance rapidement, nous échangions nos commentaires sur l’un ou l’autre, mais aucun de nos danseurs ne retint notre attention…

Déçues, nous décidions de changer de lieu. Une des filles nous apprit que la nouvelle discothèque installée vers l’autre village avait annoncé la gratuité pour les femmes ce soir, et un orchestre de folie, avec DJ…
L’ancienne avait fermé suite à diverses plaintes et ragots…

La soirée étant juste entamée, pourquoi hésiter ?
Finir la nuit dans un lieu de perdition où drogue et sexe allaient de pair, était émoustillant.
Elles furent toutes d’accord que les ploucs de ce village ne nous méritaient pas ! Et que nous allions mettre le feu à ce nouvel établissement…

En effet, étincellant dans la nuit, plein à craquer, cela nous motiva…
Vestiaire souriante, toilettes vaste et propres…
Nous arrivons à nous glisser vers une table, toutes les cinq, guidées par un serveur avec chacune un verre offert par la maison et des admirateurs anonymes parait-il…

Le plateau était divin, musique agréable, scandée, moderne, le DJ mettait l’ambiance, films et projections sur grands écrans et nous envahissions la piste, trop heureuses de nous libérer…
Cécilia était déchaînée, et se donnait en spectacle, dans un style très professionnel de chauffeuse de salle.
Le DJ la remarqua, et fit en sorte d’aller dans ses choix…
Les clients firent cercle, nous nous déhanchions en coeur, dévoilant largement nos anatomies et mettant en valeur nos formes sensuelles, je parle pour le groupe…
J’eus ma part de succès, en faisant un rock de folie avec l’un des danseurs. Acrobatique (j’avais suivi quelques cours), effréné, ils m’applaudirent en fin de morceau et mon chevalier m’invita à prendre une coupe de champagne avec ses copains…

Leur table était à quelques mètres de la notre, nous les réunirent et les filles furent ravies. Les jeunes gens avaient une vingtaine d’années, sportifs pour la plupart, handball à l’université de la ville voisine…
Les conversations allèrent bon train, les filles se détendirent et furent à point pour les slows qui arrivèrent…

Nous changions de partenaire souvent jusqu’à avoir fait le tour de la table… Je vis Cécilia discutter dans les bras d’un brun costaud, les yeux pétillants, tendrement enlacés…
Je croisais une autre de nos copines, appuyée contre un pilier, elle embrassait à pleine bouche un de nos handballeurs… La soirée était lancée…
A ma table s’assit un garçon avec lequel j’avais fait un petit tour de piste, Franck… Il me fit signe et me servit un verre, et il me guida sur la piste pour le dernier slow de la série…

– Dommage, on a pas eu le temps de faire connaissance…
– Oh, nous ne sommes pas obligés de danser pour ça…
– Ca te plairait de prendre l’air ?
– Pourquoi pas, l’air frais et naturel devrait nous réveiller…
Je le suis dans le corridor, pas besoin de mon sac, il récupère son veston, allume une cigarette, nous voici sur le parking.

Beaucoup de couples fuient la fumée et le bruit ou s’isolent en quête d’un coin tranquille.
Nous suivons le sentier, comme le font Cécilia et son copain…
– Bonsoir les amis, Marc, je te présente Karine.
– Salut belle Karine, Cécilia voici Franck, nous jouons au club.
– Vous alliez où ?
– Oh, faire connaissance, loin du bruit et de la fumée…
– Bon, nous aussi… Promenade romantique…
– Il existe un sentier en bord de mer, pas très loin, le sentier des amoureux, tout un programme car il est proche du lycée…

Ils sont beaux tous les deux nos cavaliers, Cécilia me fait un clin d’oeil…

– Karine, vous pouvez venir avec nous, on allait rejoindre le sentier…

En effet après quelques pas, nous voici sur un sentier côtier avec des bancs de place en place qui rejoint le port d’un côté et le village de l’autre…
Je sais qu’il y a une vue magnifique un peu plus loin…

– Nous voici arrivés, ces bancs feront l’affaire. Venez mesdemoiselles, vous assoir…

Nous nous retrouvons face à la mer, l’air est frais, agréable… Il me prend la main, puis s’assied en se tournant vers moi… Il me sourit en discutant de mon stage coiffure, ses bras sont accueillants, il est tendre, gentil…

Mes lèvres s’ouvrent sous les siennes.
Le baiser est long, il me serre contre lui… Le silence nous berce et nous inspire… Il me reprend dans ses bras, sa main vient effleurer ma poitrine, la caresser…

Les autres ne s’intéressent pas à nous, autant occupés…
Nos baisers deviennent langoureux, je sens le rouge monter à mon visage quand je croise le regard de Cécilia, mais elle ferme les yeux… Elle se laisse caresser, au moment où je sens sa main passer sous ma robe et remonter sur mes cuisses…

Son baiser est délicieux, mon ventre gronde, quelques papillons s’échappent…

J’écarte mes cuisses, sa main s’insinue…
La mienne court vers la bosse de son pantalon… Son autre main caresse mon sein, délicatement, réveille mes sens, les aiguise, je fonds…
Mes cuisses s’ouvrent, la main passe, caresse, glisse… Je coule… Son sexe que je serre dans ma main a jailli du pantalon

– J’ai envie de toi, tu serais d’accord ?
– Oui, mais où ?
– Je ne sais pas, je suis chez mes parents…
– Moi aussi…
– Et elle ?
– Attends…

Je me tourne vers eux, sa robe est retroussée jusqu’à la taille, ses seins balotent leur liberté, ils se caressent mutuellement en gémissant, les yeux dans les yeux… Elle s’assoit sur lui…

– Trop tard, ils sont, enfin, ils le font…

– Viens, on va dans le bois, il y a un pré…

Il m’entraîne, je le suis, il étend son veston, m’allonge sur le dos et vient m’embrasser en relavant mes cuisses… je me retrouve à moitié nue, les seins à l’air, sa bouche qui me mange, me suce, m’affole…

Il baisse son pantalon, et dans la pénombre du petit bois, sur ce sol sablonneux, il sort un sexe démesuré…
Ma main s’en saisit, puis lentement je le masturbe, et l’enfourne dans ma bouche… Il grogne de plaisir lorsque ma langue vient titiller son gland et mes lèvres humides s’enroulent autour de cette hampe de chair, et coulissent lentement en lui procurant un plaisir intense…

De sa main libre, il a descendu ma culotte et ses doigts jouent leur première partition, déclenchant mes profonds soupirs…
Je m’écartèle sur lui pour un 69 et lui présente mon intimité, déclenchant une rivière de feu avec sa langue…

Son sexe m’apparaît, dressé, fier, je baisse ma tête, ouvre mes lèvres… Je le prends dans mes doigts, glisse sur ses bourses…
Je suis devenue experte, le poussant à extérioriser ce qu’il ressent, autant que moi…

Sa langue me pénètre, me clitorise, me tournoie, tandis que je le pompe avec force ahanements…

Il m’arrête… Puis il continue à me manger la chatte, je jouis enfin, doucement, silencieusement…

Je fonds de désir… Je me redresse à regret, assise face à lui, ouverte…

Nos baisers sont torrides, on se dévore des yeux, on s’étreint dans un même élan de passion, je le pousse sur le dos… Je me mets à califourchon sur lui, écarte mes cuisses et sens le membre aux portes de ma grotte…

Je m’abaisse, et me prends lentement, il souffle, je gémis, je le sens, il est en moi, profond, je le serre, il m’enlace, prends mes seins, pince mes tétons, je sursaute, il continue, j’avance et recule doucement, me pénétrant en cadence…
Sa bite énorme envahit complètement mon vagin, un pur délice…

Je me penche en avant et me pourfends en cadence, pesant de tout mon poids pour mieux me pénétrer…
Son visage éclairé par la lune est rouge, il me caresse… Je jouis de lui…

Il me retourne et me prend en levrette, rudement, m’arrachant des râles profonds, il me baise, me baise, me baise… Je sens l’orgasme…

– Attention, pas de pilulle, sors !…

Il le fait de justesse et éjacule sur mes lèvres alors que je perds pieds en jouissant mon plaisir…

Je me touche, tout est normal, sec, enfin je me comprends…
Nous restons enlacés, juste rhabillés, ma robe encore ouverte sur mes petits seins, ses mains qui les berce, sa bouche qui les honore, mon sexe décongestionné, encore humide et ouvert…

– pst !…
– Oui ?
– Où êtes-vous ?
– Dans le sous-bois, venez…

Je me relève et referme ma robe…

– Vous êtes bien ici… On aurait du venir là…
– Asseyez-vous…

Cécilia vient contre moi…

– Alors ma chérie, tu as vu le loup ?
– Oui… Un loup gentil et tendre… Et toi ?
– Un festival… J’en avais envie et besoin… Il est charmant… et endurant… Mais bon, on n’était pas très bien ici… La nature oui, mais elle a des limites… On aurait pu aller chez moi… Ou au salon, dans la réserve, sur le canapé…
– A deux couples ?
– Bien, il y a la place, oui… On est cousines, on n’a rien à se cacher, non ?…
– Non, mais je n’ai jamais fait l’amour à plusieurs…
– Il n’est pas question de nous deux, à moins que…
– Ca vous dis les hommes, la prochaine fois, dans mon salon de coiffure ?
– Oh, oui….Vous êtes des dévoreuses… Cécilia c’est le feu, la passionnata… Karine tu es une reine…
– Chut !… Il est quelle heure ?
– Deux heures trente…
– On pourrait y aller et boire ce qu’il y a… Bière je crois, soda, café… D’accord ?
– Bien oui… On te suivrait au bout du monde Cécilia, habillée comme ça…
– Pour me sauter…
– Encore ! Je croyais que ce n’était que pour boire, mais si tu y tiens !… Bof…

On est pliés de rire, je monte avec elle.
– Oh, j’ai pris mon pied ma vieille, ça fait du bien une bite, ça déstresse… Et toi, il est bon ?
– Oui, tendre, gentil… Il m’a laissée le chevaucher au début, un plaisir, puis il m’a prise, démontée, j’ai joui tout le temps… La chatte en feu…
– Et bien, on dirait deux salopes au salon…
– Tu crois qu’on va plus loin ? On se les échange ?
– Ah, moi je suis ouverte, j’ai tout connu tu sais, bien pire que 2 mecs…

Ils nous suivent jusqu’au parking avant le salon. Elle veut être discrète…
La porte arrière nous permet de ne pas éclairer le salon, nous entrons directement dans une pièce, pleine de produits, un canapé large et accueillant nous fait signe…
– Tu veux te…
– Oui, viens ! On va aux WC, tout est dans le frigo, les verres sur l’égoutoir…

Après une toilette sommaire, nous partageons un verre de coca avec une larme de whisky. Nous retrouvons nos compagnons, éteignons la lumière trop crue, un réveil diffuse un rai de lumière pour nous repérer…
Je suis nue en quelques minutes, il me prend contre lui, caresse mes seins, puis se penche et vient me butiner, tout en jouant avec mes tétons pointant leur désir natif…

Cécilia est déjà assise sur Marc, cuisses ouvertes, ils s’embrassent fougueusement, tandis qu’elle soupire en se balançant en cadence…

Je sens mon sexe se liquéfier en les voyant, sa langue titille mon clito, entre, revient, lèche, puis aspire mes lèvres doucement… Je fonds de désir…
Il me cale sur le canapé, ouvre mes cuisses, son dard plonge en moi, et m’entraîne, le prends mes chevilles et m’offre à fond… Il me pilonne, je jouis, il continue…
Je le calme avant… Il me serre dans ses bras : ‘Tu me plais, j’ai envie de te faire jouir encore…’

A côté, Cécilia est montée en régime, gémissante, jouissante, ils se déchaînent, elle s’arc-boute, il la prend par derrière, elle adore cette position, car son amant peut empoigner ses seins, si sensibles qu’elle peut avoir des orgasmes mammaires en quelques secondes…
Là, il la possède, plantant son dard en cadence, fesses écartées, elle jouit de plus en plus bruyemment, ce qui ravive notre libido…

Je le prends dans ma bouche et lui procure une fellation de roi, jusqu’à ce qu’il se libère en grognant, dans ma bouche… J’avale son sperme doux et chaud…
Cécilia atteint des sommets, il la prend jusqu’au bout, martyrisant le canapé, ils retombent enlacée l’une contre l’autre, avec un baiser de feu…
Elle passe un mouchoir en papier entre ses cuisses, s’essuyant le trop plein ouvertement, sans pudeur… C’est ma cousine !…

Je sirote mon verre, assise en travers sur lui, les pieds contre Cécilia qui nous fait face… Franck contemple les seins magnifiques tout en caressant les miens… Je sens un pincement dans mon ventre… Mais c’est du sexe, simplement… Si il en a envie et elle aussi…
Cécilia surprend son regard malgré la pénombre… Elle se redresse, les prends à pleines mains…
– Tu peux les toucher, tu sais, si Karine veut bien… N’est-ce pas Marc ?
– Pas de soucis, nous sommes entre amis…

Il tend une main… Ses doigts glissent sur la peau lisse, touchent, tatent puis s’enhardissent vers les pointes qui se dressent à son contact…
Elle ferme les yeux, se tourne vers Marc, lui tend ses lèvres.
Franck s’est saisi d’un sein et le masse avec tendresse, passe à l’autre, tout aussi magnifiquement galbé et généreux…
Les tétons grossissent, pointent… Les aréoles ont doublé… Elle se laisse aller en gémissant contre Marc qui passe une main sur son ventre, atteignant un point de non retour. Elle soupire, en premant la main dans la sienne, la guidant… Son plaisir est irréel, elle jouit, soupire, râle, Franck continue, empoignant maintenant les deux globes majestueux, se penchant pour les goûter… Son orgasme est soudain, profond, elle tremble, avance son bassin, elle écarte ses cuisses, la main de Marc s’y glisse… Je n’en peux plus, les deux garçons sont autour d’elle caressant ensemble ses points sensibles, la portant au supplice.

Je libère Franck, écarte aussi mes cuisses, ma main dans mon intimité pour savourer ces instants magiques de partage…

Marc me sourit, la main plongée dans le sexe de Cécilia, je me donne ce plaisir attendu, bassin ondulant, chatte ouverte, mes doigts tournent mon clito, s’approchent de mon sexe, pénètrent juste, repartent, et ainsi de suite, montant en désir, gravissant les marches…

Le pubis de Cécilia est taillé au rasoir, fin losange qui pointe vers son intimité que je découvre. La main de Marc, prend la mienne, lui laisse la place… Mais il me veut, et sa main se réfugie entre mes cuisses… Je me glisse vers eux… Il me caresse, me masturbe…
Cécilia crie un orgasme, Franck n’en peut plus et se glisse entre ses cuisses, le sexe bandé, droit… Il la prend sans hésiter, elle gémit, elle jouit, il la posséde… Je jouis aussi et la voyant écartelée, offerte à son nouvel amant, le mien…

Que de plaisir échangé… Les soupirs sont légions, nos feulements emplissent la pièce, nous atteignons ensemble des instants merveilleux, Marc vient de leur laisser la place et me lèche, accroupi entre mes jambes, puis relevant mes cuisses, il me pénètre à son tour, de tout son être il me posséde, me baise, me reprend, m’arrachant de nouvelles vocalises, je n’en peux plus, j’ai envie de lui, je le veux…
– Oui ! Viens ! Prends-moi aussi, baise-moi, je suis folle, je jouis…

Cécilia est assise sur l’accoudoir, écartelée, Franck lui réserve le même sort, puis il la tourne, arc-boutée sur le canapé, fesses en l’air, cuisses écartée, il masse son anus, elle gémit, grogne, me regarde…
– Viens ! Oui ! Je suis ta cochone, baise moi aussi par là, prends moi comme une pute, je veux jouir du cul…
Je suis interdite lorsque vois le sexe pénétrer pas à pas, sans douleur, doucement… Elle le conduit, le guide, puis se libère…
– Oui, c’est bon, vas-y, viens en moi…

Nous la regardons se balancer, il arrive à prendre ses seins, elle part en vocalises beuglant son orgasme anal, en voulant encore et encore, jusqu’à plus soif… Alors il s’assied, la reprend en l’allongeant sur le dos, face à nous, son sexe béant ouvert, ses cuisses relevées, une position très érotique et suggestive que Marc comprend et il se glisse en elle, la possédant en même temps… Ils la prennent ensemble, la portant à un nouveau stade du plaisir, dont elle semble raffoler….

– Oh, oui… Prenez-moi tous les deux, baisez-moi, faites-moi jouir encore et encore, pilonnez-moi de vos bites énormes, je suis votre chienne, votre salope de chienne, de putain des rues… Allez-y, sodomise-moi, j’adore te sentir dans mon fion, et toi, vas-y explose-moi la chatte, avec lui… Encore… Karine… C’est magique !… Oh, je viens…. Allez-y, déversez votre foutre, ensemble, là… Oh!…. Oui…….

Elle retombe, éreintée, en sueur…
Ils me regardent… Franck me masse, Marc me lèche, mon petit trou est tout neuf, j’ai peur…
– Je suis neuve…
– Attends, on va te faire du bien… Viens, décontracte-toi…

Je les laisse me manipuler, me caler, me caresser, me sucer, me saliver… Enfin, il s’avance, m’allonge sue le sofa, s’allonge derrière moi… Il écarte mes cuisses en les croisant, découvrant mon anus, et il pointe son dard magique…
je temble, nouée dans mon ventre… Petit à petit je sens un doigt, le sexe, il m’ouvre, se glisse, ça glisse, il avance… Il y est…

Il entame une danse torride, me prenant lentement, aucune douleur, que ce plaisir divin qui pointe dans mes entrailles, cette sensation de plénitude lorsqu’il pousse à fond, accélère, jusqu’à ce que je crie de plaisir… Délivrée…
Alors il me prend sur lui, écarte mes cuisses, ma chatte ouverte, des lèvres douces, une langue délicieuse… Puis un dard, long, chaud, qui me possède aussi, qui m’emporte, plus loin que tout ce que j’ai connu…
Ils me jouent la même partition et mon chant s’élève, un chant de femme exacerbée, un chant de plaisir, de sexe, de partage…

Deux femmes qui se donnent à deux hommes, pour jouir d’eux, pour vivre des délices nouveaux, autrefois perversion, et les lèvres de ma cousine viennent sur les miennes, scellant ces instants dans nos mémoires, comme un pacte d’amour interdit, une union hors principes… Je la prends dans mes bras et on échange un baiser de feu, des caresses, des promesses, du rêve…

FIN

Marika842010

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

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