Histoires de sexe noir Histoires porno Premières histoires de sexe

Le chien de ma voisine. (2)

Le chien de ma voisine. (2)



Ce matin, je me suis réveillé tard. Bobby, sur le tapis, bailla et vient me saluer.
Il m’a sailli trois fois, hier. Le matin, dès que nous sommes rentré de sa promenade. En fin d’après midi et cette nuit, après la sortie du soir.
Bon chien!
J’ai eu beaucoup de plaisir à être sa chienne durant ces deux jours et deux nuits.
Nous avons un peu exagéré avec mon anus, il est gonflé et sensible. Il faut dire que je me suis laissé défoncer selon son instinct, sauvagement. Sa bite, qui n’a pas l’air si grosse que cela, m’a ravagé et distendu le cul.

On sonne. Bobby est déjà à la porte.
Ma voisine est de retour. Bobby lui fait la fête. Il jappe, saute, lèche. Il y en a aussi pour moi.
Ma voisine rit et me dit:
– » On dirait que ça s’est bien passé entre vous.
Vous venez boire un thé? Au fait, je m’appelle Viviane. On se tutoie? »
Je la suis, rapportant la couverture et la gamelle de son chien.
Je lui dit qu’elle a l’air en pleine forme, comme d’habitude.
Elle me répond qu’après le décès de son mari, elle a perdu plus de trente kilos et que depuis elle pète le feu, été comme hiver.
Bien sûr, elle a un peu mal par-ci par-là…
Mais son Bobby la rend tellement heureuse qu’elle oublie tous ses soucis.
–  » N’est-ce pas, mon coquin? » Il renifle son entrejambes, elle le repousse doucement lui chuchotant
– » Plus tard, mon Bobby » Il vient me sentir aussi, elle le retient en s’excusant
– » C’est un véritable obsédé sexuel. Il ne t’a pas trop ennuyé? »
Je rougis violemment, voudrais disparaître sous terre. Elle rit de bon cœur.
Je me suis trahi!
Me regardant au fond des yeux, elle pose sa main sur ma jambe et me dit tout bas
– » C’est bon, hein? » La glace est brisée.
Elle me regarde, sérieuse, puis pensive.
Viviane à du être très belle dans sa jeunesse, ses traits sont harmonieux. Un petit nez, dans un visage assez large avec de beaux yeux bleus pétillants. Un joli sourire franc et sans retenue.
Bien sur, maintenant, elle est toute fripée, mais elle a conservé son charme juvénile.

Sérieuse, elle me prend les mains, plante son regard dans le mien et me dit:
– » Veux tu me faire plaisir? Depuis que mon mari est tombé malade, ça fait dix ans maintenant, je n’ai plus fait l’amour, sauf avec Bobby.
J’ai bientôt 78 ans, et je veux à nouveau connaître le plaisir avec un homme avant de m’en aller. »

L’autre nuit, j’ai eu le fantasme pervers de coucher avec elle et son chien, mais je n’y avais pensé que le temps d’une masturbation. Elle est vraiment trop vieille!

Mis là, face a sa proposition directe, je me sens moins sûr de moi. Je me rends compte que je bande. Elle s’en aperçoit aussi, et rit joyeusement. Elle se lève et rapporte le plateau du thé à la cuisine.
Resté seul, je me rends compte que son invitation me fait beaucoup d’effet et je sens mes principes fondre comme neige au soleil. Après tout, depuis deux jours, j’en avais déjà abandonné beaucoup.
Elle revient, me regarde en souriant et, constatant mon état qui s’est encore aggravé, elle me demande:
– » Maintenant? »
C’est le milieu de l’après-midi et le soleil éclaire en plein dans la chambre.
Je me lève et je l’embrasse. Je lui murmure
– » Oui! » Elle s’apprête à tirer les rideaux. – » Laisse, je veux te voir. »
Sans manières, avec grâce et naturel, à contre-jour devant la fenêtre, elle défait les boutons de sa chemise, laisse glisser sa jupe, roule son collant et enlève sa culotte.
Elle est assez grande, à peine voûtée. Sa posture est fière.
Sa silhouette est fine, la taille joliment marquée, un mignon petit ventre bombé. Les jambes et les bras plutôt maigres. Les cheveux mi-courts, très blancs.
Ses petits seins, qui devaient être très beaux autrefois, sont maintenant vides et pendent en louchant un peu.
Ses tétons, eux, sont bien droits et raides, ce qui les fait paraître énormes au bout de ces petits sacs pendants. L’intérieur de ses bras est tout fripé et sa peau, trop grande maintenant, forme de longs plis du coude à l’aisselle.
Son dos est comme un rideau de théâtre froissé, de chaque côté de sa colonne vertébrale saillante.
Son ventre flétri est parcouru de plis, formant des motifs sinueux.
L’intérieur de ses jambes aussi est complètement relâché. Des plis de peau rejoignent son sexe aux poils blancs, mis en valeur par le large espace séparant le haut de ses cuisses. Ses fesse, bien que pendantes et plissées ont encore un peu de volume. Sa peau molle est très claire, très fine, laissant transparaître un réseau bleuté de veines et de vaisseaux.

Je me sens très excité par ce corps chiffonné.

Tout en la regardant faire, je me suis déshabillé moi aussi. Elle s’approche un peu, se cachant le sexe et les seins, me disant:
– » Tu ne peux pas savoir comme je suis contente de voir un joli garçon dans ma chambre! »
Elle me détaille quelques instants.
– » Oh! Tu me donnes des frissons! »
Elle se précipite contre moi et me serre dans ses bras, plaquant tout son corps contre le mien!
Woaaawhh! Je n’avais jamais senti de contact aussi doux, sauf peut-être lors d’une soirée mousse sous extasy, il y a longtemps.

Elle est frêle et musclée à la fois. Sa peau est si fine et douce. Elle coulisse sur ses petits muscles. Je sens ses articulations comme si je les touchais directement, sensation très étrange. Je bande fort, ma queue bat contre sa chatte.
Les plis de sa trop grande peau font des vagues et glissent entre mes doigts. J’ai l’impression qu’elle est vêtue de crème Chantilly.
Je la sens trembler contre moi et elle me serre dans ses bras à la limite de m’étouffer. Elle respire très vite dans mon cou.
Soudain, elle me mord en poussant un cri rauque et s’immobilise, tous ses muscles tendus à se rompre, le souffle bloqué, vibrante…
Elle chancelle, ses genoux ne la portent plus.
Je la soutiens jusque au lit, m’assois tout au bord et me laisse doucement aller en arrière, l’entraînant sur moi.
Sa respiration se calme. Elle me murmure :
– » Merci »
J’ai énormément de plaisir à lui caresser le dos et les fesses. J’ai l’impression de malaxer de la crème épaisse. Elle est si douce et si légère!
Mon sexe, tendu à mort s’appuie contre le sien. Elle bouge un peu son bassin et se frotte contre ma tige. Ça glisse.
Surprise, elle se touche la chatte. Elle rit.
– » Moi qui pensais être définitivement sèche… »

Elle profite de la position pour se cambrer et pousser mon bout dans sa grotte suintante de désir.
Elle reste ainsi un moment, immobile, soupirant, gémissant doucement. Je sens des frémissements au bout de ma queue.
Lentement, elle se redresse, nous emboîtant de plus en plus profondément l’un dans l’autre. Je caresse avec délice ses seins pendants, joue avec ses mamelons semblables à des framboises.
Elle s’appuie de ses mains sur mes genoux, se cambre, la tête rejetée en arrière. Son cou tendu fait ressortir ses tendons et ses clavicules.
Elle cherche du bassin le fond de son fond, et reste à nouveau immobile, tendue, poussant un très long gémissement, jusque au bout de son souffle.
Je malaxe et chiffonne son ventre et sa poitrine flasque.
Elle remue lentement son bassin autour de mon pieu fiché en elle. Je vois son bas ventre se gonfler, tendant la peau et faisant ressortir les veines bleues qui la parcourent. De temps en temps, elle reprend son souffle, très rapidement, comme si elle nageait.
Son ventre enfle encore plus.
Je saisis ses gros tétons et tire sur les sacs qui étaient ses seins. Elle émet un cri rauque, du plus profond de ses entrailles, et son vagin se contracte violemment en une longue suite de spasmes Tout son corps en est agité, ses ongles plantés dans mes genoux.
Je sens son jus couler sur mes couilles.
Je jouis comme un fou dans sa vieille chatte palpitante et brûlante.

Viviane s’écroule sur moi, vibrante, épuisée.
Elle trouve quand même la force de me faire des baisers langoureux dans le cou en gémissant tout faiblement.
Je suis tout remué par cet assaut de tendresse.

Je sens quelque chose de froid se presser entre mes genoux. Salut Bobby!
J’écarte les jambes en grand et il nous lèche consciencieusement. Nous sommes toujours encastrés et ressentons chacun les frissons de l’autre sous la langue râpeuse du chien.
Au bout d’un moment, il se lasse, ne trouvant plus de friandise.
Après m’avoir embrassé, Viviane me quitte dans un joli bruit de succion et se se laisse tomber à coté de moi, une jambe sur la mienne, l’autre pied sur le bord du lit. Nous nous caressons pendant que Bobby se régale de nos jus. Il n’en laisse aucune trace, ni dehors, ni dedans.
Viviane jouit une nouvelle fois, doucement et longtemps.
Elle revient avec du thé, des biscuits et une plaque de chocolat.
– » Tu m’a donné faim! » Nous grignotons sur le lit, épaule contre épaule.

– » Ça me plairait de voir mon Bobby te prendre. Tu en as envie? »
Je m’entends lui dire oui avant qu’elle n’ait fini sa phrase.
– » mais il faut que j’aille aux toilettes avant. »
Elle repose sa tasse, m’empoigne par le sexe en gloussant et m’entraîne dans la salle de bain.
– » Je vais m’occuper de toi. J’étais infirmière et c’était le soin que je préférais administrer à mes patients. »
Elle m’installe au dessus de la baignoire, dévisse le pommeau de la douche, et fait couler de l’eau tiède. Elle promène le petit jet sur ma rondelle. Je frissonne et me sens m’ouvrir.
– » Oh quel joli cul tu as, on dirait une bouche attendant un baiser. » et elle l’embrasse y glissant sa langue frétillante.

Je sens l’eau s’insinuer délicieusement dans mon cul. Lorsque je suis plein, je me redresse pour aller me soulager sur les toilettes. Elle me claque les fesses en me disant: – » Bouge pas! J’en ai vu d’autres! »
Je me soulage devant elle, puis elle me remplit à nouveau. Trois fois. Elle me dit de serrer fort et enfile un doigt mouillé de salive dans mon anus que j’ai de la peine à garder serré. Elle le fait tourner, frottant les parois de mon rectum distendu – » Oh! Elle est grande ta grotte! » Je ne peux plus tenir et je me vide sur son doigt. Elle en introduit un deuxième et les écarte, je me vide encore un peu pendant qu’elle joue dans mon trou.
Elle me donne une nouvelle claque et dit:
– » A mon tour! »

Elle tire sur une fesse, me dévoilant une pastille ferme et joliment étoilée dont la couleur sombre contraste avec sa peau parcheminée. Comme ses tétons, elle ressort de manière impressionnante.
Elle rit sous mon jet et je lui applique avec bonheur le même traitement.

Nos nous séchons mutuellement et regagnons la chambre.
Viviane me fait asseoir tout au bord du lit. Elle déballe le chocolat, m’écarte les jambes et me glisse lentement une barre dans le fondement. Elle la pousse avec son doigt bien au fond, et me resserre les genoux. Bobby qui tournait comme un fou autour d’elle, tente de m’écarter les jambes, essaye par dessous, par dessus, insiste. Viviane s’allonge à côté de moi et me caresse le sexe, l’embrasse sur toute sa longueur, me suçote le bout pendant que le chien cherche toujours à atteindre mon cul.
Viviane se redresse en disant:
-« Excuse moi, mais ce sera mieux comme ça. » Elle se tourne puis pose ses dents dans le tiroir de la table de chevet.

Effectivement, on ne m’avais jamais fait une telle pipe! Elle me mord, secoue mon nœud dans sa bouche, il n’y a que de la douceur. Le sens mon plaisir monter. Tout en tétant ma bite frémissante, elle m’écarte les jambes et Bobby se précipite, la langue en avant, pouvant enfin déguster le chocolat tant convoité. C’est si fort que je jouis brutalement dans sa bouche édentée.
Elle m’aspire, me boit, me vide.
Viviane s’installe à genoux sur le lit au dessus de mon visage. Elle tient mes jambes remontées pendant que je dévore sa chatte fripée et dégoulinante de jus salé. La langue du chien entre et sort délicieusement de mon anus.
Je vibre, je vois des éclairs devant mes yeux, cette langue tour à tour douce, râpeuse, puissante, s’insinue dans chaque recoin de mon ventre, me tirant des gémissements de plaisir. Lorsque le chien ne trouve plus rien il s’éloigne. En direction de la plaque de chocolat, bien sûr.
Viviane me demande si je suis prêt, car Bobby bande fort. Je soupire un oui. Elle l’appelle et le chien ne se fait pas prier. Viviane remonte un peu plus mes jambes, pour trouver le bon angle, Bobby pistonne dans le vide quelques fois puis se plante dans mon cul frémissant.
En deux coups il est au fond, s’agitant frénétiquement. A chaque poussée, mes couilles sont bousculées par son ventre velu. Il me bourre sauvagement, son coup de rein est fantastique. Il grossit tellement qu’il va m’exploser le trou.
Puis il me serre plus fort la taille entre ses pattes, assure sa prise tout au fond de mon cul. Il devient immense et libère un torrent de foutre chaud dans mes entrailles.
Viviane va se mettre à côté de lui, le caresse en le félicitant pour son énergie. Je lui murmure: – » laisse le se retourner. » Elle me demande:
– » Tu es sûr? »
– » Oh, oui! »
Elle s’écarte un peu, Bobby se démène. Viviane aide sa patte arrière à passer au dessus de mes fesses.
Il m’arrache le cul!
Elle le retient en moi. Je suis explosé.
Il continue de m’injecter son foutre brûlant par saccades…

Je le sens se dégonfler, il tire encore, et soudain d’une traction plus forte il force le passage. Je crie de plaisir, couvrant le gros bruit de ventouse que mon cul éclaté vient de produire.
Viviane, qui se branlait à genoux à côté de son chien, jouit au même moment dans un grand cri.

Bobby me lèche pendant que Viviane pompe les dernières giclées de sa bite violette.
Je suis agité de frissons, totalement étourdi.
Je sens des mouvements dans mon cul. Viviane, toujours à genoux entre mes jambes, fouille de ses doigts mon orifice grand ouvert.
Tout doucement elle glisse sa main entière dans mon trou baveux, sans rencontrer de résistance.
Elle bouge avec lenteur, me massant les tripes. C’est plus que délicieux!
Elle saisit mon bout entre ses lèvres et m’aspire dans sa bouche édentée.
Je suis en extase.
Je la sens se crisper légèrement, bouger un peu. J’ouvre les yeux.
Bobby est en train de saillir sa maîtresse.
Il ne s’arrête donc jamais?
Il la défonce, la pistonne avec furie.
Je devrais dire qu’il nous défonce, car chacune de ses poussées m’est transmise par la main dans mon cul et la bouche autour de ma bite.
Bobby pousse plus fort et s’immobilise, planté et pulsant dans la chatte distendue de sa maîtresse.
Viviane est partie pour les étoiles. Je sens sa bouche trembler autour de ma bite. Bobby se retourne, lui arrachant un grand gémissement et une crispation que je ressens délicieusement.

Le chien s’arrache de son ventre. Le mouvement et la douleur font que Viviane arrache sa main du mien. Nous jouissons ensemble, nos gouffres bouillonnants. Nous restons hébétés, vibrants
Viviane qui a toujours mon sexe dans la bouche, n’a plus la force de bouger et reste ainsi, la tête sur ma jambe, bouche ouverte, bavant autour de ma pine. Cette fois j’en suis certain, je ne pourrai plus jamais refermer mon cul.

Bien plus tard, après un délicieux repas préparé en cinq minutes, mais dégusté en une heure, nus, jouant à manger sur ou dans le corps de l’autre, nous nous retrouvons sur son lit.
Je suis fou d’elle, drapée dans sa peau trop grande, fluide et si douce.
Elle ne se lasse pas de caresser et pétrir mon corps, pas si musclé ni aussi ferme que je le voudrais, mais qu’elle à l’air de trouver très à son goût.

Nous nous embrassons, nous tripotons fiévreusement. On se chatouille, on rit.
Bobby vient nous rejoindre, nous chahutons tous les trois sur le lit.

Pause!
Bobby est couché entre nous. Nos doigts se croisent de temps en temps dans l’épais pelage frisé, au hasard de nos caresses distraites.
Je remarque que Bobby apprécie beaucoup. Il bande.
Il est infatigable celui-là!
La main de Viviane me rejoint, et nous le branlons en chœur. Bobby s’étire, baille et reste sur le dos, offert à nos caresse.
Je le suce tout doucement, Viviane me rejoint et Bobby pousse un petit grognement de satisfaction.
Viviane l’enjambe, se met à quatre pattes et frotte sa fente contre le bout de la pine violette.
Le spectacle me coupe le souffle. Ses seins vides ballottent et la peau de son ventre pend comme un drap de soie mouillé. Les nouveaux plis qui se forment autour de son corps m’excitent au plus haut point.
Elle introduit habilement le sexe du chien dans sa chatte baveuse et me dit:
– » Encule moi, s’il te plaît »
Je ne me fais pas prier plus que ça!
Son cul est entrouvert, palpitant, m’invitant de petits baisers envoyés dans le vide.
Je la pénètre doucement. Elle recule à ma rencontre et celle du chien, elle bouge son bassin, offrant à chacun des membres qui l’envahissent le meilleur angle possible. Nous sommes arrivés ensemble à notre longueur maximum, Bobby et moi.
Viviane continue ses petits mouvements de bassin, sur un rythme soutenu.
Je sens Bobby gonfler à l’intérieur de son vagin, je commence à me sentir à l’étroit dans son cul. Je fais de légers allez retours, Bobby grogne, Viviane gémit.
Je vais un peu plus fort et je sens que les muscles de son cul renoncent à résister. Bobby gonfle encore…
Soudain, Viviane se fige, tous les muscles bandés. Je sens contre ma queue et mes couilles les spasmes du chien qui éjacule au fond de son vagin.
Je la défonce, lui pistonnant le cul comme une machine folle. Je la laboure au plus profond, sauvagement, perdant tout contrôle.
Viviane hurle.
Bobby grogne, je le branle dans le ventre de sa maîtresse. Je sens sa queue qui n’arrête pas de pulser au fond de ce ventre explosé.
Je jouis, presque douloureusement, tellement c’est fort, remplissant à mon tour Viviane de mon jus brûlant.
Elle respire très vite, j’ai soudain peur pour son vieux cœur.
Sa respiration se calme enfin. Nous sommes toujours soudés tous les trois par nos sexes palpitants, chacun se dégonflant lentement, dans un bouquet de glissements et de petits spasmes.

Nous reprenons conscience bien plus tard, elle avec mon sexe dans sa main, moi avec deux doigts dans sa chatte. Bobby dort sur sa couverture.

Il est une heure du matin, je rentre dormir chez moi.
Viviane me dit:
– » Garde la clé. Une nuit, quand tu veux, entre tout doucement et viole moi, s’il te plaît. Très fort!
C’est un fantasme que j’ai depuis l’âge de huit ans, et je ne veux pas mourir sans avoir connu ça!
Je sais que ça peut paraître très étrange, mais j’ai accompli tout ce que je devais faire et maintenant je règle des comptes avec moi même!
Aide moi, je t’en prie. »

Ça fait cinq ans que j’habite cet immeuble, me limitant à « bonjour-bonsoir » avec mes voisins.
Vous, ne perdez pas autant de temps que moi, parlez à vos voisins, n’hésitez pas à demander un petit service.

En fin de compte, un immeuble ressemble à un calendrier de l’Avent; derrière chaque porte, une surprise.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire