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TROUVER SUR LE NET:La concierge

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ATTENTION:Dialogues très crus

La Concierge

C’était une loge de concierge traditionnelle du seizième arrondissement de Paris, sombre et exigu. Julien tapa trois fois à la vitre, avant qu’une grosse jeune femme, ne vienne encadrer sa mine agacée, dans le petit Juda incrusté dans le vitrage de la porte.
– A c’est vous monsieur Julien !…
Dite-elle en retrouvant son joli sourire.
– Entrez vite !… J’ai votre colissimo.
Julien se retrouva dans le petit vestibule face à cette opulente et désirable jeune femme seulement vêtue d’un peignoir étriqué qui ne pouvait à peine à contenir son opulente poitrine libre de tout soutien.
– J’étais en train de faire du café en voulez-vous.
Julien la fixa bien droit dans les yeux avec assurance et une pointe de désir que seules les femmes savent déceler.
– Mais avec plaisir madame Magali !… J’ai tout mon temps je ne commence qu’a quatorze heures !… Me permettez-vous.
Le garçon se débarrassa d’abord de son pardessus puis de sa veste pendant que Magali se dirigeai naturellement vers la porte et apposa la pancarte revient de suite avant de la verrouiller à double tours. Julien avait bien remarqué ses derniers temps le regard insistant et appuyé de sa gardienne mais son planning chargé ne lui avait guère laissé de loisir. Des pensées érotiques avait bien traversé son esprit mais il fallait un prétexte, une occasion. La femme lui fit face et avec un air faussement détaché et hautain déclara.
– J’ai horreur que l’on me dérange pendant que je prends mon petit déjeuné !… Sauf par vous bien sur… Monsieur, Julien.
Son peignoir c’était légèrement entrouvert sur la naissance d’un sein somptueux. Elle se pencha pour déposer délicatement devant Julien une tasse de café brûlant. Cette fois-i le garçon eu droit à une vue plongeante et en profondeur du décolleté de la jolie Magali. Julien se régalait car il adorait les jeux préliminaires de l’amour. La femelle tout excitée par l’émoi quelle avait causé chez le jeune garçon, prit tout naturellement place en face de lui avec un sourire provocateur sur ses lèvres. Julien enregistra le message et tout en buvant son café à petite gorgé, il réfléchissait à la meilleure stratégie pour l’attaquer, de toute manière elle n’attendait que cela. Julien, rien qu’a y penser, commençait à bander comme un âne en songeant à la paire de pastèques qu’elle cachait et comprimait sous son peignoir étriqué. Les mots sortirent presque naturellement de ma bouche légèrement empâtée par l’émotion.
– Madame Magali, vous êtes magnifique, sensuelle. Je sais que je ne devrais pas vous dire cela, mais je ne puis plus cacher mes sentiments, j’ai envie de vous Magali chérie. Quand se pense à votre magnifique poitrine, je deviens fou je voudrais !… Je voudrais tellement mais tellement.
– Mais enfin quoi !… Pour l’amour de dieu vous savez bien que je suis mariée.
– Je ne le sais que trop bien.
– Alors ?…
– Alors Rien !… Ou plutôt si !… J’aimerais caresser vos jolis seins les embrasser.
La femme leva des yeux amusés et pris un air moqueur et taquin et dit sur un ton interrogateur.
– C’est vraiment tout ce que vous voulez Mon petit Julien.
C’était la première fois qu’elle l’appelait ainsi par son prénom.
– J’aimerais aussi caresser ta chatte, tes fesses, couvrir de baisers ton corps.
Julien se leva en même temps que Magali, un instant ils se firent face, puis contre toute attente, elle lui administra une paire de gifles magistrale. Julien ne bougea pas d’un millimètre, se contentant tout simplement de la fixer droit dans les yeux, tandis qu’un sourire carnassier se dessinait sur ses lèvres. Mais sa main droite ouverte, partit aussitôt comme déclenchée par un puissant ressort, pour aller se plaquer instantanément sur le pubis proéminent de la femelle. Ses doigts aussitôt se refermèrent sur sa chattre qu’il se mit à pétrir à travers plusieurs couches de textile. Elle n’arrivait pas à y croire, quel culot ! Le garçon la caressait sauvagement aux travers ses vêtements, elle recula d’un pas et chercha instinctivement à se dégager. Mais prestement, le garçon la contourna et se plaqua, tout contre sa grosse paire de fesses joufflues. D’abord il commença à s’y frotter tout doucement, en y massant voluptueusement sa grosse queue gonflée, prête à décharger à la moindre sollicitation. Puis naturellement, avec tendresse et délicatesse, ses mains suivirent la courbe de ses hanches, en remontant pour venir comme un éclair. Saisir à pleine main, cette fabuleuse paire de nichons tant convoitée. Julien perdit toute notion de temps et de lieu, il n’y avait plus qu’une chose qui comptait pour lui, c’était son plaisir, son désir. C’étaient ses deux globes de chair, élastiques et fermes, souples et doux, tendres et brûlants à la fois, comme était son désir, pour cette sensuelle et appétissante femelle.
Quelle sensation rare que ces premiers instants de découverte, les premières sensations ressenties, les premières vibrations éprouvées. Ce sentiment de libération et d’élévation, vers quelque chose d’essentiel et d’incontournable, pour laquelle l’homme parfois même sans vraiment le savoir, lutte et aspire, de toute ses forces La femme maintenant vaincue, se laissa faire. Julien laissa tomber son pantalon, puis se débarrassa de son slip. Sa grosse queue libérée, il la frotta à travers son peignoir, entre la raie de ses fesses qui formait une cuvette. Puis sans transition, il souleva la robe de chambre, puis la chemise de nuit, dénudant ce gros cul, qu’il empauma des deux mains et qu’il se mit à caresser, à triturer. Ecartant les deux globes charnus de ses fesses somptueuses, qui jusqu’à maintenant avaient dissimulé sa grosse pine. Elle apparut dans toute sa splendeur, avec des babines joufflues et roses, garnies de longs poils frisés tout autour, remontant presque jusqu’au nombril. Cette chaire intime et vibrante, attira la main du garçon comme un aimant. Il s’attarda longtemps à la caresser, à l’explorer, jusqu’à ce qu’elle devienne toute humide. Alors pour lui rendre hommage, il enfila sa bite entre ses cuisses épaisses, tout contre et dans le creux de ses babines ouvertes. La femme à ce contact intime, les resserra comme un étau, pour le retenir et le garder, pour elle et en elle. Julien passa ses mains sous la chemise de nuit et remonta jusqu’aux deux énormes globes de chaire nue, qu’il saisit et et malaxa bestialement, flattant, triturant et excitant, les pointes érigées de ses mamelons durcis. Il fit coulisser sa queue, entre les babines brûlantes de sa grosse pine, qui maintenant était abondamment lubrifiée, par le foutre qui s’en écoulait. Le garçon se mit à la limer, en frottant son gland tout contre sont clitoris. La femelle gémissait et se tortillait, tout en frottant son gros cul, contre les couilles gonflées du garçon. La grosse salope comprenait maintenant parfaitement la situation. Elle se pencha au-dessus de la table, en prenant appui des deux mains, écarta ses cuisse et cambra ses reins aux maximums. Julien s’approcha, caressa un instant ses fesses rebondies, et y administra deux fortes tapes, puis prit d’une soudaine frénésie, il lui administra une fessée magistrale, la grosse tortillait son cul rougi par les coups, en criant des insanités ordurières. L’agrippant fermement par les hanches Julien la pénétra, d’une seule poussée bestiale et violente, la pine éclatée et complètement dilatée, par l’énorme queue du garçon, la pouffiasse se remit à brailler des vulgarités.
– Oui, éclate-moi la chatte avec ta grosse bitte… Défonce-moi bien le cul !… Pince mes gros tétons !… Tu sens dit ? comme ils sons dures !… Aller malaxe mes nichons plus forts. Oui, comme ça ! C’est mieux :… Va-y mon étalon d’amour !… Aime-moi.
Julien en entendant ses paroles d’encouragement, se mit à la pilonner, jusqu’au plus profond de sont vagin. Puis pris, d’une soudaine et nouvelle inspiration, il se retira et vint s’asseoir, sur une des chaises, en tenant à pleine main, sa grosse bitte dégoulinante pointée vers le ciel, sous les yeux hallucinés de sa partenaire, qui en bavait d’excitation.
– Viens ici ma petite chatte !… Assieds-toi sur mon pieu.
La femelle ne se le fit pas dire deux fois et toutes en faisant face au garçon, elle prit ses nichons à pleine main et se caressa pour l’exciter encore d’avantage, puis s’empala littéralement. Julien était plongé au plus profond de sa cramouille, elle bougeait doucement avec un mouvement tournant, tenant toujours en main ses deux énormes globes de chaires, elle invita Julien à les honorer. Il les prit à pleines mains, pour y enfouir son visage. Il resta blottie entre ses téton un certain temps, puis manquant de souffle, il se mit à les déguster, à les sucer, les embrasser, les triturer. La fille très excitée, s’empala aux plus profond de sa chatte, Julien empoigna ses fesses à deux mains et les pétris.
– Quelle grosse bite tu as !… Je te sens bien tout au fond de ma chatte !… Tu aime mes seins !… Dis, réponds-moi !… Tu sais, tu peux m’enculer si tu veux.
Julien la fit lever, enleva son peignoir et fit glisser sa chemise de nuit sur le sol. Elle était là devant lui complètement nue. Sa chatte était énorme et poilue, julien passa délicatement ses doigts agiles, dans la prairie bouclée, qui couvrait une grande partie de son bas ventre. Il la caressa longuement et partout.
– Tu veux vraiment que je te prenne par derrière ma colombe.
– Oui je le veux, mon gros lapin, va-y défonce-moi le cul.
– Mais je ne l’ai jamais fait et cela risque de te faire très mal.
– Ne t’inquiète pas pour ça, on va mettre un peut de crème de vaseline et ça rentrera tout seul, J’aimerais tellement sentir ta grosse bite enfoncée dans mon cul.
Tout en parlant doucement à son oreille, qu’elle mordillait, tandis que sa main palpait ses couilles. Elle pris dans le placard de la cuisine, un petit tube le dévissa et posa une noisette de crème, sur le gland du garçon.
– Donne-moi ton doigt, tu vas me l’enfoncer dans le cul avec un peu de crème dessus.
La femelle se mit en position, les cuisses largement écartées. Julien enfonça doucement son doigt, au centre de la couronne de chaire plissée, qui se dilata sous la poussée et céda le passage. Magali au comble de l’excitation, se touchait en branlant son clitoris.
– Oui Julien va y… c’est bon !.. Enfonce bien ton doigt, branle-moi bien le cul… Oui… Plus fort, c’est bon continue, surtout ne t’arrête pas maintenant, allez défonce-moi bien. Dit-elle dans un feulement assourdi. Le garçon concentré, appuya son gland, tout contre la petite tache brune à la peau plissée et poussa prudemment, sa jolie femelle l’encouragea de la voie.
– Pousse plus fort mon lapin!.. Enfonce-la à fond.
– Mais elle ne rentrera jamais ?… C’est trop étroit.
– Ne t’en fais pas, mon chérie !.. Ca va se dilater, crois moi.
Julien persévéra, son gland lui faisait presque mal. Il agrippa fermement ses hanches, puis d’une dernière poussée ultime, il dilata le cul de la poufiasse, qui poussa un grognement étouffé. Le garçon envahi par de nouvelles sensations étrangères, la pilonna avec une brutalité bestiale, ce qui n’était pas pour déplaire à la grosse salope. Le plaisir monta, aux creux des reins du garçon, qui avait l’impression, d’être traversé par une décharge électrique haute tension. Rugissent de plaisir, il s’agrippa à ses seins et se mit à éjaculer, en long jets saccadés, dans le fondement de sa femelle.
Dix minutes plus tard, ils étaient tous deux attablésis devant un bon chocolat brûlant.
– Tu sais que je suis encore très excité lui confia Julien !…
Quand soudain une voix féminine s’éleva de la pièce voisine.
– Je peut venir !… Tu as fini tes cochonneries.
– Tu es réveillé Maman ?… Mais bien-sur vient !… Je vais te présenter.
La porte s’entrebâilla sur une femme âgée, mais encore bien conservée.
– Il est beau, je te félicite, tu as bon goût.
Julien étais en slip et maillot de corps, son sexe non apaisé, formait une bosse énorme. La vieille la remarqua de suite.
– Je te présente Julien il habite l’immeuble.
– Enchanté jeune homme. Mais couvrez-vous car vous allez prendre froid, (Magali dit-elle), en s’adressant à sa fille. Dépêche-toi, il faut monter le courrier.
– T’inquiète pas je suis prête, je te confie Julien ne le taquine pas de trop.
– La porte claqua sur cette dernière recommandation.
Je vous aie entendu, jusque dans mon lit, quelle corrida. Julien la regarda, et se demanda où elle voulait en venir. Une tasse de café brûlant à la main, elle vint s’asseoir à coté du garçon. Tous deux se régalèrent d’un bon petit déjeuner. La vieille soudain lui jeta un regard en biais.
– Mais tu bandes encore mon salaud !…
Dit-elle en le tutoyant, Julien la regarda droit dans les yeux. Vous, j’en suis sur, vous devez être toute mouillée, cela à du vous émoustiller, pendant que j’enculais votre fille. Tout en parlant julien posa une de ses mains, sur la cuisse de la vieille femme. Elle devait avoir dans les soixante quinze ans, bien conservée, des traits délicats, de longs cheveux gris dénoués pour la nuit, et une grosse poitrine, que l’on devinait légèrement affaissée sous sa chemise de nuit.
– Tu veux que je t’en fasse autant ?… Aimerais tu toucher ma grosse queue ?… Dis ?… Tu aimerais ?… Réponds-moi !…
– Oui !… (Dit elle) dans un souffle. J’aimerai.
– Alors ne te gène pas !… Tu n’oses pas, attends, je vais t’aider. Je suis sur que tu n’as même pas mis ta petite culotte, ni ton soutien gorge d’ailleurs. J’ai envie d’aller voire ça de plus prêt. Ecartes bien tes cuisses ma belle, je veux voir si tu mouilles encore.
La vielle femme était cramoisie de honte. Julien porta une attaque inattendue, il glissa prestement sa main gauche, sous la chemise de nuit, de la vieille femme et se fraya un passage entre ses cuisses brûlantes. Puis de sa paume ouverte, il enveloppa son sexe dénudé.
– A je savais bien que tu ne portais pas de culotte ma cochonne.
La femme ferma les yeux et se mordis les lèvres.
– Mais ma salope !… Tu as une pine énorme. Je vais te la remplir de mon foutre, à moins que tu ne préfères tout avaler.
Julien se mis à palper et à tripoter, cette vieille pine humide. Cela le mit dans tous ses états.
– Va-y !.. Prends la ma queue, maintenant que j’ai ma main entre tes cuisses.
La vieille femme cramoisie osa enfin tendre le bras et posa timidement sa main ouverte sur la protubérance du slip.
– Allez presse-la !…
Dit le garçon, sous l’effet euphorisant de pouvoir violer l’intimité de cette vieille dame, qui ne demande que ça, et qui pourrait être sa grand-mère. Sa libido ne connaissant plus de limite. Prenant la main de la dame, il la glissa dans son slip. Au contact de sa virilité, sa petite main se referma immédiatement, autour du sexe du petit mâle. Julien avec douceur, et d’un doigté d’expert, écarta les grandes lèvres de sa chatte, et y enfonça délicatement un doigt, pour agacer gentiment son petit clitoris et la fouiller au plus profond de son fourreau brûlant. La vieille dame caressait sa queue avec application, puis empoignant de sa petite main experte ses testicules, elle se mit à les malaxer avec précaution. Julien s’enhardissant, remonta ses mains ouvertes, vers le haut de son buste et rencontra cette grosse masse de chaire palpitante, qu’il se mit à palper. Des grosses pastèques légèrement affaissées par les années, lourdes, à la chaire élastique, avec des pointes érigées et dures.
– Tu va me sucer le gland !… Tu veux bien ma belle. (Disait-il, Pendant qu’il malaxa ses nibards). Et si tu me suces bien, tout à l’heure je te boufferai la chatte.
Julien se leva, et fourra son dard dans la bouche de la grand-mère, qui le goba jusqu’à la glotte. Elle commença à le sucer, le pomper, pendant que Julien continuait à pétrir ses grosses mamelles à travers sa chemise de nuit. Se dégageant gentiment, il la souleva dans ses bras et la porta dans sa chambre pour la déposer tout doucement sur le grand lit défait. Julien la disposa sur le dos, écarta les deux pans de la robe de chambre, puis remontant sa chemise de nuit jusqu’au menton. Elle se retrouva le ventre à l’air, sa grosse pine ouverte, était comme un appel au viol. Le garçon plongea son visage, entre la fourche de ses cuisses. Sa langue pointue s’incrusta naturellement entre ses babines foutreuses, qu’il pénétra, pour mieux prendre entre ses lèvres, le clitoris de la vieille, qu’il se mit à sucer, téter et à masturber. Elle bandait la salope. Julien caressa son pubis velu, puis remonta la main pour saisir un sein au passage qu’il flatta. Puis passant ses mains sous ses fesses, la souleva pour mieux la brouter.
– Quel cochon tu fais mon petit Julien !…
Julien pour toute réponse se redressa, et d’une seule poussée virile, la pénétra et commença à la besogner puis à la défoncer littéralement. La vieille prononçait des mots incompréhensibles, en râlait faiblement. Julien vida ses bourses dans la grosse pine baveuse de la vielle dame distinguée. La bite toute dégoulinante, il se plaça à califourchon, au-dessus du beau visage de la dame. Resserra ses gros nichons, pour y glisser sa grosse queue gluante, qu’il y fit coulisser. La réaction ne se fit attendre, une dernière giclée de sperme éclaboussa les lèvres de la vieille dame ravie, elle attrapa la queue du garçon au passage et le bu jusqu’à la dernière goutte de son sperme.

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