Comme chaque soir depuis que j’ai acquis la confiance du patron de l’hôtel restaurant où j’effectue un stage en réception, je suis en charge de la fermeture de l’établissement après le départ des derniers clients. Ce soir, en salle c’est Stéphanie qui s’occupe des derniers clients. La préparation des départs du lendemain achevée, je n’ai plus grand chose à faire à la réception, je me colle au bar, pour nettoyer les derniers verres et histoire de discuter un peu avec Stéphanie ne perdant aucune miette de ses allées et venues dans sa mini jupe noire virevoltant entre les tables, son corps fin, ses jambes élancées me font me sentir bien en cette fin de soirée.
Je suis assis ou plutôt affalé dans le noir sur une banquette face à la télé qui diffuse un film quelconque lorsque Stéphanie entre dans la pièce, visiblement fatiguée de sa journée, pieds nus sur la moquette, les chaussures à la main. Elle prend une chaise, la place devant la banquette et elle s’assied sur cette dernière à mes côtés tout en posant ses jambes sur la chaise. Elle me demande ce que je regarde et si je vais rester longtemps, car devant fermer l’établissement elle devra partir pour rejoindre sa chambre un peu plus loin dans la rue. Elle est logée par l’hôtel dans une maison louée par le propriétaire pour ses employés. Nous les stagiaires avons des chambres dans une annexe de l’hôtel. N’ayant pas envie de me coucher de suite, je lui dit que je vais rester là à regarder la télé histoire de décompresser un peu de la journée. Stéphanie décide de rester également. Le film n’est vraiment pas intéressant, je préfère porter discrètement mon regard sur les jambes nues de ma voisine. Je me redresse un peu histoire de me contenir, de me calmer aussi, je desserre ma cravate.
– attends je vais t’aider à l’enlever
– si tu veux merci
Stéphanie se redresse et dénoue ma cravate, l’enlève et ouvre un bouton de ma chemise.
J’ose un baiser sur sa joue, elle accepte, se tourne vers moi, et m’embrasse à pleine bouche, un long baiser voluptueux et passionné. D’une main elle déboutonne son chemisier, me laissant découvrir ses tout petits seins qui comme elle dit n’ont pas besoin de soutien gorge. Je décide de partir à la découverte de son corps, l’occasion est trop belle, nous sommes seuls au bar de l’hôtel, toutes les portes sont fermées. Mes lèvres esquissent des baisers dans son cou, Stéphanie garde les yeux clos, semble apprécier. Je descends doucement vers ses tétons longs et durs je les caresse de ma langue, tourne autour, m’y attarde encouragé par sa respiration plus intense. Je poursuis ma route, déboutonne les derniers remparts de son chemiser, tout en faisant glisser ma langue le long de son ventre, découvrant son petit nombril. Je suis à genoux au sol, Stéphanie à moitié couchée sur cette banquette. Je veux lui enlever sa jupe, elle refuse, plus tard me dit-elle, continues. Mes mains caressent ses jambes nues, ses cuisses musclées, je dépose des baisers sur sa peau si douce, ses fines chevilles que je masse, puis ses petits pieds que j’embrasse, je me retrouve assis à terre face à elle entrain de masser et lécher ses pieds, un moment juste empli de sensualité. Imperceptiblement Stéphanie écarte les jambes me laissant apercevoir sous sa jupe noire, une étoffe blanche dernier rempart vers son intimité. Me redressant quelque peu j’entame une longue remontée le long de ses jambes, déposant des baisers ça et là au fil de mon chemin vers mon ultime quête qu’est ce tissus blanc, ou plutôt ce qu’il dissimule. Mon visage s’approche, Stéphanie qui n’a pas quitté sa jupe la relève pour me laisser le passage, je découvre son string blanc, humide, trempé je dirais, mes lèvres voyagent entre ses cuisses, glissent sur le tissus, elle lève les fesses pour me faire comprendre que j’ai l’autorisation d’enlever ce rempart. Je ne me fais pas prier et suis ravi de découvrir son sexe entièrement épilé, ma langue vient lécher maladroitement son sexe, je l’embrasse, je le pénètre d’un doigt, elle se caresse le clitoris sous mes yeux, ma bouche se promène entre ses cuisses. Mon sexe est tendu dans mon pantalon, alors que je me redresse pour l’enlever, la lumière s’allume dans les escaliers, nous nous relevons en toute hâte, Stéphanie remets son chemisier et s’enfuit derrière le bar alors qu’un client entre dans la pièce en demandant s’il peut encore avoir une tisane. Bien que le bar soit déjà fermé, je m’exécute et lui prépare sa boisson tout en remarquant le string blanc sous la banquette. Le client remonte satisfait avec son petit plateau, Stéphanie sort de sa cachette, me dépose un baiser sur la joue et s’en va en disant :
– une prochaine fois…
Je récupère ma cravate, ferme le bar, et je pars me coucher, la queue basse comme qui dirait. Une fois dehors, je repense à ce moment délicieux, je fais demi-tour, retourne au bar, le string était encore à terre.
L’avantage d’être en stage en réception c’est de travailler soit le matin jusqu’à 14h soit en soirée jusqu’à la fermeture. Aujourd’hui je termine à 14h, je rentre donc dans ma chambre, traversant le parking sous une pluie battante, j’arrive trempé bien entendu. Julien, stagiaire en cuisine qui partage ma chambre me voit arriver et me demande :
– il pleut ?
– non je viens de traverser la rivière à la nage
– ah d’accord. Vas te sécher tu vas att****r la mort
– oui je vais prendre une douche, par contre c’est cuit pour la balade, pas de bol pour ta journée de congé
– oui ça me gave, à chaque fois que j’ai repos il pleut, je vais me reposer comme dirais le chef…
Julien se pose sur son lit, je prends la direction de la salle de bains, histoire de prendre une bonne douche chaude et faire sécher mes vêtements. Je ressors, vêtu d’une serviette autour de la taille, je rentre dans la chambre et découvre Julien en caleçon sur son lit surpris de mon entrée il remets le drap sur lui.
– Qu’est ce que tu fais ? lui dis-je
– Rien
– Tu lisais quoi ?
– Un magazine sans importance
– Si je te dérange je peux retourner dans la salle de bain si tu veux
– Nan c’est bon restes.
– Je ne veux pas t’empêcher de te faire plaisir si c’est ça que tu faisais ?
– Ben oui ça t’arrives jamais ?
– Si comme tout le monde je pense
Alors que je me dirige vers l’armoire pour prendre des vêtements, Julien ressort le magazine qu’il avait caché sous son drap.
– Tiens c’est ça que je lisais
– Union, c’est des histoires de cul c’est ça ?
– Oui tu veux voir ?
– Donnes
– Non assieds toi avec moi, on regarde ensemble
– Euhh
– Ça va, on se connaît
– Ok
Je m’assieds à côté de Julien sur son lit, lui en caleçon, moi vêtu d’une simple serviette.
– viens plus près si tu veux lire, il est petit ce magazine
– t’aurais pu choisir plus grand comme bouquin
– c’est plus facile à planquer comme ça
– pas faux je lui répond en m’approchant de lui
– je lisais ça
L’histoire d’une jeune auto stoppeuse qui se fait prendre, c’est le cas de le dire, par un couple. Est-ce la lecture ou la proximité de Julien, mais j’ai du mal à contenir un début d’érection. Je jette un œil au caleçon de Julien qui lui aussi semble bander.
– tu bandes ? me demande Julien
– oui et toi ?
– oui
Je pose ma main sur la serviette et commence à me caresser à travers le tissu, jamais je n’aurais pensé faire cela à côté d’un mec.
– après tout on est fait pareil dit Julien en enlevant son caleçon, révélant un sexe de belle taille
– c’est clair
– ben enlève ta serviette qu’on soit à égalité
– ok – je défait cette serviette mon sexe pointe, je le caresse doucement.
– Tu t’es déjà branlé avec un pote ?
– Non jamais et toi ?
– Jamais non plus, j’suis pas homo
– Moi non plus
Nous sommes tous les deux nus sur un lit, la queue raide, le magazine est posé sur le drap, on ne le regarde plus, on se masturbe, je ne peux quitter le sexe de Julien des yeux, je le voit faire des vas et viens avec sa main et étrangement ça m’excite.
– Christophe, je peux toucher ta queue ?
– Euh, oui si tu veux
Julien approche sa main doucement, il s’empare de ma queue et commence à me masturber lentement.
– ça fait drôle de tenir une autre bite
– t’aimes ?
– c’est bizarre, mais ça va. Tu veux essayer ?
– oui
Je prends mon courage à deux mains, mais sa queue d’une seule… Je caresse de mes doigts cette tige tendue, sa peau est douce, je le branle. Nous sommes tous deux entrain de nous masturber mutuellement, jamais je n’aurais imaginé cela, mais j’y prends du plaisir, Julien aussi visiblement. Excité par la situation j’en veux plus :
– Julien, je peux essayer de te sucer ?
– Vas-y
Julien relâche mon sexe, je me mets à genoux sur le lit, je me penche et approche mon visage de sa queue tendue. Je suis impressionné par sa taille, longue et épaisse, je la saisit de ma main, et ma langue vient se poser sur son gland timidement, c’est doux, je lèche ce gland comme je le ferais d’une glace, je descend le long de sa queue, étrange sensation. J’ouvre la bouche et enfourne cette bite, je commence à le pomper, je suis excité, Julien gémit. Ma bouche se referme sur son membre ma langue lèche son gland, je lui masse les couilles.
– Continues, c’est bon je vais gicler
– Préviens moi
Pas le temps de répondre que je sens sa queue se raidir, et palpiter dans ma bouche, Julien est entrain d’éjaculer dans ma bouche. Je reçois deux jets chauds sur la langue avant de retirer sa queue, le reste du sperme venant s’écraser sur son ventre. Je me couche à ses côtés, Julien se redresse et reprends mon sexe pour me masturber, il ne faut que très peu de temps pour que je gicle à mon tour dans sa main. Julien me demande :
– T’as aimé ?
– Oui c’est excitant non ?
– Franchement oui, désolé d’avoir giclé sans te prévenir
– Pas grave
– T’en as avalé ?
– Oui
– Et ?
– Chaud, pas désagréable j’ai encore le gout en bouche
– Vraiment ?
– Ben oui
– Je peux te rouler une pelle ?
– Après ce qu’on vient de faire, pourquoi pas…
Nous nous embrassons langoureusement.
– j’ai besoin de retourner prendre une bonne douche
– moi aussi, je viens avec toi ?
– euh non les autres vont débarquer le service de midi est fini
– ah oui, ça reste entre nous s’il te plait
– bien entendu
– par contre j’aimerais bien recommencer t’en penses quoi ?
– je suis pas contre…
à suivre…
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