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Bêtises – Chapitre 3

Bêtises – Chapitre 3



 » A la Découverte des Choses »

Suite à cette soirée un peu  »particulière » chez Ken, je dois bien avouer être restée un peu perplexe. J’ai pris beaucoup de plaisir à voir Patricia, lui faire cette pipe et aussi de mater Mathias s’astiquer. Mais serais-je capable de donner ce genre de plaisir ou encore d’en prendre ? Cela me semble bien en dehors de mon comment dire, champs de compétences…

J’ai adoré vraiment cela dit Patricia dans ses œuvres… c’était cru, c’était osé et au combien excitant. Cette odeur de sexes masculins au garde à vous, et les longs jets de spermes de cette soirée m’ont fourni un nouveau type de matériel, très masturbatoire. Je me suis imaginée comme elle, un rien lubrique, repensant au jus de Mathias luisant sur mes cuisses.

Avec Patricia nous avons  »débriefé » cette soirée, ce qui l’a fait vraiment beaucoup rire. J’ai bien compris que c’était pour le fun, un peu  »comme ça » et qu’elle faisait complètement l’impasse sur les sentiments. Un garçon, deux, peut importe ce qui compte c’est le  »frisson » et essayer pour ne pas mourir idiote. Je me suis montrée curieuse, m’interrogeant sur la technique, je dois bien me renseigner un peu avant, et bien avant d’y passer.

Elle a été adorable, comme à son habitude, voulant me redonner confiance étant une des rare personne au courant du fiasco de ma première fois. Elle a pris le temps de bien m’expliquer et de me mimer au besoins  »les ficelles » de ce qu’elle connaissait du plaisir masculin. On a beaucoup ri et j’ai beaucoup rougi autant gênée par son assurance que par mon manque d’expérience.

Une après midi, nous nous sommes retrouvées chez elle, à mon arrivée j’ai été surprise de voir Laurent, que je ne connaissais pas, lui aussi visiblement surpris de faire ma connaissance. J’ai cru que c’était son petit ami du moment mais pas du tout. Nous avons partagé un chouette moment à rigoler et à parler de tout et surtout de rien. Il est très gentil, pas vraiment à mon goût mais super cool, un grand bonhomme tout mince les cheveux longs et en batailles. Patricia est aux anges, bon c’est rare qu’elle ne le soit pas.

Plus la journée avance plus Patricia fait le show, comme toujours, et Laurent n’est pas insensible à ses charmes. Il la dévore des yeux, a tel point que je fini par me sentir de trop, tant ils se tournent autour. Au bout d’un moment me disant que je ferais mieux de m’éclipser pour leur laisser un peu d’intimité, j’ai eu la sensation que Patricia a su lire dans mes pensées…Et en un éclair, elle a sauté sur les genoux de Laurent le chevauchant alors qu’il était sagement assis sur le lit, pour lui rouler une galoche d’un autre univers.

J’ai bien vu qu’il a été aussi surpris que moi par cette fougue, je suis restée assise sur mon petit coussin par terre enserrant mes genoux avec mes bras adoptant la technique de : si je ne bouge pas il ne me verrons pas.

Je voyais Patricia de dos, onduler sur les genoux de Laurent au rythme de leurs bouches et de leurs langues qui s’entremêlaient. Je ne suis pas parvenue à entendre ce qu’elle lui a murmuré à l’oreille, avant de se tourner vers moi avec un sourire de  »cochonne » si je devais le décrire. Surtout ne pas bouger ils vont s’arrêter… Il a réagi instantanément commençant à lui malaxer les fesses, ma gorge s’est serrée… peut être que non en fait.

Comme si je n’existais pas, elle lui a ôté son pull et a libéré sa poitrine si généreuse, avant de le pousser sur le lit pour continuer de se frotter contre lui. Ses mouvements de balanciers m’hypnotisent, je vois leurs deux sexes s’écraser l’un contre l’autre et le pantalon de Laurent se soulever sous les fesses de Patricia.

Mon bas ventre s’est contracté et je commence à perler, à la vue de ces corps excités. Elle s’est relevée, m’adressant un clin d’œil au passage, elle déboutonne le jean de Laurent, pour en faire sortir un engin dur et bien gros. Patricia s’est mise de biais, elle me sourit en le branlant, sa mains semble toute petite ce gros objet entre ses doigts. Sans hésitations, elle se penche pour venir le mettre dans sa bouche et le pomper, ses gros seins allant d’avant en arrière.
Il grognait et râlait très fort, ça avait l’air aussi bon pour lui que pour elle tant elle exécutait sa tache avec gourmandise.

Elle me rassurait de son sourire entre deux mise en bouche, ce qui m’a poussé à me détendre. J’ai commencé à me caresser en relevant ma jupe et en écartant les cuisses, ma chatte n’y tenait plus. Je me touche par dessus le tissus détrempé de mon string pendant que je la regarde droit dans les yeux tailler une pipe à se mec. Encouragée par les regards complice de mon amie, qui semble s’amuser comme une folle, je décide d’écarter mon string pour me faciliter l’accès. Mes doigts vont et viennent au rythme de sa bouche sur mon minou tout mouillé.

Elle s’est redressée, pour enlever le bas de sa tenue. Quand Laurent s’est redressé à son tour, j’ai ressentis le fameux  »frisson » dont elle me parlait souvent me traverser de part en part, j’ai bien pensé à cacher ce que j’étais entrain de faire, mais c’était trop tard je suis comme anesthésiée par le plaisir. Il m’a maté de longues secondes en caressant sa queue, sautant de mes yeux à ma chatte offerte à son regard. Patricia s’est allongée sur le lit, de sorte à ce que j’ai une vue imprenable, puis a écarté ses cuisses avant de se caresser elle aussi.

Laurent est resté débout sur ses genoux, à nous regarder, tour à tour toutes les deux, caressant toujours sa bite tout doucement. Je me suis sentie très  »chienne » à ce moment là, c’était divin. Patricia a attrapé son bras et l’a guidé pour qu’il vienne la prendre. Malgré sa taille, il est rentré facilement en elle, j’ai vu son long sexe la pénétrer.

Mes doigts aussi trouve le chemin, s’enfonçant en moi sans la moindre résistance tant je suis ouverte et gonflée de désir. Il a commencé à la baiser très fort, elle se tenant à ses épaules pour encaisser les coups de boutoir qu’il donnait. Mes doigts suivent la cadence. Elle crie et gémis, ce qui couvrait a peine les lourds claquements qui s’abattaient dans l’air. Elle ne me lâche pas du regard, le tête sur le coté, son visage déformé par le plaisir.

Il s’est retiré, j’ai pensé que c’était terminé, mais il est venu la placer à quatre pattes, sa tête posée sur la couverture, son regard vert flamboyant toujours plongé dans le mien et les fesses bien en l’air. Je me souviens m’être dit qu’elle faisait vraiment très salope comme ça. Il s’est mis derrière elle, et l’a prise de nouveau fort en me fixant lui aussi, les yeux rivés sur mon sexe. J’ai jouis vite et fort sous se regard de désir brûlant, dans une décharge qui m’a poussé à refermer les jambes.

Il a poussé un râle puissant et a donné de grand coup de reins à Patricia, qui pousse elle aussi des gémissements intenses s’agrippant à la couverture de toute ses forces pour rester en place. Elle lâche un gloussement de satisfaction, avant de se laisser tomber sur le lit et de se mettre debout face à moi les mains sur sa taille avec un sourire satisfait. Je ne lâche pas du regard sa chatte à ma hauteur, qui dégouline de sperme sur l’intérieur de ses cuisses.

Laurent est parti peu après, je n’ai jamais vu quelqu’un aussi pressé de filer… Apres s’être douchée Patricia m’a expliqué qu’il n’était pas son copain mais qu’elle aimait sa queue…

Je m’en suis un peu voulue pour cet épisode, car à la même période je m’étais rapprochée d’Henri, et je ne savais pas m’expliquer ce que je venais de faire, si je l’avais trompé ou pas, en tout cas manqué de respect c’est à peu prés sur une  »petite copine » ne se doigte pas devant un mec qui prend sauvagement sa meilleure amie. Si je dois être honnête, il n’était pas vraiment à mon goût lui non plus, fluet et tout timide, avec un style bien à lui, un peu rockeur sur les bords et aussi très premier de la classe, mais vraiment ultra gentil et super drôle une fois apprivoisé.

Je me suis laissée séduire et avais même du prendre les devants face à tant de timidité. A ma grande surprise il embrassait très bien ce qui était très agréable et j’avais toujours plaisir à le retrouver le weekend. Je me souviens m’être dit que c’était dommage qu’il ne me plaise pas plus, oui je suis idiote à cette époque mais c’est une autre histoire.

Victime de la  »mauvaise influence » de Patricia, on ne s’était bécotés qu’une ou deux fois à ce moment là mais je me sentais quand même mal, ne sachant pas d’ailleurs ce que nous étions l’un pour l’autre. Je vous avoue, par pure lâcheté, que je n’ai rien dis à Henri, me trouvant un tas d’excuses toutes plus nulles les unes que les autres, et pire au lieu d’être honnête je me suis dit que quitte à être mal autant en profiter un peu et pour presser un peu le pas. Henri s’est révélé bien plus joueur que ce à quoi je m’attendais.

Il m’excitait facilement avec ses doigts et sa bouche, quand je me suis sentie plus à l’aise, j’ai commencé moi aussi à caresser son sexe. Il ne me l’a jamais réclamé ou tenter de diriger mes mains ce qui est encore pire. J’ai pris cette histoire complètement à la légère, ne me voyant pas en couple avec lui et si je peux dire, je le considérais plus comme une  »expérience » ou un terrain de jeux si vous préférez. Aujourd’hui on parlerait de sexfriend ou de plan cul ou quelque chose dans se genre là. Il me faisait toujours me sentir en sécurité et je savais que ce n’était pas le genre à fanfaronner ou à aller raconter ce que nous faisions ensemble.

Les bonnes expérimentations se font par étapes, et il ne me pressait pas, il m’a laissé appréhender chaque  »nouveautés » avec patience et beaucoup de prévenance.

J’ai commencé par lui toucher la queue, d’abord du bout des doigts, pour apprécier toutes les veines et autres plis, puis main ouverte de haut en bas en malaxant ses couilles. A cette étape je le laisse se finir seul en le regardant juter sur son bas ventre. J’ai compris à ce moment là que toutes les éjaculations était différentes, les siennes sont calmes et longues, contrairement à ce que j’avais pu voir. De longs jet moins  »puissants » mais abondant, que je pris l’initiative de goutter pour la première fois, après en avoir récolté du bout des doigts sur son ventre. C’est particulier, un peu amer et ça sent fort mais c’est bon je dois dire. J’ai vu dans ses yeux que c’était le genre de choses qui plaisaient…

Ensuite de le branler, doucement, fort, main droite, main gauche : oui c’est la première que j’avais en mains il fallait bien apprendre.Toujours attentive à ses réactions pour affiner ma technique et aussi par peur de  »mal faire ». Essayant de déterminer ce qui fonctionnait, la vitesse, la pression idéale et aussi le point où il allait jouir. Comme Patricia me l’avais montré en faisant couler un peu de salive sur sa verge, en jouant avec ses couilles et en prenant soins de son gland.Avant de le faire venir entre mes doigts, une vraie sensation de pouvoir, j’adore ça je suis en plein contrôle de son plaisir. Je me régale de le faire gémir et jouir sous mes caresses.

L’étape suivante a été la plus  »délicate », mettre  »ça » dans ma bouche, ça me faisais un peu flipper. C’est moins facile qu’il n’y parait imaginez que je le morde sans faire exprès ou qu’il m’en mette plein la bouche et que je ne sais pas, je m’étouffe ou que je vomisse…J’ai commencé du bout de la langue, je trouve ça tellement osé que ça m’excite, puis du bout des lèvres pour goutter son gland et ses boules. Puis de le sucer véritablement c’est intéressant, très bon et très excitant aussi décidément j’aime cette odeur de queue et ça semble lui plaire ce qui m’amuse énormément. Comme j’avais été très attentive je sais reconnaître les signes annonciateurs d’une éjaculation imminente enfin à peu près, donc au début je le fais jouir avec mes mains c’est plus prudent.

La pratique aidant, je trouve ça de plus en plus satisfaisant de sucer un homme, un mélange de soumission et de pouvoir ultime assez perturbant. Je m’applique et j’aime ça bien plus que je ne l’aurais pensé. Je me suis entraînée à m’arrêter de plus en plus tard quand je le sentais venir. Laissant le gout de son sperme envahir ma bouche peu à peu, ce liquide chaud et épais me fais me sentir vraiment cochonne…J’aime la sensation plus que la texture à vrai dire. Patricia avait encore raison les garçons aiment ça, les filles qui vont jusqu’au bout, après tout ce n’est pas du poison ce n’est que récompense du plaisir partagé.

Et pour finir je l’ai laissé me prendre, Henri est un amant attentionné toujours aux petits soins. Il ne lésine pas sur les préliminaires avant de passer à l’action ce qui est très très appréciable. Les premières pénétrations sont maladroites le temps que je trouve comment être bien  »installée » autour de sa queue. Assise sur lui au début pour bien contrôler son entrée, puis en missionnaire. Henri ne me baise pas il me fais l’amour toujours tendre et délicat. Je prends du plaisir et c’est différents à chaque fois, le temps d’être à l’écoute de mon corps et de comprendre comment on s’y prend. Aucuns orgasme en vue mais c’est très bon, me voilà réconciliée avec le sexe.

Pensant que nous étions sur la même longueur d’ondes, j’ai n’ai pas compris de suite, qu’il en attendais plus que moi.
Je n’ai jamais développé de sentiments amoureux pour lui mais vraiment aucuns, j’appréciais nos expérimentations mais rien de plus et j’ai du me résoudre à mettre un terme à l’expérience mais bien trop tard.

Je profite de ce chapitre pour m’excuser d’avoir joué un peu avec les sentiments de ce jeune homme si gentil…mais on ne va pas le plaindre non plus…Il nous resteras beaucoup de plaisir partagé ensemble et de bon souvenirs. Sans compter que nous avons énormément appris ensemble. Je peux maintenant dire que je ne suis plus vierge.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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