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Ma mere me fait réviser (2)

Ma mere me fait réviser (2)



Deux semaines auparavant, j’avais découvert l’i****te. Le fait d’avoir fait l’amour avec ma mère m’a procuré des sensations que nul ne peut imaginer s’il n’a pas essayé. Il ne s’agissait pas à la base d’une volonté de ma part, mais plutôt de circonstances qui ont aidé. En revanche, pendant deux semaines, ma volonté de poursuivre était farouche. Je n’avais alors personne dans ma vie sentimentale, et je ne désirais personne une fois que j’avais goûté au sexe de ma mère. Mais d’autres circonstances ont fait que j’ai momentanément dû arrêter avec ma mère, ce qui m’a permis de le faire avec ma sœur. Voici l’histoire.

Mon père avait beaucoup de travail avant la période des fêtes, l’an dernier, ce qui me laissait l’occasion de faire l’amour avec ma mère. Mais la période des partiels approchait et je travaillais beaucoup, comme je l’avais promis. Enfin, mes examens se sont terminés et ce fut une libération, tant intellectuellement que sexuellement. Je suis rentré à la maison et je suis monté dans ma chambre. Ma mère est venue m’y rejoindre et je lui ai raconté que les derniers partiels d’aujourd’hui s’étaient très bien passés et que je le sentais bien. Comme je voyais en cet instant le moment où je pourrais développer plus avant ma relation i****tueuse avec ma mère, qui avait démarré deux semaines plus tôt, je commençais à bander. Je lui ai demandé si elle pouvait me faire l’amour, pour me récompenser d’avoir aussi bien travaillé. Elle me répondit :

– Pas maintenant. Ton père m’a appelé, il va rentrer d’un moment à l’autre, il pourrait nous surprendre. Par contre, si tu veux, on peut faire un truc rapide.

Elle m’a dit que je pouvais commencer à me masturber, et que quand je serai prêt, je pourrai jouir en elle.

– Je ne peux pas faire ça ! répliquai-je. Et ton plaisir à toi ?
– En temps normal, ce serait extrêmement mal vu. Mais là c’est moi qui te propose, ça me gêne pas. Par contre, si tu veux le faire, fais-le tout de suite, on n’a pas tout notre temps.

J’ai baissé mon pantalon et mon slip, j’ai agrippé mon pénis durci et j’ai commencé des va-et-vient énergiques le long de ma hampe. Pendant ce temps, ma mère avait ôté son pantalon et sa petite culotte blanche et s’était assise sur le bord de mon bureau. Quand j’ai senti le jus monter en moi, je me suis approché de ma mère, elle a écarté les cuisses, a attrapé mon sexe et l’a placé à l’entrée de son vagin. Une fois entré, j’ai poursuivi mon labeur de lapin. Mon amante a soulevé son pull et a écarté un bonnet de son soutien-gorge, juste le temps pour moi d’apercevoir un sein, avant de tout remettre en place, juste pour m’exciter un petit peu. J’ai joui en ma mère peu de temps après. Je suis resté en place le temps de reprendre mes esprits, puis je me suis retiré et rhabillé. Ma mère a remis ses effets. C’est à ce moment que nous avons entendu la porte d’entrée.

– Eh, bien ! Juste à temps, dit ma mère, avant de sortir en me déposant un baiser sur la joue au passage.

Je venais de faire un truc bizarre. En gros, je me suis masturbé, je suis entré dans ma mère pour jouir et j’en suis sorti. Comme un goujat du XIXème siècle. J’étais content d’avoir déversé mon sperme au fond de son sexe, mais je ne lui avais pas donné de plaisir. Je me suis rassuré en pensant que l’idée venait d’elle, que je ne l’avais forcée en rien, et que de toute façon, vu le timing, nous n’aurions rien pu faire d’autre. Je me suis promis de ne pas ravoir de sexe sans qu’elle n’ait de plaisir aussi, que je me ratt****rais la prochaine fois, et j’ai pensé à autre chose. Mais il n’y a pas eu d’autre fois. Noël est arrivé avant que je n’aie pu retrouver une relation intime avec ma génitrice. Mon père était en vacances et je le soupçonnais de fêter l’événement avec ma mère et son corps (jalousie profonde). La famille était arrivée le lundi soir pour fêter Noël tous ensemble chez nous. Mon oncle paternel et sa femme furent installés dans la chambre de ma sœur Johanna, mes deux cousins dans la chambre d’amis au fond du couloir. Le reste de la semaine s’est écoulé comme tous les ans : balades dans les montagnes et les prairies enneigées, un peu de ski un jour, visites de sites et musées, musique des années 80 en préparant le repas du soir… Les vacances !

Johanna est arrivée le vendredi soir après son travail, à l’avant-veille de Noël. Comme elle s’était faite confisquer sa chambre, que j’avais un lit double et qu’on était frère et sœur, elle allait partager ma couche pendant une semaine. Ça nous arrivait parfois quand on avait des invités. Nous avons toujours gardé une certaine pudeur, cela faisait bien des années que nous ne nous étions pas vus nus, en gros au début de l’adolescence. Quand on se changeait, on prenait soin de détourner le regard. Et encore à ce jour, l’idée que ma sœur puisse être nue derrière mon dos le temps qu’elle se mette en pyjama me laissais totalement coi, malgré mon aventure maternelle. Je trouvais ça normal et naturel. Ce soir-là ne fit pas exception.

Le temps qu’elle finisse de se laver les dents et tout et tout, j’étais dans le lit avant elle. Elle s’est assise sur le bord du lit pour défaire ses chaussures, et on a commencé à discuter d’un peu tout pendant qu’elle finissait ses affaires. Nous avons parlé du test de dépistage du SIDA que nous avons fait chacun de notre côté au début du mois. Elle n’avait rien et moi non plus. Nous avons discuté d’autre chose. Au bout d’un moment, alors qu’elle se tenait debout à côté du lit, de son côté, face à moi, elle me demanda :

– Je peux ?
– De quoi donc ? répondis-je.
– Me déshabiller.
– Oh ! Pardon.

Je me suis retourné pour la laisser se changer. Ça n’a pas pris beaucoup de temps. Elle gardait sa petite culotte pour dormir, et mettais un long T-shirt sur sa poitrine nue, avant de se glisser dans le lit. Pour ma part, je dors toujours en slip. Nous avons éteint la lumière et poursuivi notre discussion, en versant petit à petit dans nos histoires d’amour. Je lui ai raconté le vide intersidéral de mes histoires récentes (sic !), et elle s’est confiée à moi sur sa rupture. Elle m’a tout raconté dans les moindres détails, mais ensuite elle a insisté sur l’absence de l’homme qu’elle avait.

– Ce n’est pas facile de rentrer du travail, le soir, chez soi, et de savoir que personne ne t’attend, que tu ne verras personne, tu es toute seule. Au cours de la journée, je peux me concentrer sur mon travail, je parle avec les clients, j’ai un semblant de vie sociale. Mais quand je suis dans mon lit, la nuit, j’ai froid, il n’y a personne pour me réchauffer. Il m’arrive de pleurer. J’ai besoin qu’un homme me prenne dans ses bras, qu’il m’embrasse sur la joue en me disant des « je t’aime ». J’ai besoin de me réveiller le matin et de le voir à mes côtés. J’avais tout ça avant, maintenant je n’ai plus rien, je suis toute seule.

Je l’ai écoutée, j’ai essayé de compatir à sa douleur, j’étais dans mon rôle de grand frère. Le frère auprès de qui sa sœur sait qu’elle peut se confier. A la fin de sa tirade, elle essuya une petite larme qui coulait sur sa joue. Après un instant, elle me dit :

– Merci, mon frère adoré. Je sais que tu seras toujours là pour m’écouter.
– Toujours.

Elle me déposa un baiser sur la joue et se coucha en me tournant le dos. Je fis de même. Mais ce qu’elle avait dit m’avait touché. Et comme je voulais le bien de ma sœur, je me suis allongé sur le dos, et fixant le plafond dans le noir, je lui ai proposé :

– Hem… Si tu veux, tu peux dormir contre moi, si ça peut t’apporter un quelconque réconfort.
– Quoi ?
– Je ne suis pas ton copain, et je ne peux pas le remplacer, mais je te ferai toujours une présence, si tu veux te coller contre moi, te réchauffer…
– Oh, c’est gentil.

Elle s’approcha de moi, se colla contre mon flanc gauche, posa sa main gauche en haut de mon pectoral droit, et avança son mollet sur le mien. Une fois correctement installés, nous n’avons plus bougé et nous sommes endormis. Le lendemain, à mon réveil, Johanna n’avait que peu bougé. Sa jambe était repliée et montée sur mon genou, et sa main était descendu au niveau du ventre. Je l’ai laissée finir sa nuit. Puis elle s’est réveillée, s’est étirée, m’a souri et m’a embrassé sur la joue. Elle a ensuite passé un bras de chaque côté de mon buste, a enserré mes jambes dans les siennes et m’a fortement étreint. J’étais son prisonnier.

– Ça faisait longtemps que je n’avais pas dormi aussi bien. Merci mon frère, je t’adore.

Elle s’est assise dans le lit, et s’est étiré en levant ses mains très haut. J’ai pu voir se dessiner sous son T-shirt la silhouette de sa poitrine projetée vers l’avant. Elle est sortie du lit pour aller s’habiller pour le petit déjeuner. Dans la pâle lumière matinale qui filtrait à travers les trous du volet roulant, j’ai pu voir que sa culotte, mal mise, ne couvrait que la moitié d’une de ses fesses. Elle l’a tout de suite remise en place, mais le simple fait d’avoir vu ce petit bout de peau, qui en soit n’est pas grand-chose, ajouté à sa silhouette en s’étirant, ça m’a fait bizarre. J’avais une femme devant les yeux.

J’ai pensé à autre chose, puisque la journée s’est déroulée d’une banalité à faire peur. Que dire ? C’était le réveillon ! Un 24 décembre habituel. J’ai discuté cinéma avec mon cousin :

– L’histoire de Paranormal Activity, c’est un jeune couple qui vit dans une maison, et la nana est hantée par un démon qui vient les hanter la nuit. Le truc bien, c’est que la première nuit tu entends juste un bruit, la deuxième nuit tu as une porte qui bouge, etc.
– Ouais, en fait chaque nuit il se passe un truc différent.
– Oui, mais l’important, c’est que ça va crescendo. Chaque nuit est plus forte en émotions que la précédente.

Ma sœur a séquestré ma chambre une demi-heure au cours de la journée pour empaqueter tous ses cadeaux. Puis, courses de dernière minute du samedi soir que Noël c’est demain et que je n’ai aucun cadeau, messe de minuit, dinde et pomme dauphines. Quand ce fut l’heure de tous aller se coucher, nous avons eu droit au traditionnel « Tout le monde met ses chaussures sous le sapin ! ». Quand il ne restait plus que Johanna et moi-même pour éteindre les lumières et fermer la trappe du poêle à bois, nous avons mis nos cadeaux, pour que nos parents en se levant les découvrent comme quand ils nous le faisaient étant petits. Puis nous sommes retournés au lit.

Sitôt dans le lit, moi sur le dos, Johanna est venue placer sa tête dans le creux de mon épaule, et on a parlé comme la veille. « J’ai hâte d’ouvrir mes cadeaux », « vivement demain matin », bien sûr, mais un peu plus tard :

– Tu es sûr que ça ne te dérange pas que je dorme tout contre toi ? me demanda Johanna.
– Mais non, répondis-je, ne t’en fais pas pour ça. Je suppose que ça me fait du bien à moi aussi de dormir avec une femme.
– Tu es adorable.

Nous avons continué à discuter, puis elle me demanda si nous pouvions toujours dormir l’un contre l’autre, mais sur le côté. Elle voulait que ce soit moi qui me colle contre son dos. Un peu comme un couple.

– Ça te gêne ? demanda-t-elle.
– Non, pas, vraiment, mais c’est que… C’est une position un peu, comment dire… Un peu sous-entendue. On n’est pas en couple, on est frère et sœur. Ce serait de l’i****te !
– Il n’y a i****te que s’il y a relation sexuelle. Or, jusqu’à preuve du contraire, on n’a jamais eu ce genre de relation.

Entendre sa sœur lancer comme ça, « on n’a jamais eu ce genre de relation », ça sonnait étrange. C’en était presque choquant. Vous imaginez un membre de votre famille, ou un ami, un collègue, un prof… qui viendrait vous voir et vous dirait du tac-au-tac « on n’a jamais fait l’amour » ? Que répondre ? Heureusement, Johanna a poursuivi, m’épargnant la peine de chercher une réponse adéquate :

– En même temps, il n’y aurait pas de mal.

Mon sang ne fit qu’un tour.

– Euh… Pardon ?
– L’i****te. Je trouve que c’est quelque chose de normal. En plus, si tu réfléchis bien, c’est le meilleur moyen de pouvoir avoir du sexe avec quelqu’un en qui tu as toute confiance. Tu peux le considérer comme un inconnu parce que tu n’as jamais rien fait de sexuel avec ton parent, mais tu le connais, tu sais qu’il ne te fera pas de mal. Tu as une vraie relation de confiance qui est en place et tu t’abandonnes mieux.
– Vu comme ça, c’est pas faux…
– Tu as déjà pensé à l’i****te, toi ?
– Non. Je préfère ne pas y penser. Je trouve ça dégoûtant.

Au bout de quelques secondes, j’ai rajouté :

– … sauf si c’est avec toi, tu es tellement belle.
– Oooh, tu es un amour !

Elle approcha son visage du mien, me dit :

– Tiens, le voilà ton i****te.

Et elle m’embrassa sur la bouche.
Mon cœur s’était arrêté de battre. Du moins en avais-je eu l’impression une fraction de seconde, avant qu’il ne se mette à battre la chamade.

Nous nous sommes mis en position, moi derrière elle, les jambes en équerres, formant comme une chaise dans laquelle elle vint s’assoir. Ou s’assoir allongée. J’ai passé mon bras devant elle et elle m’a pris la main. Nous sommes restés comme ça. Effectivement, c’était une position très agréable. Seulement, je repensais à ma sœur ce matin au réveil, la silhouette de ses seins sous le T-shirt, sa fesse à demie nue, et ce soir, la position assez suggestive dans laquelle nous étions, le fait que nous ayons parlé d’i****te, son baiser, son doux baiser. Ses lèvres, délicatement posées sur les miennes. Je ne trouvais pas le sommeil. Nous étions sans parler depuis environ dix minutes à un quart d’heure, quand Johanna a rompu le silence.

– Ça va ?
– Oui, tout va bien.
– Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
– Rien du tout.
– C’est moi qui te mets dans cet état ?
– Quel état ?
– Arrête de faire l’idiot, dit-elle. Je sens un truc dur contre mes fesses. Alors à moins que tu n’aies glissé un objet dans ton slip, il n’y a pas trente-six solutions.

Je me sentais gêné. Je ne savais pas quoi dire. J’avais l’impression que quoi que je réponde, elle pouvait le prendre mal.

– Ce n’est pas de ma faute ! me défendis-je. C’est toi qui m’as embrassé tout à l’heure !
– Ne t’inquiète pas, il n’y a rien de grave. C’est agréable, j’espère.
– Ben… C’est une érection, quoi !
– Ya pas de soucis. Je suis plutôt flattée ! Si tu le souhaites, tu peux rester comme ça toute la nuit. Attend un peu, allonge tes jambes.

Je ne comprenais pas où elle voulait en venir, mais j’ai obéi. J’ai allongé mes jambes, et elle a allongé les siennes, avant de se recoller à moi un peu plus près.

– Tiens, ce sera mieux comme ça. Tu vas pouvoir placer ton pénis entre mes fesses toute la nuit, tu seras au chaud. Hier j’ai passé une super nuit grâce à toi, aujourd’hui on inverse.

Le fait d’avoir allongé les jambes avait détendu les fessiers. Il y avait plus de mou, plus de chair, contre laquelle j’ai collé mon bassin. C’était effectivement plus agréable que de sentir les os du bassin. J’ai donc placé mon pénis contre ses fesses, en allant aussi loin que nos slips le permettaient. Johanna a repris ma main dans la sienne et nous nous sommes couchés pour de bon. Ma sœur n’a pas eu de mal à s’endormir. Moi, par contre…

Quand je me suis réveillé en ce matin de Noël, Johanna était déjà réveillée. J’avais bougé pendant le peu de sommeil que j’avais eu, j’étais revenu à ma place et je tournais le dos à ma sœur.

– Quelle heure est-il ?
– Les parents ne devraient pas tarder à tous nous appeler. Mais on a encore un peu de temps si tu veux revenir contre moi.

Nous avons repris la position que nous avions la veille avant de dormir.

– Encore en érection, hein, grand frère ?
– Oui, ça s’appelle le matin.
– J’espère que le matin ne fait pas tout, que j’y suis aussi un peu pour quelque chose. Colle-toi bien.

Ce disant, elle posa sa main sur ma fesse pour me tirer tout contre les siennes. Encore une fois, j’ai placé mon sexe contre la raie de ses fesses et nous sommes restés un moment à profiter de l’instant, jusqu’à ce que je pose à ma sœur la question suivante :

– Johanna ?
– Hmm ?
– Pourquoi tu m’as embrassé, hier soir ?

A ces mots, elle se tourna sur le dos et plaça ses pieds entre mes cuisses et mes mollets, que j’avais repliés contre elle.

– Je ne sais pas, répondit-elle. Peut-être que… j’en avais juste envie.
– Mais… Je suis ton frère !
– Et un frère plutôt mignon qui est toujours là pour consoler les demoiselles esseulées. Approche, j’en voudrais un autre.

Je me suis penché vers elle, tout doucement. J’ai approché ma bouche de la sienne. J’avais la gorge sèche. Johanna ne bougeait pas, elle attendait. Notre premier baiser hier était terriblement excitant, mais n’avais duré qu’une seconde. Cette fois, je voulais en profiter. Je voulais avoir le temps de prendre conscience du contact de nos lèvres. J’ai déposé mes lèvres sur les siennes, sans vraiment l’embrasser. C’était juste deux bouches qui se touchaient. J’ai attendu quelques secondes, puis j’ai légèrement entr’ouvert ma bouche. Ma lèvre inférieure est descendue sous la sienne, et je l’ai remontée lentement pour qu’elle s’accroche à sa lèvre. J’ai ensuite embrassé, sa lèvre supérieure, toujours avec la même lenteur. Je voulais mettre dans cette lenteur une certaine sensualité. Petit à petit, ce qui n’était qu’un simple contact en lèvres est devenu un baiser passionné. Puis on a frappé à la porte. Nous avons immédiatement repris des positions un peu plus décentes pour un frère et une sœur, chacun de son côté du lit. La tête de ma mère est passée par la porte pour nous dire que le père Noël était passé.

Nous nous sommes levés et avons passé un Noël tout à fait normal. Johanna et moi agissions comme nous avions toujours agi en public. Un frère, une sœur, et c’est tout. Personne n’aurait pu deviner ce qu’il s’était produit dans mon lit ces deux dernières nuits. Parmi mes cadeaux, j’ai eu de la part de Johanna une mini-caméra pour filmer ses exploits sportifs. Je l’ai remerciée en disant que je m’en servirais pour le ski. Je vous passe les détails de la journée. Le seul truc marrant a été quand, dans la voiture, Johanna et moi assis à l’arrière, cette chanson à la radio est passée, qui disait « Embrasse-moi idiot, c’est vraiment beaucoup beaucoup mieux que des mots ». Nous nous sommes regardés en souriant.
Et ce fut le retour au lit. J’ai demandé à ma sœur si on reprenait la même position, mais elle a dit :

– Oui, mais pas tout de suite. Tu as passé une bonne partie de la nuit en prenant soin de ton sexe, maintenant j’ai envie de prendre un peu soin du mien.

Elle m’a fait m’allonger sur le dos, et est venue se placer au-dessus de mon bassin, face à moi, une jambe de chaque côté. Elle a soulevé un peu son T-shirt le temps de s’installer. J’ai pu voir sa petite culotte qui se déposait tendrement sur la bosse dure que faisait mon slip. Elle a relâché son vêtement, m’a demandé si j’étais bien installé, et s’est penchée sur moi pour m’embrasser avant de se redresser. Je prenais conscience de la pression qu’exerçait la fente de son sexe contre le mien. Le poids de ma sœur de m’aidait pas à oublier mon érection. J’avais l’impression qu’elle la renforçait. Ensuite, elle a commencé à onduler du bassin, d’avant en arrière. C’était très agréable, et apparemment pour elle aussi puisqu’elle émettait quelques légers gémissements. Elle s’est penchée sur moi et, tout en continuant à onduler le bassin, m’a longuement embrassé. Je lui rendais son baiser avec une certaine fougue. J’ai posé mes mains sur ses cuisses et les ai tendrement caressées. J’ai doucement remonté vers ses fesses et les ai caressées à leur tour. Johanna respirait assez fort. Puis, sans raison aucune, elle s’est retirée en disant que ça suffisait pour le moment, et nous avons repris notre position de la veille. Une fois en place, j’ai fermé les yeux et je me suis laissé aller. Mais au bout d’une minute ou deux, j’ai senti que sa main se posait sur mon sexe. Elle attrapa mon slip et le fit descendre.

– Qu’est-ce que tu fais ?
– Je te mets tout nu. Après tout, c’est Noël. Et moi, je suis ton cadeau.

J’étais donc tout nu dans le dos de ma sœur. J’ai entrepris de poser le bout de mon pénis entre ses fesses, mais elle bougeait encore. Elle enlevait sa culotte. Une fois fait, elle attrapa mon pénis à pleine main et le dirigea entre ses fesses. Mon gland était coincé entre la fesse droite et la fesse gauche de Johanna. Elle m’a laissé réaliser ce qu’elle faisait, et a commencé à balader mon gland le long de sa raie. Quand elle s’est arrêtée, elle a laissé mon pénis entre ses cuisses, non loin de son vagin. J’étais terriblement excité. J’ai effectué un petit mouvement pour me serrer un peu plus, et mon sexe a légèrement coulissé contre le sien. Elle m’a dit :

– Hummm, continue…

J’ai alors recommencé ce même mouvement, puis un autre, et un autre encore. J’ai effectué une série de va-et-vient contre ses lèvres intimes. Je n’arrivais pas à croire que, pour la première fois de ma vie, j’étais entièrement nu et je me masturbais contre les parties intimes de ma sœur ! Le cumul de l’excitation non soulagée de ces dernières quarante-huit heures ont fait que la sauce n’a pas mis de temps à monter. J’ai dit à Johanna que j’allais bientôt jouir et elle m’a encouragé à continuer. Je lui ai répondu que je ne pouvais pas jouir comme ça contre ses parties, et m’a proposé de jouir entre ses fesses. J’ai dû refuser, de peur de tacher les draps. Sachant que c’est ma mère qui les lave…

– Rhô, quelle nouille ! Tu n’es pas drôle ! me dit-elle excédée. Très bien, si c’est comme ça j’avale tout. Ça ne fera de tache nulle part.

J’ai accepté. J’ai continué à aller et venir entre les cuisses et les fesses de ma frangine. Quand j’ai senti que c’était le moment, je me suis allongé sur le dos et Johanna m’a sucé. J’ai joui dans sa bouche et elle a tout avalé. Elle n’a pas une seule fois lâché mon gland avant que tout mon sperme n’ait disparu. Elle a ensuite posé sa tête contre mon torse, en me caressant très doucement le pénis, avant d’arrêter et de poser sa main sur mon épaule droite, comme notre toute première nuit. Nous nous sommes endormis sans se rhabiller, tels quels.

Le matin suivant, au réveil, Johanna était levée. Je me suis souvenu que nous étions lundi et que les cousins devaient reprendre la route aujourd’hui. Je me suis levé et les ai rejoints au petit-déjeuner. Ils sont partis peu après le repas de midi, nous laissant seuls, nos parents, Johanna et moi. Ma mère a dit à Johanna qu’elle pourrait reprendre sa chambre, maintenant que tout le monde était parti, ce à quoi l’intéressée a répondu :

– Oh, en fait, je pensais continuer à dormir dans la chambre de François. J’ai toutes mes affaires là-bas et je n’ai pas envie de les transbahuter alors que je repars dans quelques jours. En plus, on dort vachement bien dans son lit.

Ma sœur voulait continuer à dormir avec moi. J’espérais secrètement qu’elle le souhaitait pour nos ébats plus que pour son sommeil. C’est avec une grande impatience que j’ai attendu la nuit suivante. Pour une fois, Johanna était couchée avant moi. Je me suis allongé à côté d’elle et je l’ai embrassée. Nous avons roulé et elle est passée sur moi. Elle a enlevé mon slip et a commencé à me caresser et à me sucer. C’était si bon ! Je n’ai jamais aimé que l’on puisse me voir nu. Je préfère quand c’est moi qui vois. Même avec mon ex, j’essayais de ne pas laisser trop longtemps mon sexe dans son champ de vision. Ce soir, j’avais le même sentiment, mais cela m’excitait. Elle touchait mes parties interdites. Elle baladait sa main vers le haut, vers le bas, déposait un baiser sur le gland, le prenait en bouche et continuait à monter et descendre sa main. Elle a ensuite marqué une pause, le temps d’enlever sa petite culotte, puis s’est placée à quatre pattes au-dessus de mon corps. A cause de son long T-shirt, je ne voyais rien d’exotique. Elle s’est approchée de mon oreille et m’a susurré :

– Je suis vierge.

D’entendre ceci, de la part de ma sœur à mon intention, sachant que son sexe nu était à quelques centimètres du mien, m’a provoqué une plus forte érection. Elle s’est abaissée et nos sexes se sont touchés. Elle a pris mon pénis dans sa main. J’ai senti un contact au bout de mon gland. Le contact est devenu plus insistant et a englobé mon gland en entier. Puis j’ai senti le bout de ma hampe inclus dans ce même contact. Je sentais que c’était humide. Johanna, ma sœur, avait introduit mon pénis dans son vagin. C’était notre premier rapport sexuel.

Elle s’est arrêtée de descendre. Elle avait les yeux fermés et se pinçait une lèvre. Je lui ai demandé si ça allait :

– Ça va. Ça fait juste un petit peu mal, je sens que ça tire quelque part.
– Ce doit être ton hymen. Respire profondément.

Elle a appliqué mes conseils, et a commencé de touts petits et très longs va-et-vient le long de mon pénis. Plusieurs minutes se sont écoulées sans que nous ne bougions. Je savais que dans ces cas-là, il faut laisser faire le temps. J’ai su que ça avait fonctionné car au bout d’un moment qui m’avait paru une éternité, j’ai senti le bord de son vagin glisser sur un bout de mon pénis qui avait été malheureux jusque-là. Tout doucement, ma sœur a continué sa descente. Encore. Je ne pouvais pas le voir, mais je sentais bien mon sexe qui se faisait de plus en plus enserré. J’ai ensuite senti le contact de ses cuisses sur mes hanches, et une fois au bout, Johanna s’est laissé peser sur moi. Elle devait être fatiguée d’être restée aussi longtemps accroupie au-dessus de moi. Enfin, après avoir retrouvé ses esprits, elle a soulevé son T-shirt jusqu’au nombril, me laissant voir son pubis pour la première fois, avec mon pénis à l’intérieur.

– Désolé de ne pas m’être rasée, dit-elle. Je sais que les garçons n’aiment pas les poils.
– Ne dis pas de bêtises ! ai-je répliqué. Tu es naturelle. Si un garçon n’aime pas ça, il n’a qu’à s’en aller. Moi, je reste.
– Pff ! t’es bête !
– En plus, les poils sont une sensibilité supplémentaire.

Disant cela, j’ai approché ma main et ai trifouillé ses poils pubiens.

– Hi ! Hi ! Tu me chatouilles, idiot !

Je n’étais pas mécontent de l’avoir chatouillé. Ce n’était peut-être pas très sexy, mais ça la faisait rire. C’est important d’être dans de bonnes dispositions lorsque l’on fait l’amour.

– Bref, ai-je continué, même s’il a des poils, ton pubis reste beau.
– Tu trouves que mon sexe est beau ?
– Oui. Et c’est normal, tu es belle toute entière.
– Tu dis ça, mais tu ne m’as jamais vu toute entière.

A ces mots, Johanna a soulevé son T-shirt lentement, langoureusement. Elle a fait apparaître son nombril, puis la zone des côtes flottantes, du sternum, et a enfin dévoilé ses seins. Elle a enlevé son vêtement en entier et s’est retrouvée torse nu face à moi. Nous étions entièrement nus l’un devant l’autre, l’un dans l’autre. Je restais pantois devant sa poitrine.

– Je sais que j’ai des petits seins… dit Johanna.
– Je m’en fous, la coupé-je. Tu as des seins, ce sont les tiens, ils sont naturels, mais plus important que tout, ils sont beaux. Tu sens l’effet que tu me fais ?

Il faut dire que cette vision avait renforcé, si c’était possible, mon érection. Je sentais les afflux de sang qui gonflaient ma hampe et mon gland de façon ponctuelle et répétée. J’ai posé mes mains sur les cuisses de ma sœur, et après les avoir un peu caressées, j’ai suivi les courbes de son corps jusque sur ses fesses, puis le long de son dos. J’ai passé mes mains sur son ventre, et j’ai remonté jusqu’au bas des seins. J’ai fait glisser mes pouces sur leur naissance inférieure pour remonter sur les côtés. Une fois au-dessus, j’ai descendu le bout de mes doigts sur leur chair, en évitant les mamelons. En bas, j’ai plaqué mes mains sur son corps et je les ai déplacées jusque sur sa poitrine. D’un simple contact, j’ai ensuite soupesé ses seins, puis les ai rapprochés l’un l’autre. Je les ai agrippés fortement mais gentiment pour ne pas lui faire mal et les ai attirés vers moi pour les repousser ensuite. J’ai fait parcourir mes ongles de haut en bas, et j’ai fini par poser mes paumes sur les côtés, et avec les pouces j’ai à peine effleuré ses mamelons. Elle a poussé un profond soupir. J’ai reposé mes pouces sur ses mamelons en restant une fraction de secondes de plus. J’ai recommencé. Je les ai caressés de bas en haut, de haut en bas, j’ai fait le tour des aréoles.

Pendant ce temps, mon amante, au départ statique, commençait à dodeliner, à se trémousser. Elle gémissait en fermant les yeux. Elle fit quelques va-et-vient le long de ma hampe en se soulevant à la verticale pendant un moment. Puis elle se pencha en avant et ondula du bassin d’avant en arrière pendant que je léchais ses seins. Mes mains étaient revenues sur les fesses de Johanna et accompagnaient chacun de ses mouvements. Je les caressais, je les malaxais. J’aimais att****r son bassin et le coller contre le mien, j’aimais sentir mon pénis profondément enfoui dans son vagin.

Elle s’est penchée un peu plus sur moi et m’a dit à l’oreille :

– Je prends la pilule.

Ces mots qu’elle m’avait lâchés n’étaient pas une information. C’était une invitation. Alors qu’elle s’allongeait contre mon ventre, je commençais à moi-même activer mon bassin. Je n’avais jusque-là qu’effectué des petits mouvements, j’ai donc entamé un vrai va-et-vient. J’enfonçais mon pénis au fond du vagin de Johanna puis le retirai un peu. Doucement d’abord, puis de plus en plus vite. J’ai ensuite retiré mon pénis jusqu’au gland, la partie la plus large de mon sexe, pour comprimer au maximum les capteurs sensitifs de son jardin secret, concentrés à l’entrée. J’ai ensuite joué à sortir complètement mon sexe du sien pour le remettre aussitôt. C’était comme si je pénétrais ma sœur à chaque seconde. Je sentais le jus qui montait. De son côté, Johanna semblait beaucoup apprécier. Elle respirait vite et fort. Elle m’embrassait sur la bouche, sur les joues, dans le coup où elle faisait une petite aspiration, revenait à ma bouche, donnait un petit coup de langue sur mes lèvres. Elle fermait les yeux. Elle gémissait de plus en plus. J’accélérais mes mouvements, tout en parcourant ses fesses de bas en haut avec mes ongles. Elle bougeait de plus en plus. Je la sentais venir.

– Johanna…

J’ai approché ma bouche de son oreille et lui ai murmuré ce qu’elle avait besoin d’entendre. Je lui ai murmuré ce que j’avais envie de lui dire, ce qui me brulait les lèvres. Je lui ai murmuré ce que je ressentais :

– Je t’aime…
– Oooh… !

Elle lâcha un grand cri. L’émotion devait être forte. Elle faisait l’amour pour la première fois, c’était avec son propre frère, et ce dernier lui disait « je t’aime ». Elle était en train de jouir. Tout cela m’a fait jouir aussi. Je me suis déversé dans son vagin. J’ai senti le sperme qui giclait à plusieurs reprises. Elle a dû le sentir aussi car elle a lâché un puissant :

– AAAH !

J’avais peur que mes parents n’entendent, mais apparemment non. Elle m’a embrassé avec beaucoup de fougue pendant que mon pénis avait ses derniers spasmes. Pendant qu’elle se reposait sur mon torse, haletante, je continuais à caresser ses fesses, le haut de ses cuisses et son dos. Quand elle s’est soulevée plusieurs minutes après, j’ai pu continuer ma tâche sur ses seins. J’avais lu une fois que pour une femme, faire l’amour ne devait pas être une fin en soi, mais qu’il devait y avoir un début et une fin. J’ai donc tout fait pour que sa première fois soit une réussite et j’ai continué à la caresser, à l’embrasser, à lui dire des mots d’amour, pendant de longues minutes. Mon pénis, devenu flasque, a repris sa vigueur peu de temps après l’acte, mais pas une seule fois je me suis retiré. C’est donc à l’intérieur du vagin de ma sœur que je suis redevenu dur. Comme nous étions fatigués et qu’il était tard, nous sommes restés dans cette position et nous nous sommes endormis.

Le lendemain matin, je me suis réveillé alors que nous étions dans la même position. Mon pénis était toujours dans le sexe de Johanna quand j’ai eu mon érection matinale (bien qu’ici le matin n’ait joué qu’un petit rôle dans mon érection). Vu qu’elle dormait encore, j’ai effectué de tout petits va-et-vient. Pour ne pas la réveiller. Elle était si belle quand elle dormait. Elle a fini par se réveiller, et m’a dit que c’était le meilleur réveil qu’elle avait connu dans sa vie. Nous avons refait l’amour dans cette position avant de nous lever.

Ma sœur et moi avons passé le reste de la semaine à faire l’amour toutes les nuits, et de temps en temps au réveil. Puis elle est retournée chez elle, appelée par son travail. J’ai regardé Paranormal Activity pour penser à elle. Je ne savais pas qu’un film à frisson pouvait m’exciter autant.

Nous avons pu nous revoir au cours des quelques mois qui ont suivi une fois de temps en temps, quand elle venait chez mes parents pour le week-end. Mais le mois de juin est arrivé, et j’ai eu mon diplôme. J’ai trouvé un emploi en septembre et j’ai dû déménager. Du coup, ma vie sexuelle est retombée à néant.

Je suis revenu chez mes parents la semaine de Noël, il y a moins d’un mois. Je pensais que ma relation i****tueuse avec Johanna pourrait se rallumer. En fait non, car elle n’avait pas les mêmes vacances que moi et nous ne nous sommes pas vus. Par contre, il y avait bien ma tante et mon oncle, mon cousin et… ma cousine, du même âge que moi.

Après quelques années à le lire, je me suis inscrit sur ce site il y a un mois, peu avant Noël, pour y écrire ma première histoire. J’ai aimé partager cette histoire avec ma mère avec vous, et après plusieurs mois sans sexe, cela m’a rappelé ces vacances particulières et m’a donné envie de recommencer cette année. Cette fois, j’ai pris les devants.

Ma cousine et moi avons appris à économiser l’eau de la douche en prenant une seule douche pour deux personnes.

Peut-être vous raconterai-je tout bientôt ?

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

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