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J’ai cocufié mon mari le jour de notre mariag

J’ai cocufié mon mari le jour de notre mariag



Je me prénomme Nadia, de nationalité marocaine, j’ai 28 ans, je vis depuis 10 ans avec Karim qui est mon mari aujourd’hui. C’est lui qui m’a initié au sexe à l’âge de 18 ans, je lui dois tout et je l’aime bien sûr, mais côté sexe, justement je ne suis pas très branchée. En fait, j’accomplis plus pour son plaisir que pour le mien.

D’ailleurs, je sais qu’il a déjà, en parlant de moi, fait la réflexion suivante : elle n’aime pas trop, pour preuve elle mouille à peine…sans compter qu’en plus lui qui, comme tous les hommes ou presque, adore les sous-vêtements suggestifs. Il n’a pas de chance, je suis très sage.

Ceci dit, j’ai fait un effort pour ce jour en achetant un ensemble string et soutif en dentelle blanche, plus des bas blancs auto-fixant. C’est vrai aussi que le jour du mariage, la mariée est la plus belle et sans être prétentieuse, je ne suis pas mal ; pour preuve, j’assiste souvent à des enregistrements d’émission télé et chaque fois, on me place au premier rang des spectateurs. Je suis une brunette d’un mètre soixante-cinq, des cheveux mi- longs, le corps d’une femme de 28 ans qui n’a pas encore subi le poids des années.

Revenons à ce jour préparé depuis un an, deux cents convives au repas. Je passe sur la messe, le thé d’honneur en tant que héros du jour (et le vin aussi mais en cachette), nous ne voyons et profitons de rien puis commence la soirée qui a modifié ma vie, sexuelle du moins.
En effet, les invités apprécient pleinement le repas et comme toujours en pareil cas, les mariés vont de tables en tables voir si tout se passe pour le mieux. C’est ainsi qu’arrivant à la table de mes beaux-parents, mon regard croise celui de cet homme, un ami de mon beau-père, la cinquantaine, poivre et sel, bel homme, sûr de lui et de son charme. Je tombe en arrêt, je bégaie pour demander si tout va bien, mon trouble doit être perceptible ou du moins je le crois. Je quitte la table et retourne à la mienne mais mes sens sont bouleversés. Je m’assoie près de mon mari et lui fais un bisou en regardant vers cet homme pour lui faire comprendre que mon homme, il est là.

Durant tout le reste du repas, je ne cesse de croiser son regard, puis vient l’ouverture de la danse par les mariés ; chacun de notre côté, nous allons chercher un convive à commencer par mon beau-père pour moi et ma mère pour Karim mon mari. Le suivant que je vais chercher n’est autre que cet homme, à ce moment-là, j’ignore son prénom. Nous tournons sur cet air de danse populaire et avant de le quitter pour prendre une autre personne, il me chuchote à l’oreille : « alors jeune fille, je te trouble ? Je suis certain que tu as envie de moi ! Tout à l’heure, tu me rejoindras près de la réception, c’est compris ? ». Et je lui réponds : « Oui Monsieur ».

Sur cette parole, il s’éloigne et va rejoindre son épouse. Inutile de vous dire que j’ai les jambes en coton, j’invite une autre personne puis encore une autre mais mon esprit est près de cet homme, je sens mon « tabboune » (vagin en arabe marocain) tout humidifié pour peut-être la première fois de ma vie. Mon corps et ma tête ne communiquent plus ensemble, je suis effectivement sous le charme et j’ai très envie de lui.
Au dessert, il vient dans mon dos et, profitant de la cohue autour du buffet, il pose sa main sur mes fesses et me les caresse au-dessus de ma robe. Je suis tétanisée, on pourrait le voir ! Il se colle à mes fesses et je ressens l’effet que je lui fais !

Les danses se succèdent, je sais qu’il me regarde, je perçois ses yeux sur mon corps. Profitant que tout le monde ou presque est sur la piste, je quitte la salle et me dirige vers la réception. Une main se saisit de mon bras, c’est lui, il me guide vers un vestibule, nous pénétrons à l’intérieur et il verrouille la porte.
Il est dans mon dos. Face à moi, il y a une table ronde sans rien dessus. Ses mains se posent sur le zip de ma robe qu’il descend jusqu’à l’arrêt puis de suite, dégage mes épaulettes et ma robe me quitte pour tomber à mes pieds.
Je suis de dos en sous-vêtements avec cet inconnu, alors que ce devrait être mon mari Karim qui profite de cette vision. Il fait sauter l’attache de mon soutien-gorge et ses mains s’emparent de mes seins qu’ils malaxent durement tout en faisant rouler entre ses doigts mes tétons en érection. Il finit par lâcher mes seins et s’attaque à mon string qu’il baisse à mi-cuisse et me fait écarter les jambes tout en m’intimant l’ordre de me plier sur la table.
Il s’agenouille et son souffle est perceptible sur mes fesses qu’ils séparent puis sa langue pointe sur mon orifice, c’est la première fois de ma vie qu’un homme a l’honneur de cet acte ! Il me lubrifie la rondelle avec sa salive puis se relève et pointe un doigt pour perforer mon anus, cela a pour effet de me faire pousser un cri :
– Non, pas par-là ! Lui dis-je.
Il me répond :
– Je prends ce que je souhaite et je suis persuadé que tu es vierge de ton cul !
– Oui, je lui réponds,
– Sache jeune fille que tu me donneras tout ce que je veux de toi !

Son gros zob est tendu au maximum, il le guide vers mon nid d’amour, je suis trempée comme jamais je ne l’ai encore été ! Il s’amuse à le frotter sur mes lèvres vaginales qui s’ouvrent à lui et me saisissant par les hanches, il me pénètre violemment jusqu’à la garde puis s’immobilise au fond de mon utérus, il ne me demande même pas si je suis protégée. Il me dit :
– Tu le sens mon zob ?
– Oui monsieur, il est bon et gros !
Et il commence par se retirer pour mieux replonger à l’intérieur de cette grotte qui suinte de mon jus abondant. Il pousse des « han » de bûcheron pendant qu’il me besogne le ventre, je sens tout mon être qui répond à ses assauts et une sensation jamais ressentie jusque-là investit mon bas-ventre. Cet homme est en train de me donner le premier véritable orgasme de ma vie !
Je l’encourage en disant : « Bourrez-moi plus fort, çà vient ! N’arrêtez pas SVP, inondez ma chatte, je veux votre sperme en moi ! ».
Cela l’excite tout autant car je ressens dans mon vagin sa queue qui grossit puis d’un coup, une déferlante liquide frappe le fond de mon utérus : il jouit et moi également ! Il reste planté en moi encore quelques instants avant de se retirer pour me dire :
-On se retrouve ici dans une heure, il est inutile que ton mari s’inquiète de ton absence !
-Oui monsieur, je viendrai.
Il fait glisser mon string le long de mes jambes et le met dans sa poche :
-Tu seras mieux sans et ça m’excite de te savoir sans culotte sous ta robe !

Moi qui avais acheté ses sous-vêtements pour mon mari, il m’en manque déjà un et c’est un étranger qui en profite ! J’ai honte de moi, il me remonte la robe et la zippe après m’avoir remis mon soutien-gorge, non sans avoir malaxé mes seins une nouvelle fois. Il quitte la pièce mais mon sexe, à présent nu sous ma robe, est encore tout excité, j’ai envie de me caresser avant de regagner la salle. Alors je me retrousse et ma main plonge entre mes cuisses, je profite de la semence de cet homme qui s’écoule de ma chatte pour faire glisser mes doigts le long de ma fente et très rapidement, un nouvel orgasme m’emporte au septième ciel. Il me faut un instant pour récupérer de mes excès, je rabats ma robe et je regagne la salle.

Mon mari m’interpelle et me demande où j’étais passé et je lui réponds :
-Aux WC.
-Une demi-heure ? Me dit-il. Tu n’es pas bien ?
-Si, si, tout va bien, ne t’inquiète pas !
En même temps, je ressens le long de mes cuisses le sperme de mon amant qui, s’écoulant de ma chatte, mouille le haut de mes bas. Aussitôt après, je cherche mon amant dans la salle, il est assis près de mon beau-père, il me regarde et passe sa langue sur ses lèvres, je me retiens sinon je pense que j’irai sur ses genoux. C’est dingue l’effet qu’il me fait ! Je ne suis plus normale, je suis impatiente de le retrouver dans une heure !

Mon mari vient m’inviter à danser mais je rêve m’imaginant dans ses bras à lui. Je me colle et mon mari me dit : « tu as l’air très amoureuse, sois patiente ! Tout à l’heure, je te ferai l’amour comme jamais ! ».
Comme jamais, c’est ce que je viens de faire et j’ai encore envie ! Je regarde ma montre sans cesse, j’ai l’impression que le temps n’avance plus, j’ai hâte de retourner au vestibule. Enfin, je le vois qui se lève et se dirige vers la sortie, je tremble sur mes jambes.
-Karim, je m’absente un moment, ne t’inquiète pas et occupe-toi de nos invités, je reviens !
-Ça va mon cœur ? Me lance-t-il.
-Oui, oui, à tout de suite !

Je cours pour ainsi dire jusqu’au vestibule, je pousse la porte, il m’attend, je me jette dans ses bras et nous échangeons un long baiser, sa langue pénètre ma bouche, je frotte mon bas-ventre contre son zob, il bande fortement. Cela dure quelques minutes, je suis folle :
-J’ai encore envie de vous Monsieur ! Redonnez-moi du plaisir comme tout à l’heure ! Que je lui murmure à l’oreille. Il se dégage de moi, me fait reculer et me dit :
– Retrousse-toi petite « kahba » (pute en marocain), montre-moi à nouveau ta chatte ! Écarte tes lèvres, montre-moi que tu veux que je te baise, prouve-moi que tu as envie réellement de moi !

Je m’exécute, les mots crus qu’il emploie décuplent mon envie qu’il me prenne brutalement, bestialement même !
Il me fait à nouveau plier en deux sur la table, relève ma robe, m’oblige à écarter mes jambes, il sépare mes fesses et je sens un corps gras avec lequel il enduit mon œillet rose tout en introduisant un doigt dans mon fondement, je m’ouvre à lui et pousse mes fesses en arrière pour qu’il puisse bien l’enfoncer. Puis c’est un deuxième doigt qui rejoint le premier, une douleur se fait ressentir mais je n’ose pas m’en plaindre et, après quelques va et viens, la douleur disparaît pour faire place à quelque chose que je ne connais pas, mais c’est très agréable !

Je l’encourage verbalement et lui ne se prive pas de me dire des mots que je n’ose même pas écrire ici ! Il finit par ouvrir sa braguette et extraire sa queue, il la positionne sur ma rondelle et s’enfonce en moi, petit à petit, pour bien me faire sentir son zob et me faire comprendre que je suis à lui.

Ses mots sont de plus en plus orduriers à mon encontre mais je m’en fiche, sa queue me fait le plus grand bien et je crois jouir en permanence tellement c’est bon ! En fait, c’est un plaisir nouveau pour moi, la frigide que j’étais il y a encore quelques heures. Sa bite me bourre de plus en plus fortement, elle grossit dans mon conduit, je la sens davantage et il se cabre au fond de mon cul et son sperme jaillit dans mes intestins, je suis terrassée par cette nouvelle jouissance et m’écrase sur la table !

Il se retire et il observe mon anus qu’il vient de violenter en me le détaillant afin d’accentuer davantage ma soumission et ma culpabilité en ce jour exceptionnel ! Il plonge sa main dans la poche, en retire mon string, s’essuie le sexe avec et avec une grande délicatesse me l’enfile comme s’il ne m’avait jamais quitté, puis me faisant une tape sur les fesses, tourne les talons et quitte le vestibule.

Je reste inerte, en train de récupérer de la baise que nous venons de vivre. Je reste un bon moment comme cela avant de regagner la fête et mon mari. Tout à l’heure, je serai à nouveau sa femme ou presque…Il se prénomme Jamal. Depuis cette soirée, j’ai connu trois autres quinquagénaires à qui je me suis donnée sans retenue, leur offrant ce que je refuse à mon mari : ma jouissance !
FIN.

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