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La peur de l’inconnu.

La peur de l’inconnu.



83 – La peur de l’inconnu*.

Ce midi, Azbia me dit, « Tu commences par des jeunes gens un peu différents, aujourd’hui.
« Différents, Maîtresse? »
« Un peu mongolien. »
Ce n’est pas bien, mais je suis très mal à l’aise avec les gens différents… Dans un centre où j’ai été quand j’étais petite, il y en avait et ils me faisaient peur.
Même, les clowns me faisaient peur, à l’époque… et… euh… toujours!
« Tu sais ce qui va arriver à tes fesses, s’ils ne sont pas satisfaits? »
Elle a parlé fort et à la table d’à côté, les gens rigolent en me regardant.
Une infirmière lui demande, « Elle va s’occuper de Manu et Ahmed? »
Azbia sourit, ravie de l’intérêt qu’on lui porte, « Oui, c’est ça… »
« Ça leur fera du bien, ils ont les mains vachement baladeuses? »
Je mets ma main sur la manche d’Azbia et je lui dis tout bas, « Je peux poser une question à l’infirmière?? »
« Vas-y! »
Je demande à l’infirmière. « Ils sont gentils? »
« Trop, avec les femmes! », répond-elle. Ça fait rire tout le monde.

Après le repas, Azbia discute encore avec les infirmières,.
Je dois faire une drôle de tête, car une infirmière demande à Azbia, « Qu’est-ce qu’elle a? »
Azbia lève les yeux aux ciels, « Elle a peur de tout… y compris des gens différents… »
Ben, oui…

On arrive à l’étage, les infirmières disent la même chose, « Vivement qu’elle les calme. Ils sont tout le temps excités! »
« Elle est bien dressée, elle va les calmer. » dit Azbia. Elle rit avec les infirmières.
Moi, pas! Elle ajoute encore, « Tu sais ce que j’ai aux pieds, mia?? »
« Vos sandales, Madame. » Oh, je comprends bien le message!
« Oui, c’est ça! Tu fais tout ce qu’ils te demandent! »
« Oui, Maî… Madame. » Quand on avec d’autres gens, elle veut que je dise Madame.

Une infirmière m’ouvre la porte de leur chambre, « Tu es attendue avec impatience! »
Deux jeunes gens… qui me font un grand sourire. Ils ressemblent à l’acteur qui joue dans « Le huitième jour. » L’infirmière a dit qu’ils avaient eu un accident de voiture, ils ont des pansements et l’un d’eux a le bras plâtré.
C’est vrai, ils ont l’air gentil, mais je suis mal à l’aise. Je me force à sourire, « Bonjour, je suis mia. »
« Moi, c’est… c’est Manu et lui Ahmed, il ne parle pas… pas beaucoup. »
L’autre fait « non » de la tête.
Manu parle lentement et bégaye un peu.
« On… on… te fait peur? »
Je souris, « Non, il faut juste que… chaque fois… je m’habitue à de nouvelles personnes. »
« Tu… tu… fais ça à la place de… de la prison? »
« Oui. J’étais avec des amis qui transportaient de la drogue et j’ai été condamnée à trois mois prison. Je dois les faire ici. »
« Ce… ce… n’est pas gra… grave, pourtant. »
Je secoue la tête, l’air navré, « Non… »
« Et… et ça doit être… du… dur, ce que tu fais ici? »
« Quand les gens sont gentils comme vous, non, pas du tout. »
Il a l’air tout content. L’autre, Ahmed, suit notre conversation, bouche entr’ouverte.
Bon, va falloir y aller mia!!

Je m’approche du lit, je me penche et je l’embrasse sur la bouche. Ce n’est pas désagréable… Sa main se glisse sous ma jupe.
« Ooh!! Tu n’as pas de… cu… de culotte! »
Ahmed veut vérifier et me caresse les fesses. Je l’embrasse aussi…
Manu me dit, « Tu veux bien te… te mettre toute nue? »

Je leur fais un strip-tease, entre les deux lits. Ils voient que mes fesses sont bien rouges. Ahmed les montre et fait signe de frapper avec la main en disant, « On t’a… t’a donné une… fé… fé… ». Fessée ne sort pas!

C’est vrai, ce n’est pas gentil. Le matin, Azbia a retroussé ma jupe et m’a donné quelques bons coups de sandale sur les fesses quand j’étais occupée de nettoyer les chiottes, simplement pour montrer à une fille du nettoyage, qu’elle me fesse où et quand elle veut. Et toujours la même rengaine, « Elle a de la chance d’être ici et pas en prison. »
J’en doute de plus en plus!! De toute façon, je mets beaucoup d’espoir dans… la magie!

Bon, en attendant, je leur explique, « La fille à qui je dois obéir m’a donné une fessée ce matin. »
« Tu avais fait… fait… quelque chose de mal?? »
Je fais non de la tête.
« Elle est pas… pas gentille? »
Je fais vigoureusement non de la tête.
Ahmed fait aussi non de la tête comme moi. Pas gentille!!

Je leur demande, « Qu’est-ce que vous avec envie?? »

« On ne sait pas… bien… fais, comme… comme tu veux. Commence par mon copain, il a… il a trop envie. » Ahmed fait « oui, oui » de la tête.
« D’accord. »
Je tire le drap. Il a juste une veste de pyjama, son sexe est en érection et le gland déjà mouillé d’excitation. Un beau sexe.
J’embrasse son ventre puis ses couilles.
Je prends le gland en bouche. Il gémit… Manu s’est penché vers nous et ouvre de grands yeux « Tu… mets… les… zi… zizis en bouche?? »
« Oui, bien sûr, je te le ferai aussi. »
Il a un sourire jusqu’aux oreilles.
Manu pousse doucement sur ma nuque pour que je continue. Oui, oui! Je le reprends en bouche.
Pendant que je suce son copain, Manu explique, qu’ils ont déjà fait ça, mais juste baiser, pas se faire sucer. L’idée de mettre son sexe dans ma bouche, c’est le… paradis!
*** ***
*** Sainte mia, patronne des ….
– Oui, bon, ça va, rigole pas avec ça, la Voix. Moi aussi je suis différente!
*** Ça, tu peux le dire! Et moi, alors??
*** ***
Bon. Au bout d’un moment, je demande à Ahmed, « Tu veux jouir dans ma bouche, ou dans ma chatte… ou dans mon cul?? »
Manu est étonné, « On… peut… faire… ça…ça…dans ton cul? »
Ahmed montre ma chatte. Ok. Je me mets à califourchon sur lui et je frotte son gland le long de ma fente. Dois-je préciser, que je n’ai pas besoin de mettre de la salive sur mes doigts pour aider à la pénétration? Ma chatte a sa vie propre, indépendante. Elle est toute mouillée et c’est comme s’il y avait écrit au néon rose au-dessus de mon vagin, « Welcome, stranger! ».
Voilà le « stranger » qui pénètre où il fait chaud et humide.
Je ne suis pas le genre de fille à me la péter, mais je dois avouer que j’ai un coup de reins du tonnerre, comme si mon cul était monté sur ressort. Je vais et je viens sur la bite d’un homme, comme… euh… un piston dans son cylindre, dans un moteur de Ferrari!
Ahmed me caresse les seins. Je me penche sur lui pour l’embrasser, en faisant attention à ses bandages… Au rythme où je vais, dans trois minutes, il m’inonde le minou!
Euh… non! Il est endurant… très endurant. Je viens de vous parler de ma chatte qui n’en fait qu’à sa tête… ben… au bout d’un moment, sans me consulter, elle envoie ce message à mon cerveau, « C’est trop bon, je veux jouir!! ». Du coup le cerveau envoie le message aux glandes de Bartholin, « Mouillez, mouillez! », puis à mon utérus, clitoris, ovaires et tout le reste et paf, je jouis comme une collégienne (de plus de 18 ans!) qui regarde d’une main un clip d’un Boys Band ou de Miley Cirus.

Dans le lit d’à côté, Manu regarde mes fesses monter et descendre sur la bite de son copain et surtout, il me voit jouir, c’en est trop pour lui, qui jouait avec son engin, il jouit dans sa main.
« Ooh!!…j’ai… j’ai… », il est tout malheureux.
« C’est rien, je vais te rallumer, tu vas voir. »

Je vais me rincer au lavabo, puis je me couche contre lui.
Je frotte mon corps contre le sien. Je m’habitue à ces visages… particuliers. Ils sont gentils.
À son âge, on rebande vite, surtout quand une blonde sexy prend votre sexe en bouche… et surtout quand elle a la langue agile.
Après l’avoir bien sucé, je lui demande, « Tu veux que je monte sur toi, aussi?? »
« Oui, oui… mais, je voudrais voir ton… ton… cul. »
« Pas de problème. »
Je m’assieds sur son sexe, dans l’autre sens et je l’enfonce en moi. Il me caresse les fesses.
« Comme elles… elles sont belles! »
C’est gentil ça… et puis c’est vrai!
Je monte et je descends sur son sexe.
« C’est bon… et tu… tu vas jouir avec moi aussi?? »
Hola! J’ai beau avoir du tempérament, c’est vite!! D’un autre côté je ne veux pas le décevoir…
« Manu, met ton doigt dans mon cul, j’aime ça!! »
« Dans ton…euh… »
« Oui dans mon cul et enfonce le bien!! »
« Ooohh!!! » Je fais un petit bond en avant… Oui, bon, j’adore qu’on me mette un doigt dans le cul…
J’accélère et c’est… le 7eme ciel… je vois des étoiles…
Lui aussi, il en voit et il jouit aussi…
Ppppff, on souffle un peu…
Je descends de ma monture…
« C’était super bon… super bon… », dit-il. Son copain hoche vigoureusement la tête.
« Pour moi aussi, les gars et ça n’arrive pas souvent que je jouisse… »
Ils sont ravis…

Bon, j’étais mal à l’aise au début… mais ils sont très gentils. Très portés sur le sexe aussi.
Je me lave un peu et remets l’uniforme.
« Tiens. », me dit Manu. Il me tend des billets. « Et… et… merci. »
Je l’embrasse sur la bouche, ainsi que son copain et hop les deux mains sous ma jupe, me caressent les fesses.

On se quitte, ils m’envoient des baisers, font le signe « cœur » entre leurs mains… Moi aussi…
Je sors de la chambre et je change de visage.
Azbia discute avec les infirmières. Elle se retourne, « Ça a été mia? »
Je baisse la tête, « Oui, Madame. »
« C’était bon? », demande une infirmière.
Qu’est-ce qu’elles ont? « Euh… normal, Madame. »
« T’as un drôle d’air, t’as pris ton pied? », dit Azbia.
« Non, Madame, j’ai fait ça le mieux possible, c’est tout… »
C’est pas que j’ai honte d’avoir joui avec eux, mais à la fois pour moi et pour eux, je n’ai pas envie que tout l’hôpital le sache et qu’on me charrie avec ça jusqu’à la fin des temps!
« Tu simules bien, alors. »
Ah merde!! Il doit y avoir une caméra!!
« …euh… oui, ça fait plaisir, quand je… simule… ». Évidemment, je deviens toute rouge.
« Qu’est-ce qui arrive quand tu me mens? »
Azbia vient contre moi, me relève la tête et me regarde dans les yeux.
« Vous me punissez, Maîtresse ». J’ai les larmes aux yeux.
« Tu sais comment ma mère nous punissait quand on mentait? »
J’ai la gorge trop serrée pour répondre, je fais non de la tête.
Les infirmières sont super intéressées.
Azbia, sort de la pièce.
« Elle n’est pas commode, hein?? »
Je pousse un gros soupir… « Oh non! »
Elle revient et dit, « Ouvre la bouche. »
Elle me met un morceau de savon… Pouark!!!… Du savon très parfumé!!
« C’est un petit morceau. », dit-elle, « La prochaine fois, ce sera un plus gros. »
Je fais une toute belle grimace. Une infirmière dit, « J’aimerais pas, ça! »
« Elle sait qu’elle ne doit pas mentir, hein, mia? »
Je fais oui de la tête.
« Tu suces, hein? Tu n’avales pas. Montre! » Je tire la langue avec mon morceau de savon entouré de mousse.
« Elle va avoir l’haleine parfumée », dit une des infirmières. « Et faire des bulles de savon quand elle pète! », ajoute une autre avec beaucoup de classe! Elles rigolent toutes.

À suivre

PS : Cette histoire est tirée de mon blog www.miasansdessous.com
Elle porte le n° 83 et il y a deux dessins originaux de Bruce Morgan.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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