Je m’appelle Nadia. J’ai 32 ans. Je suis conseillère principale d’éducation. Je suis mariée depuis une dizaine d’années à Karim. Nous n’avons pas d’enfant.
Ça fait environ six ans que je domine mon mari. C’était lui qui avait eu l’idée pour essayer. Maintenant, la domination féminine incarne notre couple. Je contrôle totalement la sexualité de mon époux : c’est moi qui décide quand il peut me faire l’amour, quand il peut se masturber, quand il peut éjaculer. En échange de quoi, il doit me trouver des amants vigoureux pour le plaisir qu’il est incapable de me donner à cause de son petit zizi.
J’aime l’humilier pendant que je couche avec d’autres hommes devant lui, imaginer toutes les émotions contradictoires qu’il ressent au moment fatidique où je jouis sur un autre alors que son petit et ridicule pénis est enfermé dans sa cage de chasteté me fait mouiller abondamment. Plus le temps passe, plus ma domination envers lui s’approfondit.
Aujourd’hui, mon mari m’est totalement soumis et moi qui, avant étais une femme coincée, j’assume entièrement ma féminité maintenant. J’ai beaucoup d’anecdotes à vous raconter sur notre vie sexuelle, enfin, la mienne surtout vu que, pour lui, pénétrer un vagin est une chose qui se fait très rare ! Certaines femmes ont des listes de courses à faire dans la semaine, moi j’ai ma liste d’amants. Bon, tirons un prénom au sort : Jamal ! Nous commencerons par lui.
Bon, avant de parler de Jamal, je vais vous dire comment nous entrons en contact avec les amants, plus précisément, comment mon mari entre en contact avec les hommes très nombreux qui veulent me baiser. Tout ce passe sur internet. Sur un site d’annonce, mon mari écrit qu’il recherche un homme très bien monté pour satisfaire son épouse, photos de tête et de pénis exigés !
A l’annonce, il ajoute ma photo avec mes seins imposants, mes fesses denses, ma taille moyenne, mes longs cheveux noirs suffisent à susciter l’attention des dizaines si ce n’est des centaines d’hommes. Parmi toutes les photos qu’il reçoit, il fait son choix. Il sait que j’aime les hommes avec un beau corps et particulièrement bien membrés. Ensuite, il rencontre ces hommes pour voir ou non si le feeling passe. Enfin, si le feeling passe bien, je rencontre ces hommes soit à l’hôtel, soit chez nous, soit chez eux.
Un jour, j’aimerais me faire prendre dans la nature par un de mes amants. Peut-être que ce jour arrivera bientôt.
Revenons à Jamal. La première fois que je l’ai rencontré, c’était à l’hôtel. Nous avons couché durant des heures devant mon mari. Il m’a bien fait jouir. J’ai dit à mon mari que je voulais le rencontrer une deuxième fois, mais cette fois chez nous.
J’ai préparé mon cocu de mari pour ma longue nuit de baise avec Jamal. Karim s’est assis totalement nu sur une serviette, à même le tapis. Avec un peu de difficulté parce qu’il n’arrêtait pas de bander, je lui ai installé sa cage de chasteté. Ce serait la deuxième fois que je ferais l’amour avec Jamal, un homme blanc de trente ans, aux courts cheveux bruns. Mon mari me l’avait choisi pour son gros zob sur la photo qu’il nous avait envoyée en répondre à notre annonce sur internet.
Vers vingt heures environ, Jamal est arrivé. On s’est installé au salon. On a peu parlé. Très vite, on a commencé à se toucher. Je me souviens de tout comme si c’était hier. Nous nous sommes assis sur le fauteuil long du salon. Je me rapproche de lui. Je colle ma bouche contre la sienne, nous nous embrassons comme deux adolescents. « Qu’est-ce qu’on fait ? » me demande Jamal entre deux bisous.
Le temps de reprendre mon souffle, je lui réponds :
« On baise ! ».
Puis ma bouche bâillonne à nouveau la sienne. Je monte sur lui. Je l’embrasse dans le cou. Il semble aimer ça. À travers le tissu du jean, ses mains caressent mon cul puis mes seins habillés. Sur le fauteuil en face de nous, mon regard croise celui de mon cocu qui nous contemple avidement.
Le fauteuil devient exigu pour nous. Nous rejoignons notre chambre conjugale. Nous nous déshabillons : Jamal se met complètement nu, moi, je ne garde pour uniques vêtements qu’un body fleuri et un string noir en ficelle. Jamal s’allonge sur le lit. Je m’agenouille à ses pieds. Je prends dans ma bouche son zob alors qu’il tient ma tête entre ses mains. Je le branle et le fellationne en même temps. Sa bite grossit à vu d’œil. Son gland occupe de plus en plus d’espace dans ma bouche. Soudain, il tient un peu plus fort ma tête entre ses mains puis viole ma bouche comme un vagin ! J’aime fellationner mes amants dans notre lit conjugal où mon mari n’a plus le droit de me toucher !
– Cocu ?
– Oui Maîtresse Nadia ?
– Enlève-moi mon string !
– Oui Maîtresse Nadia !
Mon cocu nous rejoint sur le lit. De ses deux mains velues, il me retire mon string.
-Je veux que tu le mettes sur ta tête !
-Oui Maîtresse Nadia.
Il met mon string sur sa tête. Ça lui fait comme une cagoule. Son nez respire la devanture de mon string. J’adore l’humilier de cette façon pendant que je le fais cocu !
Je m’assois sur la bite en érection de Jamal. Je la sens qui s’enfonce dans ma chatte. Je chevauche un instant mon amant puis il me renverse sur le matelas et monte sur moi. J’écarte les cuisses, suspends mes jambes en l’air pendant qu’il me laboure devant mon mari, incapable de le faire, qui nous regarde baiser bien sagement dans sa cage de chasteté.
La longue bite de mon amant frotte dans mon canal vaginal pendant que ses testicules s’écrasent contre mes fesses rondes. Le tout, mêlé à mes soupirs, émet un bruit lubrique qui résonne dans toute la chambre. Dans un cri, Jamal éjacule dans ma chatte.
Avec Jamal, cette nuit-là, on a baisé trois fois. Il a éjaculé trois fois en moi puis il est parti parce qu’il devait faire quelque chose. J’aurais préféré qu’il me baise toute la nuit mais bon.
Bref, après son départ, Karim m’a rejoint sur le lit. Il a enlevé mon string qu’il portait sur la tête et qui lui couvrait une partie du visage. Je voyais dans ses yeux qu’il voulait que je le libère.
Six mois sans éjaculer, ça pèse lourd dans les couilles d’un homme ! J’ai attrapé sa cage de chasteté qui enfermait sa petite queue, j’ai rapproché la clé du cadenas, lentement, en prenant tout mon temps, j’ai à plusieurs reprises fait semblant d’ouvrir sa prison.
Lorsque j’ai ouvert sa cage de chasteté, son petit zizi bandait à l’intérieur. Je me suis couchée sur le lit, j’ai écarté les jambes, mon cocu a commencé à se branler en regardant tout le foutre que mon amant avait laissé dans ma chatte.
– Ça suffit ! Arrête de te branler !
– Oui Maîtresse.
-Tu vas nettoyer avec ta bouche tout le sperme de Jamal !
– Oui Maîtresse.
J’ai ouvert les cuisses puis la bouche de mon cocu est venue se poser sur ma vulve. De sa langue, il a nettoyé mon vagin en le débarrassant du sperme de mon amant. Il m’a offert un cunnilingus merveilleux. Au moment de l’orgasme, de mes deux mains, j’ai serré sa tête qui me léchait puis j’ai rempli sa bouche avec ma cyprine.
FIN
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