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Aurélie

Aurélie



Je me présente, Aurélie, vingt-cinq ans, brune, un mètre, soixante-sept, quatre-vingt-cinq A, soixante-deux, quatre-vingt-cinq, vivant maritalement depuis trois ans à Frank. Peu portée sur le sexe, je me force au « devoir conjugal ». Frank semble s’en accommoder car nos relations sont rapides et espacées. Quelques semblants de caresses, puis il me pénètre dans la position du missionnaire et fait « sa petite affaire ». Je suis plus épanouie côté professionnel. Chargée de projet, je dirige une équipe de cinq personnes.

C’est au mois de septembre, au retour de vacances que ma vie a basculé. Je suis convoquée par le directeur des ressources humaines qui me signifie une procédure de licenciement pour faute grave. En effet, un document rédigé par mes soins a disparu et a coûté vingt mille euros à ma société.

Malgré toutes mes tentatives de justification, je suis licenciée le vingt-cinq septembre. Au cours des six mois qui suivirent, je me lançai à corps perdu dans la recherche d’un nouveau travail, mais je dus me faire une raison, il n’y avait rien pour moi. Au fur et à mesure du temps, je diminuai mes prétentions, en vain.

Ce soir du trois avril, Frank me dit :

Je me demande si tu retrouveras un jour du travail.

Mais si chéri, je continue à chercher.

On ne veut même pas de toi comme femme de ménage.

Cette assertion, véridique, me laissa sans voix et me fit monter les larmes aux yeux.

En attendant, nous allons devoir restreindre notre train de vie. Puisque tu ne travailles pas, tu devrais pouvoir faire le ménage et la cuisine.

Mais chéri, tu sais bien que je suis nulle en cuisine.

Tu apprendras. J’ai d’ailleurs donné son congé à Consuelo.

Tu as quoi ?

Consuelo ne viendra plus, tu la remplaceras, compris ? lança-t’ il d’une voix impérieuse.

Bien, mon chéri. Comme tu veux.

Ce soir-là, je pleurai mais il ne fit aucun geste pour me consoler. Il partit le lendemain en m’embrassant distraitement. Je me mis au travail. Le ménage ne me causa pas beaucoup de soucis, mais les problèmes surgirent lors de la préparation du repas du soir. Tout ce que je faisais échouait et lorsque Frank revint du travail, le dîner était brûlé, immangeable. Frank quitta l’appartement en maugréant, me laissant en pleurs. J’étais déjà couchée lorsqu’il rentra.

Cette scène se reproduit tous les jours de la semaine, et le vendredi matin, Frank me lança :

Si le dîner est encore mauvais ce soir, tu seras punie, compris ?

Mais …

Compris ?, me coupât’ il.

Oui mon chéri.

J’eu beau m’appliquer, lorsque Frank revint, le dîner avait l’air toujours aussi misérable. Assis à sa place, je le vis serrer les dents et c’est d’une voix vibrante de colère qu’il m’apostropha :

Viens ici !

Je me levai et me rendit près de lui, baissant la tête, les mains jointes devant moi.

Qu’est-ce que c’est que çà, fit-il en désignant son assiette.

Je ne répondis pas, sachant que ce serait inutile. Avant que je puisse réagir, il avait reculé sa chaise, m’avait empoigné le bras et basculée sur ses genoux. Je dus poser les mains au sol pour ne pas heurter le plancher du visage. Aussitôt, il retroussa ma jupe, baissa ma culotte et entreprit de me fesser. Chaque claque retentissait fortement et mes fesses se mirent à rougir très vite. J’avais beau me trémousser pour lui échapper, il me tenait trop bien. Et je ne pouvais me servir de mes mains, obligée de les garder à terre. Sous la douleur et la honte, je me mis à pleurer. Frank n’en avait cure et continuait à me fesser. Soudain, contre toute attente, je sentis une douce chaleur irradier mon sexe. Montant crescendo, je sentis un plaisir jamais ressentit, m’envahir. Et bientôt, mes trémoussements tentaient de cacher l’orgasme dévastateur qui m’emporta. Frank s’en aperçu-t-il ? Je ne sus pas mais il cessa de me fesser. Me redressant brutalement, il m’ordonna :

Retourne-toi, les mains sur la tête.

Anéantie, j’obéis. Il prit le bas de ma jupe, le roula jusqu’à la taille et coinça le tout dans la ceinture. Puis il me dit :

Tu vas aller au coin, comme cela, à genoux et les mains sur la tête. Tu y resteras jusqu’à ce que je rentre.

Entravée par ma culotte tombée sur mes chevilles, je me rendis en clopinant dans le coin et pris la position demandée. Je savais que j’avais l’air particulièrement ridicule, à genoux, la culotte sur les chevilles, le cul rougi, les mains sur la tête. Mais il ne me serait pas venu à l’idée de désobéir. J’étais matée.

J’étais toujours dans la même position quand il revint. J’avais mal aux genoux et aux bras, mais j’étais fière. J’avais résisté.

Lève-toi et suis-moi.

Je me levai tant bien que mal et le suivit dans le salon. Je marchais plus librement, ma culotte m’ayant abandonnée lors du trajet. Ma jupe était toujours relevée et j’avais gardé mes mains sur la tête.

Il s’assit dans son fauteuil et me dit :

Reste debout devant moi. Tu n’es bonne à rien et je pense que tu le resteras. Tu n’es qu’une souillon. Voilà ce que je te propose : tu vas devenir ma boniche. Voici ce que tu devras respecter :

Premièrement, une boniche ne tutoie pas son patron. Donc, tu me vouvoieras et m’appelleras maître.

Deuxièmement, tu feras le ménage, entretiendras la maison, laveras et repasseras le linge.

Troisièmement, tu vas prendre des cours de cuisine, ainsi cela ira déjà mieux.

Quatrièmement, tu t’occuperas de moi. Tu me serviras mes repas, sans jamais t’asseoir avec moi. Si je te le demande, tu me laveras, m’habilleras.

Cinquièmement, je te baiserai quand et comme bon me semblera et tu ne pourras refuser. Tous tes trous devront m’être accessibles. Après, tu me nettoieras avec ta bouche.

Sixièmement, je pourrai amener à la maison qui je voudrai et tu devras leur obéir comme à moi.

Septièmement, sache qu’un maître de maison peut baiser sa boniche, mais ne dort pas avec. En conséquence, tu dormiras cette nuit dans la petite chambre, qui deviendra la tienne si tu décides de rester.

Huitièmement, si tu es encore là demain soir, tu m’attendras dans le couloir, à genoux, cuisses largement écartées, tête baissée, mains dans le dos. Ce sera ta position d’attente pour chaque jour.

Si tu n’es pas d’accord, tu fais ta valise et tu quittes l’appartement. A toi de choisir. Je te laisse jusqu’à demain soir pour te décider. Bonne nuit, boniche.

Et il quitta la pièce, me laissant seule, abasourdie, en larmes. A aucun moment je n’eus l’idée de rabaisser ma jupe qui découvrait mes fesses. J’étais là, au milieu de la pièce, immobile, incapable de faire un mouvement. Quand enfin je me décidai à gagner la chambre, une demi-heure avait passé. Je faillis oublier ses recommandations quant au fait que je ne partagerais plus son lit et je faillis entrer dans la chambre conjugale. Au dernier moment, je me ressaisis et, alors que j’allais repartir, j’entendis la voix étouffée de mon mari. Il téléphonait à quelqu’un. Je l’entendis parler de moi avec une autre personne. Il disait :

Elle est à point… Oui, je pense qu’elle va rester … Où veux-tu qu’elle aille ?…

Je n’entendis pas le reste car il baissa le ton. Ainsi, il avait combiné le tout avec quelqu’un, mais qui ?

Toutes ces questions trottèrent dans ma tête toute la nuit et je ne dormis pas beaucoup. J’entendis Frank se lever, prendre sa douche et s’en aller. Je me levai à mon tour, toujours indécise. Je me disais que je ne devrais pas accepter d’être traitée ainsi et que je devrais m’en aller. Mais pour aller où ? Frank avait raison. Et puis, il y avait ce que j’avais ressenti hier au soir, pendant la fessée, cet orgasme violent, dévastateur, cette honte excitante d’être traitée comme une gamine et rester pendant des heures (deux ?) au coin, le cul nu. Je ne pouvais nier que tout cela m’avait plu.

Toute la journée je ressassai et soupesai le pour et le contre. Un trouble étrange s’empara de moi, au fur et à mesure que le temps passait et je sentis le fond de ma culotte s’humidifier. Jamais encore je n’avais ressenti une telle sensation. Je la retirai même et je humai mon odeur. Je sus alors que je devais rester.

Peu de temps avant que Frank ne rentre, j’eus l’intention de changer de culotte, mais je m’en gardai bien. Je voulais qu’il sache, s’il le désirait, quelle salope j’allais devenir. Je me dirigeai vers le couloir et pris la position. Je ne tardai à sentir ma culotte se mouiller. Lorsque j’entendis la clef dans la serrure, je faillis jouir.

Frank entra, et sans me jeter un regard, posa ses affaires sur la console. Enfin, il jeta un regard vers moi. Ma jupe, très courte, remontée haut sur mes cuisses, laissait voir ma culotte. Et il ne faisait aucun doute qu’il pouvait voir l’entrejambe trempé.

Alors, tu es restée, boniche, me lançât’ il d’un ton amusé.

Oui, maître, répondis-je d’un ton humble.

Tu sais ce qui t’attend ?

Oui, maître. Je vous servirai de tout mon cœur. Je serai votre boniche, votre esclave, votre vide-couilles, comme il vous plaira. Je ne demanderai qu’une faveur…

Crois-tu être en position de demander une faveur ?

Non maître. Toutefois, je sollicite l’autorisation de la soumettre. Il vous appartiendra ensuite d’y consentir ou de refuser.

D’accord, expose ta demande.

Je vous demanderai, pour tout ce qui est sexuel, de m’éduquer progressivement.

C’est tout ?

Oui maître. Pour le reste, il vous appartient de me dresser sévèrement, ne laisser passer aucune incartade.

Ne t’inquiète pas, ce sera fait. As-tu préparé le repas ?

Non, maître, j’ai oublié.

Oublié ! j’ai l’impression que tu veux être punie. Dis-moi, je rêve ou ta culotte est trempée.

Non maître, vous ne rêvez pas.

Donne-la-moi !

Je me contorsionnai pour faire glisser le sous-vêtement le long de mes jambes et le tendit à celui qui était devenu mon maître. J’entendis le froissement du tissu dans sa main puis une inspiration. Il devait en sentir l’odeur.

Jamais encore je n’avais eu l’occasion de sentir ton odeur, espèce de salope. Tu as toujours été frigide avec moi. Mais je pense que cela va changer, n’est-ce pas ?

Oui maître. Je vous appartiens.

Bien, alors tu vas te déshabiller entièrement, tu iras dans le hall, tu claqueras la porte et tu m’attendras.

Oui maître.

Toujours à genoux, je fis glisser ma jupe, déboutonnai mon corsage et dégrafai mon soutien-gorge. Je me retrouvai entièrement nue. Je me relevai, gardant toujours la tête baissée et j’ouvris la porte. J’eus un moment d’hésitation, bien vite réprimé par un raclement de gorge de mon maître. Je sortis donc et refermai la porte sur moi. Je restai seule dans le noir.

Combien de temps dura mon attente, je ne saurais le dire mais je poussai un soupir de soulagement lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Mon maître me tendit une robe que je ne mettais plus car trop courte. Je la passai. Elle m’arrivait à ras des fesses et je savais que le moindre mouvement en avant ou en arrière dévoilerait tout. Mon maître ne semblait pas s’en soucier et il appuya sur le bouton de l’ascenseur. Je marchais à ses côtés lorsqu’il me reprit :

Désormais, tu marcheras et te tiendras toujours à deux pas derrière moi, tête baissée et mains dans le dos, même dans la rue.

Bien maître.

Lorsqu’il entra dans l’ascenseur, je me mis derrière lui, comme demandé. Nous pénétrâmes dans le parking et il me réprimanda lorsque je passai de mon côté.

Tu dois m’ouvrir la porte. N’oublie pas que tu es ma boniche.

Oui maître.

Je fis donc le tour de la voiture et lui ouvrit la porte. Il monta, je refermai et vint m’installer à côté de lui. En sortant du parking, il me dit :

Aujourd’hui, nous allons fêter ta décision. Je t’emmène au restaurant. Mais dès que nous serons rentrés à la maison, tu reprendras ta condition de boniche.

Oui maître.

Nous allâmes dans un restaurant inconnu de moi, mais pas de Frank, puisque le maître d’hôtel le salua comme un habitué et le conduisit à sa table. Il y avait peu de monde et à côté de nous, deux hommes dînaient en bavardant joyeusement. Mon maître remarqua l’intérêt que portait l’un d’eux à mes cuisses puisqu’il me demanda de les écarter, ce que je fis. La couleur pivoine du visage de l’homme me renseigna sur ce qu’il avait vu et mon maître me demanda de resserrer les cuisses afin que le pauvre homme puisse finir de manger et ne meure pas d’apoplexie. De mon côté, je me sentis couler.

Au retour, vers vingt-deux heures trente, mon maître me convoqua dans le salon :

Demain matin, tu me réveilleras à 7 heures. Tu me prépareras le petit déjeuner et tu feras le service.

Bien maître. Bonne nuit maître.

Bonne nuit, boniche.

En me couchant, je m’aperçus que j’avais passé une bonne soirée auprès de mon maître. Le lendemain, je me levai à 6 h 30, fit ma toilette et m’habillai. Puis je préparai le petit déjeuner de mon maître et allai frapper à sa porte.

Entrez, me dit-il d’une voix claire.

Lorsque j’ouvris la porte, il repoussa les draps. Il était nu, ce qu’il n’avait jamais fait auparavant, et une superbe érection ornait son bas-ventre.

Je crois que tu vas prendre ta première leçon. Suce-moi, me dit-il en mon présentant son sexe.

Je m’agenouillai sur le lit et pris la verge dans la main. Je ne l’avais jamais vue d’aussi près. Elle était chaude entre mes doigts. Impatient, mon maître fit pression sur ma nuque pour que je le suce. J’embouchai maladroitement la queue de mon maître et commençai à le sucer. Cela dut lui plaire car bientôt, je sentis de puissantes giclées dans ma bouche. Je me mis à tousser et je recrachai la plupart de ce qu’il m’avait envoyé dans la gorge. Mon maître me repoussa et dit, en colère :

Tu seras punie pour cela. Il faut que tu acceptes le sperme que l’on te donne et tu ne dois rien recracher. Maintenant, dehors, et attends moi pour me servir.

Mortifiée, je sortis de la pièce et allai attendre mon maître dans la salle à manger. Lorsqu’il s’assit, je lui servi son petit déjeuner, qu’il avala sans un mot et sans me regarder. Au moment de partir, il me lança :

Je rentrerai tôt, aujourd’hui. Vers 14 heures. Nous irons faire quelques achats pour toi. Il n’est pas concevable qu’une boniche s’habille en Chanel ou autre.

Bien maître, je serai prête.

Tu as intérêt.

Bonne journée, maître.

Il sortit sans même répondre et je sus qu’il était fâché. Je me pris à redouter et à espérer la punition qu’il m’avait promise. La matinée passa trop lentement. Pour la première fois, je venais de réussir à préparer un repas correct, même si mon maître n’en profiterait pas, puisqu’il ne devait pas rentrer avant 14 heures.

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