J’étais en école d’ingénieur et ces études intenses nécessitaient beaucoup d’implication depuis longtemps. J’avais un peu négligé ma vie personnelle. Ma vie affective et sexuelle se condensait à faire quelques rencontres après des soirées étudiantes d’où on ramenait des jeunes filles elles aussi en manque. Je partageais un logement avec un ami et il nous arrivait parfois de finir au lit ensemble avec la même fille quand elle l’acceptait. J’étais surpris de constater que les jeunes femmes libres avaient du goût pour une perversité les conduisant à jouir de tous leurs orifices. La complicité avec mon ami allait jusqu’à choisir ensemble les filles qu’on allait essayer de séduire. Nous avions le même goût pour des jeunes femmes pas trop grandes, minces, à poitrine discrète et si possible bien salopes. Pour le vérifier il m’arrivait de leur masser le pubis en dansant en public. Celles qui s’y complaisaient avaient une inhibition affaiblie et c’était bon signe.
Lors d’une soirée de fin d’année je remarquai une jeune femme séduisante bien dans mes critères. Nous avions bu, parlé, dansé, flirté sur la piste et elle ne s’était pas dérobée quand je lui mettais ma main entre les cuisses en dansant des slows. Mon copain l’avait draguée aussi et elle avait accepté un dernier verre chez nous.
Elle était debout entre nous deux et nous étions occupés à l’embrasser à tour de rôle en la déshabillant lentement. Quand il ne lui resta plus qu’un string j’étais derrière elle à lui masser les fesses pendant que mon ami suçait ses petits seins. Elle nous dit « je dois vous prévenir, j’ai un petit plus, je ne suis pas une vraie fille ». Nous l’avons dévisagée très surpris puis nous lui avons enlevé son string. Elle était épilée et avait entre les cuisses un petit pénis et deux tous petits testicules. Pour nous c’était une première nous n’avions pas encore fait cette expérience. La surprise nous coupa l’envie et nous étions hésitants quant à la fin de la soirée. J’étais aussi vexé de n’avoir rien compris malgré mes attouchements précis sur la piste de danse.
Elle nous regarda en souriant et nous dit « laissez-moi faire, vous allez vraiment aimer ça ». Elle me donna sa bouche et m’embrassa en jouant avec sa langue. Elle écarta ses fesses à deux mains en disant à mon pote suce moi l’anus. Ensuite elle se retourna vers lui pour qu’on échange nos rôles. Son anus était épilé, rose, très souple. En le suçant je pus y introduire la langue ce qui la fit frémir. Elle nous avait convaincue et nous nous retrouvâmes à trois sur le lit l’un se faisant sucer pendant que l’autre l’enculait en la tenant pas ses hanches étroites. Elle était endurante et nous avons plusieurs fois échangés les rôles.
Son petit pénis s’était enfin mis en érection et il m’attira. Je le pris en main pour le branler doucement. C’était chaud et doux. Comme je trouvais ce contact agréable je l’ai pris en bouche et j’ai adoré le sucer longuement. C’était la première fois que je faisais une fellation. Quand il fût bien dur elle me dit à l’oreille doucement « si tu veux je peux t’enculer » et comme je ne répondais pas elle ajouta « je vais commencer avec mes doigts ». Elle avait beaucoup d’expérience et fut une bonne initiatrice. Elle finit par me faire jouir en me sodomisant avec son petit pénis tout en me branlant avec ses petites mains. J’avais découvert une autre partie de moi-même et mon copain qui avait refusé d’aller aussi loin en fût étonné. Le lendemain matin nous avons pris un petit déjeuner à trois sur la terrasse au soleil. Elle nous raconta qu’elle était esthéticienne et qu’elle venait aux soirées étudiantes pour y faire de belles rencontres.
Le temps a passé mais cette expérience a marqué mon évolution sexuelle. Je suis toujours célibataire, passionné par mon travail et je passe toutes mes vacances en Thaïlande. Quant à la petite esthéticienne je sais qu’elle est maintenant mariée avec un joueur de l’équipe locale de rugby et je la croise de temps en temps en ville. On se fait deux bises et on parle du temps qu’il fait. Elle est toujours aussi féminine et séduisante.
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