Les vacances commencent plutôt bien avec cette séance à la piscine. Le lendemain, au petit déjeuner, quand j’arrive, Paul est seul à préparer la table. Il m’embrasse et en me faisant un clin d’œil, il me dit :
« Alors bien dormi ? Tu es seule ?»
Je lui sourit en disant :
« Oui très bien merci. Alain prend sa douche et il arrive. Mais où est Caro ? »
« Elle est partie chercher des viennoiseries et ne devrait pas tarder. Mais en attendant, je peux m’occuper de toi. »
Dés le matin de but en blanc comme ça, je suis surprise et fais mon oie blanche.
« Ah bon ? Et…. tu vas faire quoi gros malin ? Tu vas me prendre là ? Au risque de nous faire surprendre ? »
Autoritaire, Paul me lance :
« Déshabille toi maintenant ! »
Je suis presque choquée par la brutalité du propos et réplique :
« Quoi ! Mais ça va pas toi ! »
« Allez. Fais pas ta mijaurée. Alain m’a raconté comment t’étais une chaudasse ! »
En moi même je me dis qu’il ne perd rien pour attendre le salop. J’ouvre mon chemisier bouton par bouton en regardant par défit Paul dans les yeux. Je fais glisser une manche, puis l’autre. Place les bras dans le dos, dégrafe mon soutien-gorge et lui jette à la tête.
Rebelle, je lui lance :
« C’est bon là ? »
« Non. Retire tout. Je te veux à poil ! »
Agacée, je laisse tomber ma jupe sur le sol et en me cambrant, j’enlève mon string et le jette à la tête de Paul qui sourit en me voyant faire, sûr de son autorité et de son charisme.
Il s’empar de mon string et le sent.
« Huummm ton odeur dés le matin est divine ! »
« Et maintenant ? Tu compte faire quoi ? »
« Je ne sais pas encore. Tu as joué avec ma femme dans mon dos hier. Alors, moi aussi j’ai envie de jouer avec toi dans le dos de ma femme et de ton mari. » Me dit-il en se rapprochant de moi.
Il vient pour me peloter les seins mais dans un dernier sursaut de pudeur, je lui dégage les mains d’un revers. Il insiste sans dire mot et finit par avoir gain de cause. Je me laisse caresser les seins sans rien dire dans la cuisine. A tout moment Caro ou Alain peuvent arriver. Paul me dit :
« Il faut profiter de tes vacances Michèle. Allez masturbe toi devant moi ! »
Stupéfaite de sa demande humiliante, je lui répondzs :
« Non ! Il n’en est pas question ! »
« Qui ? Tu ose me refuser ce plaisir ? Tu veux savoir comment je suis capable de te chauffer les fesses ? »
Devant cet argument, j’écarte les jambes et commence à me titiller le clito. Je sens malgré cette humiliation l’excitation monter. Par dépit, je lance :
« C’est ce que tu voulais ? »
« Entre autres. »
Je n’entend pas la porte s’ouvrir. C’est Caro qui rentre. Aussitôt, elle me fait tourner d’un quart de tour et se met devant son mari à me bouffer la chatte. Il ne me faut pas cinq minutes de caresses buccales pour atteindre le 7eme ciel.Elle lèche encore faisant tourner sa langue sur mon clitoris gonflé de désir.
Je reste pantelante affalée sur la table, cuise odieusement ouvertes. Paul s’avance popour me sauter sans attendre qu’Alain soit là. En s’agrippant aux hanches, il me pourfend brutalement.
« Oh oui baise moi. Défonce moi haaaa !!! Ouiiii ! »
Paul s’active en transpirant à grosses gouttes. Je n’arrête pas de gémir de plaisir. Pendant qu’il me baise, Caro me lèche les seins. Paul finit par éjaculer dans mon vagin au moment où Alain entre dans la pièce, nous découvrant dans cette posture obscène.
Le sperme et la cyprine coulent de mon sexe. Alain reste un instant à m’observer et tirant vers lui Caro, Il l’embrasse à pleine bouche en lui pelotant un sein. Caro se laisse faire et son mari approuve.
Paul nous dit :
« Dite les filles se serait bie, que soulagiez Alain avec vos bouches ! »
Ni une ni deux et sans contrainte, Caro et moi commençons à lécher et suce r la hampe de mon homme.
Nous le suçons avec ardeur et je sens qu’il ne va pas tarder à jouir quand il dit à Caro :
« Bouffe la chatte de ta copine, pendant que je te défonce le fion puisque t’aime ça ! »
Ma chatte est dégoulinante d’un mélange de cyprine et du sperme de son mec. C’est un ré de sentir sa langue et sa bouche s’occuper avant tant de ferveur de ma grotte d’amour. Les coup de boutoir d’Alain ne font qu’accentuer cette sensation.
Il faut à peine deux minute pour qu’Alain explose en nous demandant de prendre son sperme.
Nous allons prendre une douche et Paul nous propose pour l’après-midi une visite d’un château troglodite dédié à la torture au moyen-âge.
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