Récit d’un ami photographe.
Je rentre chez moi vers 04 h 00 du matin épuisé et des images pleins la tête. Je vois encore Julia me demandant d’essayer ma salle spéciale dans le studio et je ne crois pas encore que se soit possible.
Avant d’aller me coucher, je vais fais un tour dans mon studio et mon donjon. Je l’imagine ici entrain de faire tout ce que je souhaite et de la prendre en photo. Lui malmener les seins en entendant ces suppliques.
Je lui défonce la rondelle alors quelle est sans défense attachée solidement.
Bon il est temps d’aller au lit. Je bande comme un âne à l’idée de cette jolie brune. En passantdevant la chambre de Karine, j’ai une envie irrésistible de rentrer dans sa chambre et de la sauter.
Mais la décence me retient et avec une bonne douche pour me calmer, je vais me coucher.
A mon réveil, Karine est déjà parti au travail. Je déjeune seul alors que mon téléphone se met à se dandiner sur la table. Je viens de recevoir le message d’une éventuelle cliente.
« Bonjour Monsieur. Une copine m’a parlé de vos talents et je me permet de vous contacter pour u connaître vos tarifs pour un shooting. Je m’appelle Nassima, j’ai 44 ans. Je mesure 1m75 pour 66 kg, rousse aux yeux verts. Les gens disent de moi que je suis une très belle femme. J’ai une poitrine généreuse et ferme. Je vous joins une photo.»
Wahoo quelle plastique, me dis-je. Aussitôt, très pro, je lui répond :
« Bonjour Madame. Je vous remercie de l’intéret que vous portez à mon travail. Je serais curieu de savoir qui vous a recommandé mes services. Je suis bien entendu à votre disposition pour discuter de quel style de photo vous souhaitez faire et convenir avec vous d’un rendez-vous. Pour mes tarifs, je commence à 300€ et vous disposez de toute les photos du shooting une foi traités. »
La réponse arrive très rapidement.
« Je peux venir ce matin si vous êtes dispo. Vos tarifs me conviennent. Pour le style, j’aimerai des trucs très hard. C’est pour offrir à mon homme. Nous en discuterons chez vous. »
Je saute sur une telle aubaine et lui répond laconiquement :
« Chez moi dans une heure. Je vais bien m’occuper de vous ! »
« OK Monsieur dans une heure. »
Une heure plus tard, ponctuelle, une belle rousse pulpeuse se présente à la porte. Je la fais entrer, lui propose un verre en faisant défiler sur la télé les différentes photos plus ou moins érotiques que je fais.
Comme pour un casting érotcoporno, je lui demande des détails sur ce qu’elle aime et est prête à faire.Sans pudeur, elle me répond :
« J’aime le sucer. Faire jouir mon homme dans ma bouche, mais je n’avale pas son sperme, je le trouve trop amère. Je pratique également avec lui la sodomie sans problème. Mon plus grand fantasme que je ne lui l’ai jamais vraiment avoué est de faire l’amour avec une femme. Je me masturbe très souvent en pensant à cela. »
« Bien alors je vais vous demander de vous mettre nue que je juge sur pied la possibilité photo que j’ai avec vous. »
Sans hésitation, la belle se met nue devant moi et tourne sur elle même pour que j’apprécie à sa juste valeur ses charmes.
Ni vulgaire, ni provocante, elle était magnifique en me demandant :
« Ca vous convient Monsieur ? »
Après le deuxième verre, elle est un peu euphorique et je lui demande :
« Comme j’ai du temps libre ce matin vouslez vous faire un essai dans mon studio ? »
Elle s’est bien enttendu aperçu que je la ragarde avec insistance, ses seins, son cul, sa chatte. Je vois bien qu’elle aime ça et que ça produit un effet sur elle.
« Oui bien sûr avec plaisir ! »
En descendant au studio, elle m’avoue :
« Je suis toute chose de me promener nue devant vous. Votre regard sur mon corps est bien curieux mais, je dois avouer que je suis assez flatté de vous voir me mater ainsi. »
« Mais ce n’est qu’un regard pro et je dois avouer que vous êtes sculpturale Madame. »
La bosse dans mon pantalon en dit long sur mes envie, surtout qu’elle ne semble pas farouche la donzelle. Dans le studio, après quelques réglages lumières, et maquillage pour elle, nous commençons le shooting, plutôt nu artistique au début.
Au fur et à mesure des poses, celles-ci évoluent de façon plus suggestives et sensuelles.
Nous faisons une pose et regardons ensemble les rushes. Elle est enthousiasmez et me saute au cou. Instinctivement, je l’enlace et lui prend les fesses. Je sens ses seins fermes contre moi. Elle ne recul pas bien au contraire, elle se love un peu plus à moi. Je m’enhardi et embrasse goulûment ses seins.
Elle gémi légèrement, alors que je met à les sucer, les lécher, les mordiller . Ses cuisses s’écartent d’elles même au moment ou ma main se glisse entre elle pour se diriger vers la fourchette du bonheur. Quand j’atteins son coquillage, elle est déjà toute trempée. De deux doigts experts j’écarte ses lèvre douces et humide. J’enfonce doucement un doigt dans son intimité. Là, ce n’est plus une chatte, c’est une fontaine et je ne peut retenir une exclamation plutôt vulgaire qui aussitôt sorti, j’espère qu’elle n’en sera pas choquée :
« Putain comme tu mouille ma salope ! »
Là au lieux de se vexer, elle s’agenouille entre mes cuisses sort mon chibre et se met à me sucer.
Je suis au 7è ciel et je sent que je ne vais pas résister plus de deux minutes à ce traitement de choc. J’explose dans la bouche de Nassima. Un orgasme d’une d’une puissance inouïe. Sachant qu’elle n’aime pas avaler, je veux voir jusqu’où peut aller sa docilité, avec une idée derrire la tête de l’amener dans mon donjon.
« Avale salope ! »
Elle me regarde un peu effrayée du ton que j’ai pris. J’ai peur qu’elle prenne ses jambes à son cou, mais, grimaçante, je la vois avaler mon sperme.
Il me faut quelques minutes pour reprendre mon souffle. Je suis étonnée qu’un shooting dé**** aussi facilement avec une cliente inconnue. J’espére qu’elle n’exigera pas de réduction. Le rouge aux joues elle me dit timidement :
« Moi qui pensait que je n’arriverai jamais à être une vraie salope en dehors de mes fantasmes. J’ai avalé sur vos ordres votre sperme. »
Ne voulant pas faire « retomber la sauce », je lui dis :
« Veux-tu faire des photos porno voir bdsm ? »
En baissant les yeux, un peu honteuse, ou faussement honteuse, elle me répond :
« Oui Monsieur. Je pense que mon homme adorera ça. Mon corps est à vous. »
Je laméne aussitôt au donjon. Quand elle découvre l’endroit, elle reste un instant pétrifiée. Je la rassure en lui disant :
« Ne t’inquiètes pas et laisse toi faire. Ce n’est qu’un jeux et tu peux me dire d’arrêter quand tu veux. »
Un peu rassurée, elle se décide à entrer. Pour qu’elle ne réfléchisse pas trop à la suite, d’emblée je lui bande les yeux.
Je prend quelques photos puis, je l’attache. Elle se laisse docilement faire.
Je mitraille.
Je décide d’aller un peu plus loin voyant la réceptivité de cette cliente.
Je décide de lui faire essayer plusieurs gode et autres accessoires BDSM. Elle semble adorer cette situation et tant qu’elle ne m’arrête pas, j’en profite et en abuse.
« Tu vas sucer ce gode maintenant, comme t’as pompé ma bite tout à l’heure ! »
Docilement et avec une sensualité incroyable pour une débutante elle suce goulûment l’objet. Je prend des photos sous tous les angles et lui demande, intentionnellement vulgaire pour qu’elle soit dans l’ambiance :
« Enfile-toi avec salope ! »
Sans que je lui demande, elle se l’enfile dans le cul. Je sens qu’avec cette fille, je vais faire un carton sur le net si elle me le permet.
« Comme une bonne chienne, enfile toi ce gode maintenant ! »
Elle fait tout ce que je lui demande sans sourciller et même en y prenant du plaisir. Je la rattache et lui fais subir une sexe machine. Le gode mécanique rentre comme dans du beure dans sa chatte dilaté et trempée de mouille. J’ai de plus en plus de mal à prendre des photos tant ces moment sont intense. Elle n’arrête pas de gémir et d’en demander plus.
J’ai enfilé un masque pour qu’on ne me reconnaisse pas et commence à lui chauffer les fesses.
Je décide maintenant de l’attacher et de la fouetté plus sévèrement.
Elle se met à crier et à pleurer mais ne me demande pas d’arrêter. Je redouble les coups sur les parties les plus sensible et j’en éprouve une jouissance inconnue jusqu’à présent.
Sur les dernier coups bien appuyés, elle me supplie dans un hurlement déchirant :
« Stoooooop arrêtez c’est trop dur !!! »
Mes yeux ne quittent pas un instant ce corps somptueux et meurtri. Je prends encore quelques photos et la délivre de ses souffrances . Elle se jette dans mes bras en pleure et en me disant :
« Merci Monsieur. C’était… Au delà de mes fantasmes les plus fou. »
Je suis comme hypnotisée devant cette cliente qui se confie et s’effondre de tant d’émotions, de douleurs et d’orgasmes. Je bande comme jamais et naturellement, elle se remet à me sucer.
C’est vraiment bon et très très excitant de sentir cette femme aussi soumise. Pour voir jusqu’où je peux pousser le bouchon, je lui dis, tout en me faisant sucer :
« Si vous êtes si heureuse de votre shooting et vu le nombre de photo votre forfait s’élèvera à 500€. »
Alors qu’elle retire ma queue de sa bouche pour me répondre, dans un râle, un jet puissant et chaud frappe son palais et ma semence inonde sa bouche.
La bouche engluée de sperme, elle me répond :
« Vu la qualité et du shooting et votre professionnalisme, c’est pas chère payé Monsieur. »
« Je te remercie. Va prendre une douche te nous allons régler tout ça dans le salon. »
Elle me rejoint peu de temps après à peine vêtue et en se rhabillant.
« Vous êtes vraiment extraordinaire. Martine ne m’avait menti sur vos talent. »
Donc comme ça c’est Martine qui m’envoyait ses copine pour se faire sauter et dans l’absolu se faire photographier. Avec aplomb, je lui demande :
« Je suis content que vous ayez pris du plaisir avec cette scéance. Mais pourrais-je diffuser ces photos sur le net ? »
« Oui bien sûr. Je demanderais à mon homme avant et je vous donnerez mon aval ! »
Encore demie nue, elle prend son sac et me met 500€ sur la table.
Elle m’embrasse en me quittant et en me disant :
« On reste en contact et j’attends vos photos. Encore merci ! »
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