Coucou je suis Nadège, travestie passive et soumise à un homme qui je ne sais comment avait réussi à faire de moi sa chose. A 21 ans je me retrouvais à la merci de cet homme de cinquante ans, qui savait visiblement tout de moi, et qui avait même accès à mon domicile.
J’étais dans le taxi qui me menait je ne sais où, les yeux dans le vague en repensant à la façon dont je m’étais offerte pour obéir à mon maitre. j’avais encore dans ma bouche le gout de son sperme et je remuais mes fesses sur le siège pour jouer avec le plug enfoncé en moi. La voiture pénétra dans une allée et deux cents mètres plus loin s’arrêta face à une belle maison bourgeoise. le taxi se tourna vers moi me tendant une carte de visite.
– Tu es une bonne salope, si tu as besoin d’un taxi ou d’autre chose, appelle moi. En attendant tu es arrivée, ton maitre t’attends en haut.
j’empochais la carte de visite avant de sortir de sa voiture. Je montais l’escalier en me déhanchant de manière à l’exciter un maximum, jusqu’à la porte d’entrée. Je sonnais et mon maitre m’ouvris. je baissais instantanément les yeux. Il mit alors autour de mon cou un large collier en cuir rose relié à une laisse et tira dessus pour me faire avancer à sa suite. nous rentrâmes dans une vaste pièce avec plusieurs portes et un grand escalier en marbre face à l’entrée. Il me guida vers une porte à gauche de l’escalier et nous nous enfonçâmes vers le sous-sol. Nous arrivâmes dans une pièce dont les murs étaient en pierres apparentes. Il y avait six portes dont cinq étaient closes. il me guida avec la laisse vers celle ouverte et je reconnus le donjon de la dernière fois.
Là il me fit retirer ma robe et je le suivi jusqu’à un carcan. Je positionnais ma tête et mes poignets dans les emplacements prévus recouverts d’un velours rouge. mon buste s’appuyait sur un petit support. Il rabattis la partie supérieure qu’il verrouilla. J’étais bloqué la croupe tendue, pliée en deux il vint placer sur mes tétons deux pinces étaux qu’il serra et il y suspendit des poids qui m’étirèrent les seins. Puis il me retira le plug m’arrachant un cri de surprise. Il s’écarta et j’entendis un sifflement suivi d’une brulure sur mes fesses. Je poussai un cri de surprise et de douleur. Il me cravachai le cul en silence, alors que je le suppliais d’arrêter en essayant de me soustraire en vain à ses coups. Mon postérieur me brulait littéralement et bien malgré moi je ressentais également un plaisir étrange. Il s’arrêta et vint toucher mon sexe toujours emprisonné dans sa cage métallique. Du liquide séminal s’écoulait bien malgré moi de mon gland et mon maitre s’en était rendu compte.
– C’est bien ma salope, tu es une bonne chienne !
il s’activa ensuite derrière moi amenant quelque chose derrière moi que je ne pouvais voir. Je sentis un liquide glacé coulé entre mes fesses puis un objet large et dur forcer mon anus sans réellement pénétrer. Je ne pouvais, en aucun cas, m’y soustraire. Mon maitre passa devant moi, le sexe sorti de son pantalon. Son membre était imposant et fièrement dressé vers mes lèvres. En voyant ce sexe je me mis à saliver d’envie, je rêvais de le sucer, le lécher. Il s’approcha de mes lèvres que j’ouvris pour engloutir sa queue. Il faisait de petit aller retour et je jouai avec ma langue de manière à l’exciter le long de son gland. Il s’enfonçait de plus en plus, m’étouffant et les larmes coulaient sur mon visage à force qu’il cogne contre mes amygdales. Il stoppa son mouvement et sorti une télécommande de sa poche. d’un seul coup je sentis le gode derrière moi forcer et me déchirer la chatte anale. Il s’enfonçait en moi progressivement m’arrachant un hurlement malgré la queue de mon maitre entre mes lèvres. Il en profita pour me baiser la bouche comme si celle-ci n’était qu’une chatte. Je me sentais défaillir, la douleur était atroce. J’allais être estropier à vie si je survivais à ça. Je ne pourrais plus marcher ni même m’assoir. j’avais l’impression d’avoir un tison enflammé dans mon fondement. je sentis des soubresauts dans la queue de mon maitre et il s’enfonça tout au fond de ma gorge. Là il jouit m’obligeant à avaler si je ne voulais pas m’étouffer. Mon champ visuel s’obscurcissait et je m’évanouis.
Plus tard, j’émergeais un peu de l’inconscience et j’entendis des voix discuter, celle de mon maitre et une de femme. mon cul me faisait souffrir le martyr. Je sombrais à nouveau dans l’inconscience bienfaitrice qui me faisait oublier ma douleur.
Je me réveilla finalement sur un matelas posé dans un coin du donjon, j’avais la gorge sèche. Mon cul me brulait et mes bras bloqués en arrière me faisaient mal, je ne pouvais pas les ramener devant. J’ouvris les yeux difficilement, la tête me tournait. Je la secouais pour tenter de remettre mes idées en place. quelque chose gênais également mon cou et l’enserrait. Et tout à coup tout me revint, j’étais chez mon maitre et je m’étais évanouie. J’avais le collier autour du cou. Celui ci était relié à une chaine fixée au mur. Un carcan en cuir m’immobilisait visiblement les bras. Une écuelle d’eau se trouvait face à moi et je n’avais pas d’autre choix pour étancher ma soif que d’y boire en me penchant comme un a****l. après plusieurs contorsions je réussis enfin me désaltérer. L’eau avait beau être à température ambiante elle me fit un bien fou. J’entendis alors la voix de mon maitre.
– C’est bien tu es enfin réveillée ma petite chienne
Et il partit à rire ….
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