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Au bout du monde – 6

Au bout du monde – 6



On s’amuse

Ma peau se mit à perler de sueur en embarquant dans le 4×4 qui rôtissait au soleil depuis près d’une heure. Le siège me brûla les cuisses un moment et on repartit laissant le village fantôme derrière nous. Plus loin, la route devint franchement mauvaise et je dus ralentir l’allure. Moins de vent donc plus de sueur et Luce se débarrassa de son haut de bikini en me souriant.

— Ça rafraîchit ma grande, me dit-elle tout sourire.
— Ben oui, y me semble.
— Allez, topless la bombe, c’est les vacances.

Je fis encore un bout de chemin le sourire aux lèvres en me trouvant idiote de ne pas l’imiter avant de freiner et de faire comme elle. Je détachai et enlever mon haut de maillot en ressentant aussitôt une grande liberté et repartit. Je ressentais aussi un étrange plaisir à conduire comme ça les boules à l’air en me disant que si on croisait des pêcheurs ils risquaient d’en faire une crise cardiaque par cette chaleur et je m’en foutais tout à coup pourvu qu’on ne me filme pas. Ça resterait une histoire de pêcheur.

Des trous d’eau noir assez profond se succédaient ce qui faisait tanguer le Hummer de gauche à droite, nos seins suivaient le mouvement et j’adorais les sentir se heurter mollement, même que j’en mouillais, surtout de voir ceux de Luce s’agiter tout autant. Si Marie savait ça, elle serait morte de rire. Mon maillot me collait à la fente me procurant de douces sensations comme le bout de mes seins gonfler effleurant le volant parfois et chatouiller par l’air entrant par la fenêtre et le toit ouvrant. Je réalisais que j’étais dans un état d’excitation continuel depuis que j’avais rencontré Luce et ça me plaisait énormément. Tout comme conduire le Hummer. Rien ne semblait pouvoir arrêter le puissant 4×4 de plus en plus éclabousser de boue et soudain, passé un détour, je freiner devant un gros sapin tomber sur la route. On fut projetée vers l’avant toutes les deux jusqu’à l’arrêt complet. Toutes les branches de l’arbre étaient encore vertes. Il avait été déraciné récemment comme d’autres plus loin, sans doute par une bourrasque de vent.

— Pourquoi tu t’arrêtes ? Dit-elle nonchalamment en relevant ses lunettes de soleil sur sa tête un bras appuyer sur le rebord de sa fenêtre.
— À t’ont avis ? Dis-je en me passant la main sous les seins ou de la sueur me chatouillait.
— Mets toi en première et vas s’y doucement.
— T’es pas sérieuse ?
— Tu veux que je conduise la peureuse ? Garçon manquer mon oeil.

Piquer au vif j’embrayai dents serrer avec un sourire mauvais en disant :

— C’est ton camion, c’est toi qui décides ma belle. Je mets les 4 roues motrices ?
— Pas encore.

J’approchai lentement du tronc en cassant de grosses branches, le son sec se répercuta au loin dans la forêt. Des que les roues avant touchèrent l’arbre je stopper nerveuse.

— Aller, vas s’y la fille !

J’appuyai doucement sur l’accélérateur en relâchant lentement la pédale d’embrayage, le moteur se mit à rugir et aussitôt l’avant du camion grimpa facilement sur le tronc pour casser d’autres branches et retomber de l’autre côté. Décourager je sentit mes seins heurter mes cuisses, puis se fut les roues arrière et encore les Boulles sur les cuisses et on continua.

— Yes ! Fi-je surexciter comme une gamine en passant déjà sur un autre arbre et encore un. Ça secouait tellement que nos épaules se heurtaient, nos seins revolaient de tout côté, c’était le pied. On riait comme des folles, puis finalement la route fut dégagée et je pris un peu de vitesse pour nous rafraîchir.
— Tu t’amuses ma grande ? T’as un sacré sourire en tout cas. Dit-elle main tendue vers moi paume vers le haut. Je claquer dedans comme le font les jeunes en répondant.
— Oh oui ma grande ? Merci !

Elle me regarda les yeux petits et luisants, c’est la que je vis a quelle point elle était amoureuse de moi et cela me mettait un peut mal alaise tout en me donnant des frissons dans le bas ventre. Je me sentais trop bien avec elle et… cela me faisait peur. J’avais peur de trop m’attacher, surtout aussi vite.

Un peut plus loin dans une belle portion de route je pus accélérer un peut plus pour nous faire du vent et j’en profiter pour regarder encore la belle poitrine de Luce tout en sueur puis son entrejambe en repensant a toute a l’heure quand elle m’avait fait rebondit les fesses…

— Freine ! Hurla-t-elle soudain en se cramponnant au tableau de bord.

Toute crisper, tendu a l’extrême en appuyant a mort sur la pédale de frein et d’embrayage, les yeux tout ronds de peur, j’imaginais le pire; c’est-à-dire frapper un pauvre a****l ou un autre véhicule. Je tourner la tête pour m’apercevoir qu’une rivière coupait carrément la route. Le 4×4 dérapa sur la terre battue sans vouloir s’arrêter et l’avant bascula dans le vide pour stopper brutalement soulevant une immense gerbe d’eau tandis que je hurlais a mort en heurtant le volant avec ma poitrine et on resta la; l’avant du 4×4 dans la rivière est le cul toujours sur la route. Un peut sonner je lâchai la pédale d’embrayage sans réfléchir et le moteur cala. On entendit plus que le murmure de la rivière qui s’arrêtait à la moitié du pare-brise et tout près de nos fenêtres ouvertes. Mon coeur battait à tout rompre, ma peau ruisselait de sueur froide et j’avais quasiment les cheveux droits sur la tête. Mes seins écraser contre le volant me faisaient mal.

— Ça va ? Demanda Luce toujours agripper au tableau de bord en souriant.
— Outch ! Fis-je en me redressant à force bras me retenant d’une main au volant pour me masser les seins douloureux de l’autre. Mal aux boules et tu trouves ça drôle en plus. Il ne devrait pas avoir un pont ici aussi ?
— Y en avait un l’an passer et on aurait dû attacher nos ceintures même si on n’allait pas trop vite.
— Désoler, j’aurais dû regarder la route au lieu de… de…
— De quoi ? De regarder mes seins ?
— WAIS ! Admis-je en rougissant. C’est pour ça que c’est interdit de conduire les boules à l’air, c’est trop dangereux.

Elle rit pendant que je rajoutais.

— J’espère qu’il n’y s rien de briser.
— T’inquiète pas, c’est solide ces camions-là. Une chance que j’avais attaché la glacière a l’arrière, dit-elle en grimpant sur le siège pour sortir son torse par le toi ouvrant.

Même dans cette situation je ne pus m’empêcher d’admirer ses longues jambes et sa poitrine vue d’en dessous avant de grimper pour la rejoindre. Une chance qu’on était plutôt maigre toutes les deux car on était à l’étroit, hanche contre hanche et épaule contre épaule. La rivière n’était pas si profonde sauf ici devant nous ou elle formait une cuvette. L’eau transparente laissait bien voir le fond sablonneux parsemer de roche ronde par endroits dans le quelle l’avant du Hummer c’était enfoncer.

— Le pont est là-bas, dit-elle me le montrant du doigt. La crue du printemps la emporter.

Je vis un grand pont de bois renverser sur le côté appuyer contre de gros rocher et caler en partit sur un banc de sable.

— On rentre à pied ? On en a pour l’après-midi. Ouf mes boules, fis-je en me les massant, mes mains tremblaient encore.
— Laisse, dit-elle en me les caressant tout doucement les yeux vicieux. Mes mamelons se dressèrent et sa main délicate me les effleurant me procurait des sensations presque trop fortes.

Je souris en ne pouvant m’empêcher de l’embrassé tandis qu’une main sur ses reins je lui caressais la poitrine de l’autre. La peur que je venais de ressentir rajoutait au plaisir qui me traversait le bas ventre Je sentis gonfler mon clito et je mouillais encore les yeux petits. Mon adrénaline retombait et je me sentais vaseux tandis que nos bouches humides se séparaient.

— Hum, fis-je tout sourire les mamelons durcis et très sensibles, même trop, une vraie infirmière. Moi qui avais hâte de me baigner dans un lac d’eau glacer.
— T’inquiète pas, fit-elle en me pinçant les mamelons du bout des doigts, on va s’y rendre la bombe.
— Ouf ! OK ! OK ! Lâche mes boules, ça chatouille. Lui dis-je en lâchant les siens si doux et si chauds.

J’aurais jamais cru qu’un jour, que de caresser des seins m’exciterait autant.
Elle le fit en riant tandis que j’examinais les alentours et la rivière qui s’écoulait doucement entre des roches rondes.

— Bon, on fait quoi maintenant ?
— Regarde, dit-elle en pointant du doigt le pot d’échappement en plastique noir qui longeait le pare-brise de son côté et dépassait du toit de 12 pouces environ. Ce véhicule est conçu pour rouler sous l’eau, enfin, jusqu’au toi. Tu veux que je conduise ?
— Tu me niaises ? Fi-je en regardant la rivière dont le courant était plutôt fort. Mais, si c’est plus profond et qu’on reste coincer sous l’eau ou qu’on n’arrive pas à remonter de l’autre côté ?
— On sort en nageant la sirène, on va a ma roulotte on revient avec t’ont 4×4 et une bonne chaine et on sort le mien de la rivière. Garçon manquer mon oeil, dit-elle encore en redescendant et je la suivis pour la trouver assise et entrain enlever ses bottes et je dis :

— Tu te prépares à nager ?
— Absolument, fit-elle en remontant sur le siège pour sortir par le toi ouvrant et je vis ses longues jambes disparaître pour ensuite les voir réapparaître sur le pare-brise ou elle se laissa glisser jusque dans l’eau en criant : « Ya-hoooouuu ! ». Le courant l’emporta aussitôt jusqu’à un banc de sable ou elle put se mettre de bout et me crier en ramenant ses cheveux sur son dos :

— Tu viens, l’eau est froide ?

J’avais si chaud que je ne me fis pas prier pour enlever les maudites grosses bottes et mes chaussettes. Je sortis comme elle en me hissant sur le toit et me laisser glisser en faisant du toboggan sur la vitre et le capot du camion en m’amusant comme une folle et dès que je toucher l’eau elle me parut si froide que j’en fus saisi en étant emporté par le courant jusqu’a Luce qui m’aida a me relever tandis que je crachais de l’eau. Je ramener mes cheveux en arrière à mon tour en me sentant rafraîchi.

— Je n’ai jamais vu une perruque tenir aussi bien, dis-je en me frottant le nez qui me chatouillait, c’est quoi t’ont secret, de la colle époxy ?
— Une petite bière froide la curieuse au joli nez rouge ?
— Oh oui !
— Attends-moi.

Je la regarder grimper sur la berge bras en l’air, faisant attention ou elle mettait les pieds, une vraie fille, pour ensuite se rendre a l’arrière du camion. Je souris en repliant mes orteils dans le sable blond les mollets chatouiller par le courant me sentant si heureuse. J’avais l’impression de renaître, de recommencer à vivre avec Luce et ça me plaisait énormément. Je regarder décourager le gros 4×4 sale boue qui piquait du nez dans la rivière en songeant a la peur que j’avais eue en y plongeant. Je n’ai jamais été une adepte des sports extrêmes, même que je suis pas mal pantouflarde mais ça, faire du 4×4 comme ça… Wow !

Elle revint avec deux bières et on marcha entre les roches dans l’eau peu profonde sur cette partie de la rivière jusqu’au vieux pont de bois reposant sur le côté. On s’assit sur du sable sec s’adossant au tablier du pont en regardant le camion. Comme moi ses mamelons s’étaient irisés et étaient couverts de grosse chair de poule.

— Ton Hummer, ça vaut une petite fortune non ?
— Hum !
— Et ça pas l’air de te déranger que je l’ai foutu la ?
— Non, c’est fait pour ça et…

Mes cheveux se dressèrent sur ma tête car deux pêcheurs arrivaient par la rivière au loin devant nous sortant d’un coude la rivière. Deux jeunes gars en plus de 14 ou 15 ans environ, juste en short, maigres et quelques tatouages.

— Merde ! Fis-je en me cachant les seins avec mon bras gauche. Luce fit pareil en disant :
— Oups, mignon les jeunes !

Ils ne nous avaient pas encore vues, ils regardaient le camion visiblement impressionner en avançant de l’autre côté de la rivière dans l’eau jusqu’aux genoux avec des coffres et des cannes à pêche et ils nous virent. Gros sourire des jeunes, on se demande bien pourquoi. J’avais juste le goût d’aller me cacher derrière le pont en les regardant venir vers nous en espérant que leurs pères n’étaient pas avec eux ou tout un gang d’ados armé de caméra ou de téléphone.

— Désoler, me dit Luce, je ne sais vraiment pas d’où y sortent ceux-là.
— Ce n’est pas de ta faute. En tout cas ils on la langue a terre, ce n’est pas trop découragent pour les deux petites vielles que l’on est.
— Parle pour toi, fit Luce amuser. Moi je parais 20 ans de moi, tu me la dis hier en baisant.
— Tu la rêver ma belle, moi je parais 20 ans de moins.

Elle me donna un coup de coude et je lui rendis en riant.

Les jeunes devaient en saliver, me dis-je en regrettant mes verres fumés et surtout mon haut de bikini. Un blond et un brun, et c’est vrai qu’ils étaient mignons. Beau sourire, mais vraiment trop jeune.

— Besoin d’un coup de main madame ? Demanda le blond à Luce qui perdit son sourire, sans doute du fait de se faire appeler madame parce qu’ils devaient nous trouver vieilles toutes les deux. Moi j’avais les joues en feux en sentant trop mes seins écraser sous mon bras. Je cachais mes mamelons, le reste débordait.

— Non, cas vas, répondit Luce.

Tout à coup je partis a rire toute seul, la nervosité du a l’accident ou d’avoir été surprise les boulles a l’air par les jeunes sans doute mais surtout à cause du sourire de Luce qui c’était effacer des qu’il l’avait appelé madame. Ils me regardaient tous les trois, surtout le brun et je compris qu’il m’avait reconnu ce qui me fit rire de plus belle.

— Désoler, dis-je en me reprenant, c’est la fatigue.
— On peut aller au village chercher une remorque si vous voulez ? Mon scooter est sur la vieille route à un mile d’ici madame ?

Les jeunes se rinçaient l’oeil, visiblement abasourdit d’avoir surpris deux vielles les seins a l’air ici, au milieu de nulle part. Je les voyais déjà se passer un coup de poignets en rêvant de nous et je rougis de plus belle mais en même temps cela me donnait de délicieux frissons.

— Merci les gars, c’est gentil mais ce n’est pas nécessaire. Assura Luce.
— Vous êtes Mme Demers ? Dis le brun finalement en me fixant toujours. Ma mère écoute toutes vos émissions.
— Ah ! Fi-je me sentant démasquer et ridicule.

Je les imaginais déjà chatter sur Facebook pour dire a leurs amis qu’ils avaient surpris Julie Demer les boules à l’air avec une autre femme. Je voulais mourir de honte. En plus ça risquait d’être repris dans les journaux. Tant pis, je n’y pouvais rien et je suis en vacance alors…

— Mais si vous alliez au lac faut oublier ça ! Affirma le blond les yeux tout de même un peut vicieux.
— Pourquoi ? Demanda Luce.
— L’autre pont s’est écroulé cet hiver madame. Même avec le Hummer vous ne passerez pas. Faudrait retourner au village pour prendre l’autre chemin.
— Merde, fit Luce. Tant pis, mais merci quand même les gars, on va se débrouiller.
— Bon, on vous laisse.

Ils n’attendirent même pas quelques secondes pour voir si on les inviterait à rester et ils reprirent leur marche dans l’eau pour descendre la rivière et disparurent rapidement à un tournant.

— Et bien, lâcha Luce dans un souffle comme décourager, presser de partir les jeunes.
— La vieille madame est déçue.

Elle rit en me faisant une grimace et j’éclatai de rire encore.

— Bon, on va se baigner ici, l’eau est froide ça fait du bien, ensuite on casse la croûte, on se fait bronzé et on repart.
— T’es malade, ils vont nous espionner et ils ont sûrement leurs téléphones ou des caméras les jeunes.

Elle planta sa bière dans le sable et se leva pour longer le pont jusque dans la rivière et se planter, jambe écarter, dans la direction ou ils avaient disparue. Elle détacha ses shorts les descendit pour prendre son sexe flasque et elle urina dans le courant en me souriant.

— Là, tu penses qu’ils ont encore envie de nous espionner.

Je déglutis à la vue de son pénis qui m’avait procuré de si délicieuses sensations tout à l’heure.

— Je ne sais pas, mais je devine facilement ce qu’ils vont raconter sur Twitter ou Facebook. « Julie Demers se tape une transsexuelle les gars, je vous jure »

Je repartis à rire en la regardant pisser, c’était si étrange. Elle se la secoua et releva ses shorts et revint en disant.

— T’aimerais mieux qu’on rentre ?
— Non, on est vraiment bien ici, mais j’aimerais que tu m’apportes mon haut de bikini.
— Oui madame.
— Et les serviettes de plage.
— Autre chose la vedette ?
— Non, ça va ! Ah oui, dis-je pour l’agacer, mon séchoir à cheveux, ma brosse et la lotion solaire, une autre bière et le chasse-moustique. SVP !

Elle me fit encore la grimace en riant mais sur les hanches et dit :

-Bon, OK la bombe, vient avec moi, on va ramener les chaises de camping, la glacière et tes affaires. T’inquiète pas, tes jeunes sont partis et de toute façon on ne les intéressait vraiment pas.
— Tu penses toi, dis-je en me levant pour la rejoindre le bras toujours sur les seins en surveillant les alentours, tu connais mal les hommes.
— Tu penses toi ?

Je réaliser soudainement ce que je venais de dire et éclater de rire avec elle en traversant la rivière.

Une fois revenue on installa les chaises près du pont avec la glacière qu’on mit a l’ombre d’un buisson, ensuite j’aidai Luce a nous fabriquer un genre de Spa en empilant des pierres en cercle dans le courant entre de gros rochers. Et puis, avec un regard malicieux elle enleva ses shorts pour s’y asseoir complètement nue. Je déglutis en la voyant commencer a bander sous l’eau en me regardant et je me dis… « Et puis merde, j’ai bien le droit de vivre comme tout le monde. » Je me débarrasser de mon bikini que je laissai sur une roche a porté de main au cas ou pour ensuite la rejoindre. C’était fantastique, l’eau qui s’infiltrait entre les roches couvrait à peine nos longues jambes et semblait nous masser, surtout mon sexe et mes fesses. Le gland en forme de cloche de Luce finit par émerger de l’eau claire et cela me fit sourire et saliver. Je déposer ma bière sur une roche et lui prit la bite pour la masturber lentement sous l’eau mon poing heurtant son gland et ses couilles. Elle se colla contre moi, les yeux petits, passa un bras sur mes épaules et me donna un baisé en me pressant les seins doucement. Ce fut aussitôt le retour des papillons dans mon bas ventre. J’aimais tellement le goût sucrer de ses lèvres que je presser plus son membre dur et de sentir sa main fine et délicate sur ma poitrine au mamelon tendu et ultra sensible quelle agaçait délicatement, plus la fraîcheur de l’eau m’alluma complètement. Je me foutais maintenant complètement qu’on nous regarde. Tandis que je poussais ma langue dans sa bouche pour en explorer les moindres recoins sa main délaissa ma poitrine pour me caresser le sexe sous l’eau, j’arquai les reins légèrement et mes cuisses s’écartèrent toutes seules tandis que mon clito durcissait et sortait de sa cachette. Je ne pus m’empêcher de gémir dans sa bouche. Elle me caressait adroitement évitant de presser trop durement mon petit bouton si sensible et moi son gland qui rougissait. Au bout d’un moment, elle faufila un doigt dans mon vagin déjà bien lubrifier et le fit aller et venir lentement ce qui me tétanisa. Mes orteils se crispèrent sous l’eau tout comme les siens. Puis elle recula la tête pour me fixer tandis que je ravalais ma salive en me léchant les lèvres. J’étais dans un état second, je planais, son doigt m’excitait au plus haut point et je mouillais terriblement. Je commençais à replier les genoux en me tortillant et à geindre de plaisir.

— Heureuse ? Me demanda-t-elle, ses yeux noirs luisants de malice étant tout aussi petits que les miens.

Je souris en regardant le ciel bleu, la forêt environnante et la rivière qui s’écoulait tout autour de nous. Je ne m’étais pas senti aussi bien depuis si longtemps que j’en eus presque les larmes aux yeux mais surtout à cause de ses autres doigts replier qui frappaient en douceur mes grandes lèvres ouvertes et gonfler. Le fait d’être la, nue, en plein air dans ce Spa improviser a ce masturber toutes les deux sous l’eau fraîche éveillait tous mes sens.

— Oh oui ! Vraiment ! Répondis-je avec ma voix de petite fille en chaleur en me collant encore plus contre elle.

Sous le coup de l’excitation, en fixant son gland rougi je ne pus m’empêcher de me pencher pour le prendre dans ma bouche pour lui faire plaisir tandis qu’elle continuait à me pénétrer avec son majeur. Je me mis à saliver en la suçant avidement en agitant ma langue autour du gland qui glissait contre mon palais. Le bout de mon nez et ma bouche arrondit heurtait l’eau et la pointe des mes seins durcit, très sensible, y trempait et cela me chatouillait agréablement. De son autre main elle ramena mes cheveux derrière mes oreilles pour ensuite me caresser le dos, les reins et les fesses quelle pressa doucement m’étirant l’anus au passage, dieu que j’aimais ça, surtout qu’un léger jet d’eau le frappait.

Exciter au plus haut point je me mis a donner de la tête furieusement narine dilater avec une seule idée en tête, lui procurer le plus de plaisir possible. Normalement il fallait que je sois un peut saoule pour me laisser aller a sucé comme ça, mais la, je n’avais plus aucune pudeur. J’allai jusqu’à lui mordiller le gland la sentant se crisper et l’entendant gémir. Elle fit aller son doigt de plus en plus vite en moi et me fit avoir un petit orgasme tandis que je la ravalais pour la pomper furieusement. J’en frémis des pieds à la tête. J’aurais pu tout stopper pour la chevaucher mais je n’avais pas sucé une bite jusqu’a avaler du sperme depuis si longtemps que la, moi qui pourtant n’est pas forte là-dessus, je voulais avaler son sperme comme si c’était devenu une mission.

Le temps sembla s’étirer tandis que je suçais en ravalant ma salive me préparant à l’explosion finale, me rappelant encore ma première pipe. Le murmure de la rivière me semblait plus fort, nos gémissements également, enfin les sien. Moi je grognais la bouche pleine le corps parcouru de frissons de plaisir. Je faillis avoir un autre orgasme mais il m’échappa.

Mon visage frappait l’eau de plus en plus vite, je resserrer ma main pour l’amener a l’orgasme, la masturbant avec force lèvres serrer sous son gland que mon poing fermer heurtait et ses couilles également reposant sur le sable. Elle retira son doigt de mon vagin, sous le coup de l’excitation devinais-je, pour m’agripper par les cheveux et me forcer a l’avaler plus profond, ce que je détestais habituellement mais… pas cette fois. Au contraire, ça me plaisait. Je dus fermer les yeux parce que mon visage entrait plus profondément sous l’eau et raidir la nuque car son gland m’entrait presque dans la gorge mais heureusement ma main l’empêchait d’aller trop loin. Mon coeur cognait, je manquais de souffle et mes seins s’écrasaient contre sa cuisse. Elle gémit plus fort en se tortillant à son tour et soudain elle se crispa. Je sentis sous mes doigts le sperme grimper dans l’urètre et même si je m’étais préparer a avalé, je sursauter tout de même quand le premier jet, le plus puissant jaillit contre mon palais m’arrosant la langue, se faufilant jusque dans ma gorge. J’avalai aussitôt le liquide saler qui m’emplissait déjà la bouche, un autre suivi et un autre, encore et encore. J’avalai tout jusqu’à la dernière goutte tout comme dans mon rêve. La pression de sa main sur ma tête se relâcha et juste à temps, j’étouffais. Je pus sortir le nez de l’eau pour inspirer de l’air le visage en feux et la sucer encore un moment avant de me redresser finissant d’avaler son foutre et ma salive qui me dégoulinait sur le menton. Je m’essuyer la bouche et prit un bonne gorgé de bière pour faire passer tout ça tandis quelle se la secouait visiblement très soulager et sous le choc de l’orgasme. Je me laver le visage en sentant mon coeur se calmer tandis quelle me remerciait. L’eau fraîche me fit du bien et me ramena à la réalité. Je repris de la bière en réalisant que je n’avais pas de nausée comme à chaque fois que j’avais avalé le sperme de mon ex qui était franchement mauvais.

— Ouf, t’es une sacrée bonne suceuse Julie, fit-elle malicieuse.

Je rougis, embarrasser comme d’habitude en répondant :

— Merci, et toi ? Demandai-je rieuse pour la taquiner.
— Je me débrouille. Tu repars quand ?

Je soupirer et prit une bonne gorgée de bière en réfléchissant.

— Lundi matin, pas le choix.
— Ouf, tu ne t’arrêtes jamais et tu t’étonnes de dormir autant.
— Je prends 3 semaines l’hiver.
— Hum ! La tonne de bagages, l’attente aux douanes, l’avion, l’hôtel, c’est reposant. Je parie que tu reviens de tes vacances épuiser ?
— WAIS !
— Quand tu vas t’effondrer tu diras à ton médecin de t’envoyer ici en convalescence et je vais m’occuper de toi.
— Je parie que t’as un petit ensemble d’infirmière sexy.
— Non, mais, Carole au sex-shop doit avoir ça, si ça t’excite.

Je ris un moment avant de rajouter.

— Non, seigneur non, pitié. Et toi, je ne sais rien de toi, tu travailles ?
— Oui, pour le musée d’histoire naturelle de New York.
— Tu travailles à New York !
— Non, de chez-moi par internet. Je restaure des vieilles photos pour eux.
— Quel genre de photos ?
— Des photos du 18 et 19 siècles prises par de vieux explorateurs; des tribus africaines, des cités mayas, des momies égyptiennes, des squelettes de dinosaure, des têtes réduites, des artéfacts de partout dans le monde bref toute sorte de choses, ils ont pratiquement des millions de photos en archives. On est plusieurs à travailler là-dessus.
— Wow ! Parle-moi de toi.
— Il n’y a pas grand-chose à dire.
— Bon, je vais faire la police et te questionner, chut bonne pour ça.

Et ce quelle me raconta fut, passionnant mais aussi bouleversant par moment, j’en eu les larmes aux yeux, a d’autres je riais comme une folle.

On se baigna longtemps tout près du camion, on mangea des sandwichs puis on s’enduit d’huile solaire et on resta étendu sur nos serviettes de plage près du pont à se faire dorer au soleil en buvant de la bière. Le bruit de la rivière qui s’écoulait entre les rochers était si apaisant que je fini par cligner des yeux coucher sur le ventre et…

— Julie… Julie !
— Hum !
— Réveille, on rentre.
— Nooooon ! On est trop bien. Dis-je en roulant sur le dos fixant le ciel bleu, sans nuages en sortant des limbes. Je me sentais alangui, écraser par le soleil et si reposer par mon petit somme. Toujours nue, je savourais se moment tandis que Luce, toujours nue elle aussi m’admirait comme elle avait dû le faire pendant que je dormais. Son beau sexe flasque reposait sur ses couilles écraser sur le sable blond, elle était assise appuyée au pont et buvant une bière.
— Tu t’es encore endormie, une vraie marmotte.

Je tourner la tête vers elle une main au dessus des yeux à cause du soleil. Elle était tellement femme que je n’avais aucune peine a l’imaginer avec un homme et pourtant… en regardant son pénis je me doutais bien de quelle manière ils baisaient et cela me troublait. J’écartai les jambes offrant mon sexe au soleil en regardant ma toison noir ovale sur mon pubis bomber, je replier mes orteils en soupirant de bonheur tout en croisant mes bras sous ma tête. Mes seins aplatit et pendant sur mes côtes ruisselait de sueur, mes petites égratignures guérissait et s’effaçait. J’avais déjà bronzé un peu, enfin.

— Dis moi Luce, tu passes des Teste pour les MTS. Lui demandais-je en regardant le ciel.
— Oui, régulièrement même si je me protège toujours. Je suis clean et toi ?
— J’ai passé des testes quand j’ai apprise que mon marie me trompait, je n’ai rien. Au moins, il se protégeait le salaud et moi la dinde, je ne le trompais pas et pourtant ce n’est pas les occasions qui m’ont manqué. Avoir su…
— OK ! Tu prends la pilule ?
— Ligature après deux fausses couches.
— Je suis désolé Julie.
— Mais non, ça vas, cela fait plus 20 ans.
— T’as une idée derrière la tête pour me demander ça ?
— WAIS !
— Et je peux savoir laquelle ?
— Plus trad. Répondis-je amuser.
— Tu veux conduire sous l’eau ?
— Oh oui !
— Alors aide-moi à tout ramener au camion.

Je soupirer longuement en fermant les yeux, j’aurais tout donné pour rester la encore des heures et quelle s’étende contre moi mais soudain, mon bikini me tomba sur le ventre.

Cette fois on s’attacha et vu l’inclinaison du 4×4 ce ne fut pas facile. Je tourner la clef certaine que le moteur était mort étant donné qu’il était sous l’eau depuis un bon moment mais il démarra au quart de tour. On ferma les fenêtres, le toit ouvrant, j’enclenchai les quatre roues motrices et des que j’embrayai, un peut nerveuse il avança, le cul tomba du camion tomba dans la rivière nous secouant rudement et on se retrouva pratiquement sous l’eau. Je ne pus m’empêcher de lâcher un petit cri de nervosité en cessant d’appuyer sur l’accélérateur tout en surveillant mes bottes pour voir si de l’eau s’infiltrait, mais non. C’était si étrange de regarder par les fenêtres et de voir sous l’eau si claire, et j’aperçus un gros brochet nous regarder un moment avant de filer en passant par dessus le capot.

— Vas s’y, sort nous de la bombe. Dis Luce en souriant. Une fois sur le banc de sable tourne lentement.

Je le fis, le camion émergea sans peine, je dus contourner quelques gros rochers et même rouler sur quelques un lentement en tournant dans la rivière pour m’approcher de la rive prudemment et y grimper somme toute facilement en cassant quelques arbustes et une fois sur la berge je repris la route.

— Wow ! Fis-je éberluer d’être sorti de la et énerver comme une gamine. J’en veux un comme ça Luce.

Pour toute réponse elle dit les yeux réduits à deux petites fentes :

— Je suis désolé de te l’apprendre Julie mais t’es la fille que j’ai toujours rechercher; belle, intelligente, drôle et… bonne suceuse.

Je rougis embarrasser de nouveau et lui sourit en regardant du coin de l’oeil ses seins nus tout blancs sursauter et je répondis :

— Tu l’as trouver ma belle, ne cherche pas plus loin et en arrivant a la roulotte prend moi comme tu le veux, demande moi ce que tu veux, j’en ai vraiment envie. J’ai le goût de me faire baiser d’aplomb et après de faire un bon somme dans tes bras avant le souper et ensuite on baise encore.
— Trois fois… non quatre dans la même journée, wow ! À mon âge tu sais… ce n’est pas évident. Mais bon, je vais faire un petit effort.
— T’as intérêt ma belle mais la, remets ton haut de bikini, je n’ai pas envie de refaire un accident. Surtout qu’on arrive à l’endroit où les arbres sont tombés sur la route.

Elle le fit pour ensuite glisser un CD dans le lecteur et soudain Cyndi Lauper se fit entendre à fond la caisse et on se mit à chanter avec elle son bon vieux classique…

Come home in the morning light,
My mother says « When you gonna live your life right? »
Oh,mother,dear,
We’re not the fortunate ones,
And girls,
They wanna have fu-un.
Oh,girls,
Just wanna have fun.

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