L’histoire qui suit commence un dimanche à trois heures du matin. J’ai fait le mur pour sortir, je rentre de broîte avec une amie. Nous sommes toutes deux bien alcoolisées, elle peut être un peu plus que moi puisqu’elle n’arrive pas à avancer sans s’appuyer sur moi.
Sur le trajet, une voiture s’arrête à notre hauteur, au volant j’aperçois Olivier. Olivier est un ami de ma mère et le père d’une des filles de ma classe. Il me ramène souvent du lycée et ce n’est lui que ma mère appelle quand elle n’arrive plus à gérer avec moi. Ma mère lui a probablement demandé de venir me chercher. Je lui demande quand même:
« Qu’est-ce que tu fous là ? »
Il me répond calmement:
« Ta mère m’a téléphoné, elle s’inquiétait et, c’est pour ça que je suis là »
« Elle me fait chier celle-là, mais vue que t’es là tu vas nous ramener »
L’autre conne me fait mal à s’appuyer sur moi, je ne vais pas refuser un taxi.
Sans attendre sa réponse je monte à l’arrière emmenant mon boulet avec moi. On empeste l’alcool il l’a surement senti mais ne fait pas de commentaire. Je me penche vers lui et dis tranquillement:
« Bon il faut déposer ma copine, tu sais où est la rue X, oui alors tu y vas, je te dirais où t’arrêter »
Il se rend dans la rue indiquée sans rechigner, je lui indique où me arrêter et je descends pour accompagner mon amie chez elle. En m’éloignant j’ai comme l’impression qu’il me matte ce ne serait pas la première fois. Je l’ai souvent surpris à me lancer des regards de pervers, je porte un jean super-moulant avec des bottes noires à talon, qui mettent mon cul en valeur et un petit top blanc ma veste est restée dans la voiture.
Je dépose ma copine vite faite sur le canapé, puis m’attarde dans la cuisine histoire de boire un verre d’eau et de me faire un sandwich, l’alcool commence à sérieusement m’attaquer le cerveau.
Je sors après de longues minutes Olivier et toujours la à m’attendre, il baisse la vitre et me dit:
« Chloé tu exagères là, je suis déjà gentil de venir te chercher à cette heure-là, mais je ne suis pas ici pour t’attendre, ok . »
Il me fait chier celui-la je ne réponds pas je m’installais coté passager, le regarde avec un sourire narquois et lâche:
« T’es là pourquoi ? »
« Je te l’aie déjà dit, c’est ta mère qui … »
Je l’interromps:
« Ouais, ma mère a pleuré et puis quoi ? t’étais pas obligé de répondre, c’est toi qui as accepté, non ! Alors vu que t’es là, autant que tu serves à quelque chose, où est le problème, bon tu démarres où on fait de la sure place ?»
Contente de ma saillie, je mets pieds sur le tableau de bord pour étirer mes jambes endolories et j’ajoute:
« t’as des clopes avec toi, donne-m’en une »
Je vois qu’il ne sait pas sur quel ton me répondre, quel con…il essaie de reprendre consistance et répond froidement:
«Pour commencer tu vas enlever tes pieds du tableau de bord, et ne fume pas dans la voiture ok .»
Il me fait péter un plomb se connard à me donner des ordres, je ne me contrôle plus et je crie:
« Arrête-toi »
Sur le coup de la surprise il freine immédiatement, et me regarde interloqué. Je retire mes pieds du tableau de bord me tourne vers lui et lui décroche une gifle en le regardant droit dans les yeux. L’effet de surprise est total il ne s’y attendait pas. Je continue de le fixer et d’un ton ferme comme pour donner un ordre je dis:
« Je t’ai demandé une putain de clope, alors tu me donnes une clope, et vite»
« ça va par Chloé, qu’est qui te prend ? »
Une seconde gifle vient s’abattre sur sa joue, il ne va pas me faire chier:
« t’as l’air de kiffer ça toi, je veux une clope c’est clair, tu la prends, tu me l’allume et tu me la donne, ensuite tu démarres et tu fermes ta gueule, ok ? »
Il ne comprend rien à ce qui lui arrive, le con obéi il sort une cigarette l’allume et me la donne. Je reprends mes aises sur le tableau de bord pendant qu’il démarre et suis la route en direction de chez moi.
Après deux minutes ça caisse est un véritable aquarium, la fumée a complètement envahi l’habitacle et il me demande tout penaud:
« Chloé, tu peux pas ouvrir un peu ta fenêtre pour la fumée s’il te plait»
Je réponds, toujours aussi ferme:
« t’as qu’a ouvrir la tienne»
Ce qu’il fit, faute de choix, puis voyant qu’il regardait mes jambes posées sur son pauvre tableau de bord je décide de me foutre un peu de sa gueule et je dis avec une voie rieuse:
« T’aurais voulu que je sois en jupe, Hein, t’aurais pu me mater tranquille»
« Non ce n’est pas … »
« Arrête de jouer au père modèle, je suis sûr que même en jean je te fais grave bander, tu crois que je te vois pas me mater à chaque fois que tu le peux, je t’excite a fond, hein, je suis même sûr que tu te branles en pensant a moi, pas vrai »
Il ne sait pas quoi répondre, tout ce que je dis et vrai il ne perd jamais une occasion de me reluquer, d’ailleurs en le disant je jette un œil à son entrejambe et je m’aperçois qu’il a une bonne grosse trique en ce moment même. Quel porc ! Qu’est-ce qu’y a bien pu le mettre dans cet état ? mon insolence ? mes jambes ? ou tout simplement la paire de gifles que je lui ai collés tout à l’heure ? peu importe ça joue en ma faveur? Je décide d’en profiter, j’affiche un sourire de satisfaction et dis moqueuse :
« Tu bandes, je te claque et je te fais bander, c’est trop marrant »
« Arrête s’il te plaît, c’est gênant »
Une idée me traverse l’esprit:
« Je vais être sympa, tu vas pouvoir te branler en me matant »
« Arrête tes bêtises, on arrive chez toi »
Je durcis mon regard et reprends mon ton agressif de plus tôt:
« Je sais, s’était par une question connard, arrêtes-toi devant le garage, et coupe le moteur »
« Voilà, je suis devant le garage, mais pourquoi couper le moteur ? »
Je lui balance une nouvelle gifle un peu moins forte que les autres. (la position allongée, les jambes sur le tableau de bord me donnant moins de force)
« Tu kiffes ça te faire claquer ?, coupe le moteur j’ai dit, ou t’en veux une autre peu être . »
Il s’exécute et coupe le moteur, je reste immobile continue de finir de fumer ma cigarette, puis lentement tourne ma tête dans sa direction:
« Sors ta queue »
« Ici ? »
Il n’a rien trouvé de mieux à répondre, c’est a pleurer de rire j’improvise son humiliation au fur et à mesure il ne fait que me faciliter les choses.
« Sors-la ! »
« D’accord, d’accord… »
Il panique, baisse légèrement le pantalon de jogging qu’il avait dû enfiler à la va-vite avant de venir me chercher et son boxer. Sa queue était bien raide, je le savais je l’excite à mort.
« Aller, Branles-toi »
« Devant chez toi ? »
Je le rassure:
«T’inquiète, si ma mère t’avait entendu arriver elle serait déjà la…Il y a personne. Aller branle toi !»
Il en crève d’envie, il prend sa bite en main et commence à aller et venir en me regardant, il fixe mes cuisses étendues dans mon jean moulant, mes seins galbé dans mon top. Moi je le fixe avec un large sourire moqueur, crachant ma fumée de cigarette dans sa direction…Finalement le con lâche avec une petite voix:
« Tu es belle »
Ahurissant…il me donne envie d’en remettre une couche.
« Mais oui, je suis belle, descend maintenant »
« Comment ça, descends ? »
« Tu descends et tu vas m’ouvrir la porte, je ne vais pas passer la nuit avec toi dans la voiture quand même »
Il remonte vite fait son jogging, sort de la voiture pour en faire le tour et m’ouvre la portière. Immobile, je garde ma position et me tourne vers lui:
« Je t’ai jamais demandé d’arrêter de te branler… aller vite, tu te branles »
« dehors ?»
« Oui, et tu te mets à genoux pour te branler, allez dépêches-toi sale porc »
Il n’en peut plus c’est tellement évident, il est prêt à tout. Il se met a genoux ressort sa bite et reprend sa petite branlette, il lève la tète et fixe mon corps en se branlant de plus en plus vite. Je m’intéresse de sa queue de plus prés, elle n’est pas bien grosse. Je lance en rigolant:
« Moué, tu n’as pas de quoi été fière »
Je sors de la voiture, je me tiens debout face à lui. Il est à genoux à mes pieds la situation m’amuse beaucoup. Je repense à toute cette fin de soirée à comment d’un simple coup de sang je suis arrivée à cette victoire totale.
Cette pensée dessine un large sourire sur mon visage. Je place ma main gauche sur sa tête et je balance lui balance une gifle magistrale avec l’autre:
« Alors ça vient ? je t’excite pas assez »
« Si… Si tu es très belle, Ha, c’est bon »
Et il gicle devant moi, je ne peux pas m’empêcher de rire:
«Ne secoue pas ta queue, remet la comme ça dans ton froc, ça te fera un joli souvenir de moi, et tu attends bien que je sois rentré pour te lever, d’accord ? »
« Oui Chloé »
Je place à nouveau ma main sur sa tête, je lui agrippe les cheveux pour tirer son visage vers moi. Le con s’attend à recevoir une claque de plus mais je lui dis juste sèchement:
« Pas Chloé, mais mademoiselle et c’est vous »
Je le lâche et rentre tranquillement chez moi par le garage. Je me dépêche de traverser le garage pour me poster à la petite fenêtre je veux voir sa réaction. J’arrive juste a temps pour le voir se lever et ses dépêcher de rentrer dans sa voiture tout honteux.
J’étais hilare, ce gros con était venue me sermonner, me faire sa petite leçon sur le respect, et il s’était retrouvé à se masturber à mes pieds en pleine rue comme un pervers . En plus de ça j’avais pris un certain plaisir à le soumettre… peut être que ce n’est que le début…
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