Histoires de baise Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe viol

Tatie Solange 5

Tatie Solange 5



Tatie Solange V

Madame Herbert :

Les mains dans les poches, Guillaume, tel un touriste, déambulait dans les rues de Capbreton. A mesure qu’il avançait en direction de l’océan, il reconnaissait les endroits où il avait grandi. Certes depuis les années de son adolescence, les transformations avaient été nombreuses. Mais certains lieux n’avaient pas trop changé et le renvoyaient avec émotion vers sa prime jeunesse.
Nicole était restée avec Solange. Elles avaient tant de choses à se raconter. Même Jérémy avait refusé de l’accompagner dans sa promenade matinale, préférant demeurer avec sa mère et sa tante qui le cajolait depuis son arrivée, la veille.
Ses pas l’amenèrent jusqu’à la promenade du « Front de mer » surplombant la longue plage de sable fin où il resta à contempler les rouleaux impressionnants venant mourir sur le sable fin. Combien de fois avaient-ils, Solange et lui, errés, le long de la grève, à la recherche de coquillages. Un souvenir lui revint brusquement en mémoire.
« Un jour, alors qu’ils se promenaient, Solange et lui, le long de la plage, ils étaient tombés sur un couple qui se croyant seul, derrière une dune, se prouvait leur affection. La femme d’une quarantaine d’années, à genoux au-dessus de son compagnon étendu sur le sable, lui suçait la queue… A plat ventre dans la dune, sa sœur et lui avaient assisté de visu à ce qu’était une fellation. Bien sûr, ils en avaient entendu parler à mots couverts par les adultes, mais là ils assistaient en direct à ce type de caresse et ce qu’ils découvraient les avait intéressés, au point qu’ils restèrent cachés jusqu’à ce que la femme se redresse, un sourire rayonnant aux lèvres.
Une fois que le couple se fut éloigné en se tenant par la taille, Solange, qui avait toujours été la plus dévergondée des deux, lui avait demandé :
— Tu veux que je te fasse pareil ?
— Que tu me fasses quoi ? Avait questionné Guillaume, qui à cette époque était encore extrêmement innocent par rapport à sa sœur.
— Que je te suce la bite, comme la femme tout à l’heure, lui avait précisé Solange.
Guillaume avait d’abord été surpris par la demande de sa jumelle. Puis, comme il faisait toujours les quatre volontés de cette dernière, il accepta de se prêter au jeu de sa sœur. Etendu dans le sable, il avait alors laissé Solange lui descendre son short et son slip.
Il se souvenait de la surprise de sa sœur lorsque celle-ci s’était trouvée face à son sexe raidi, conséquence du spectacle auquel ils venaient d’assister. Mais Solange avait très vite repris ses esprits. Imitant la femme qu’ils avaient épiée, elle avait immédiatement aspiré le gland dilaté dans sa bouche.
Ce fut la première fellation que connut Guillaume et c’est sa jumelle qui lui avait offerte. Ils avaient quinze ans.
Le soir même, Solange était venue le rejoindre en catimini dans sa chambre. Sitôt la porte refermée derrière elle, elle s’était débarrassée de sa chemise de nuit et c’est entièrement nue qu’elle vint le rejoindre dans son lit. C’était la première fois qu’il voyait une fille dénudée et même si cette fille était sa jumelle Guillaume avait senti sa libido s’affoler. Si bien que lorsque Solange, un doigt sur les lèvres pour lui signifier de garder le silence, lui retira son pantalon de pyjama, elle se retrouva, comme l’après-midi, face à sa queue fièrement dressée.
Sans un mot, ne voulant pas attirer l’attention de leurs parents couchés dans la chambre voisine, Solange s’était alors allongée sur lui, tête-bêche. Malgré son innocence, Guillaume avait immédiatement compris ce que désirait sa sœur. Aussi, alors que celle-ci aspira sa queue pour une nouvelle fellation, il plaqua sa bouche à la longue fente rose qui se présentait à lui. Ce fut pour Solange et lui le plus merveilleux soixante-neuf qu’ils avaient connus. »
Des cris d’enfants courant sur la plage ramenèrent soudainement Guillaume à la réalité. Chassant de son esprit les souvenirs des moments i****tueux qu’il avait vécus avec sa jumelle, il abandonna son poste d’observation. La tête encore remplie d’images agréables, il reprit sa promenade, empruntant les rues au hasard de ses pas. Or, le hasard vous joue des fois des tours étonnants. Guillaume s’en rendit compte lorsqu’il se retrouva, sans l’avoir voulu, dans la rue où habitait son ancienne institutrice, Mme Herbert. Etonné et quelque peu amusé par ce coup du sort, Maxime décida alors de chercher la demeure de celle qui lui avait enseigné le français jadis.
Arrivé devant une maison typiquement landaise, aux volets peints en bleu, Guillaume reconnut immédiatement son ancien professeur vaquant au milieu d’un parterre de roses. Soudainement ému, il demeura immobile devant le portillon en bois, n’osant le franchir. Mme Herbert lui apparaissait telle qu’elle était à l’époque, certes un peu vieillie, un peu plus enveloppée au niveau des hanches, mais avec toujours ce maintien qui la faisait remarquer et faisait fantasmer tous ses élèves. A cette époque, elle portait de longs cheveux bruns qui lui tombaient dans le dos et avec sa silhouette élancée elle avait vraiment l’allure d’une danseuse de fandango. « L’Espagnole avait d’ailleurs été le surnom que ses écoliers lui avaient donné ». Mais ce qui faisait surtout fantasmer les adolescents qu’elle instruisait, étaient ses seins extraordinaires qui déformaient ses corsages et qui les frôlaient lorsqu’elle se penchait sur eux pour une explication de texte.
Sachant que dans l’éducation, l’âge de la retraite pour les professeurs est de cinquante-cinq ans, Guillaume calcula que, d’après ce que sa sœur lui avait annoncé la veille, son ancienne institutrice devait avoir autour de soixante ans. La détaillant plus particulièrement, il dut se rendre à l’évidence, Mme Herbert avait gardé une fière silhouette, même si les années avaient quelque peu enrobé sa taille et ses hanches. Par contre d’après ce qu’il pouvait en deviner, sous son tablier qui la vêtait, sa poitrine semblait bien, toujours aussi volumineuse
Mme Herbert, profitait de cette fraicheur de début de matinée pour couper les roses fanées de son massif et en cueillir quelques-unes pour embellir son intérieur. C’était là sa première tâche de la journée. Comme elle recherchait des yeux la rose exceptionnelle qui rendrait son bouquet plus beau, elle remarqua une silhouette masculine immobile devant le portillon de sa villa. Pensant que cet inconnu avait besoin d’un renseignement, elle s’approcha, ravie de pouvoir rendre service.
— Que puis-je pour vous ? demanda-t-elle, aimable.
— Madame Herbert… tenta de se présenter Guillaume, trop ému pour finir sa phrase.
La femme, son bouquet de roses à la main, dévisagea ce jeune homme qui demeurait immobile à la fixer avec une espèce de tendresse dans le regard. Soudain, une certitude lui traversa l’esprit : elle connaissait ce visage ! C’était celui d’un ancien élève qu’elle avait eu dans le passé. Plongeant son regard au fond des yeux qui l’observaient avec une certaine sympathie, un flash lui traversa l’esprit. C’était là le regard de cet amant, avec lequel elle avait passé tant de moments intimes, en cachette de tous, car étant mariés tous les deux. Jamais personne, et encore moins leurs conjoints, ne s’étaient doutés de leur liaison amoureuse, tant ils s’étaient montrés discrets. Cette liaison avait duré cinq ans, jusqu’au jour tragique où son amant était décédé lors d’un accident de la route, laissant une veuve et une amante éplorées. Paul, se souvint-elle, avait un fils, ou plutôt des jumeaux ; un garçon et une fille qu’elle avait eus comme élèves jadis. Et du fait de sa liaison avec son père, elle s’était prise d’affection avec le garçon.
— Guillaume ! s’exclama-t-elle… C’est toi ?… C’est bien toi ?…
— Oouu… oui, bégaya Guillaume ému.
— Mais… mais ne reste pas là. Entre !
Comme il s’engageait sur le sentier de gravier bordé par les rosiers, Guillaume se souvint soudain du prénom de son ancienne institutrice. Elle se prénommait justement « Rose ». Etait-ce la raison pour que cette dernière cultive avec abondance ces fleurs qui portaient son prénom, s’interrogea Guillaume en admirant la profusion de couleur. Rose, puisque c’est ainsi qu’elle se prénommait, guida son ancien élève jusqu’à l’intérieur de sa superbe villa, meublé avec recherche. Le précédant, elle le mena jusqu’à une immense pièce faisant office de salle à manger et salon. Lui désignant l’un des fauteuils de cuir, elle l’invita à y prendre place.
— Je suis heureuse de ta visite, lui confia-t-elle en s’asseyant à son tour sur un second fauteuil… Mais peut-être veux-tu boire quelque chose ?…
Avant que son invité ait pu répondre, elle précisa :
— J’ai un « Loupiac » de cinq ans d’âge, un vrai délice, je vais le chercher. Tu m’en diras des nouvelles…
N’attendant pas la réponse de Guillaume, Rose s’éclipsa pour aller quérir le nectar annoncé.
Se retrouvant seul, Guillaume s’intéressa à la décoration de la pièce. Au centre des quatre fauteuils en cuir marron se trouvait une table basse de salon en marbre, sur laquelle trônait un magnifique bouquet de roses rouges dans un vase en verre effilé. Aux murs, plusieurs tableaux, certainement de valeur, attiraient le regard. Une magnifique commode et quelques guéridons, tous en marqueterie, datant du siècle dernier, meublaient le salon. Sur chacun de ces meubles, un bouquet de roses de différentes couleurs embellissait la pièce. Près de l’immense baie vitrée, qui laissait entrer les rayons du soleil se trouvait une longue table, entourée de ses chaises. Quelques plantes vertes venaient compléter le décor.
Un bruit de pas tira soudainement Guillaume de ses pensées. Rose apparut une bouteille de vin blanc à la main, qu’elle déposa sur la table :
— Veux-tu la déboucher, pendant que je me change. Je me voudrais de te recevoir dans cet accoutrement, précisa-t-elle. Tu trouveras un tire-bouchon et des verres dans la commode…
Alors que son hôtesse avait de nouveau quitté la pièce, Guillaume se consacra à la tâche que celle-ci lui avait demandée. Il eut le temps d’aller prendre deux verres dans la commode, de déboucher la bouteille et d’installer le tout sur la table vernie, avant que la porte par laquelle Rose avait disparu s’ouvre de nouveau. Dirigeant son regard dans sa direction, il demeura confondu par ce qu’il découvrait. Son hôtesse avait troqué son tablier sous lequel elle portait un survêtement, pour une robe en jean à manche courte et décolletée, fermée sur le devant par une série de boutons. Très ajusté, ce vêtement mettait en valeur un corps encore agréable à contempler, songea Guillaume, malgré les rondeurs dû aux années. Au niveau de la poitrine, le tissu paraissait gonflé par une poitrine encore très séduisante. S’arrêtant au-dessus des genoux, la robe dévoilait une paire de jambes étonnamment nerveuses.
Admiratif devant cette apparition, Guillaume n’en revenait pas. Lorsque sa sœur lui avait parlé de leur ancienne institutrice, il s’était représenté cette dernière comme une vieille femme aux cheveux blancs. Or ce qu’il découvrait présentement contredisait quelque peu l’image qu’il s’était faite de Mme Herbert. Certes cette dernière n’avait plus sa longue chevelure noire, elle portait dorénavant les cheveux courts, d’un blanc de neige. Ce qui donnait à son visage une douceur extrême. Son visage, du fait de sa bonhomie, était très peu marqué par les années passées, sauf quelques rides qui étaient apparues aux coins de ses yeux couleur noisette. Ces mêmes rides apparaissaient aussi au coin de ses lèvres lorsqu’elle souriait. Et comme elle souriait très souvent, ces rides ne risquaient pas de disparaître de sitôt. Elle portait toujours les mêmes lunettes rondes, qui lui donnaient un air sérieux, qui forçait au respect.
C’est justement avec ce sourire que Rose désigna la bouteille de vin blanc sur la table :
— Il ne m’en reste plus que cinq de cette année, précisa-t-elle… Je ne les sors que pour les grandes occasions… Et justement, ta visite se doit d’être fêtée… Attends, il doit me rester quelque chose à grignoter avec ce vin… Sers-nous à boire…
Rose pivota vivement pour se diriger vers la commode où se trouvaient les victuailles.
Tout en remplissant les verres à vin de style, Guillaume suivit son hôtesse des yeux, appréciant le balancement de ses hanches ; ce n’était pas là le déhanchement exagéré de certaines femmes qui veulent attiser le désir des mâles, mais un mouvement parfaitement naturel. Lorsque Rose, ayant ouvert les battants de la commode, se plia en avant pour récupérer les amuse-gueules qui se trouvaient sur le rayon le plus bas, sa robe très ajustée se plaqua sur sa croupe tendue par la position. Guillaume ne put s’empêcher de fixer avec plaisir les doubles rondeurs, que le tissu suggérait avec une précision extrême, laissant même deviner le long sillon les séparant.
Lorsque son hôtesse revint vers lui, une coupe de biscuits à la main, Guillaume la regarda s’approcher d’un œil soudain plus libertin. Ce n’était plus son ancienne institutrice qu’il voyait, mais une femme encore très désirable malgré son âge. Il porta son attention sur la poitrine qu’il n’avait pas encore jugée digne d’intérêt et qui soudainement attirait sa curiosité. Ce qu’il découvrit le surprit et il demeura étonné de ne pas avoir remarqué auparavant ces deux éminences, rondes et d’un volume intéressant, qui tendaient le devant de la robe.
En femme habituée aux hommages masculins, sans pour autant y répondre, Rose s’aperçut immédiatement de l’effet qu’elle faisait sur son ancien élève. Et ce désir qu’elle lisait dans le regard de Guillaume, contrairement à ce qu’elle pouvait ressentir habituellement à ce genre d’hommage, lui convenait particulièrement en ce jour. Elle y voyait l’espoir de réaliser le désir qui la tenaillait depuis plusieurs semaines déjà, mais qu’elle n’aurait jamais osé avouer à qui que ce soit. Mais présentement, Guillaume, du fait de son apparenté à son ancien amant, lui apparaissait comme celui à qui elle pourrait se confier et qui pourrait l’aider à assouvir cette envie.
S’étant installée sur la chaise faisant face à son invité, elle fixa ce dernier avec émotion :
— Comme tu ressembles à ton père, murmura-t-elle… Parle-moi de toi…
Alors commença entre Rose et son ancien élève, un long dialogue entrecoupé de nombreuses dégustations de ce liquoreux vin de Bordeaux… Si bien qu’au bout de vingt minutes la bouteille de « Loupiac » fut vidée, obligeant Rose à aller en chercher une deuxième, qui à son tour se retrouva rapidement à moitié. Les propos des deux protagonistes devinrent de plus en plus animés, les plaisanteries de Guillaume, déclenchant de longs fous rires de la part de Rose. L’abus du vin blanc se répercutant sur l’ambiance, l’ancienne institutrice, que les vapeurs d’alcool rendaient euphorique, se décida soudain, de confier ses désirs secrets au fils de son ancien amant :
— Guillaume, osa-t-elle prononcer d’une voix timide… Je voudrais te demander quelque chose… Mais si tu ne le veux pas, je le comprendrais et je ne t’en voudrais pas…
Etonné, Guillaume, que l’abus du « Loupiac » avait quelque peu perturbé, s’empressa de répondre :
— Vous pouvez me demander ce que vous voulez, si je peux vous contenter…
— Tu es gentil… « Comme il ressemble à son père », songea-t-elle…
Puis, comme pour se donner du courage, Rose se versa un nouveau verre de ce vin blanc qu’elle appréciait, qu’elle vida d’un trait. Guillaume, qui se doutait qu’il allait être l’auditeur d’un secret, refusa de l’accompagner.
— Voilà, se lança soudain Rose… Tu sais certainement par ta sœur que je suis veuve depuis maintenant dix ans… Et jamais aucun homme n’est venu remplacer mon mari, malgré les nombreuses occasions qui se sont présentées et que j’ai toujours refusées… Je n’ai pas l’intention de me remettre en ménage à mon âge… … Mais j’aimerais tant, avant que je sois devenue trop vieille… de pouvoir contempler encore une fois… un… membre masculin…
Guillaume demeura sidéré devant une telle demande. Il n’imaginait pas une pareille sollicitation de la part de son ancienne institutrice ! Aussi resta-t-il quelques minutes sans voix, ne sachant quoi répondre.
Prenant ce silence prolongé de la part de son jeune compagnon pour un refus, Rose regretta aussitôt sa demande :
— Oublie ce que je t’ai dit, s’empressa-t-elle de déclarer… Ce n’était pas très intelligent de ma part…
Devant l’air confus de son hôtesse pour laquelle il éprouvait toujours autant de respect que d’estime, Guillaume se sentit attristé… Que demandait-elle en fait de si insolite ? Voir une dernière fois un sexe masculin. Que risquait-il à lui procurer ce plaisir ? Elle n’allait certainement pas le violer ?… Et même… Le souvenir de toute la tendresse qu’en tant qu’institutrice, elle lui avait offert, le décida d’accepter la demande. Sans plus réfléchir, il se leva de sa chaise et face à son ancienne institutrice qui le regardait étonnée, il entreprit de déboutonner son pantalon.
— Oh, tu veux bien ! murmura Rose, d’une voix émue…
Lorsque le pantalon glissa le long des jambes de Guillaume, Rose fixa, médusée, la suggestive bosse qui déformait le slip. Une soudaine chaleur la gagna, l’enveloppant dans un cocon voluptueux. Enfin, elle allait voir son désir se réaliser. Enfin, elle allait pouvoir contempler ce sexe masculin qui depuis quelques semaines la faisait tant fantasmer le soir seule dans son grand lit.
Au visage soudain cramoisi de son hôtesse et à son regard fixé sur la partie de son slip cachant son membre, Guillaume réalisa ce que l’effet de sa tenue produisait sur cette dernière. Après un moment d’hésitation, ne sachant trop comment se comporter, il décida que ce serait à Rose de prendre une décision.
— Vous voulez vraiment contempler un sexe masculin, questionna-t-il ?
— Oh oui !… S’il te plait, quémanda Rose, d’une voix presque suppliante, sans lâcher des yeux la bosse qui déformait le slip.
— Alors je vous laisse le plaisir de la découverte, proposa Guillaume, offrant son ventre à son hôtesse.
— C’est vrai ?… Je… je peux, bredouilla Rose terriblement émue.
— Je vous en prie ! Faites ce que vous voulez…
Lançant alors ses mains en avant, la sexagénaire réussit à glisser ses doigts sous l’élastique du slip qu’elle entreprit de faire glisser le long des cuisses de son jeune partenaire, lui dénudant le bas-ventre. Lorsque le sous-vêtement glissa de lui-même jusqu’au sol, lui dévoilant enfin ce sexe masculin qui la faisait tant rêver, Rose sentit son cœur s’emballer brusquement. Comme soudainement statufiée, ainsi qu’avait dû l’être la femme de Loth, dans la genèse, elle ne pouvait prononcer le moindre mot, ni quitter du regard le membre viril qui s’offrait à convoitise. Mais au bout de quelques minutes, elle réalisa que ce qu’elle avait sous les yeux ne correspondait pas réellement à ce qu’elle espérait. Certes, Guillaume lui offrait bien son sexe comme elle lui avait demandé, mais celui-ci contrairement à ce qu’elle avait espéré se présentait, mou et relâché. Ce n’était pas là, la vision du membre masculin dont elle rêvait.
Son éducation l’empêchant de s’exprimer clairement sur ce qu’elle avait souhaité, elle se contenta de fixer d’un œil tout de même intéressé, cette saucisse qui pendait au bas du ventre de son invité. Au moment où elle s’apprêtait à se faire une raison, Guillaume vint à son secours :
— Vous pouvez la toucher, lui proposa-t-il.
— Je… je peux, balbutia Rose, au comble du bonheur…
— Bien sûr… Elle ne va pas vous mordre…
Alors, d’une main tremblante et le cœur battant follement, Rose referma ses doigts sur ce sexe tant désiré. N’osant cependant pas effectuer ce geste qu’elle avait tant de fois exécuté avec son mari et surtout avec son amant, le père de ce garçon qui lui offrait ce qu’elle désirait, elle se contenta de palper cette verge malheureusement indolente.
D’abord curieux de voir comment allait se conduire la sexagénaire, Guillaume ne tarda pas à éprouver un certain plaisir, à mesure des palpations. La caresse des doigts se faisait si légère, si délicate, qu’il lui semblait que Rose pianotait le long de sa verge. C’était là un attouchement nouveau pour lui.
Cependant, l’excitation qui le gagnait était plus due à la situation, qu’aux effleurements ténus de son hôtesse, assise devant lui. Se voir ainsi, debout, le bas-ventre dénudé, à se faire tripoter la bite par une femme d’un âge avancé, avait quelque chose de surréaliste. Il ne pouvait quitter des yeux cette sexagénaire, qui telle une jeune vierge, n’osait pas branler la queue qu’elle tenait en main. Percevant des frémissements à la base de son membre, prémices d’une imminente érection, il décida de prendre en main la situation. Se saisissant du poignet de Rose, il l’obligea à refermer ses doigts autour de sa verge :
— Prends-la dans ta main, formula-t-il d’une voix douce, abandonnant le vouvoiement !
Puis alors que Rose lui empoignait la queue, comme il demandait, il la força à agiter son poignet dans un mouvement de va-et-vient, la forçant à le masturber.
— Branle-moi, lui décréta-t-il… Tu n’as pas oublié comment on fait !
Ce tutoiement soudain ramena Rose quelques années plus tôt. A l’époque où Paul, le père de ce jeune homme qui aujourd’hui l’incitait à le branler, lui demandait la même chose, avec la même tendresse dans la voix. Le souvenir des savoureux moments passés avec son amant réveilla en elle le désir de ces caresses que Paul affectionnait. Son poignet retrouva naturellement cette souplesse nécessaire pour une sensuelle masturbation.
La verge bien en main, elle entama ce lent va-et-vient, qui devait procurer du plaisir son invité, tout en fixant avec émotion le gland encore amorphe. Le minuscule orifice, d’où elle espérait bien voir jaillir la semence virile, l’envoûtait. Toute son attention fixée à rendre sa branlette la plus voluptueuse possible, Rose laissa glisser sa main depuis la base de la verge jusqu’au gland qu’elle recouvra du prépuce, ainsi que lui conseillait Paul, à l’époque. Lorsque ce dernier l’éduquait dans l’art de la masturbation, il n’imaginait certainement pas que ses conseils serviraient à procurer du plaisir à son fils, quelques années plus tard.
— Comme ça, questionna-t-elle ?
— Humm… Oui…
Ravi du début prometteur, Guillaume laissa Rose lui tripoter la bite à sa convenance, attentif au plaisir ressenti. Il dut admettre que la femme avait une manière bien particulière de le branler. De sa main à peine refermée, elle effleurait son membre tandis que de son pouce, elle frictionnait plus particulièrement son gland. Sous ces ceux attouchements, pourtant légers, Guillaume ressentait un insidieux plaisir lui envahir le bas-ventre. Percevant un frémissement bien connu, circulé le long de sa queue manipulée, il comprit que Rose n’allait pas tarder à le faire bander. Aussi pour accélérer ce processus il somma sa partenaire sexuelle :
— Caresse-moi les couilles !
Rose ressentit un vif plaisir, tandis qu’un sourire éclairait son visage. C’était là, une demande que le père de Guillaume lui réclamait à l’époque. Aussi, en mémoire à son ancien amant, elle s’empressa de satisfaire le désir de son jeune partenaire. Sans cesser de le masturber de la main droite, elle glissa sa main gauche entre les cuisses écartées où elle trouva les bourses excessivement gonflées. Les tâtant d’abord délicatement, elle accentua insidieusement sa prise, jusqu’à les presser fermement de ses doigts, cherchant à pincer les noyaux qui s’y cachaient. Au doux gémissement que laissa échapper Guillaume, elle sut qu’elle venait de trouver là, une zone érogène particulièrement sensible. Aussi s’ingénia-t-elle à affoler son jeune complice en serrant les deux olives dans leurs écorces de chair.
— Hum, elles sont bien dures, constata-t-elle…
Un grognement lui répondit, tandis qu’un frémissement agitait la bite qu’elle tenait en main. Un léger raidissement du membre viril l’informa du résultat de ses attouchements. Réalisant qu’elle allait enfin contempler un sexe masculin en érection, Rose continua ses caresses en y apportant toute sa science. Se souvenant d’un attouchement auquel Paul ne pouvait vraiment résister, elle décida de l’appliquer à son jeune partenaire. Repoussant la peau mobile du prépuce, elle dégagea le gland qui s’éveillait, et à l’aide du pouce et de l’index, elle en agaça la couronne, se rappelant combien le frottement de cette partie sensible pouvait exciter son amant. Branlant plus vivement la queue qu’elle sentait s’éveiller contre sa paume, elle s’ingénia à faire rouler entre ses doigts de la main gauche, les deux testicules enfermés dans leurs bourses velues.
Cependant, à tenter de procurer du plaisir à son jeune compagnon, Rose ne tarda pas à sentir sa vulve s’humidifier comme au plus beau temps de sa jeunesse. Heureuse de constater que sa libido était toujours aussi réceptive, et cela après plus de dix ans de veuvage ; dix ans de privation sexuelle, elle n’en serra pas moins fortement ses cuisses, pour modérer l’écoulement de cette liqueur vaginale qu’elle n’espérait plus.
Sous ces différents attouchements nouveaux pour lui et terriblement excitants, Guillaume ne put résister à ce plaisir diffus qui se propageait dans son bas-ventre. Jamais Nicole, son épouse, ne lui avait trituré les couilles comme le faisait présentement la main experte de Rose. Aussi lorsque sa verge se retrouva raide et gonflée de sève dans la main qui la branlait il en éprouva une énorme délectation.
Un gémissement langoureux s’échappant des lèvres de son jeune partenaire incita Rose à peaufiner ses caresses. Le regard fixé sur le volumineux bourgeon de chair, qui jaillissait de sa main refermée, elle se polarisa sur la couronne du gland qu’elle frictionna entre ses doigts, attisant ainsi l’excitation chez son partenaire. Celui-ci, gémissant soudainement, eut un violent sursaut. Dans ce mouvement provoqué par la sensuelle sensation qu’il éprouvait, la verge au bout dilaté vint lui frôler le visage.
A voir le gland si près de ses lèvres, Rose, se laissa guider par un instinct sexuel tapi au tréfonds de sa mémoire. Instinctivement, elle ouvrit la bouche devant le bourgeon de chair si tentant, au moment même où Guillaume lançait son bas-ventre en avant. Les trois quarts de la longue queue dilatée s’enfoncèrent dans sa bouche, l’extrémité, lui frappant si violemment le gosier, qu’elle en eut une nausée et qu’elle dut faire un énorme effort pour ne pas la recracher. Les yeux pleins de larmes, elle réussit cependant à conserver le puissant organe masculin au fond de sa gorge. Pour cela, elle dut immobiliser son propriétaire en le maintenant par les couilles qu’elle n’avait pas lâchées.
S’il fut surpris par l’initiative de Rose, Guillaume n’en demeura pas moins ravi. Depuis quelques minutes, à mesure que la masturbation lui procurait ce plaisir grandissant, l’envie d’une fellation l’avait effleuré. Mais éprouvant toujours un certain respect pour son ancienne institutrice, il ne lui était pas venu à l’esprit de lui demander ce genre de caresse. Aussi, quand Rose avait englouti son gland, la surprise l’avait à ce point excité qu’il avait automatiquement poussé sa queue dans la bouche accueillante. L’excitation étant à son comble, il en oublia les convenances que quelques instants plus tôt il respectait. Empoignant la chevelure de son hôtesse, il lui immobilisa le visage de ses deux mains et agitant ses hanches, il entreprit de la baiser par la bouche. Eprouvant un plaisir pervers, il fit vivement coulisser sa verge entre les lèvres disjointes de son ancienne institutrice, l’étouffant de son gland volumineux.
Rose tenta de résister à l’obstruction de son larynx par le gland par trop volumineux, mais se sentant près d’étouffer, elle réussit à échapper à son calvaire en repoussant violemment son tortionnaire. Les yeux remplis de larmes, la bouche dégoulinante de salive, elle tenta de reprendre sa respiration :
— Tu veux m’étouffer, geignit-elle d’une voix enrouée, à l’attention de son ardent compagnon.
Ouvrant les yeux qu’il avait fermés pendant tout le temps où il violait la bouche de son aimable hôtesse, Guillaume découvrit les filets de salive qui s’échappaient de la commissure des lèvres féminines. Cette vision déclencha en lui un nouveau désir. Se penchant sur le visage de sa victime, il colla sa bouche à la bouche luisante de salive.
Avant qu’elle ne se rende compte de ce que s’apprêtait à accomplir Guillaume, Rose, encore bouleversée par ce que venait de subir son gosier, sentit la langue de son jeune partenaire se glisser entre ses lèvres humides et pénétrer dans sa bouche. Extrêmement surprise par cette initiative de son ancien élève, Rose en ressentit une intense émotion. Qu’un homme encore jeune et dans la force de l’âge désire l’embrasser ainsi, non pas comme il l’aurait fait avec une mamie, mais avec désir, la comblait de bonheur. Il y avait si longtemps qu’elle n’avait partagé ce type de baiser ! Sans plus réfléchir, elle s’abandonna avec délice au ballet sensuel que la langue masculine accomplissait dans sa bouche. Son premier baiser passionné depuis de longues années de disette.
Frémissant de plaisir, Rose subit le baiser langoureux pendant de longues minutes, avant de réagir et de passer à l’action à son tour. S’accrochant au cou de Guillaume de ses deux bras, elle l’attira plus étroitement contre elle, et à son tour joignit sa langue à la sienne. Alors, commença un véritable ballet érotique entre les deux langues, dans une moiteur enivrante ; chacune prenant le relais pour relancer la chorégraphie passionnée.
Agréablement surpris par la virtuosité de son hôtesse dans l’art du baiser, Guillaume fut le premier à abandonner à bout de souffle. N’en revenant pas de la fougue de cette femme sexagénaire, il la contempla plein de tendresse.
Alanguie, après ce baiser troublant, Rose murmura d’une voix langoureuse :
— C’était merveilleux… Il y avait si longtemps…
Attendri par cette confidence, Guillaume décida de faire revivre ce plaisir si lointain à sa partenaire. Avec beaucoup de tendresse, il se pencha vers les lèvres quémandeuses pour y poser de nouveau les siennes. Aussitôt, Rose s’accrocha à son cou et avant qu’il ne puisse tenter quoi que ce soit, sa bouche était l’objet d’une exploration poussée par la langue féminine. Rose, qui avait certainement retrouvé le savoir-faire de sa jeunesse, lança sa langue à la recherche de la sienne, pour la crocheter, la lécher, lui interdisant toute initiative. Laissant sa sensuelle hôtesse s’activer à l’intérieur de sa bouche, dans un baiser plein de passion, Guillaume décida de s’intéresser à cette poitrine qui l’avait tant fait fantasmer du temps de son adolescence. Comme Rose le maintenait solidement contre elle, il referma ses mains sur les deux rondeurs qui déformaient la robe en jeans. Avec d’abord beaucoup de délicatesse, il pressa ces attributs féminins si développés, tentant d’en apprécier la grosseur et la fermeté. Même s’il se doutait que la présence d’un soutien-gorge faussait ses appréciations quant à la consistance des appas mammaires, il éprouva un réel plaisir à les palper.
Sentant les mains de son jeune partenaire lui tâter les seins, Rose éprouva aussitôt une onde de volupté qui la fit se cambrer. Agrippant plus solidement la tête de son ancien élève, elle accéléra le frétillement de sa langue à l’intérieur de sa bouche. Un agréable frémissement lui parcourut le bas-ventre, tandis qu’entre ses cuisses sa source intime s’intensifiait, l’affolant sur les dommages que cela pouvait causer.
Mais, percevant les doigts masculins déboutonner le haut de sa robe, un sentiment de panique s’empara d’elle. Si sa poitrine semblait plutôt agressive sous sa robe ajustée, cela était dû, ainsi que Guillaume l’avait deviné, à son soutien-gorge renforcé. Il n’était pas question que son jeune compagnon découvre qu’à soixante-cinq ans, ses seins n’étaient pas si orgueilleux que ce qu’ils laissaient paraître moulés dans leurs prisons de dentelles. Abandonnant immédiatement son baiser, elle saisit de ses mains, les poignets de Guillaume :
— Non, gémit-elle… Il ne faut pas…
Cherchant le moyen d’empêcher son jeune partenaire maintenant fort excité, de continuer son exploration en direction de sa gorge, elle s’empressa de refermer sa main droite autour de la verge toujours aussi raide ; et d’un souple mouvement du poignet, elle entreprit de la branler rapidement.
— Je vais te faire jouir, annonça-t-elle, dans l’espoir que Guillaume se laissant griser par le plaisir qu’elle allait lui procurer, abandonne son désir de contempler ses seins.
Aussi, lorsque Guillaume, l’ayant saisi par les épaules, la força à se lever de sa chaise, elle le laissa opérer, heureuse qu’il abandonne ses vues sur sa poitrine et curieuse de savoir ce qu’il comptait faire.
Se retrouvant debout, face à son jeune partenaire dont elle tenait toujours la queue dans sa main, Rose attendit que les lèvres de ce dernier viennent de nouveau se joindre aux siennes, pour un nouveau baiser. Son étonnement fut immense lorsque Guillaume, non seulement lui refusa ce baiser qu’elle espérait, mais la repoussa en arrière.

A suivre :

[email protected]

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire