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Rencontre (part 2) (pour Lola)

Rencontre (part 2) (pour Lola)



J’ai glissé mon pouce dans sa chatte à la recherche de son point G pendant que mon index pinçait son bouton… Il ne m’a pas fallu longtemps pour trouver dans son vagin la petite boursouflure de chair et sa respiration haletante m’a prouvé que j’étais bien là où je voulais être. J’ai commencé par pincer avec mon pouce cette zone magique sur un rythme régulier, pendant que mon index donnait le même rythme au clitoris. En même temps ma langue rentrait de plus en plus facilement et de plus en plus loin dans son anus. De ma main libre j’ai sorti ma queue et je me suis mis à me caresser lentement. J’avais une envie folle de la prendre tout de suite, mais en même temps je voulais réserver ça au moment où nous serions dans le lit. Je voulais être face à elle et la regarder dans les yeux quand mon sexe pénètrerait son ventre… Et puis je fantasmais depuis si longtemps sur sa « fontaine », je voulais qu’elle me douche avec l’eau de son ventre, je voulais qu’elle ruisselle sur moi et que tout son plaisir coule sur mon visage. Je voulais la voir jouir et éjaculer sur moi.

Son con se détendait de plus en plus, j’ai eu l’impression d’une porte qui s’ouvrait et petit à petit j’ai pu rentrer toute ma main dans sa chatte. Elle s’est mise à gronder et à haleter de plus en plus fort, le bout de mes doigts sentait nettement le col de l’utérus et je les faisais tourner autour pendant que mon poing s’agitait dans son ventre. Tout d’un coup elle s’est tendue, ses fesses se sont cambrées écrasant mon visage dans son cul et elle est partie avec un long jet chaud qui m’a trempé… J’ai adoré ça ! Putain que j’ai aimé la recevoir sur moi et être humide de sa jouissance, je n’ai pas pu retenir mon plaisir et j’ai éjaculé dans ma main. Bordel comme j’avais envie de la pénétrer !

J’ai laissé se reposer et se calmer dans la même position, les reins cambrés, la tête appuyée sur la commode. J’aurais beaucoup aimé que quelqu’un vienne dans le couloir et me voie sous elle, la tête entre ses cuisses et le visage trempé de son eau. J’avais envie de la prendre mais en même temps je voulais continuer ce jeu risqué où nous pouvions nous faire surprendre…

De mon sac j’ai sorti un loup de soie noire aux yeux obstrués et je l’ai enfilé sur son visage. Je lui ai dit « maintenant tu ne bouges pas et tu restes comme ça jusqu’à ce que je vienne te chercher » et je suis allé dans la chambre. Elle n’a pas bougé… Ca m’a plu ! En entrant dans la chambre, j’ai vu au fond du couloir, à l’angle d’un mur une caméra de surveillance et je me suis mis à espérer que la petite réceptionniste qui s’ennuyait au desk n’avait pas perdu une miette de ce que nous venions de faire.

Une fois dans la chambre, j’ai lavé ma queue encore gluante de foutre et j’ai enfilé un cockring autour de mes couilles et de ma verge. La pression m’a immédiatement fait rebander. Et puis j’ai pris un autre objet dans mon sac et j’ai ouvert tout doucement la porte de la chambre. Dès que j’ai mis un pied dehors j’ai nettement entendu le petit clac d’une porte qu’on refermait précipitamment. Il y avait donc bien quelqu’un qui regardait . Ca m’a excité de penser à ce mec (c’était peut être une femme, mais j’imaginais plus facilement un homme) qui regardait son ventre nu avec désir… Sans doute se caressait-il derrière sa porte, et ça ne me déplaisait pas.

Je suis retourné dans le couloir à pas de loup en espérant qu’elle ne m’entendrait pas. L’épaisse moquette m’aidait à être silencieux. J’avais à la main l’objet que je lui destinais…

Je suis arrivé tout doucement dans son dos et je l’ai dépassée sans me faire remarquer. Je voulais arriver de l’autre côté pour qu’elle ne soit pas certaine que c’était bien moi… Je suis revenu sur mes pas plus bruyamment et je lui ai tourné autour sans rien dire, et sans la toucher, comme quelqu’un qui hésite. Je voulais qu’elle se sente totalement nue et offerte à un peut-être étranger, je savais instinctivement que cette situation l’effraierait et l’exciterait en même temps et j’espérais qu’au fond d’elle elle me ferait assez confiance pour savoir qu’avec moi rien qu’elle n’eût désiré ne pouvait lui arriver. De toute façon notre relation devrait marcher comme ça, ne pourrait fonctionner que comme ça… Je suis un homme et je veux que ma compagne m’en accorde les prérogatives comme les devoirs. Sexuellement, mais pas seulement sexuellement en fait, je dois apporter à la fois le plaisir et la sécurité. Si une femme me suit elle doit être certaine que je ne l’emmènerais jamais où elle serait en danger, en échange j’attends d’elle une confiance aveugle. Alors là nous pourrons aller très loin tous les deux explorer les frontières de nos fantasmes et de nos interdits si délicieusement transgressibles. J’avais dit « ne bouge pas » alors elle ne devait pas bouger.

Comme quelqu’un qui hésite j’ai posé maladroitement une main sur ses fesses. J’ai bien vu au mouvement de son corps qu’elle était inquiète, mais la peur n’est-elle pas parfois une façon d’épicer le plaisir ? Elle était certainement persuadée à 99% que c’était moi derrière elle, mais les 1 % de doute allaient forcément changer sa perception des choses…

Dans ma main j’avais une badine un peu semblable aux sticks que portent les officiers anglais. Un long bâton de bambou au bout plombé qui cingle de façon extrêmement douloureuse. Bien sûr je ne désirais pas lui faire mal, en tout cas certainement pas la faire souffrir, mais je comptais sur cet instrument pour être un objet suffisamment inquiétant pour déclencher encore chez elle des réflexes de crainte, mais aussi si elle l’acceptait la démonstration de sa confiance en moi. Avec ses yeux bandés elle ne devait pas pouvoir comprendre la nature de l’objet dont j’allais me servir, ni même être certaine que c’était moi qui le tenais. Et de cette peur devait naître le plaisir que je comptais bien lui offrir avant de l’emmener par la main dans notre chambre où je pourrais enfin lui faire l’amour avec toute la douceur et la tendresse qu’elle m’inspirait aussi.

J’ai commencé par flatter ses fesses avec la badine. J’ai suivi le galbe fabuleux de ce cul que j’avais tant envie de baiser, puis la badine est descendue sur ses cuisses jusqu’aux chevilles et est lentement remontée entre ses jambes jusqu’à son sexe. Mais au moment où elle allait caresser sa chatte, je l’ai redescendue un peu sur ses cuisses, jouant avec son désir, m’amusant à lui faire croire que ses parties les plus sensibles allaient enfin être frôlées et arrêtant toujours mon geste au dernier moment. Quand j’ai senti au bord du supplice j’ai retiré la badine et lui ai donné un coup sec mais peu violent sur les fesses. Elle ne s’y attendait pas… Elle a poussé un petit cri bref beaucoup plus motivé par la surprise que par la douleur. Je voulais vraiment qu’elle mêle l’excitation à la crainte. Alors je suis resté sans rien faire pendant quelques dizaines de secondes prenant le temps d’admirer sa beauté, sa fragilité, sa soumission et j’ai eu du mal à m’interdire de la prendre dans mes bras en la couvrant de baisers. Mais le jeu était commencé alors je devais aller jusqu’au bout…

Au bout de peut être une minute sans rien faire j’ai à nouveau effleuré sa croupe avec la badine comme si j’allais à nouveau la caresser, mais je lui ai encore donné un coup sur les fesses qui l’a à nouveau fait geindre, puis j’ai immédiatement frôlé son sexe avec le bâton. Son bout plombé allait de sa chatte à son anus et mes caresses se faisaient de plus en plus intrusives. Je passais le long stick sur sa fente prenant soin de caresser à la fois son clitoris et l’intérieur de ses lèvres avant de pénétrer tantôt son cul, tantôt son con avec le bout plombé.

Quand je l’ai sentie à nouveau proche du plaisir, j’ai attrapé par les cheveux et je l’ai agenouillée, puis après avoir enfoncé mes doigts de chaque côté de ses joues pour l’obliger à ouvrir la bouche j’y ai enfoncé ma queue. Je ne lui demandais pas de me sucer non, je voulais baiser sa bouche et c’est ce que j’ai fait à grands coups violents en la tenant pas les cheveux. Avant de jouir, j’ai sorti ma queue de sa bouche et l’ai promenée sur son si beau visage, je l’ai obligée à aspirer mes couilles pendant que mon sexe raide battait contre sa joue.

Je ne voulais pas jouir tout de suite, et maintenant je voulais faire l’amour avec la femme que j’aimais. Alors je l’ai doucement redressée , ai posé un baiser au coin de ses lèvres, et sans lui ôter le loup, je l’ai prise par la main pour l’emmener dans la chambre…

Nous sommes entrés dans la chambre. Elle avait toujours sa jupe relevée et mon sexe sortait de mon jean. Je l’ai conduite vers le lit, mais je l’ai laissée debout. Je me suis déshabillé entièrement puis je l’ai tournée dos au lit afin qu’elle ne me voie pas derrière elle. Ensuite j’ai détaché ses mains, ôté son loup et je lui ai dit « attends que je te le dise pour te retourner ». Je me suis allongé sur le lit, nu, le sexe dressé, les jambes écartées, les bras en croix. J’ai mis le loup sur mes yeux, et je lui ai dit « maintenant tu peux te tourner et faire de moi ce que tu veux ».

Je l’ai entendue qui se déshabillait, elle s’est blottie contre moi, a refermé mes bras sur elle, puis elle a ôté mon loup et avant de m’embrasser elle a soufflé à mon oreille « Plus tard… maintenant, fais moi l’amour ». Ce simple murmure m’a tellement ému. Mes mains tremblaient quand elles se sont posées sur elle et je crois que j’avais les larmes aux yeux, j’ai eu une énorme bouffée d’amour pour cette femme qui se donnait si entièrement et si sincèrement. On ne pouvait que l’aimer, elle !

Alors nos bouches se sont rencontrées tout doucement, presque timidement comme deux amants qui se découvrent et se goûtent pour la première fois. Sa langue était douce et souple, nos lèvres se goûtaient, nos langues se cherchaient, se mêlaient, se caressaient, explorant sans cesse nos bouches offertes. Ce baiser a duré longtemps, longtemps… Mes mains ne couraient même pas sur sa peau nue tant j’étais dans cette étreinte, tant je jouissais de cette bouche chaude et douce qui m’accueillait.

Naturellement nos ventres se sont serrés et sans même que j’ai posé mes mains sur son corps, sans que mes lèvres aient léché sa peau nue, sans que mes doigts aient pénétré son sexe, je me suis retrouvé dans sa chaleur à aller et venir tout doucement en elle. Son con se resserrait sur ma queue et je le sentais chaud et humide autour de ma bite. Tout en la baisant je continuais à l’embrasser avec passion, je la tenais dans mes bras et pendant que ma queue glissait lentement dans son ventre, prenant des poses parfois puis s’enfonçant le plus loin possible en elle, mes mains couraient sur ses épaules, sur son dos, sur son cul.

Elle s’est mise sur le dos, elle a serré ses jambes autour de ma taille, puis elle s’est décollée du lit pour se suspendre sous moi. Ses fesses ne touchaient plus le matelas, et accrochée à mon torse elle faisait onduler son ventre de plus en plus vite en me collant de plus en plus fort. Je sentais bien qu’elle frottait son clitoris contre mon pubis pendant qu’elle coulissait autour de ma queue.
Je suis passé sur le dos et elle s’est empalée sur ma bite, elle a pesé de tout son poids pour m’engloutir au plus profond d’elle, et alors que je caressais sa poitrine, maltraitant un peu ses tétons; j’ai pris sa main et l’ai posée sur son clitoris. Elle s’est mise à se caresser de plus en plus fort et alors qu’elle attrapait mes couilles de sa main libre, j’ai senti mes cuisses se tremper d’un liquide chaud et tout son corps s’est mis à trembler.

Je n’avais pas encore joui. J’ai pris l’eau de sur mes doigts et je les ai glissés dans sa bouche pour qu’elle lèche son propre foutre. Et puis j’ai recueilli tout le liquide possible et j’ai caressé ses seins avec, puis en passant la main derrière sa nuque j’ai attiré sa bouche vers moi et je suis allé chercher sur sa langue l’eau et le goût de son ventre.

Après un long baiser, j’ai à nouveau mis sur le dos, j’ai posé ses chevilles sur mes épaules, et j’ai longuement caressé son clitoris avec ma verge, pendant que mon majeur que j’avais lubrifié dans son ventre, forçait son cul. Rapidement son anus s’est ouvert et j’y ai mis deux, trois, puis quatre doigts. Quand je l’ai sentie prête, j’ai mouillé ma queue avec ma salive, j’ai reculé mes reins et j’ai pénétré son cul d’un coup, en l’embrochant le plus loin possible. Je fantasmais de voir ma queue sortir par sa bouche pendant que je baisais son cul, j’aurais voulu avoir un sexe énorme pour la fouailler au plus profond de son ventre.
Pendant que je l’enculais avec v******e, faisant taper mon ventre contre son con et son clitoris et poussant de grands cris de bucheron, je la regardais dans les yeux et ma bouche murmurait silencieusement « je t’aime ».

J’ai senti mon plaisir monter dans mes reins, et au moment où j’allais jouir, son doigt a forcé mon anus. Nous nous enculions mutuellement, et c’était fort. J’ai lâché ma semence dans son cul et nous avons hurlé tous les deux. Après avoir joui, sans me dégager, voulant rester dans ses fesses le plus longtemps possible, je me suis écroulé dans ses bras et j’ai léché son visage…

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