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Chap 38 : Justine, enceinte et en manque. (Part3)

Chap 38 : Justine, enceinte et en manque. (Part3)



A notre arrivée chez Justine, la tension sexuelle qu’il y a entre nous est palpable. On sait très bien ce qu’il va se passer et on en a très envie.
Elle retire ses chaussures, pose son sac sur le dossier d’une chaise et me demande de la suivre dans le salon. J’ai le coeur qui palpite, la gorge sèche. Debout près du canapé, elle me prend dans ses bras. Je sens son gros ventre arrondi contre le mien. Elle me sourit avec un regard coquin.
– Alors tu as envie de quoi?
– De toi.
Elle passe sa main derrière ma nuque et m’embrasse passionnément. Je sais que ce que nous entamons n’est pas très honnête, elle est mariée et enceinte, mais après tout ce qu’il s’est passé entre nous aujourd’hui, ce n’est pas maintenant que je vais faire une crise de conscience, surtout qu’au final, c’est elle qui a décidé de transgresser son contrat marital.
Nos langues se cherchent, se trouvent, s’emmêlent dans un mélange de salive. Elle me caresse une fesse, pendant que je pelote son sein. Ma queue se trouve rapidement à l’étroit dans mon boxer.
Je l’aide à retirer sa robe par dessus sa tête et elle se retrouve en soutien-gorge uniquement, puisqu’elle n’a jamais remis sa culotte depuis le repas de ce midi. Sans plus attendre, elle dégraffe son soutif pendant que je me mets torse nu. Nous nous enlaçons de nouveau, peau contre peau, ventre contre ventre, seins contre torse. Nos bouches se soudent, sa main s’empare de la mienne et la dirige sur sa minette complètement trempée, à croire qu’elle n’a pas cessé de mouiller de la journée.
La main en coquille, j’appuie sur ses lèvres en faisant des mouvements circulaires avec quatre doigts et c’est dans le creux de mon oreille qu’elle miaule son bonheur. Je délie mes lèvres des siennes pour venir goûter son gros sein au large mamelon et son téton joufflu. Je le palpe fermement et fait ressortir son réseau veineux. Je me penche pour le lécher, le sucer, le mordiller, en continuant de la masturber à deux doigts.
– Hum, c’est trop bon.
– C’est vrai, tu kiffes bien?
– Trop, en plus mes seins sont hyper sensibles, ça me rend folle.
Je prescris alors les mêmes médications à son autre sein gonflé de désir. Je tète, gobe, titille avec ma langue, mes doigts toujours actifs dans son vagin. La jeune femme se libère vocalement.
– Putain, continue, je vais monter au plafond.
Quelques secondes plus tard, elle est prise de spasmes, elle tremble en criant et une petite quantité de liqueur gicle sur ma main.
– Oh la vache, je viens d’avoir un orgasme de dingue, affirme-t-elle le sourire béat.
– Et ce n’est pas le dernier, dis-je sûr de moi.

Elle déboutonne mon pantalon, je l’enlève ainsi que mon boxer. Nus et toujours debout face-à-face, on s’étreint encore en se galochant. Ma tige cogne contre son bidon, qu’elle empoigne pour m’astiquer en douceur. Je caresse son ventre à deux mains avant de m’accroupir pour l’assaillir de bisous un peu partout. Je lui fais signe de mettre un pied sur le canapé. Elle s’exécute et me donne ainsi accès à sa fourche. Dans une position pas très adéquate, c’est à dire à genoux sous elle, je viens déguster sa figue juteuse à souhait. Plutôt doué pour cet exercice, je la fais chanter comme un rossignol. J’aimerais voir ses grimaces de plaisir, mais sa rondeur me masque la vue. Au bout de quelques minutes, excitée comme une puce, elle pose le pied au sol pour me faire comprendre que c’est la fin de mon jeu linguistique. Elle s’assoit sur le canapé et elle m’interroge:
– Tu te souviens de ce que je t’ai dit ce midi pendant la paëlla?
– Oui, bien sûr.
– Tu veux?
– J’en rêve…
La belle blonde retire ses lunettes, se penche légèrement en avant et empaume ses gros lolos à pleines mains pour les serrer l’un contre l’autre. Je les embrasse et les lèche encore une fois. Puis je caresse ses tétons avec mon gland et fais le tour de ses auréoles avant de faire coulisser mon chibre entre ses nibards. Elle me dorlote en secouant ses seins de haut en bas, en les pressant contre ma verge. Elle déverse un flot de salive mousseuse sur ma lance et ça glisse encore mieux. Je ronronne sous ce massage mammaire, qu’elle arrête rapidement pour s’occuper de mon sexe avec sa bouche. Elle me pompe vigoureusement avec un plaisir non-dissimulé. Je lui précise clairement que j’adore quand on me bouffe les couilles. Elle ne se fait pas prier, mais dans cette position ce n’est pas très pratique. Je monte alors sur le canapé, jambes écartées au dessus d’elle qui s’est adossée au dossier. Mes couilles pendent juste au dessus de son visage, je fléchis les jambes pour me baisser légèrement et être ainsi à la hauteur de sa bouche. Je jubile lorsque la pointe de sa langue chatouille mes baloches pleines de jus. Elle les gobe, les suce, les aspire avec appétit sans oublier de me branler d’une main. Son autre main caresse mes fesses et soudain, je ressens comme une décharge électrique. Son majeur a trouvé l’entrée des artistes. Madame est audacieuse, j’aime ça, mais il ne faut pas qu’elle abuse sinon je vais lui refaire le portrait à base de sauce blanche. Je mets donc un terme à cette gâterie même si cela me procure un bien fou, car j’ai envie de sa chatte.
Je descends du canapé, l’attire au bord du siège, je soulève ses jambes et les écarte en V. Elle est ouverte, trempée et me sourit. Sans qu’elle prononce le moindre mot, je comprends ce qu’elle attend de moi, ses yeux implorent que je la pénètre. J’enfourne ma tige dans sa boîte à plaisir et aussitôt elle gémit. Je la tiens par les chevilles et tape dans sa motte de plus en plus fort. Ma partenaire ne gémit plus, elle crie.
– HAN, HAN, HAN, tu baises trop bien, tu me fais jouir.
Encouragé par ce compliment, je la culbute encore et encore, faisant résonner le clapotis de nos sexes baveux. Je me lâche également.
– Hum, elle est bonne ta chatte, je suis trop bien dedans.
– Elle t’excite.
– Oui beaucoup.
– Et mon gros bide, il t’excite aussi.
– Oui.
– Je veux que tu gicles dessus, que tu l’arroses de sperme, me dit-elle, sentant que je suis sur le point de non-retour.
Je sors de son trou, me branle au dessus de son ventre et je rugis en évacuant une bonne quantité de foutre sur son gros bidon qu’elle étale partout en ronronnant.
– Hum, j’adore, dit-elle en caressant son ventre.
– Tu m’épates, je ne te pensais pas aussi coquine.
– Bah si et tu sais quoi, j’ai encore envie.
– Tu es sérieuse ?
– Bien sûr, je t’ai dit que j’étais en manque. En plus tu me fais jouir super bien, je ne vais pas m’en priver.
– Je vais finir par croire que tu es nympho.
– En ce moment, c’est le cas. Mais tu verras, si un jour tu as une femme et que la mets en cloque, ce sera pareil, elle aura tout le temps envie et elle se permettra de faire des choses qu’elle ne fera pas habituellement.
– On verra bien, je n’en suis pas encore là. Bon je vais fumer une clope.
– Ok, mais dépêche toi, il nous reste qu’une heure avant que Thomas ne revienne.
– Ok, je fais vite.
– Et va fumer du côté de ma chambre, je n’ai pas envie qu’un voisin te voit à moitié à poil.

J’enfile mon boxer, passe par sa chambre, ouvre la porte-fenêtre et sors fumer ma clope. Quelques instants plus tard, Justine débarque à poil dans sa chambre, son ventre nettoyé de mes sécrétions. Elle observe le miroir face auquel elle s’est masturbée ce matin.
– Quand je pense que tu m’a vu ce matin pendant que je me masturbais, la honte.
– Il n’y a pas de honte à avoir, tout le monde le fait et puis j’ai bien aimé, tu étais belle, excitante, enivrante.
– Merci, tu aurais tenté quelque chose si je n’avais pas fait le premier pas?
– Tu aurais été célibataire peut-être, mais là non, je n’aurais pas osé, te sachant mariée et enceinte en plus, je n’imaginais pas que tu puisses avoir envie de coucher avec moi.
– Franchement, ce n’était pas mon intention au départ, mais mon état de manque et le fait que je te trouve mignon m’ont fait imaginer des trucs sous la douche. J’ai ensuite décidé de me masturber pour me calmer, mais c’est l’inverse qui s’est produit, je ne pouvais plus me retenir.
– Tant que tu ne regrettes rien, c’est le principal.
– Pour tout te dire, je n’y pense pas, le temps des remords ce sera pour plus tard. Là, je suis juste en mode salope, prête à se faire baiser afin de combler les errances de mon mari.
J’écrase ma cigarette.
– Si c’est ce que tu veux, me voilà.
– Viens, aide-moi à mettre le miroir en face du lit.
– Oh la vicieuse.
– Oui, j’adore me regarder pendant le sexe.
– Et ça vous arrive souvent?
– A une époque oui, mais comme je te l’ai dit, on ne fait plus grand chose depuis que je lui ai dit qu’on allait avoir un bébé.
– Bon et bien laisse-moi réparer cet affront.

Je m’approche de Justine, enroule mon bras autour d’elle en plaquant ma main sur ses fesses et je lui roule une pelle d’enfer qui la fait fondre aussitôt. Je m’attaque à ses gros nichons, que je palpe, pétris, malaxe, lèchouille, gobe, suce, pendant qu’elle cajole ma biroute en érection dans mon boxer. Je suis excité à nouveau.
– Slurp, slurp, hum, j’adore tes seins.
– Je vois ça, mais il n’y a pas que ça, j’ai d’autres zones érogènes.
– Je sais, mais c’est sûrement la dernière fois que je peux les manger.
– Et moi c’est peut-être la dernière fois que je baise avant plusieurs mois, alors fais-moi plaisir, laisse-moi en profiter.
Je la laisse alors prendre les choses en main.
La chaudasse s’accroupie en écartant les jambes, baisse mon boxer et elle se jette sur ma matraque. Elle me suce à fond comme une star du porno, elle bave et me fait une gorge profonde à s’en étouffer. Elle réitère l’opération plusieurs fois en n’oubliant de se regarder dans la glace. Puis elle revient à une pipe plus classique. Elle me lèche des couilles jusqu’au gland lentement en me regardant dans les yeux, puis en regardant son double. La main de la jeune femme câline ma fesse, son majeur titille mon anus et s’introduit à l’intérieur. Cette fois pas d’effet de surprise. Je grogne, je râle alors que la perverse me turlutte de plus en plus vite en me doigtant le cul. Dommage que ce soit si rare les femmes qui pratiquent ce genre de massage, car personnellement j’adore et Justine l’a pigé tout de suite.
– On dirait que ça te plait de te faire doigter le cul.
– Bah ouais pourquoi?
– Je l’ai senti tout de suite, ta queue est devenue encore plus dure, on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Allonge-toi sur le lit.

Je m’étends sur le dos, le chibre fièrement dressé et la demoiselle me rejoint. Elle m’enjambe et s’embroche directement sur ma pine, dos à moi, face au miroir. Ses mains sur mes genoux, ses genoux de chaque côté de mon corps, elle ondule, gesticule et se balance d’avant en arrière. Elle fait des vocalises de plus en plus sonores, toujours en se matant, pendant que j’halète en regardant mon épée entrer et sortir de son étui. Justine est au bord du chaos, je sens son vagin se contracter, ses ongles qui me déchire les rotules. Elle va exploser d’une minute à l’autre. Je saisis ses fesses à deux mains, les écrase entre mes doigts et je les écarte pour voir son oeillet pendant qu’elle se ramone comme une damnée. Je lui rend la monnaie de sa pièce en fourrant mon pouce dans son fion. Le temps d’y faire quelques aller-retour et voilà que ma cavalière part en vrille. Elle s’arrête net de me chevaucher, elle est prise de spasmes, elle braille sa jouissance et elle arrose mes cuisses avec des petits jets de cyprine. Elle s’écroule sur moi et pendant qu’elle récupère ses forces, je malaxe ses gros nénés. Je lui demande à l’oreille
– Alors c’était bon?
– Mieux que ça, c’était extra.
Elle transpire et a du mal à retrouver son souffle.
– Tu me dis quand tu es prête à reprendre.
– Oui deux petites secondes.
– J’ai envie de te prendre le cul.
– Je te l’offre avec plaisir.
– Allez reviens sur moi et continue de regarder dans le miroir.
Justine s’accroupie au dessus de moi, écarte ses deux hémisphères et s’abaisse lentement. Ma colonne disparaît sans difficulté et je vibre en sentant la chaleur de son rectum, c’est une vraie fournaise. Ma queue bien en place dans son anatomie, Justine augmente la cadence, ses va-et-vient sont d’une grande amplitude.
Clap, clap, clap, le bruit de ses fesses contre mon bas-ventre me surexcite tout autant que les gouttes de sa mouille qui tombent sur mes roubignoles. Elle couine encore en se malaxant un sein et en tripotant son clito. Qu’est ce que j’aimerais pouvoir regarder dans le miroir moi aussi.
Je n’en aurais pas l’occasion, mais ce n’est pas grave puisque Justine change de position pour se mettre face à moi. En appui sur ses bras tendus derrière elle, les cuisses grandes ouvertes, elle s’encule énergiquement en exposant à ma vue, ses mamelles bondissantes, son gros bidon et sa moule ouverte et dégoulinante.

Elle monte, elle descend, nous nous sourions en gémissant bruyamment. La délivrance est proche.
Je jute en beuglant au fond de son cul, ce qui provoque chez Justine un nouvel orgasme. Elle crie, elle tremble et elle expulse encore sa substance visqueuse en petites giclées sur mon ventre.

De retour à la réalité, elle me câline, reconnaissante. Nous prenons une douche rapide, nous nous habillons et elle m’embrasse une dernière fois avant de me laisser partir. Un baiser fougueux, torride, qui m’indique qu’elle a encore envie de moi et qu’elle est prête à baiser encore une fois. En sortant de chez elle, Justine me dit  »A bientôt ». En regagnant ma voiture, je sais très bien que j’aurais bientôt de ses nouvelles. Ca n’a pas loupé, la semaine suivante,  elle m’a appelé et m’a donné rendez-vous chez elle pour une nouvelle aventure charnelle.

FIN.

A propos de l'auteur

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