Quand Madame Ferrier m’a annoncé qu’elle était enceinte et qu’elle allait prendre son congé de maternité, je suis resté sans réagir. Je ne me souvenais pas vraiment de l’âge qu’elle avait mais elle n’était plus toute jeune.
– Je sais ! J’ai quarante-huit ans, a-t-elle ajouté, mais j’ai rencontré un homme et nous avons décidé de faire un enfant ensemble !
Là, je songeais à ce type. Comment pouvait-il être attiré par cette femme sans aucune grâce. Mais avait-elle des charmes cachés ? Elle travaillait déjà comme secrétaire dans ce cabinet bien avant que je ne le rachète et jamais je n’aurais osé lui faire des avances.
Bon, il fallait bien que je me fasse à l’idée de me priver d’elle pendant… six mois. Et je n’étais pas sûre qu’elle revienne et je n’avais pas osé lui demander. Fallait aussi que je lui cherche une remplaçante parce que je ne pourrais pas me débrouiller seul. A part moi, elle était la seule qui connaissait tous les rouages de la société.
Je lui ai demandé si, des fois, elle ne connaîtrait pas une secrétaire qui pourrait la remplacer provisoirement mais elle m’a répondu que je saurais très bien me débrouiller.
Trois jours plus tard, elle était en arrêt maladie, bien avant son départ normal et j’ai appelé le service de placement. Ils m’ont envoyé quelqu’un pour me faire remplir des formulaires sans vraiment me laisser l’espoir de trouver quelqu’un de capable et pendant quinze jours, les prétendantes ont défilé, des jeunes sorties de l’école jusqu’à celles dont personne ne voulait.
J’aurais bien été tenté de prendre une petite toute fraîche émoulue mais qui ne connaissaient rien puis il y a eu une sorte de miracle.
Nous étions en pleine vague de froid. Je portais chapeau, manteau et écharpe et je venais de m’installer dans mon siège quand on a frappé à ma porte. J’ai dit d’entrer.
J’ai jaugé la prétendante. Elle m’a tendu son dossier.
– Vous avez quel âge ?
– Trente !
– Vous êtes mariée ?
– Non, jamais !
– Vous n’avez pas d’enfants ?
– Non plus !
– Vous connaissez ce genre de métier ?
Elle m’a dit qu’elle avait déjà travaillé dans cette branche. Je ne savais plus que dire. Cette femme avait quelque chose. Elle avait juste retiré son chapeau et elle avait gardé son manteau boutonné. Je lui ai proposé de se mettre à l’aise.
– Vous m’embaucher ?
J’ai bafouillé que c’est juste pour remplacer ma secrétaire qui est enceinte.
– Oui, on m’a dit, m’a répondu la femme ! Vous m’embauchez ?
– Juste pour un essai, après, on verra si…
– C’est où ! Là, juste à côté !
Elle a tourné la tête puis elle m’a dit qu’elle peut commencer tout de suite. J’étais subjugué par autant d’enthousiasme. Elle s’est installé puis elle a retiré son manteau et j’ai vu sa poitrine. Mon dieu, ai-je pensé, comment peut-on avoir d’aussi gros seins quand on est aussi mince ?
La nouvelle secrétaire a tiré sur son chemisier, ce qui a mis sa poitrine en valeur puis elle s’est assise.
Il y avait une pile de dossier sur le bureau et elle a commencé à les étudier. C’est là que je me suis rendu compte que je ne savais même pas son prénom. J’ai regardé son dossier. Agnès.
Je détestais ce prénom-là parce que c’était celui d’une femme que j’avais aimé et qui ne m’avait jamais regardé. Pourtant, pendant toute l’heure suivante, je n’ai pas cessé de la regarder puis elle s’est aperçue que je l’observais et elle a levé la main comme si elle voulait me parler et elle est venue dans mon bureau.
– Je… Il y a une chose que je ne comprends pas !
– Et quoi donc, lui ai-je demandé ?
Elle avait étalé plusieurs dossiers sur son bureau. Je l’ai suivie. Elle m’a expliqué et pour m’expliquer ce qu’elle avait remarqué, elle s’est penchée sur le bureau, ce qui a mis ses fesses en valeur.
– Ah, la salope ! Euh, pas vous !
Je venais de comprendre que mon ancienne secrétaire avait magouillé mais je ne comprenais encore pas ni comment ni pour quelle raison.
– Alors, vous êtes contente de moi, m’a demandé Agnès ?
Peut-être que je voulais le faire ou peut-être était-ce un réflexe mais je lui ai mis la main au cul. Il n’y a pas d’autre expression pour raconter ça. Elle m’a attrapé la main et elle l’a décollée de ses fesses tout en me disant que c’est un peu tôt.
– Si vous continuez à être aussi gentil, peut-être que je ferai un effort, a ajouté la secrétaire.
Je n’avais d’yeux que pour sa poitrine et elle l’a bien vu. J’ai passé le bras autour de sa taille et je l’ai serrée contre moi.
– Tu me plais ! Tu me plais vraiment, lui ai-je lancé !
J’ai continué en lui roulant un patin. Elle ne s’est même pas défendue et elle n’a pas tardé à porter sa main sur mon sexe. C’était plus fort que moi. Je ne sais pas quand elle a retiré sa petite culotte mais je l’ai retrouvée le lendemain sur le bureau où l’avait posée la femme de ménage. En tout cas, j’ai assis Agnès sur le bureau. Elle m’a sorti la bite de la braguette et elle a commencé à la branler en me disant que j’aime ça.
– Tu me donneras une petite prime, a ajouté la secrétaire ?
Au bout de quelques secondes, elle a guidé ma bite dans sa chatte et je me suis enfoncé. J’étais en train de la limer quand elle m’a dit qu’elle n’est pas une pute et qu’elle ne fait pas ça avec tout le monde.
– S’il te plaît, ne va pas trop vite, parce que j’ai envie de jouir, a-t-elle ajouté !
– Tes seins, ai-je bafouillé !
– Qu’est-ce que tu attends ?
J’ai ouvert son chemisier et j’ai sorti ses seins qui débordaient de son soutien-gorge. Ils étaient fermes et les mamelons étaient sur le dessus. J’ai fait ce que j’ai pu pour les embrasser.
– Tu aimes ça, m’a lancé la femme ! Tu aimes les gros seins ! Moi, j’aime les grosses bites comme la tienne !
Je n’avais jamais pensé que j’étais un surhomme et elle en rajoutait. Une fois, je m’étais mesuré et j’avais trouvé vingt centimètres. J’avais aussi des grosses couilles.
– Ça vient ! Ça vient ! Va tout doucement !
J’ai eu l’impression qu’elle allait exploser. Son visage était devenu tout rouge.
– Oh, j’ai mal aux bouts, a-t-elle ajouté et j’ai compris qu’elle parlait de ses mamelons.
Maintenant, ils ressemblaient vraiment à des dés à coudre.
– J’ai vraiment mal aux bouts, a insisté la femme ! Comment tu fais ça ?
Elle m’a doublé au poteau et j’ai pataugé dans la semoule car elle avait joui et j’ai eu du mal à me reprendre mais j’ai quand même fini par jouir.
– Cochon ! Maintenant, il faut qu’on se lave !
Il y avait un paquet de mouchoirs en papier et on s’en est servis avant d’aller séparément dans les toilettes du bureau. Elle avait fini de se rincer quand elle m’a dit qu’elle allait me laver. Elle m’a attrapé par les bourses et elle m’a délicatement débarrassé de nos… Je lui ai dit qu’elle est vraiment cool et elle m’a répondu qu’elle cherche un homme. Elle a ajouté qu’elle ne fera pas ça tous les jours et je lui ai répondu qu’au contraire, j’espère bien.
– Je n’ai pas toujours fait ça gratuitement, a ajouté la secrétaire ! Quand j’étais jeune, je n’aimais pas les études. En fait, je n’aimais pas travailler et j’ai fait la putain. J’ai fait ça pendant cinq ans sans y prendre de plaisir. Des hommes avaient besoin de se soulager et j’avais le trou fait pour ça, a-t-elle ajouté !
Elle a ajouté qu’elle n’avait pas honte.
– Ça fait neuf ans que j’ai arrêté, a-t-elle ajouté ! J’ai profité de l’argent que j’avais gagné pour faire des études ! Et voilà !
Elle s’est rhabillée et elle est partie en me demandant si elle peut revenir demain. Je n’ai pas fait le calcul tout de suite. Tout à coup, j’ai réalisé qu’elle avait commencé toute jeune. Ce soir-là, j’ai fait une chose que je n’avais pas fait depuis longtemps. Je me suis branlé.
Le lendemain matin, quand je suis arrivé, elle était déjà à son poste. Je me suis penché sur elle et je l’ai embrassée dans le cou.
– Non, pas ici car ici on travaille, m’a-t-elle dit en me repoussant ! Ça sera chez toi ou chez moi !
J’ai passé toute ma journée à attendre. Pour me changer les idées, je lui ai demandé si elle a déjà compris comment ma précédente secrétaire avait détourné de l’argent mais elle m’a répondu qu’elle était sur la piste.
Le soir, en sortant du bureau, je lui ai demandé si on va chez elle ou chez moi.
– Chez toi !
– Je voudrais te voir toute nue, ai-je ajouté !
– No problem ! Quand tu viendras chez moi, c’est toi qui sera à poil !
J’étais d’accord. Elle a fait ce que je lui avais dit et elle a retiré tous ses vêtements et j’ai pu découvrir le tatouage qu’elle s’était faite faire sur les reins. J’ai posé la main sur ses fesses. Nous étions en face du miroir et je lui ai dit qu’elle a vraiment des beaux seins. Elle m’a pris les mains pour se caresser la poitrine avec et elle a ajouté qu’elle les avais toujours eus comme ça.
– Les nichons, ça compte beaucoup pour les hommes, a-t-elle ajouté ! Tu voudras te branler entre eux ?
– Et toi, qu’est-ce que tu aimes dans le sexe, lui ai-je encore demander ? Te masturber ?
– Je n’aime pas subir !
– Alors, tu aimes te masturber ?
– Oui et j’aime bien sucer !
– Si tu me montes dessus, c’est toi qui me feras l’amour et comme ça tu n’auras pas l’impression de subir !
Je me demande encore pourquoi elle n’avait pas pensé à ça. Dissimulait-elle ? En tout cas, après m’avoir sucé, elle s’est empalée sur ma bite et elle s’est baisée toute seule puis elle m’a demandé si je veux la sodomiser et sans attendre ma réponse, elle s’est enfoncé ma bite dans l’anus puis elle a repris sa danse. Ses seins bougeaient à peine. Elle a fini par essayer de me faire att****r ses mamelons comme un enfant essaie d’att****r un ballon sur un manège et quand j’en attrapais un, elle écrasait le sein sur mon visage.
Près ça, elle m’a laissé reprendre les rènes et je l’ai enculée. Je n’avais jamais eu de plaisir à faire ça.
– Ah, chérie !
Elle m’a répondu qu’on n’en est pas encore là. Je ne tenais plus et j’ai joui.
– Ah, cochon, m’a fait Agnès ! Tu aimes ça ! Peut-être que je vais finir par aimer avec toi !
Il était temps de dîner. J’avais tout préparé dans le frigo et j’ai fait réchauffer. Je n’ai pas voulu qu’elle retourne chez elle et nous avons dormi ensemble mais avant de nous allonger, je l’ai poussée sur le lit et j’ai écarté ses fesses avec mes pouces puis je lui ai dit que je veux lui faire un fist. Elle n’a rien dit et j’ai enfoncé mes doigts dans sa chatte puis j’ai enfoncé le pouce et toute la main.
– Hon ! Han, m’a fait la femme !
Ma main avait disparu dans sa chatte.
– J’ai pas fini, ai-je ajouté ! Je vais te mettre l’autre main dans l’anus !
C’est ce que j’ai fait, non sans mal. Agnès m’a demandé si je suis content et je me suis retiré. Nous avons continué pendant plusieurs mois puis un jour, celle que j’avais remplacée a repris sa place. J’ai proposé à Agnès de l’épouser mais elle a refusé et la vie a repris son cours.
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