Le lycée. La belle époque. Ce temps où on était assez petit pour ne pas se soucier de tous les problèmes de la vie, et en même temps assez grand pour profiter des corps de jeunes adultes dont nous étions pourvu.
Cette période remonte maintenant à quelques années, et je dois avouer que je n’en ai pas profité autant que j’aurais voulu.
Il y a quelques temps, je suis contacté par une ancienne camarade de classe. Elle était plutôt gentille, mignonne malgré la puberté qui n’était pas forcément tendre avec elle, et surtout un corps plus que plantureux. En parlant avec elle de tout et de rien, on en vient à se donner rendez-vous un après-midi pour parler un peu et se promener. Nous avons tous les deux des emplois du temps assez chargés, alors trouver un après-midi tout entier pour nous retrouver tranquillement était une aubaine.
Voilà donc que nous sommes au jour J. Je vais donc la chercher, et attends une dizaine de minute le temps qu’elle finisse de se préparer. En sortant, je la vois, magnifique, transformée. A vrai dire, devenir une femme lui a fait le plus grand bien. Et elle sais choisir ses parfums en fonction de la situation, car celui-ci n’invitait pas qu’à l’amitié. On s’est fait la bise, on échange quelques mots, et nous voilà parti. Je lui proposes quelques destination, et elle fait donc le choix d’aller en bord de mer. Le cadre est magnifique (nous sommes dans la caraïbe) avec des eaux turquoises, des cocotiers et le soleil. C’était plutôt étonnant de ne trouver personne dans le coin, mais pas plus gênant que ça, car nous étions vraiment tranquilles. Nous nous sommes assis sur un banc, et nous avons parlé de nos vies pendant un moment.
Nous apprenons que chacun de nous avons étés blessés par le passé, et pas encore prêt à passer à autre chose de sérieux. C’est à ce moment là que tout s’est accéléré.
On s’est mis à parler bas, d’une voix plus sexy. Evidemment, nous parlons de choses érotique, puis sexe. Elle décide de prendre ma main, et de la poser sur sa poitrine en me disant « mon cœur est tout emballé, vu ce qui se passe ». Je pose alors mes lèvres dans son cou, tout en gardant une main sur sa poitrine, et glissant l’autre main dans son dos. Nous nous embrassons et nous enlaçons comme si nous étions dans notre bulle. Alors que je glissais ma main sous son débardeur, elle m’arrête et me dit « non, pas ici! » et m’entraîne un peu plus loin, là où la végétation se fait un peu plus dense. Là, tout en se déshabillant, elle m’avoue que depuis le lycée, elle fantasmait déjà sur moi. Me voilà flatté, et bien décidé à tout faire parfaitement.
Elle se met alors à genou devant moi, et commence à me sucer. Je dois avouer qu’elle est douée. Ni trop brutale, ni trop entreprenante, je sens qu’elle prend plaisir à sentir mon sexe prendre de plus en plus de place dans sa bouche. Elle va même jusqu’à essayer d’avaler la totalité de mon sexe. Pendant se temps, je lui masse les seins, lui tiens la tête, ou lui tapote la joue. Elle se relève alors, me réclamant un baiser, et déjà toute mouillée. Elle veut que je la pénètre tout de suite. J’enfile alors une capote, et je me lance. Elle a vraiment un beau fessier, large et rebondi, en accord avec sa poitrine opulente. Les lèvres de son sexe également sont très charnues, mais je dois avouer que je me sens un peu à l’étroit. Elle gémis de plaisir à chaque vas et viens que je fais, tout en mettant une main sur mon bassin afin que je n’aille pas trop vite. Elle m’enroule de ses jambes et me dit enfin d’y aller franco, ce que je prends plaisir à faire.
On alterne les positions, et au fil du temps elle montre un côté dominatrice de sa personne.
C’est à ce moment que l’on entend un premier bruit. Certainement une voiture qui arrive dans le coin. Ce n’était pas vraiment gênant, nous ne sommes pas tout près. On fait juste un peu moins de bruit.
Je la retourne alors, et commence à la prendre en levrette. Une main sur un sein, l’autre lui donnant la fessée. Elle bouge son bassin en ondulant. Le plaisir est grand, et je me sens venir. C’est à ce moment que l’on entend un bruit, plus proche cette fois, et venant vers nous. Le temps de prendre de quoi nous couvrir, nous tombons nez à nez avec un couple, déjà à moitié dénudé, et visiblement ayant la même idée que nous.
Nous sommes gênés et en même temps terriblement excités par le fait d’être surpris. Nous rions un bon coup, et nous entendons alors. Le couple qui venait d’arriver devait juste se trouver un endroit un peu plus haut.
Une fois partis, nous reprenons notre affaire de plus belle, totalement excités, et avec l’envie de finir ce que nous avons commencé. Lui caressant les fesses, c’est alors qu’elle me confie être « vierge du cul », et qu’elle aimerait bien me confier cette virginité là. C’est avec joie que je la prépare à me recevoir. Elle avait totalement confiance en moi, elle s’est détendu super rapidement. Elle se place sur le dessus, descendant étape par étape, s’immobilisant dès que la douleur venait. J’y suis très à l’étroit mais j’y suis bien. Elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire entre la joie et la douleur, et me dit « c’est… c’est trop bon! ». Il n’en fallait pas plus pour me rendre heureux. Une fois habituée à mon sexe dans son anus, elle entame des vas et viens de plus en plus rapide et de plus en plus amples. C’est tellement bon que j’en perds la tête. Elle s’arrête nette et réclame mon sexe dans sa bouche.
Elle se réjouit d’avoir un chibre dans la bouche, joue avec, l’avale, crache dessus. C’est une vrai goulue. Je lui prend la tête et l’aide dans ses vas et viens, jusqu’à la jouissance. Elle se délecte de ma semence, tout en profitant de la sensibilité de mon sexe pour me faire quelques gorges profondes.
Alors qu’elle s’applique à ne rien laisser sur ses seins, je lui met alors deux doigts dans la chatte, et la doigts énergiquement. Elle n’a pas pu se contenir plus de quelques minutes, et jouit. C’est le corps encore tout tremblotant qu’elle ramassa ses affaires pour se diriger vers la voiture.
Avant de partir, nous avons pris un bain de mer afin de nous nettoyer un peu, profitant de ce moment pour être plus tendres.
C’est en la ramenant chez elle que l’on s’est mit d’accord pour se contacter de temps en temps pour une partie de jambes en l’air.
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