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Salope au balcon

Salope au balcon



L’été indien en nos régions n’est pas un vain mot. Septembre avait été pourri. On doit cependant accueillir avec philosophie ces pluies qui abreuvent nos sols. N’empêche comme beaucoup j’avais l’esprit chagrin. Je guettais le moindre rayon de soleil qui put dorer encore ma peau. Non pas que je fus forcenée du bronzage mais je sais qu’un corps doré contente et attire les hommages. Pour le coup je deviens plus désirable et appétissante. J’en frétille d’aise. Aussi fut-ce une semaine merveilleuse. Presqu’un retour d’été. Vingt-huit degrés au thermomètre. J’exultais.

Je me dépêchais de rentrer du bureau pour me ruer sur la modeste terrasse dont bénéficiait mon appartement. Mon époux ne rentrait que fort tard. Il prenait souvent la liberté d’aller prendre un verre avec des copains. Je soupçonnais même qu’il fricotât avec quelque femme. Je lui rendais de toute façon la monnaie de sa pièce. Outre que de me faire sauter par le patron, je disposais de quelques numéros d’amants qui pouvaient à tout besoin me secourir. En attendant et tous ces soirs je courrais à mon seul amant : le Soleil.

Je poussais l’audace jusqu’à me déshabiller totalement. Je n’apprécie rien tant que d’être nue comme un ver. Je suis adepte de naturisme. Besoin que j’assouvis aux périodes des vacances d’été. Il m’importe peu que dans les immeubles vis-à-vis quelque voyeur se munisse de jumelles pour découvrir et se délecter de mes formes. Cela me flatte plutôt et m’excite. Je bronze ainsi pour les vicieux. Une salope gagne à être vue et convoitée. Ces derniers temps je poussais la témérité jusqu’à me caresser et m’introduire un gode devant ces admirateurs invisibles.

Le ballet durait une heure jusqu’à que le soleil décline et se cache derrière un lourd immeuble barrant tout l’horizon. D’un coup la température décroissait. Prise d’un frisson alors et emplie de tristesse je pénétrais illico dans le salon. La fête était finie. Je me grignotais une salade attendant sagement le mari devant une émission télé. Il m’importait peu qu’il me touchât la nuit ou eu des louanges sur mon corps mince et bronzé. Celui-ci ferait l’affaire du patron ou d’un copain. Le sexe étant toujours le prolongement du farniente. J’ai toujours aimé être objet de plaisir.

Le bulletin météo annonçait lugubrement la fin de cette séquence paradisiaque. Pluie, vent et chute des températures nous attendaient. On rentrerait dans le dur de l’automne. J’avais cependant bien profité. Ce soir-là je me destinais à faire un adieu provisoire à mon beau dieu Soleil. Je me tins un temps à la rambarde du balcon scrutant tout l’horizon. Mes jolis seins nus se voulaient saluer tous mes admirateurs alentour. J’aurais eu envie de clamer : « Oyez braves gens. Mater une dernière fois la salope, son cul et ses nichons. Je ne rouvre que dans dix mois. »

La tristesse se mêlait à un tel enjouement. J’eus idée de rejoindre un ami à l’autre bout de la ville. Son coup de queue me rassérénait sûrement. Le hasard voulut que me fut enlevée cette opportunité. Quelqu’un à ce moment sonna. Qui se pouvait être à pareille heure ? Je songeais à quelque voisin ou voisine de palier. Me couvrant hâtivement d’un peignoir je fus hâtivement à mon œil de bœuf. Il faisait sombre. Je vis un petit homme planté là patiemment devant ma porte. Qui se pouvait être ? La curiosité surmontât toute considération de prudence. J’ouvrais. C’était un petit vieux tout anodin.

Il balbutiait raclant le fond de sa gorge. Penaud il regardait son pied plutôt. J’eus du mal à comprendre ce qu’il voulait me raconter. Il s’empêtrait dans des excuses. « Pardon je ne suis pas de vos connaissances ou du moins vous m’êtes plus familière que moi pour vous. J’habite en face. Du moins je suis locataire dans vos immeubles en vis-à-vis. Une idée m’est passée par la tête. Aussi suis-je venu sonner chez vous. Je conçois que c’était fou et que je vous dérange. » Il me parut soudain que je ne devais poursuivre cette conversation sur le seuil et que je devais l’intimer à entrer.

Au point où j’en étais je l’invitais à s’asseoir au salon et lui offris à boire. Il était autant dépité. Sa gêne parvint à me dénouer voire même me faire sourire. A présent démêlant le vrai du faux j’entrevis que j’avais devant moi un de ces singuliers et invisibles admirateurs sur lesquels je fantasmais. Ce godelureau depuis longtemps devait me mater. Là agissant sur un coup de tête il avait voulu se manifester. Le summum fut atteint lorsqu’il déclara qu’il avait lui aussi écouté la météo et qu’il avait conçu l’idée horrible que je pourrais renoncer à mon bronzage sur le balcon.

Je partis dans un fort éclat de rire. Tout cela était sordide et grotesque. Ma réaction intempestive provoqua que les pans du peignoir à ce moment-là s’écartèrent livrant impunément tous mes appâts. Il les avait pu admirer que de loin encore que muni de puissantes jumelles il avait pu aussi en goûter tout le détail. J’avais envie d’être effrontée et de me moquer du gnome. Je me gardais de refermer ledit peignoir. Il avait relevé depuis la tête et reluqué assurément ma chatte lissée. Je laissais faire. N’étions nous pas en sorte quelques bons amis ?

Je tins cependant à reprendre l’initiative. D’un ton cruel je lui balançais : »Pour parler franc vous êtes un cochon. Vous matez vos voisines. Vous avez eu le toupet de venir m’avouer ça. » Mon verbe était abrupt. Il parut vraisemblable qu’après être entré sur terre, il put se redresser, partir sans demander son reste. Au lieu de ça il baissa la tête laissant le silence envahir la pièce. Relevant la tête je lui vis un regard triste. On eût dit que la fin de l’été autant que moi le désolait. Devais-je être sévère avec cet admirateur zélé de la beauté ?

Il s’appelait Eric, chômeur et à trois ans de la retraite. Ce type avait eu une vie minable. Sa femme s’était barrée depuis longtemps. Il voyait peu ses enfants. Il m’avoua qu’il se branlait sur quelques vidéos et effectivement reluquaient quelques femmes comme moi. J’eus une sorte de pitié. Ce type n’avait pas commis de crime. Il voulait sa part et participer un peu de la fête du plaisir dont il était depuis longtemps frustré. A cet instant le smartphone sonna. Le mari m’annonçait rentrer tard.

Le coup de fil m’irrita. Je m’écriais en mon for intérieur : « Ce mec se fout de ma gueule. » Je le représentais à quelques kilomètres de là entre les cuisses d’une garce. Ce con s’envoie en l’air et moi je fais la sotte épouse, resucée vague d’une Pénélope antique. En l’occurrence la Pénélope avait envie de devenir salope. J’avais en face de moi un pauvre hère et l’opportunité d’une bonne action. J’eus idée de me venger. L’occasion fait le larron. Eric avait bien droit à s’amuser aussi. Je fis glisser alors tout mon peignoir jusqu’au sol. Me tournant vers Eric je dis : « Je te plais ? » »

La suite fut un peu vague. J’en étais à mon deuxième Whiskys. La tête me tournait. Je me souviens que peu après j’étais entre les cuisses de mon petit vieux. Je lui déballais le sexe. Celui était long et fin. N’avais-je pas pompé il y a trois heures mon patron. Mes pipes étaient louées souvent. J’attendais le même assentiment de mon ami Eric. Celui-ci était autant penaud bien qu’un peu éberlué à présent. Une jolie blonde qu’il avait durant la semaine lorgné avec des jumelles le suçait à présent. Il se devait pincer pour s’assurer que ce ne fut un rêve. Ma bouche se déchaînait.

J’escomptais que nous aurions deux heures devant nous. Je tins à écourter la pipe. Je devais ménager la santé et vigueur de ce nouvel amant. Il était d’âge respectable, chômeur et en cela plus déprimé. Je devais à mesure solliciter toutes ses forces. La logique eut requis que nous forniquâmes sur le divan. Cependant toujours investie d’une certaine rage je goûtais en forme de vengeance qu’Eric eût les honneurs du lit. Là dans peu d’heures mon goret de mari se viendrait effondrer. Quelle volupté de savoir qu’une heure avant un homme m’y avait besogné.

J’ai rarement cédé à telle fantaisie. Je n’étais pas mécontent de concéder pourtant ce privilège à mon admirateur Eric. Ainsi le tirant par le bras l’entraînais-je dans la chambre. Pudique il me demanda que nous fîmes cela dans la pénombre. Je perçus qu’il se déshabillait lentement. J’étais déjà couchée nue sur le ventre offrant mes dos et fesses. Parodiant un peu Bardot dans le Mépris, je lui demandais : « Tu aimes mes fesses chéri ? » D’un ton plus assuré cette fois, il me répondis. « Oui elles sont magnifiques. Je les ai admiré maintes fois avec mes jumelles. »

D’une voix sourde, tête enfouie dans le drap, je poursuivis. « N’aimerais-tu les toucher, les caresser, et en disposer ? « Il s’assit enfin auprès de moi. Sa main d’abord malhabile me parcourait le cul. Je le savais magnifique et bronzé. J’éprouvais l’amour-propre du chef cuisinier qui présente un plat aux papilles de ses convives. N’avais-je pas concocté cela tout l’été et pour que des mâles comme Eric puissent en jouir ? Il valait bien mon patron et tous mes autres amants prétentieux. Je savais faire une bonne action. Le pauvre Eric devait avoir du mal à se payer une pute.

Il me lécha longuement le cul, le doigtant comme un petit enfant. Je dus l’attirer sur moi, me retournant du coup en écartant les cuisses. J’avais envie d’une bite et qu’on me prenne sauvagement. Enfin il s’échauffa. Il semblait renaître entre mes bras. Renouant avec une ancienne liberté et puissance, je vis qu’il exultait. Enfin il baisait. Il se tapait une salope. Des coups plus assurés me rassurèrent. Je serais bien baisée. Sa levrette ensuite fut ponctuée par une profonde puis soutenue sodomie. Je l’exhortais à m’enfoncer. J’adorais être foutue comme cela.

Nous forniquâmes plus d’une heure. Nous étions l’un l’autre contents de notre performance. Le hasard fait bien les choses assurément. J’avais eu révélation d’un de mes mystérieux fans. Il avait le visage de mon sympathique Eric. Il m’avoua qu’avec deux, trois autres voisins de l’immeuble, il m’avait maté régulièrement. Tous, ils ne tarissaient pas d’éloges sur mon corps. Cependant il se garderait bien de leur rapporter sa bonne fortune. De toute façon ils ne le croiraient pas. Je trouvais touchant ces aveux. Je lui dis qu’il pourrait revenir. Cette nuit repue je n’attendis pas mon mari.

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