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Moi, Mature et Salope…

Moi, Mature et Salope…



Je m’appelle Anne et j’ai 48 ans. J’ai longtemps enfouie mon caractère de salope, mais après mon divorce, j’ai décidé de m’éclater et rapidement je suis devenue une accro au sexe. Et oui, j’ai beau être ménopausée, avoir un gros cul, des petits seins plus très ferme et un ventre distendue, je suis devenue une allumeuse professionnelle et une folle de bites. Pas une semaine ne se passe sans que je me fasse prendre par un homme.

Voici par exemple une petite histoire qui m’est arrivé récemment.
Par un belle après midi, je me suis posé en terrasse qu’un café. Ce jour là, je portais une simple robe courte verte pale. En tant qu’allumeuse je me suis abstenue de porter des sous vêtements, alors exit le string et le sous tient gorge. Une fois ma commande passé, je matais les hommes qui passés dans la rue quand j’ai croisé le regard d’un homme assis à quelques tables de moi. Il devait avoir environ 50 ans, plutôt gras mais pas moche. Il n’arrêtait pas de me mater avec envie. J’ai décidé alors de jouer un peu avec lui. J’ai pris la paille de mon Perrier et commencé à jouer avec de façon de plus en plus suggestive. J’ai vu alors son regard se remplir d’un désir de plus en plus fort. Il aimait ça le cochon. Pour l’exciter encore plus je décidais de remonter ma petite robe petit à petit. Son visage se déformé sous l’envie, et quand il a pu distinguer ma petit chatte poilu je le vis carrément rentrer sa main dans sa poche. Il se branlait le salaud, mais j’adorais le voir ainsi prendre du plaisir pour moi. Je jouais ainsi une bonne dizaine de minute avant de me désintéresser de lui comme une sale allumeuse.

Une fois mon Perrier finie et avant de partir, je suis allé au toilette. En sortant pour me laver les mains je tombe nez à nez avec l’inconnu de la terrasse. Sans un mots mais avec un grand sourire, il ouvrit sa braguette et me présentât une belle bite. Je n’ai pas pu résister, elle était vraiment grosse. Je le traîne alors dans le toilette, ferme la porte et commence à faire grossir sa bite dans ma main. Puis mes lèvres s’approche de son membre et commence un va et viens. J’aime sucer des queues, j’aime donner du plaisir par ma bouche. Pendant que je le pompais de plus en plus goulûment cet inconnu comme une chienne, je sentie les mains de celui caresser mes seins. Putain que c’était bon, je sentais ma chatte toute humide. Au bout de 5 minutes de labeur et sans avertissement préalable, ce cochon me gicla dans la bouche avec une force rare. Ma bouche était remplie de son sperme et je n’ai eu d’autre moyen que de tout avaler. Humm quel délice de sentir ce foutre couler dans ma gorge. « T’es vraiment une salope toi » voici les premiers mots de l’inconnu. Alors que je me remettais de mes émotions, mon inconnu me donna son adresse en me demandant de passé le soir même pour « faire mieux connaissance ». Au considérant l’état d’excitation de ma chatte, je lui ai répondu que oui je passerais. On se séparas et une fois rentré chez moi je me rendis compte que j’avais une belle éclaboussure de foutre sur ma robe ! J’avais vraiment fait ma salope…

…Mais cela ne faisait que commencer car le soir même je savais que cet inconnu allait me baiser comme une salope. Pour préparer cette soirée, je décidais de m’habiller légèrement, c’est à dire bas blanc avec porte jarretelle, string, corset et talon haut. Pas plus, juste un long manteau que je laisserais tomber dès la porte franchie. A l’heure H, je me mis en route vers la maison indiqué. Je sonne, la porte s’ouvre, je le vois. Je laisse tomber mon manteau, mon inconnu me sourie et me prend la main pour m’entraîner vers le salon.
« Regardez la grosse salope qui vient d’arriver ! »
Pendant 2s je ne comprend pas à qui il parle, puis soudains je me rend compte que 2 hommes d’une cinquantaine d’année étaient installés dans le canapé !

Je suis abasourdis, glacé d’effrois, mais pas le temps de revenir en arrière que les 2 gars du canapé avaient sorties leurs bites. Mon inconnu me poussa violemment vers eux si bien que je suis tombé avec mes talons au niveau de leurs queues. Il n’y avait plus le choix, je pris en mains les deux bites et commençais à les faire grossir. En tant que salope ma bouche ne résista pas longtemps et je me mis à sucer comme une furie ces belles bites. Pendant ce temps, mon inconnu enleva mon corset avant de me peloter les seins et mes grosses fesses. D’un coups, je sentie ses doigts s’enfoncer profondément dans ma chatte suivie par des coups de langue au niveau de mon cul. Un pur délice, j’étais inondé de cyprine. Au fur et à mesure qu’ils me voyait prendre du plaisir, ces messieurs commencèrent à m’insulter de tout les nom possible. Le pire c’est que plus ils m’insultaient et plus j’aimais ça !

La suite, comment dire, fut une succession de labourage. Chacun leur tour ces messieurs se sont présentés au niveau de ma chatte et mon prisent violemment comme une pute de bas étage. Ils mon labouraient la chatte encore et encore, j’étais leurs jouet et j’ai joui comme jamais. Ma chatte était littéralement en feu sous leurs coups de bite. Sans prévenir un des gars m’enculas fortement, j’ai crié de douleur comme une folle mais il ne renonça pas et me pilonna encore et encore, bientôt suivie des autres. Sous la douleur et le plaisir mêlés, je perdis toute lucidité. Ainsi quand ils me demandèrent si j’étais ok pour une DP j’ai dit oui sans me rendre compte que j’allais avoir deux bites en moi ! Une nouvelle fois, j’ai crié de douleur quand les deux bites furent en moi mais le troisième larron me fis taire aussitôt en me collant sa bite dans ma bouche. Ils continuèrent ainsi encore et encore en alternant régulièrement, je n’étais plus qu’un sale pute à foutre pour eux.

Une fois libéré de leurs étreinte, je m’écroulais de fatigue sur le sol pensant que tout cela touchais à ca fin… Mais rapidement je compris qu’ils voulaient ce finir sur ma gueule. Ils s’approchèrent de mon visage en se branlant fortement et se lâchèrent quasiment en même temps inondant mon visage de leurs foutres. J’étais couverte de sperme mais au lieu de m’aider ils me balancèrent mes affaires et me dirent dégager. Ainsi, je me suis retrouvé dehors à moitié nue mon manteau à la main. Je suis rentré dans ma voiture puis t’en bien que mal chez moi. Arrivé, je me suis écroulé sur le canapé le visage toujours maculé de foutre et m’endormis.
Jamais, je n’avais étais aussi humilié mes paradoxalement ce fut l’une de mes meilleurs baise de toute ma vie !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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