Cette histoire m’est arrivé l’année la semaine dernière durant un week-end chez mes parents.
Depuis mon rapport avec tante Béatrice, brune aux yeux marrons, encore jolie pour son âge (64 ans, 1.68m pour 82kg environ), une bonne poitrine légèrement tombante vu qu’elle a eu 2 enfants, et un gros cul.
Un vendredi tranquille chez mes parents. Mon téléphone sonne.
– Oui.
– Tati ?
– Oui, j’ai un souci avec l’ordinateur. Tu peux passer pour voir ce que c’est stp ?
Moi, trop content d’avoir une occasion de revoir tati, je réponds oui j’arrive. Je me rends donc chez elle, à 25 minutes de chez mes parents. Je me gare, la tête pleine de pensées hard, voire bien dégueulasses. Je sonne et elle m’ouvre quasiment instantanément.
– Ah, merci d’être venu. Désolé de t’embêter.
– Tu me n’embête pas tati.
Elle me fait rentrer dans l’appartement. Je la suis direction le bureau, et je ne peux pas m’empêcher de mater son gros cul, bien moulé par sa robe, malgré les contours de son tanga. Je commence à bander.
Arrivé devant l’ordinateur, j’identifie rapidement le problème :
– C’est juste le box internet qui a eu un bug. Suffit juste de le redémarrer.
– Merci. Si j’avais su, je l’aurais fait. Pardon de t’avoir fait déplacer pour si peu. Tu veux boire quelque chose ?
N’étant pas pressé et voulant en profiter au maximum, je ne me fis pas prier. On se retrouve dans le salon. Elle me serre un verre et on discute du problème. J’ai du mal à la regarder dans les yeux quand je pense, il y a quelque mois je les baissé comme un fou. Son décolleté étant assez important. A ce moment-là, elle le remarque, car elle me fait un petit sourire en coin et me lance un drôle de regard. Et là, elle me dit :
– Tu sais Seb tu me manques beaucoup. Je n’arrête pas penser à ce qui s’est passé entre nous. J’ai envie de recommencé et profité que tu es en Alsace.
– Oui, j’avoue, tu me manques aussi tata. Je n’arrête pas de penser à toi, a tes jolies formes, a ce qui s’est passé.
– Elle se lève du canapé, me rejoint et s’approche de moi :
– Alors comme ça, je te manque ? Vas-y, touche-les. Je sais que tu attends que ça.
A la fois surpris et excité, je m’exécute sans attendre. Je commence par les caresser, puis je les plote vigoureusement. A entendre les petits soupirs qu’elle pousse, j’en déduis que ça lui fait de l’effet. Je fais descendre mes mains le long de ses cuisses, et arrivé au bas de sa robe, je glisse mes mains dessous. Je commence à remonter sa robe, et je découvre qu’elle porte un petit tanga blanc. Je continue de lui caresser le cul, puis je me colle à elle et je fais glisser mes mains sur son ventre, et je remonte jusqu’à agripper ses seins bien charnus et volumineux. Elle soupire plus fort et commence à pousser des petits gémissements. Je bande comme un fou, et elle le sent à travers mon jeans, car elle commence à faire onduler son bassin. Je commence à l’embrasser dans le cou et je fais tomber sur le côté les bretelles de sa robe et de son soutien-gorge. Puis je les abaisse pour libérer ses gros nichons, afin de mieux les malaxer. Ma bite est en feu mais je décide de continuer mes caresses sur ma tante. Au bout de quelques minutes, je prends les choses en mains. Je la retourne, je commence à lui bouffer les tétons et sans prévenir. Je glisse ma main dans son tanga, et là, je suis surpris de voir sa chatte si bouillante. Preuve que mes caresses lui manquaient. Je trouve son clito et le tripote d’abord doucement, puis de plus en plus fort. Ce qui a pour effet de la faire mouiller un max, car je sens de la cyprine commencer à tremper son tanga.
D’un seul coup, elle m’enlève ma main et me dit :
– J’en peux plus, prends-moi tout de suite chérie. Baise-moi !
J’abaisse sont tanga qui est maintenant trempée, je la fais s’asseoir sur le canapé. Elle écarte ses jambes en grand. Je déboutonne mon jeans, pour enfin libérer mon engin. Ma queue n’étant pas forcément longue, mais bien large. Je me mets entre ses jambes, je positionne ma bite à l’entrée de sa chatte bien ouverte ruisselante de cyprine. Et là j’enfonce ma queue d’une traite, arrachant à tati Béa un cri de jouissance. Je me mets à faire des va et viens, sa chatte est trempée. Je m’amuse à changer la cadence, ralentir et faire des mouvements très doux, puis accélérer et la pilonner de toutes mes forces, ce qui au bout de quelques minutes a pour effet de lui faire avoir un orgasme assez violent, car elle crie très fort et son corps se contracte et tremble. Je suis aux anges, j’ai l’impression de rêver : je suis en train de baiser tati, dans le salon, et je viens de la faire jouir ! je la laisse reprendre son souffle.
– J’ai juste une envie de la prendre en levrette. Mets-toi à 4 pattes, tati !
Elle s’exécute et me présente son cul, avec sa chatte bien ouverte et luisante, et son petit trou tout rose et bien serré. Je la défonce littéralement, lui arrachant des cris de plus en plus fort. Je sens sa mouille couler le long de mes couilles. Un, puis deux orgasmes. Tati tremble et mouille fort car ma queue fait un bruit de succion chaque fois que je m’enfonce au fond de sa chatte. Je peine à me contrôler, l’orgasme n’est pas loin. Lorsque pris d’une pulsion, j’introduis mon pouce dans son petit trou. Surprise, elle se raidit et me regarde :
– Oui, je veux que tu me prennes par-là !
Je sors ma bite de sa chatte dégoulinante, et la présente à l’entrée de son cul. Je pousse tout doucement, mon gland commence à rentrer puis son trou se détend complètement. Je commence à faire des allers-retours. Son cul est tellement chaud et étroit ! je prends un pied monstrueux, Entre deux cris de plaisir, elle arrive à articuler :
– Putain, c’est trop bon.
Et là, tati se met à gicler de la chatte ! La bonne giclée d’une femme mûre qui a un orgasme énorme et qui ne contrôle plus son corps. En entendant ça, je jouis quasiment instantanément, de longs jets de sperme bien épais, tout au fond de son cul. Je me retire et admire son anus, suintant de mon foutre. Nous nous rhabillons, et elle me dit avec un grand sourire :
– Ton week-end commence à peine
– Pas de soucis, dis-je.
Le jour suivant elle me téléphona :
– Allo ?
– Oui c’est moi. Ça va ?
– oui très bien merci !
– Dis, j’ai service à te demander. Tu pourrais m’emmener sur Strasbourg cette après-midi ? La voiture à un souci.
– Je suis disponible, dit-moi à quelle heure je dois venir.
– Viens pour 14h, s’il te plait. Merci beaucoup !
– De rien, tati !
Dans l’après-midi, étant prêt. Je décidais d’aller chez tati avec une heure d’avance. Je sonnais à la porte. Elle m’ouvrit, un peu surprise de me voir sitôt. Elle portait sa petite nuisette. Elle me fit la bise avec un grand sourire. A travers sa tenue, je vis qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, car ses tétons ressortaient assez fort. En la suivant dans le salon, comme d’habitude. Je matais son gros cul en me disant « dire que hier, je l’ai enculé sur son canapé ». Et là, je me rendis compte qu’elle ne portait pas de culotte non plus, car j’arrivais à distinguer clairement le creux de ses fesses !!! Je commençais à bander, Elle me proposa un café, et nous commençâmes à discuter :
– Alors, ça a été ta soirée hier soir ?
– Oui, oui, niquel j’ai revu des amis dans un bar.
Je n’arrivais pas à engager la conversation, trop occupé à repenser aux évènements de hier. Elle faisait comme si rien n’avait eu lieu, et cela me perturbait.
– Je pensais pas que tu arriveras si tôt, je n’ai pas eu le temps de me préparer. Je n’en ai pas pour longtemps je vais me préparer.
– Pas de soucis, j’ai tout mon temps.
Elle fit tomber la télécommande de la télé, et au lieu de s’accroupir. Elle se pencha en avant, mettant son cul bien en valeur. Sa nuisette remonta jusqu’au bas de ses fesses. La vue était très excitante.
– En fait, je voulais te voir, pour qu’on continue ce qu’on à commencer hier, dit-elle. Je pensai que tu profiterais de l’occasion de ton petit séjour chez tes parents pour venir tous les jours s’occupé de ta tante.
– Bien sûr tati, je vais m’occuper de toi durant ce week-end. Tout en me disant ça, elle s’était rapprochée de moi. Ma bite était tellement raide que j’aurais pu casser des briques avec.
– J’ai envie de toi Seb.
– Moi aussi, tata.
J’ai alors enlever la nuisette à tati et j’ai attrapé son cul. Je le tripotai avec mes doigts, puis j’écartai ses fesses, ce qui la fit gémir. Je décidai de lui faire quelque chose qu’elle va adorée, je suis certain. Je la saisis par la taille et la fit s’assoir sur le canapé. J’écartai ses cuisses, puis ses grandes lèvres. Sa chatte sentait très fort la cyprine, ça devait faire longtemps qu’elle était excitée. Je me mis à lécher avec application son clito, en allant de haut en bas, puis en faisant des cercles, ce qui eut pour effet de lui faire pousser un véritable râle de plaisir. Je descendis ma langue à l’entrée de son vagin, elle était littéralement trempée. Je me régalais de sa mouille, et quand j’enfonçais ma langue dans son trou, elle se cambrait de plaisir. Je me retirais, histoire de faire durer le plaisir. Je me redressais et l’embrassait langoureusement, sa langue cherchant la mienne. En même temps, je lui glissai 2 doigts dans la chatte et me mit à faire des va-et-vient. Je sentais sa chatte se contracter et elle me dit en gémissant :
– Oh oui c’est bon ! Tu vas me faire jouir !
Son orgasme ne tarda pas à arriver, car elle se mit à crier en mettant sa tête en arrière, et je sentis de la cyprine couler sur ma main. Ce n’était pas comme la giclée de la dernière fois, mais ça s’annonçait prometteur pour la suite. Elle me regarda et me dit :
– Viens on va dans la chambre, ce sera plus confortable.
Je la suivis. J’en profitai pour regarder son cul, je vis que de la mouille commençait à couler entre ses cuisses. Arrivé dans la chambre, elle me fit allonger sur le lit, elle se positionna à 4 pattes entre mes jambes, et enfourna ma queue dans sa bouche. Je m’étais déjà fait sucé pas mal de fois, par des femmes, mais je crois que c’était la meilleure pipe de ma vie. Je sentis que j’allais envoyer la sauce :
– Tati, je vais jouir.
Au lieu de s’arrêter, elle intensifia ses mouvements et aspira plus fort encore. Mes couilles se contractèrent et j’éjaculai mais tati l’avala entièrement. Elle se retourna, toujours à 4 pattes, pour me présenter son cul :
– Je n’en ai pas fini avec toi !
Sa chatte était tellement mouillée. Je me remis à bander fort, alors que d’habitude, ça n’arrive jamais après que j’ai joui. Je me redressai, me rapprochai d’elle et sans prévenir, j’enfonçai ma bite dans sa chatte trempée. Je me suis mis à faire des grands mouvements, prenant mon pied comme pas possible. Tati criait :
– Oh, plus fort ! vas-y ! défonce-moi mon grand !
J’accélérai encore, et l’orgasme vint la cueillir au bout de quelques secondes. Elle se raidit, ma queue ressortit et ma tante se mis sur le côté. Submergé par le plaisir, ne lui laissant aucun répit. Je l’allongeai sur le dos, les jambes en l’air et bien écartées et je repris mon pilonnage. Elle n’arrêtait de crier que pour reprendre son souffle. Tati était à ma merci. Elle était à la fois si belle et si salope dans son regard, alors j’intensifiai mes assauts pour la faire jouir encore et encore et encore. Elle n’en pouvait plus, moi non plus, donc je décidai de finir. Je sortis ma bite de sa chatte, elle était tellement bien ouverte que j’aurai pu mettre mon poing. Je plaçais mon gland à l’entrée de sa petite rondelle :
– Je vais t’enculer, tati comme hier.
Elle hocha la tête. Elle ferma les yeux lorsque j’introduisis mon gland, mais les ouvrit en grand dès que ma bite fut entièrement dans son cul. J’y allais tout doucement, puis voyant l’effet produit. J’y allais de plus en plus fort :
– Oh mon dieu, c’est trop bon ! Encore, encore ! je vais jouir ! Seb.
Et comme je me doutai, sa chatte se contracta et se mit à gicler à grands jets, m’aspergeant littéralement. Son anus se contracta également sur ma bite. C’était si chaud et étroit qui je ne mis pas longtemps à cracher un flot de sperme dans son cul. Je venais d’avoir le meilleur orgasme de ma vie. Ses jambes tremblaient de son orgasme, et au bout de quelques jets de mouille, elle s’arrêta enfin. Je m’allongeai à ses côtés, elle se blottit contre moi en me disant :
– Je n’ai jamais autant pris mon pied de toute ma vie. Que ces derniers mois.
– Moi aussi, tu es incroyable tati.
Puis nous nous sommes habillée calmement après toutes ces émotions. Nous décidons d’aller en ville sur Strasbourg pour du shopping. Nous commençons le trajet, qui devait durer 30min environ ou nous discutions de tout et rien.
Au bout d’un moment, n’en pouvant plus, j’abordai notre acte de tout à l’heure :
– C’était fantastique avant, dis-je en posant ma main sur sa cuisse, en bas de sa robe, juste pour sentir le contact de son collant.
– Oui, c’était vraiment bon. Ça m’a un peu gênée de me lâcher sur toi comme ça, je ne contrôlai plus rien.
– Il n’y a pas de mal, j’ai adoré ça. Elle me regarda en me faisant un grand sourire et en pressant ma main. En plus :
– La journée n’est pas finie.
– Je sais, mais après il faut que je rentre rejoindre mes parents ont à des invités se soir.
Nous arrivons sur le parking du centre commercial. Puis nous avions commencé dévalisé les magasins lorsque nous nous arrêtons devant un magasin de lingerie. On entre. Après avoir choisi plusieurs modèles (String, tanga, shorty, body), Tati proposa de les essayer avant de les acheter. Puis nous sommes allés vers la cabine la plus loin du magasin. J’étais assez gênée de devoir attendre ma tante devant la cabine, tati me proposa alors :
– Tu peux me dégrafer mon soutif.
– Oui tati, avec plaisir.
Je me suis rendu compte que lorsque je lui enlevai le soutif, ses tétons pointaient. Un sourire vint illuminer mon visage et elle me dit :
– Dis donc, j’ai l’impression que ça te plaît ? Non.
– Oui tati.
Quand je commençai à lui caresser les seins. Tati rapproche sa main de son tanga et déclara fière d’elle :
– Humm, elle a l’air d’être prête.
Je lui glisse un doigt dans son tanga pour vérifier son état et me dit :
– Alors, mon petit sa t’excite dans un magasin je vois.
– Oui gêné, mais je vois ça te plaît aussi de te faire caresser dans une cabine, hein tati.
– Si tu veux me satisfaire entièrement je veux que tu me lèche la chatte ici.
Elle descend son tanga. Je commence à jouer avec son clito, sa chatte est une vraie fontaine. Tati crier tout son bonheur lorsque la voix d’une vendeuse se fit entendre :
– Est-ce que tout va bien ?
– Vous n’avez pas de problème avec les tailles ?
– Non tout va bien répond tati, j’arrive je suis en train d’essayer ma dernière tenue.
Elle me fixe, se retenant de rire, et me glisse à l’oreille :
– Désolé, nous n’avons pas le temps de finir notre petite affaire. On remet ça à plus tard.
– Dommage, ne remets pas tes sous-vêtements tu verras tati comme c’est bon de ne rien avoir en dessous.
Elle prend les tenues que l’on à essayer et les passa sur sa chatte, sont liquide chaud couler. Tati continue de s’essuyer. On s’est rhabillé et nous sommes sortis de la cabine pour se dirigé vers la caisse. Tati donna tout le lot à la vendeuse et elle dit qu’elle prend tout. La vendeuse eu un léger sourire lorsqu’elle touche le tissu. Elle posa le tout sur le comptoir et se baissa pour prendre un sachet sous la caisse. Elle se releva et nous fit un merveilleux sourire. Je décide de lui payer les achats et avant de sortir la vendeuse nous dit :
– Merci pour cet achat, j’espère que nos sous-vêtements vous donnerons encore beaucoup de plaisir. On se regardé satisfait et nous allons vers la porte.
Le retour se passa dans le silence quasi complet. Arrivé chez elle, nous rentrons dans l’appartement :
– Attends 2 minutes, je vais à la chambre j’arrive.
Au bout de plusieurs minutes, ne la voyant pas revenir, je me dirigeai vers la chambre. Je collai mon oreille à la porte et je n’entendais rien. Je mis ma main sur la poignée de la porte, en espérant qu’elle ne soit pas verrouillée. Elle ne l’était pas, donc j’ouvris la porte, et je ne fus pas déçu du spectacle : Tati était en train de mettre son nouveau Body noir.
– Tu aurais dû me dire que tu essayer ta lingerie !
Surpris par mon intrusion, elle me regarda et me dit :
– Je voulais te faire une surprise en te fessant un défilé.
– D’accord, pas besoin tati de me faire un défilé tu m’excite déjà.
– Mais j’en peux plus tu me rends si folle que je voulais te remercier pour tout.
– Tu veux me remercier ? Mets-toi à 4 pattes.
Elle s’exécuta. Elle me regarda bizarrement, mais elle m’obéit. Tati était terriblement excitante dans cette position, le cul en arrière et les cuisses écartées. Je m’approchais d’elle, et commençai à caresser ses fesses, puis d’une main, j’abaissais le haut du body à bretelles pour faire sortir ses gros seins, qui retombèrent légèrement. Je me mis à lui malaxer le sein gauche assez fort et avec ma main droite. Je lui retirai sont body puis j’humidifiai mes doigts en les frottant à l’entrée de sa chatte qui était brûlante et trempée. Puis j’enfonçai deux doigts dans sa chatte, ce qui lui arracha un cri de plaisir. Je me mis à faire coulisser mes doigts pendant que je tripotai toujours son sein gauche. Elle gémissait de plus en plus, et de la cyprine ruisselai jusqu’à mes doigts. J’insérai un troisième doigt, puis un quatrième et le poing. J’accélérai la cadence. Au bout d’un moment, je sentis sa chatte se contracter, et un énorme orgasme arriva sans prévenir. Elle se mit à crier, son corps fut secoué de spasmes, et elle se mit à gicler en abondance. Je ne lui laissai pas de répit et continuai mon mouvement avec mes doigts, et un second orgasme la secoua une fois de plus, toujours avec des jets de mouille impressionnant. Je ressortis ma main, déboutonnai mon jeans et sortit ma bite. Je l’enfonce furieusement dans sa chatte, et dans l’état où Tati Béatrice m’avais mis, mon jus ne tarda pas à monter : je déchargeai allègrement mon foutre dans sa chatte. Une fois fini, je la regardai, toujours dans la même position, encore sous le choc de ses orgasmes et lui elle me dit :
– Il va falloir qu’on se débrouille pour qu’on se revoit dans ton studio, je ne pourrais pas attendre que tu reviennes.
– Oui tati je t’invite à passer quelques jours avec moi.
Nous nous rhabillâmes, elle me raccompagna à la porte, et avant de l’ouvrir, m’embrassa tendrement :
– A bientôt, chéri !
– Au revoir, tati, j’ai passé un agréable week-end.
Je suis repartis le cœur et les couilles légers, sachant qu’on se reverrai dans quelque temps dans mon studio.
(Histoire réel)
Sébastien
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