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Magalie mon amie en manque

Magalie mon amie en manque



Avec Magalie une amie que j’ai connu au collège, on a pris l’habitude de se voir au moins un samedi ou un dimanche par mois en alternant une fois chez elle, une fois chez moi.
Cela nous permet de garder contact et de rester de très bons amis, c’est d’ailleurs la seule dans mon entourage proche à savoir que j’écris des récits érotiques.
Il ne c’est jamais rien passé entre nous et aucun de nous n’a essayé de draguer l’autre d’ailleurs.

Et pourtant notre amitié prit une tournure tout à fait différente il y a quelques temps de cela.
Mais avant de débuter, une petite description s’impose. Magalie est une très belle femme de 42 ans. Elle est blonde, plutôt petite de taille, assez mince, et sa poitrine de bonne taille ainsi que ses yeux verts on fait craqué pas mal de monde au collège et au lycée.
Mais étrangement, alors qu’elle correspond totalement à mon type de fille, je n’ai jamais été tenté de la draguer.
Peut être que c’était du à notre très bonne amitié.
Et en plus d’avoir un corps très agréables à regarder, elle portait toujours des vêtements ajustés à son corps, soit jupe d’été ou pantalon moulant taille basse.

Par contre, une chose qui m’a toujours étonné chez elle, c’est le fait qu’elle n’a jamais eu de longue relation avec un mec, enchaînant les mecs tous les cinq mois en moyenne. Ce fut d’ailleurs notre discussion ce jour là chez moi.

– Alors ça se passe comment avec ton copain ?

– Bof bof

– Tient donc. Lui dis-je en rigolant

– Quoi ?

– Ca ne m’étonne pas trop, tu trouves toujours des problèmes avec tes différents mecs.

– C’est pas vrai !

– Ah bon ? Alors pourquoi tu enchaînes les histoires.

– Tu veux vraiment le savoir ? Soit parce que je trouve un mec qui me semble mieux que celui avec qui je sors, soit parce que je finis par le tromper avec divers mecs du coup c’est lui qui me quitte lorsqu’il s’en aperçoit. Et puis tu peux te moquer, toi aussi tu as enchaîné pas mal de fille récemment.

– C’est vrai, on est pas doué tous les deux. Et alors, quel est le problème avec celui là ?

– Il est mauvais au lit.

– C’est tout ? Tu sais je suis déjà sorti avec des filles mauvaises au lit, ce n’est pas pour autant que je les ai largué ou trompé.

– Je n’ai pas la même tolérance que toi à ce sujet mais j’ai toujours été ainsi.

– Ainsi ? Tu veux dire quoi ?

– Eh bien… Disons pour faire simple que je suis une vrai salope. J’adore le sexe et j’ai besoin d’un mec ayant une très grosse libido. Parfois, j’ai juste besoin de me faire baiser, pas qu’on me fasse l’amour. Mais tu vas comprendre, réponds moi honnêtement, tu aimes faire des cunni ?

– Bien entendu.

– Et bien lui non, il déteste ça et ne m’en fait presque jamais. Ca t’arrive de faire l’amour ailleurs que dans ton lit ?

– Oui.

– Moi non. Un problème avec la sodomie ?

– Aucun, si une fille accepte c’est toujours un plaisir de le lui faire.

– Il ne m’a jamais enculé alors que j’adore ça.

– Du coup tu vas le larguer quand ?

– Je ne sais pas car en dehors du sexe il est parfait mais je suis tellement en manque…

– Donc tu vas le tromper ?

– C’est fort possible.

Au fil de la discussion, une bosse avait commencé à se dessiner dans mon pantalon, ce qu’elle finit par remarquer.

– Mais dis moi, je serais pas entrain de t’exciter un peu ?

– Ca t’étonne ? Je te signale que ça fait de longue minute que je discute librement de sexe avec une très jolie fille.

– Si tu n’as pas peur que ça détruise notre amitié, j’ai quelques idées en tête pour la suite de la journée.

J’en restais bouche bée pendant quelques secondes. Elle me proposait carrément de coucher avec elle. Je me voyais déjà entrain de la déshabiller.

– Ca ne peut que rendre notre amitié encore plus intéressante.

Sur mes paroles, Magalie se mit à caresser la fameuse bosse tout en continuant à me parler.

– Je dois t’avouer que ça a toujours été un regret qu’on ne baise jamais tous les deux.

J’installais Magalie sur mon canapé avant de me mettre à genoux entre ses cuisses, elle remonta sa jupe avant d’écarter immédiatement ses jambes ce qui laissait apparaître un très joli string noir.
Je mis mes mains sur ses cuisses avant de doucement les remonter vers ses hanches.
Elle souleva ses fesses afin que je puisse lui enlever son string.
Une fois cela fait, plus rien ne cachait son sexe qui était complètement épilée. Je ne résistais pas un instant de plus à lui embrasser son clitoris. Immédiatement, elle réagit en poussant un soupir.

– Vas-y lèches moi ! Je veux sentir ta langue !

Après quelques minutes à la lécher, du bout de ma langue je débusquais son petit bouton et je m’y attachais, le titillant, le mordillant, et le suçotant.
Magalie entama de très nombreux gémissements et ronronnements entrecoupés de petits cris.
Afin de l’achever, je décidais de passer à l’étape supérieure.
Doucement, avec mon pouce je caressais son puits d’amour avant de le pénétrer tout en continuant mes caresses buccales. Elle finit par exploser en ayant un orgasme dont je sentis les vagues dans son ventre.

– A mon tour de bien m’occuper de toi !

Je me relevais afin de m’approcher d’elle, toujours assise, elle enleva ma ceinture avant de défaire les boutons de mon pantalon.
Une fois cela fait, elle baissa en même temps mon pantalon et mon boxer.
Ainsi mon pénis gonflée se déploya d’un coup. et commença alors à donner quelques coups de langues sous mes testicules, ça tombe bien j’adore ça, puis elle remonta doucement vers le haut à la base de mon sexe, avant d’atteindre mon gland.
Elle ouvrit alors la bouche pour prendre mon gland et descendre doucement jusqu’à avoir tout mon sexe en bouche.
Je sentis alors sa langue me caresser, je savourais la caresse que l’une de mes meilleures amies me prodiguait.

– C’est bon ? Me demanda t-elle.

– Oui, tu es excellente. Et toi tu aimes ?

– J’adore sucer, c’est l’une de mes gourmandises préférés.

Suite à ces mots, sa bouche c’était ouverte toute grande pour engloutir ma queue et elle enserrait ma tige entre ses lèvres.
Je vis sa tête monter et descendre avec un rythme progressif.
Je posais ma main sur ses beaux cheveux pour réguler son tempo.
Elle remontait ensuite le long de mon sexe en me regardant dans les yeux avant de jouer avec mon gland avec sa langue pendant un long moment.
Elle faisait monter progressivement mon plaisir puis commença de longs va-et-vient.

– Tu veux que je te fasse une branlette espagnole ?

– Bien sur !

Je ne pouvais qu’accepter tant elle semblait avoir une poitrine parfaite pour faire ce genre de chose.
Du coup, on se déshabilla totalement tous les deux.
Puis mon sexe disparu entre sa poitrine.
Elle massait délicatement ma bite entre ses douces masses et lorsque je sortais presque totalement, elle donnait un léger coup de langue sur mon gland.
Elle s’appliquait comme ça durant plusieurs longues minutes, avant d’accélérer la cadence.
C’en était presque insupportable tant j’avais envie de jouir.

– Ca va bientôt venir !

A ces mots, elle stoppa la branlette espagnole pour me reprendre en bouche.
Elle me suçait alors longuement avec ardeur.
Très vite, je sentis venir ma sève.
Elle le sentis aussi car elle accéléra encore un peu plus la cadence avant d’avaler en totalité les giclées de semence épaisse que je ne pouvais plus retenir. Elle nettoya parfaitement mon sexe avant de lui rendre sa liberté.

– Alors tu as aimé ?

– C’était parfait, et je dois avouer que je ne pensais pas que tu allais tout avaler.

– Merci. Je suis pas ultra fan du sperme mais j’étais tellement excitée que sur le moment j’ai eu envie de savoir qu’elle goût tu avais.

Elle se dirigea ensuite vers ma salle de bain pour se nettoyer un peu tandis que moi, je m’allongeais sur mon canapé le temps de reprendre mes esprits, je commençais à peine à réaliser que je venais de faire l’amour avec Magalie, l’une de mes meilleure amie depuis le collège. Puis, elle finit par venir me rejoindre et s’allongea contre moi pour que je la prenne dans mes bras.

– Tu regrettes ? Lui demandais-je.

– Absolument pas au contraire.

Puis, elle commença à approcher sa bouche de la mienne.
Nous lèvres se joignaient pour un baisers timide au début avant de laisser nos langues se découvrir, se caresser.
Elle embrasse merveilleusement bien ce qui eu pour effet de faire monter mon excitation.
Puis, elle prit mon pénis pour le masturber tendrement tout en continuant de m’embrasser. On resta ainsi pendant de longue minute avant que je lui propose un 69.

Une fois en position, elle enfourna mon sexe dans sa bouche afin de me sucer avec ardeur, tandis que je léchais le sien avec application.
Je passais du temps sur son clitoris et malgré mon sexe dans sa bouche, je l’entendais gémir. Je suçais ensuite l’entrée de son vagin aspirant sa mouille.
Au bout de quelques minutes de ce divin traitement ma bite avait repris toute sa vigueur pour notre plus grand plaisir.

– Vas-y encules moi !

– Tu es certaine ?

– Oui, j’en ai plus qu’envie !

Je m’extirpais de sous Magalie pour aller chercher un préservatif.
Après l’avoir enfilé, je vis qu’elle s’était déjà placé en levrette.
Afin de la préparer au mieux, Je crachais dans son sillon avant de jouer avec, le dilatant et l’assouplissant avec l’un de mes doigts, puis quand le deuxième trouva son chemin elle se mit à respirer fort.

– J’ai du lubrifiant dans mon sac. Me dit-elle.

– Ah mais en fait, tu avais prévu qu’on couche ensemble aujourd’hui !

Elle ne dit rien, se contentant de sourire.
Après avoir lubrifiais mes doigts, je chatouillais doucement son muscle intérieur et peu à peu écartais les deux doigts, dilatant sa rondelle et essayant de l’ouvrir.
En quelques minutes seulement, elle s’assouplit et je vis l’orifice s’ouvrir entre mes doigts.
Du coup, le troisième doigt n’eut aucune difficulté à s’introduire en elle.
Magalie continuait de gémir doucement en continu, prenant son plaisir.
Je pénétrais maintenant doucement mon pénis dans son anus qui se dilatait facilement grâce à ma préparation et à son excitation. Je commençais alors de timide va-et-vient dans un premier temps.

– Alors, comment tu te sens ?

– Tant que je te dis rien c’est que ça va !

– Très bien, alors penches toi bien.

Petit à petit j’accélérais le rythme de la pénétration, j’étais surpris de voir qu’elle encaissait aussi bien.
Au bout d’un moment, je sentis que la douleur avait laissé place au plaisir, elle gémissait de plus en plus.

– Ca te plaît de te faire limer le cul ?

– Oh oui, j’adore ! Et toi mon cul te plaît ?

– Tu as un sacré cul, je ne comprends pas ton copain.

La sensation de ses chairs les plus intimes, bien chaudes, enveloppant ma verge me procurait un immense plaisir.
J’ai réussi à tenir quelques longues minutes supplémentaires en faisant de longs et profonds aller-retour, les deux mains sur ses fesses, les écartant, et en variant la vitesse de ma pénétration avant de sentir ma jouissance monter.

Je me suis alors enfoncé le plus profondément possible avant d’éjaculer de longs jets de sperme si puissant que j’avais un peu peur sur le moment que le préservatif ne résiste pas.
Je me suis ensuite retiré d’elle tout doucement, laissant son anus tout ouvert, et vu qu’elle ne bougeait pas, je suis restais quelques instants à la contempler ainsi.
Après un petit tour à la salle de bain pour me débarrasser de la capote, je vins m’allonger près d’elle afin de l’enlacer. On est resté ainsi de longue minute sans dire le moindre mot afin de profiter un peu plus du moment présent.

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