Je m’appelle Magalie, j’ai 27 ans et j’ai eu une enfance très branchée religion. Chez nous, le sexe n’avait sa place que dans le chapitre de la procréation… Heureusement pour moi, je suis en couple depuis plusieurs années avec Pierre. Il est très ouvert sur la question de la chose et il m’y a fait prendre goût. Je suis encore loin d’être une experte, mais j’ai récemment commencé à pratiquer l’exhib’ devant le clavier… Et un tout petit peu dans la rue, aussi : je laisse furtivement apparaître un sein, pas plus ! Bref, l’histoire que je vais vous raconter s’est passée lors de la dernière Saint Valentin. Pierre avait décidé d’être mon esclave de jeu pour toute la matinée tandis que moi, je le serais pour l’après-midi.
La première partie de la journée s’est déroulée tranquillement, rien de bien spécial. La seconde, en revanche, restera à jamais gravée dans ma mémoire. Pierre m’avait acheté une petite tenue très osée : une robe rose ultracourte et fendue sur le devant jusqu’au nombril. Le décolleté était tellement généreux qu’au moindre geste, ma poitrine sortait. Il avait accompagné la tenue d’une paire de bas autofixants et recouvert l’ensemble d’un bon manteau pour me protéger du froid parisien. Mais, une fois que nous sommes montés dans la voiture, plus question de garder le manteau ! Vous imaginez comme je pouvais me sentir nue… Nous roulions depuis quelques minutes lorsque j’ai compris ce qui m’attendait : Pierre venait de prendre la direction d’une banlieue chaude dans le « 9-3 » ! Le jeu consistait à demander notre chemin à des p’tits jeunes et évidemment, c’était à moi de m’y coller…
Le premier garçon que nous avons rencontré a été tout à fait diligent, il nous a renseignés avec une foule de détails, en répétant le chemin une bonne dizaine de fois. Il n’était pas pressé de nous voir partir, le loulou, il me zyeutait à fond. Moi, j’étais terriblement gênée, je voulais qu’on déguerpisse ! Pierre m’a gentiment rappelé que j’étais son esclave pour le restant de la journée et que je lui devais une obéissance aveugle. Pour me faire pardonner, je l’ai embrassé à pleine bouche, là, dans ce parking de cité tellement sordide qu’on l’aurait cru sorti d’une scène du journal télé. Je me sentais toute cochonne, la fièvre est remontée d’un coup. J’ai fermé les yeux pour essayer de me prendre au jeu, de me laisser aller. Lui, par contre, il est resté maître de la situation. D’une main, il m’a caressé la poitrine et de l’autre, il a ôté mon string, prétextant que ça me gênait plus qu’autre chose. Lorsque j’ai ouvert les yeux à nouveau, j’ai aperçu un beau jeune homme qui se rinçait l’oeil devant ma portière… La honte !
J’étais écarlate, prête à exploser, mais étant donné qu’il avait déjà dû voir mes fesses quelques instants auparavant (pendant que mon homme m’effeuillait), j’ai décidé d’y aller carrément… Marre de passer pour la prude de service à la fin ! Je me suis lancée dans un strip-tease endiablé sous leurs regards médusés. Avec une souplesse toute féline, j’ai étiré ma jambe et méticuleusement enlevé mes bas l’un après l’autre. J’ai ensuite effleuré ma poitrine, titillé mes bouts à travers ma robe de fille de joie. Pour finir, j’ai arrimé mes pieds sur le tableau de bord et j’ai caressé mon sexe presque intégralement épilé. Au début, je me sentais un peu maladroite, mais ensuite, j’ai fermé les yeux et je me suis touchée avec passion, imaginant que c’était eux qui me branlaient au lieu de me regarder, ces salauds. Je suis partie loin dans mon fantasme, me tripotant comme une forcenée, la tête basculée en arrière, les yeux révulsés… Et, lorsque j’ai retrouvé mes sens, le premier jeune homme si poli, qui nous avait indiqué notre chemin, était de retour. C’est à ce moment que j’ai compris leur petit manège : c’était lui qui avait envoyé le deuxième ! J’étais déjà une star dans le quartier… J’avais un peu honte mais j’étais aussi très fière de moi…
Pour finir en beauté, je leur ai laissé un petit souvenir : j’ai entrouvert ma fenêtre et je leur ai offert mon string… Ils l’ont pris et sont partis en rigolant. Je me suis retournée vers mon homme et j’ai eu un bon mot : « A eux mon string, mais à toi mon cul, salopard ! » Et il l’a copieusement farci quand nous sommes revenus à la maison, croyez-moi sur parole…Depuis cette aventure, je garde en moi le désir branlant d’être caressée à travers les vêtements sous les yeux de mon mec. Si un(e) prétendant(e) est intéressé(e), qu’il ou elle n’hésite pas à se faire connaître par e-mail. Je ne manquerai pas de tenir notre magazine préféré informé !
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