Quand j’étais jeune, il m’arrivait , pour me faire un peu d’argent de faire des remplacements comme secrétaire dans une petite entreprise. Plutôt chaud lapin, il voulait que je sois toujours habillée sexy pour soit disant l’image de l’entreprise aux yeux des clients.
Mais rapidement, il a eu des exigences plus précise à mon encontre. Un jour, il m’appelle dans son bureau pour me dicter une lettre. Je suis surprise quand il ferme la porte à clef en me disant :
« Ainsi nous ne serons pas dérangé. »
Quand il revient devant moi, il a sa queue à la main et m’ordonne :
« Suce moi maintenant et avale tout, jusqu’aux couilles petite salope ! »
Coincée dans le fauteuil, je m’enfonce plus dedans en essayant de reculer. D’un ton autoritaire il insiste et ne voyant pas comment me sortir de ce mauvais pas, avec une docilité déconcertante, en fermant les yeux je m’exécute. De toute manière, si je veux conserver mon job, je n’ai pas trop le choix. Et puis après tout, je me dis qu’une queue à sucer, c’est toujours bon à prendre.
Au bout de cinq minutes, il se retire de ma bouche, se recule un peu et m’ordonne :
« T’es une bonne pompeuse. Fout-toi à poil que je juge de la marchandise ! »
Je suis réticente mais une fois de plus, il a raison de moi et je me déshabille devant lui. Une fois que je suis entièrement nue, il change de ton. Il tourne autour de moi en me détaillant et me fait prendre des poses obscènes.
En me traitant de salope, il me demande de marcher à quatre pattes autour de son bureau. C’est très humiliant et comme je ne vais pas assez vite à son goût, il défait sa ceinture et me cingle les fesses. Mes fesses me chauffes, j’ai honte, mais ça m’excite aussi et je sens le désir monter au creux de mon ventre.
« Ouvre tes cuisses de jeune salope que je vois bien ta chatte ! »
J’ouvre outrageusement les jambes pour lui montrer mon sexe trempé de cyprine. Il mate mon abricot détrempé. Il prend son temps pour mieux m’humilier. J’’ai honte d’être entièrement nue exposée devant mon patron. Puis il caresse mon dos et le sillon de mes fesses avec sa ceinture. J’angoisse, mais c’est trop. Machinalement, j’ouvre encore plus les cuisses pour recevoir les caresses de la ceinture sur mon mont vénus.
Puis tout à coup, au moment où je m’y attendais le moins, d’un mouvement sec il me donne un coup de ceinture sur mes fesses. Je pousse un petit cri de surprise. Aussitôt un autre coup suit sur mon dos. Il m’ordonne de me masturber durant les coups de ceinture. Excitée malgré la douleur, je m’astique le minou alors qu’il continue son œuvre sur mon dos, mes fesses et mes cuisses. Cette situation est totalement dingue, humiliante et obscène à la fois, mais si terriblement excitante.
Je deviens complètement soumise dans son jeu. Sèchement il m’ordonne :
« Cambre-toi petite salope ! »
Je lui offre un peu plus mon cul et sans prévenir, je sens son gland se poser sur ma rosette et pousser inexorablement pour se frayer un passage dans l’étroit conduit et me sodomiser profondément. Je serre les dents pour ne pas crier et continue de me masturber pour que le plaisir surpasse la douleur de cette sodomie. Il se met à me bourrer comme un sauvage mais se retire rapidement pour faire durer le plaisir et ne pas éjaculer trop tôt. Il me dit :
« T’es étroite petite salope ! Accroupis-toi et continue de t’astiquer ! Ecartes bien les cuisses ! »
Il m’observe un moment et soudain il m’ordonne en me tendant la corbeille à papier :
« Petite salope, t’es une sacrée cochonne ! Pisse dans la corbeille ! »
J’ai si honte que je n’y arrive pas. Un coup de ceinture sur mes seins me font hurler de douleur.
Il m’ordonne à nouveau :
« Pisse petite pute ! Ou tes nibards vont en cuire ! »
Je le supplie mais n’y arrive toujours pas. J’ai jamais pisser devant un homme. C’est trop humiliant.
« Tant-pi pour toi ! Tu vas apprendre à obéir ! ».
Aussitôt des coups s’abattent sur mes seins devenus très sensibles. Il scande durement :
« Tiens prends ça salope ! Tu l’as bien méritée ! »
Je n’en peu plus. Mes seins me font trop mal. Il s’arrête et m’ordonne à nouveau :
« Pisse comme une chienne salope ! »
Je prends sur moi et fait un énorme effort pour finalement faire jaillir un jet d’urine bruyant dans la corbeille. Il sourit satisfait en me disant :
« Tu vois Michèle quand tu veux. T’as droit à une récompense. Assis toi au bord du bureau les cuisses bien écartées. »
Il s’approche et se met à me fouiller la chatte. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Mais petit à petit, il met plusieurs doigt dans mon vagin dégoulinant de cyprine et commence à me fister en y mettant toute sa main. Je n’avais encore jamais été aussi rempli. Il me fiste de plus en plus vite. J’ondule du bassin sous ses pénétrations outrancières. Ma cyprine gicle. Je n’en peu plus de ce traitement. Jje suis sur le point de jouir. Mais frustrée, il retire brusquement son poing., laissant ma chatte béante.
« Salope ! Tu crois que tu peux te permettre de jouir comme ça ? T’auras le droit de jouir quand je le déciderais, pas avant ! »
Je suis anéantie, frustrée, honteuse, humiliée. Je reste là, cuisses largement écartées, Vagin béant et dégoulinant de mon jus devant ce quinqua vicieux. J’ai une folle envie de jouir et sans qu’il le demande, je me caresse le clito pour jouir. Il sort alors une cordelette du tiroir de son bureau et me lie les poignets. Et l’attache au plafond à un crochet que je n’avais jamais remarqué. Je me retrouve comme suspendue par les poignets, nue devant lui et sans défense. Il me regarde d’un petit sourire pervers en tournant autour de moi pour me mater en détail. Du bout des doigts il me touche les seins et le clito. A chaque fois c’est comme une décharge électrique que je reçois. Mon corps se tend sous ses attouchements.
« Tu aimes ça on dirait, petite salope ! »
Il me prend alors les tétons entre le pouce et l’index et les étire jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter. Il rigole et les relâche en disant :
« C’est bien , petite pute. T’aime quand je maltraite tes tétine de grosse vache ! »
Il les ressaisit brutalement pour tirer de moi des râles de jeune femelle soumise. Il me fait crier de douleur. Je n’en peux plus. Puis, il s’éloigne un peu. Je remarque sa bite, tendue prête à me saillir. En la prenant en main il me lance :
« C’est ça que tu veux Michèle ? »
Sans réfléchir je le supplie de me sauter.
« Oui Monsieur défoncez-moi avec votre engin ! Je la veux en moi s’il vous plaît Monsieur ! »
Il s’approche à quelques centimètres de moi et je me frotte à sa verge comme une chienne en chaleur. Il me soulève un peu et d’un coup m’embroche sur sa hampe m’arrachant un cri de délivrance. Me prenant par les hanches, il me pilonne vigoureusement la chatte dans un clapotis obscène. Je râle comme une femelle sans retenue et sans pudeur. Je suis prise de convulsion et un orgasme destructeur me fait hurler comme une louve. A son tour, il se met à grogner et expulse à grand jet visqueux son sperme au fonde de mon vagin. Il ressort de ma chatte et demie évanouie par tant de plaisir je pend au bout de mes liens. Quel pied d’être traitée ainsi. Reprenant doucement mes esprit, il me détache et avec un sourire béât, je remercie mon patron.
J’étais ^prête à recommencer et devenir sa soumise. Mais, certainement trop jeune, je ne suis pas retourné au travail le lendemain.
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