AVANT PROPOS
Contrairement à la majorité des maris candaulistes qui essaient de convaincre leurs moitiés de franchir le Rubicon de « l’adultère », pour moi se fut l’inverse… Cocu dès le départ !
Quand je l’appris, ce ne fut pourtant pas désagréable. Ni triste, ni malheureux d’ailleurs. Je n’ai jamais ressenti cette grosse jalousie ou ce sentiment de trahison que je lis ça et là. Aucune envie de divorcer, au contraire. Si je ne m’étais pas préparé à devenir candauliste, cette pratique me va finalement très bien.
J’en ai discuté il y’a peu, dans une soirée (chic et hivernale) avec un monsieur, mari d’une très belle orientale qui a vécu des choses similaires aux miennes. D’ailleurs,je vous raconte tout ça, car d’après lui, nos aventures peuvent aider l’épanouissement de quelques autres situations comparables et en conforter d’autres.
Après tout, ce genre de relations sont fréquentes, normales… Et puis, ça m’amuse car il ne se passe pas grand chose au boulot ; alors voilà l’occasion de faire le point sur l’amour et l’attirance particulière que mon épouse éprouve pour d’autres messieurs…
CHAPITRE 1
« Voyez vous, si votre femme suce avec autant de facilité, si elle est tant douée qu’on doit se retenir sans cesse d’éjaculer, c’est parce qu’elle aime ça ! Et elle aime ça, car mon ami Mehmed l’a bien formé.
Il a du lui expliquer comment aspirer une queue jusqu’au bout, comment mettre la langue sur le haut des couilles tout en absorbant la tige, garder sa respiration et ouvrir bien large… « comme ça », « ouvre ta bouche, salope », « bien profond », « ouvre toi ». « Allez maintenant toute seule ! Voilà un dressage de reine …Tu as beaucoup de chance d’avoir une épouse comme ça, tu sais ? »
Je ne peux qu’acquiescer en regardant Sévane s’étouffer, grimacer, baver, le nez écrasé sur le ventre de celui qui lui enfonce sans pitié son gros chibre au fond de la gorge… Le contraste est total entre ce gros monsieur blafard et le petit corps fin et bronzé de mon épouse.
Ça fait une bonne demi-heure qu’elle suce bruyamment à s’en rompre la mâchoire, à quatre pattes, aux pieds de ce vieux monsieur (que je ne connaissais pas avant ce soir). Son body de dentelle fine et transparente à moitié baissé sous deux mamelles qui pendent et s’agitent, son maquillage coulant sur le visage, elle déguste (dans tous les sens du terme).
– « Ho oui, vraiment, tu suces très bien, petite salope… hum, resservez-moi du champagne voulez-vous Nicolas »
Je me reprends une coupe aussi. J’en ai besoin . Puis je reviens sur le canapé aux côtés de notre hôte. En posant les deux coupes sur la table basse, j’admire les courbes bien cambrée de ma femme à quatre pattes, les cheveux noirs en cascade sur le visage. Je ne peux m’empêcher de lui claquer les fesses en passant mes doigts sur son sexe qui déborde de sécrétions.
– « Bon, je vais la baiser… Arrête petite pute, stop, lâche ma queue ! Je sais qu’elle est bonne mais suce un peu ton mari, tiens! Ça va te changer. Remonte ton cul… là, tu as compris. Comme ça c’est mieux… » (il remonte ses fesses réglant leur position avec deux doigts enfoncés dans la chatte et les claque de l’autre main.)
Ma femme, essuie toute la salive entourant son visage et telle une automate le regard vide, avec des lèvres enflées dignes d’une poupée gonflable, elle vient gober ma bite encore molle pour l’aspirer comme une affamée.
« Monsieur » Olivier comme il demande à être appelé, place alors son gros corps derrière le cul qu’on lui offre et s’enfonce lourdement en agrippant les hanches de ma femme pour commencer un vas et viens de plus en plus rapide, de plus en plus violent. Il transpire à grosses gouttes sur son dos en l’insultant copieusement. Il lui promet aussi d’en faire bientôt sa chienne pour la prêter à des amis ou l’attacher en forêt et l’offrir aux inconnus, etc…
Bref ,il fantasme à haute voix. Elle se raccroche à moi en transe et hurle son bonheur d’être prise ainsi. Il bloque sa tête vers mon sexe pour étouffer ses cris .
– « Ta gueule, petite chienne ! »
Il étire les tétons ou écrase ses seins et frappe son cul de plus en plus fort ; ça résonne dans tout l’appartement ! Parfois, il lui empoigne les cheveux en arrière pour qu’elle respire entre des filets de bave, avant de la replonger sur ma queue : le spectacle est d’une rare intensité !
– « Tu es la chienne de qui ? »
– « Je suis ta chienne » glapit-elle entre deux sucions.
Il râle bientôt sa jouissance et éjacule aussi dans la bouche de la femelle.
Comment en est on arrivé là ?
Ce bon monsieur Olivier m’a envoyé un mail il y’a peu, expliquant qu’il détenait un message de Mehmed (l’ancien amant de mon épouse, parti retrouver sa famille à Istanbul) dans laquelle, en gros, ce dernier lui « léguait « ma femme.
Si j’étais d’accord, il voulait que je l’autorise à en faire sa soumise (car il se disait « maître dresseur »).Je la lui présenterais chez lui, harnachée comme une pute (ce sont ses mots). Bien sur, il me scannait la fameuse lettre accompagnée de son test VIH (il est diabétique et réalise une prise de sang par mois) en pièce jointe.
Je fus un peu surpris, mais questionnant ma femme pour savoir ce qu’elle en pensait, je su que ce monsieur n’était pas vraiment un inconnu pour elle… qu’elle le trouvait fort laid, très autoritaire et aussi pervers que son ancien « maître » relativement âgé, avec de l’embonpoint. Ex-entrepreneur retraité et veuf, il possédait cependant beaucoup de savoir vivre et s’habillait avec élégance.
A toutes fins utiles, elle m’avoua aussi qu’il possédait une belle voix, de l’humour et finalement un certain charme. Elle ne voyait donc pas d’objection majeure à sa requête… Je répondis donc positivement.
Ainsi commença il y’a quelques trois ans ans maintenant, cette relation étrange avec ce monsieur…avec qui mon rôle de mari candauliste s’épanouit vraiment !
Pour comprendre tout cela, il faudrait parler de ma femme, de notre rencontre et de notre vie sexuelle passée et présente… Ce que je ferai dans les prochains textes si ça peut vous intéresser.
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