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Séquestration

Séquestration



Introduction

La femme qui l’avait accueilli était petite et assez âgée, de type asiatique elle parlait avec un fort accent et en mauvais français. Il était environ14 heures.
« Entrez, Maîtresse pas encore là et vous devoir attendre ».

Il avait répondu à une annonce parue sur le net qui proposait des stages de soumission sur plusieurs jours avec séquestration. Soumis de longue date mais n’ayant essentiellement connu que des séances à part quelques épisodes d’appartenance, son fantasme était d’être humilié et soumis sur une longue période. Après quelques échanges de mails qui ne lui avaient somme toute pas appris grand-chose sur ce qui l’attendait, il savait juste que la domina serait assistée d’une aide et qu’il n’aurait pas de possibilité d’interrompre ce stage avant la fin. C’était à prendre ou à laisser.

Il se présentait ainsi à la date et à l’heure dite, devant la porte en bois d’un local situé dans une petite rue discrète de la ville.

La femme asiatique s’effaça pour le laisser entrer dans un sas obscur comportant trois portes, puis elle ouvrit celle de gauche en lui demandant d’avancer.

« Là tu te déshabille entièrement. Moi venir te chercher dans quelques minutes pour te préparer ». Puis elle referma la porte derrière elle.

Le cabinet dans lequel il se trouvait était exigu et sombre, murs et sol gris foncé, éclairé par une toute petite fenêtre. Il commença par ôter son blouson et le posa par terre en absence de tout porte-manteau ou chaise. Puis il déboutonna sa chemise, enleva chaussures et chaussettes puis son pantalon. Il hésita à enlever son short, mais décida de le garder le temps qu’elle vienne le chercher.

Il attendit assez longtemps, un temps qu’il n’aurait su définir mais qui lui paru interminable.

Il était appuyé sur le mur quand il entendit les pas de l’assistante qui ouvrit la porte et entra. Son visage était ridé et inexpressif. « J’ai dit tout enlever, le slip aussi ». Elle lui tendit un sac poubelle qu’elle tenait en main. « Tout mettre dedans, toi pas besoin ici ».

Elle referma le sac. « Maintenant me suivre ».

Repassant par le sas d’entrée, elle ouvrit la porte de droite et commença à descendre un escalier qui menait au sous-sol. Il s’agissait d’un couloir assez étroit et bas, dont le sol était en terre battue et en graviers, frais et humide. Il la suivait se demandant où elle le menait. Quelques portes de bois brut, des caves sans doute. Ou des cachots…

Elle s’arrêta devant l’une des portes qu’elle ouvrit et prit quelques ustensiles.

« Donner ton bras ». Elle lui passa une menotte de cuir, puis une autre à l’autre bras. Puis des menottes métalliques aux chevilles reliées par une courte chaîne. Enfin un collier de chien au cou.

« Te mettre là ». Elle le prit par le bras et le fit tourner sur lui-même pour le positionner dos au mur. Elle fixa ses menottes de poignet à des anneaux du mur qu’il n’avait pas remarqué, l’immobilisant les bras en croix. Puis elle s’accroupit et détacha les chaînes de ses chevilles qu’elle remplaça par une barre d’écartement qui maintenait ses jambes écartées.
Elle sortit alors de la cave un appareil photo sur un trépied.

« S’il vous plaît, non, pas de photo. Ce n’était pas prévu et je ne souhaite pas de photo visage apparent ».
« Toi te taire. Photo obligatoire. Pas de choix pour toi ici».

Elle déclencha l’appareil à deux ou trois reprises. La lumière du flash aveuglante le fit grimacer. Puis elle s’approcha de nouveau de lui, l’examinant de près avec son visage toujours aussi inexpressif.

« Toi avoir des poils, Maîtresse pas aimer ça ».

Semblant réfléchir à haute voix, elle commenta : « Hommes être complètement fous, toi pas savoir quoi t’attendre ici. Toi beaucoup souffrir… ».

Saisissant ses testicules dans sa main ridée comme pour les soupeser, elle lui demanda
« Depuis quand jouir dernière fois ? ».
« Trois jours Madame »
« Hmmm…toi bien profiter garçon ».

Elle rangea ensuite le trépied dans la cave, ne gardant avec elle que l’appareil photo.
« Toi attendre maintenant. Moi venir te chercher quand Maîtresse là ».

Elle partit et remonta l’escalier, ne laissant qu’une ampoule blafarde éclairer ce couloir sinistre et froid. Il attendit ainsi longtemps. Il n’avait pas mal mais se sentait inconfortable, les bras immobilisé en croix contre ce mur, les jambes entravées par la barre d’écartement limitant les changements de position. Les graviers lui faisaient mal aux pieds. Il n’éprouvait aucune excitation mais au contraire une vague inquiétude. Il espérait juste ne pas être tombé dans une chausse-trappe ou une arnaque. Qu’avait elle bien pu faire de ses affaires ? Et pourquoi ces photos ? Pourvu que ce ne soit pas un moyen de chantage. Il regrettait déjà d’avoir répondu à cette annonce. Cette vieille asiatique inexpressive ne lui disait rien qui vaille. Elle avait eu quelques phrases sybillines inquiétantes. Pourquoi parlait-elle de beaucoup de souffrance ? Il n’était pas masochiste et ne supportait pas la douleur. Et puis ce n’est pas ce qui était prévu. Il commençait à avoir froid et il avait besoin d’uriner. Il aurait voulu pouvoir partir. Il appela à plusieurs reprises, mais tout restait silencieux, comme si le lieu était inhabité. Il commençait à se faire un film où peut-être la vieille asiatique l’aurait juste planté là après l’avoir dépouillé. Il tenta de tirer sur ses menottes mais les anneaux et chaînes étaient solides, impossible de se libérer par lui-même. Son inquiétude virait peu à peu à une véritable anxiété, voire à la panique.

Chapitre 1

Il était là dans cette pénombre, il avait froid et se sentait ankylosé. Il avait peur. Soudain comme une délivrance la lumière s’alluma et il entendit des pas dans l’escalier. La vieille asiatique venait le chercher.

« Maîtresse arrivée, toi venir ».

Elle lui détacha les bras des anneaux muraux et les lui lia dans le dos. Elle enleva la barre d’écartement et replaça la chaîne qui liait les menottes de ses chevilles.
« Madame, j’aurais besoin d’aller aux toilettes d’abord ».
« Moi pas savoir. Toi voir avec Maîtresse ».

Il la suivit dans l’escalier qu’il gravit avec peine, les chaînes d’entravement ne lui laissant la possibilité que de très petits pas. Il vit par un soupirail qu’il faisait nuit dehors. Ils passèrent par le sas d’entrée et elle ouvrit la troisième porte qu’il avait vue à son arrivée. La pièce était aussi très sombre, mais chauffée. C’était un donjon, parfaitement équipé de tous les appareils que l’on peut attendre dans un tel endroit, de la croix de Saint-André au carcan, en passant par un treuil de suspension, une table gynécologique et tous les instruments de torture, de flagellation, et de contention imaginables.

« A genoux, fesses en l’air front contre terre. Maîtresse venir ».

En position, son champ de vision très réduit au ras du sol, il entendit la porte s’ouvrir et un bruit de talons s’approcher. Il vit des escarpins noirs à mesure que la Maîtresse faisait le tour de lui et l’examinait.
« Bonsoir esclave »
« Bonsoir Maîtresse ».

Elle s’approcha de son visage.
« Embrasse mes chaussures pour me montrer le bon chien que tu es ». Sa voix était veloutée et assez grave. Il s’exécuta avec plaisir, humant une odeur de cuir chaud.
« Alors comme ça tu es là pour un stage de séquestration et de soumission… ».

Avec un petit rire, elle s’éloigna et pris quelque chose sur une petite table.
« Voyons, laisse moi d’abord consulter ton dossier… Tout semble en ordre, l’offrande a été réglée, tu as signé la décharge, de belles photos de toi entravé au sous-sol qui peuvent toujours servir, et nous avons pu faire les recherches nécessaires te concernant. Ah tu ne savais pas ? Oui, j’ai fait des recherches car je ne reçois pas n’importe qui ici. Laisse-moi te dire que tu laisses beaucoup de traces sur le net, même en te cachant derrière des pseudos.
Donc tu as 50 ans, marié, de grands enfants, un bon job à responsabilités et bien payé. Je pense que tu ne t’es vanté auprès de personne de venir ici. De toute manière tu es officiellement dans un institut de massage dont l’existence est déclarée et légale».

Elle semblait consulter des fiches préparées
« Côté fantasmes, tu es risible esclave : fétichiste des pieds, soumis depuis toujours, expériences uro, s**to, face-sitting. Du donjon également. Des expériences d’appartenance qui n’ont jamais durées. Des fantasmes inassouvis. Tiens, tu aimerais être le gibier d’une chasse à l’homme ?…Comme c’est curieux !… Et tu as des fantasmes de castration aussi… Tout un programme.

Je pense que je peux t’aider à réaliser tout ça. Seulement peut-être pas dans le sens où tu le souhaites, mais peu importe ».

Elle referma le dossier et s’approcha de nouveau de lui.

« Les règles ici sont simples : obéissance totale, et tu ne parles que quand tu es autorisé à le faire. Bien sûr tu me vouvoies et tu m’appelle Maîtresse. Des questions esclave ? Tu peux parler ».
« Je n’ai pas de question Maîtresse, mais j’ai fortement besoin d’aller aux toilettes ».

Avec un petit rire, elle claqua deux fois dans les mains ce qui fit apparaître la vieille asiatique. La Maîtresse lui fit un signe, et l’assistante apporta une bassine qu’elle lui positionna sous le ventre.

« Voilà, tu es aux toilettes. Fais ce que tu as à faire. »

Il se sentit très humilié de devoir se soulager en public devant ces deux femmes qui le regardaient dans cette position grotesque. L’envie était toutefois si forte qu’il se laissa aller à uriner. Quand il eut terminé, la vieille asiatique prit la bassine et vint la positionner devant son visage. La Maîtresse émit un petit rire.

« Ah j’ai oublié de te dire qu’ici on pratique le recyclage. Alors tu bois ta pisse. Lappe ».

Il se sentit écoeuré de devoir boire sa propre urine mais il n’avait pas le choix. Il aspira d’abord le chaux liquide, puis lappa le fond de la cuvette de sa langue sous les commentaires moqueurs de la Maîtresse.

« Bon ça suffit. Maintenant tu vas te mettre debout que je t’examine un peu. Tu regardes le sol en permanence quand tu es avec moi ».

Il se releva et pu alors voir la Maîtresse, une femme brune de taille moyenne, aux traits fins, âgée d’une trentaine d’années, vêtue d’un chemisier blanc, tailleur et bas noirs, et des escarpins qu’il avait eu à embrasser. Un style beaucoup plus business que BDSM.

« Tu n’es pas très beau dis moi. Tu as vu ton bide ? Et puis ces poils, j’ai horreur de ça. Je vais te les enlever plus tard. Tu n’es plus tout jeune non plus…Côté sexe, ça fonctionne encore ? »

Il ricana sans attendre réellement de réponse.

« Nous verrons cela en temps et en heure. Je vais d’abord t’expliquer le programme qui t’attend ».

Il se tenait debout au milieu du donjon, mains entravées dans le dos, chevilles également entravées.

« J’ai besoin d’une pleine écoute de ta part esclave, et donc je vais te mettre en position d’écoute… »

Elle claqua deux fois dans les mains, et comme précédemment la vieille asiatique fit son apparition. Elle défit ses entraves de poignets et de chevilles, et le fit se coucher à même le sol sur le dos, bras et jambes écartées de sorte à pouvoir l’immobiliser en croix à des anneaux fixés dans le plancher.

Cette position d’exposition et de totale vulnérabilité commença à l’exciter et il sentit son sexe entrer en érection et se dresser sur son ventre. La Maîtresse s’en aperçut et s’approcha de lui, posant sa chaussure sur son sexe.

« C’est strictement interdit esclave, alors tu arrêtes immédiatement de bander. Contrairement à ce que tu penses, tu n’es ici pour n’éprouver aucun plaisir sexuel comme tu vas bien vite le comprendre. Alors je te conseille de te contrôler. D’ailleurs apprendre à te contrôler sur ce plan va faire partie de ton apprentissage. »

Elle repoussa dédaigneusement sa queue de la pointe de chaussure.

« Mais revenons au programme de ce stage. Pour commencer, comme je te l’ai dit, j’attends de toi une obéissance totale. Et qui dit obéissance, dit punition en cas de désobéissance. Peut-être t’attends tu à recevoir quelques méchant coups de cravache ? Non, j’ai beaucoup mieux que ça… »

De nouveau, elle claqua deux fois dans ses mains. La vieille asiatique qui était demeurée tapie dans l’ombre s’éclipsa et revint aussitôt, tenant en laisse un énorme chien de type molosse.

« Laisse-moi te présenter Jump. Un chien réformé de l’armée. Des forces Spéciales pour être plus précise. Spécialement dressé à l’attaque. Tellement agressif que cette agressivité hors norme a amenée à ce qu’il soit réformé. Il était ingérable. Il a failli être euthanasié, mais un concours de circonstances a fait que j’en ai eu connaissance et j’ai décidé de l’adopter. Avec moi, il est doux comme un agneau ».

La Maîtresse flatta le cou du chien et lui fit des tapotes sur le dos. Viens que je vous présente. Elle s’approcha du captif immobilisé nu à terre et s’accroupit près de lui tout en tenant le chien très court en laisse.

« Il pèse 80 kilos. Un poids respectable, non ? 80 kilos de muscle bien sûr. Et regarde cette mâchoire, quand elle att**** elle ne lâche plus…
Pour les dresser à l’attaque, deux choses : le geste et la parole. Des mots et gestes codés. Selon la volonté du dresseur et le code employé, le chien immobilise sa proie, ou bien il la tue. Une arme redoutable…Le problème avec Jump est que ça ne marche pas très bien et que ça fait de lui un a****l très dangereux. Si l’on perd le contrôle avec lui, impossible de savoir comment les choses vont finir. Et son truc à lui sera de t’att****r là… »

Elle se saisit à pleine main du sexe du captif et lui comprima fortement les testicules.

« Tu imagines tes deux misérables boulles dans sa gueule ?…Toi qui rêves de castration tu seras servi. Eclatées comme des figues trop mûres, dilacérées, envolées !…Pareil pour cette queue dont les hommes sont si fiers…
Garde en permanence à l’esprit que je n’ai qu’un geste à faire, un mot à dire, pour que Jump te réduise à l’état de charpie. J’espère avoir été assez claire… ».

Elle se remit debout toujours tenant le chien très court en laisse.

« Second point important de ton dressage : l’hygiène. Je suis intransigeante concernant l’hygiène. Mon assistante te fera prendre des douches chaque jour, et même peut-être plusieurs fois par jour. Je te veux en permanence impeccable. Tout à l’heure elle t’enlèvera tous ces poils à la crème dépilatoire. Je n’en veux aucun. Je réfléchis même à tes cheveux. Je crois que tu me plairais plus coiffé comme un bonze, c’est-à-dire aussi chauve qu’un œuf. A moins que je ne te fasse une coiffe au bol bien ridicule ?… Je ne sais pas encore, je vais voir.
Elle te fera un lavement aussi. Je te veux aussi propre dedans que dehors.

J’espère au minimum que tu étais propre avant de venir ? On voit parfois des types crades à un point inimaginable. Tiens, nous allons vérifier cela. Ou plutôt, je vais demander à Jump de le faire et te faire renifler par lui. Je verrai tout de suite à la vue de ses réactions si tu es propre ou pas. Et puis ça va lui permettre de faire ta connaissance ».

Le captif commençait à se raidir, effrayé par l’idée de ce chien. Ses mains et pieds se crispaient mais il était trop immobilisé pour pouvoir bouger. Sans pouvoir le contrôler, sa peur commença de nouveau à le faire bander. Il sentait des gouttes de sueur lui couler le long des aisselles

« Décidément tu a décidé d’être désobéissant esclave…Et tu ne veux pas comprendre ce que je t’ai dit ? Libre à toi. Je vais juste faire un léger geste et tu vas voir comment le comportement de Jump va changer. Ne t’inquiète pas, il ne t’attaquera pas du moins je l’espère car comme je te l’ai dit il devient parfois incontrôlable. Pour ta sécurité je vais quand même le garder en laisse…. »

Elle leva juste l’index et Jump se leva brusquement en grondant avec une attitude soudain menaçante. Elle ne tenait plus la laisse que par son extrémité.

« Surtout tu ne bouges pas, pas le moindre tressaillement ».

Elle approcha le chien qui, l’air mauvais, grondait de plus en plus fort. Elle l’amena vers les pieds du captif qu’il commença à renifler longuement, puis remonta le long de ses jambes. L’homme avait la tête relevée les yeux écarquillés. Son érection disparut très vite et son pénis devient minuscule et flasque. Le grondement de l’a****l se faisait plus intense à mesure qu’il s’approchait de ses parties génitales. Il mit plusieurs coups de museau brutaux. Il sentait son souffle chaud et sa truffe humide qui semblait chercher quelque chose. La Maîtresse fit un signe au chien pour qu’il monte sur ce corps couché à terre, puis le fit se tourner plusieurs fois sur son torse qu’il griffait en tentant de maintenir un équilibre instable. Puis elle le fit asseoir sur sa poitrine. L’homme ne voyait plus rien que l’anus du chien et ses deux gros testicules à quelques centimètres de son visage. Il était à la fois écoeuré, apeuré et humilié. Il étouffait littéralement sous le poids de l’a****l.

« J’espère que tu a compris n’être rien ici esclave ? Tu es moins que rien, moins que Jump. Lui est un vrai mâle comme tu peux le constater. Toi tu es moins que ce chien. Tu n’es qu’un pervers venu vivre ses pulsions en sous-merde que tu es. Mon pouvoir sur toi est absolu, un pouvoir de vie ou de mort. Tu étais venu pour t’amuser ? Moi pas. Je te garanties que tu ne vas pas beaucoup rire. »

Elle fit descendre l’a****l, repassa la laisse à son assistante et alla écrire quelque chose dans le dossier qu’elle consultait à son arrivée.

« Je vais devoir te laisser pour aujourd’hui. Mon assistante va s’occuper de toi car tu as vraiment besoin d’un bon toilettage. Elle te posera aussi une ceinture de chasteté et un plug pour la nuit. Tu dormiras en bas au cachot, enfin si tu peux dormir…Dans le cachot, tu auras deux bassines. L’une avec de l’eau pour si tu as soif. L’autre vide pour assouvir tes besoins naturels. Je la veux toujours vide, donc tu sais ce que tu dois faire si tu l’utilises. Demain tu pourras manger, mais pas ce soir. Tu partageras la pâté de Jump. Lui reste à l’étage en liberté la nuit, donc mieux vaut pour toi ne pas chercher à sortir…De toute manière, j’emmène tes affaires avec moi. Donc sans habits ni papiers, tu n’irais pas très loin.

Dur programme pour toi demain. Je testerai tes capacités, plein de choses que tu découvriras et qui devraient plaire à la lope que tu es.

Bonne nuit esclave ».

Elle prit son sac à mains dans lequel elle glissa le dossier du captif et l’enfila à l’épaule. Elle s’en alla en prenant soin de récupérer dans le cabinet d’accueil le sac poubelle dans lequel étaient les affaires du captif. L’assistante avait entre découpé toutes les étiquettes des vêtements et ôté son portefeuille

Chapitre 2

La jeune femme sortit dans la nuit et rejoignit d’un pas rapide sa voiture garée quelques rues plus loin. Une petite voiture urbaine branchée, avec une immatriculation du corps diplomatique.

Les rues étaient assez désertes à cette heure tardive – il était près de 23 heures – si bien qu’elle roulait facilement dans la ville. Après quelques minutes de trajet, elle s’arrêta devant la porte cochère d’un immeuble et descendit sans arrêter le moteur, mettre le sac contenant les affaires du captif dans les poubelles attendant la levée du matin.

Puis elle remonta en voiture et démarra en trombe. Elle rejoint à toute allure les beaux quartiers, et descendit sa voiture dans le parking souterrain d’une ambassade. L’immeuble était désert à cette heure tardive hormis le poste de sécurité. Elle rejoint les ascenseurs à l’aide de son badge et monta jusqu’à son bureau où elle alluma la lumière et mit en route son ordinateur. Elle passa quelques coups de fils, scanna quelques documents issus du dossier du captif et envoya quelques mails.

Elle était attachée d’ambassade, ce qui lui conférait un statut particulier. Mais elle était également chef d’entreprise. Une entreprise un peu spéciale, développée en marge de son activité officielle, une entreprise extrêmement lucrative.

Non seulement très riche, elle avait un QI largement au-dessus de la moyenne. Diplômée en hautes études commerciales, elle avait également une formation en géopolitique qui lui avait ouvert les portes de la diplomatie. D’origine sud-américaine, elle avait fait toutes ses études en France et parlait un français sans accent. Elle était polyglotte et parlait plusieurs langues dont l’anglais, l’espagnol et le portugais. Son profil était très international.

Son pays natal étant l’un des grands pourvoyeurs de drogue de la planète, ses débuts de carrière avaient consisté à tenter de lutter contre ce fléau sous mandat des autorités de son pays. Chargée de mission, elle connaissait rapidement les laboratoires frelatés qui fabriquaient ces drogues ainsi que les différents réseaux de distribution. Elle s’était aussi rendu compte que ces réseaux ne traitaient pas que de la drogue, mais aussi des êtres humains. Prostitution certes, mais pas seulement. L’esclavage n’avait pas disparu, et il y avait de la demande. Demande de toutes sortes. Des personnes d’une incroyable richesse étaient prêtes à payer des sommes inimaginables pour acheter des humains, femmes ou hommes. Les besoins semblaient illimités : esclaves sexuels bien sûr, mais plein d’autres choses aussi. « Cobayes » de laboratoire pour tester de nouvelles substances, trafic d’organe, pervers de toutes sortes voulant assouvir des passions plus ou moins sanguinaires. Les hommes pouvaient au choix être livrés entiers, ou bien castrés lorsque le client cherchait un eunuque. Les bas-morceaux étaient aussi valorisés.

Bien sûr ces réseaux étaient occultes et fonctionnaient en totale illégalité. C’était le monde des mafias et des gangs. Les esclaves d’ailleurs disparaissaient corps et âme et personne n’en entendait plus jamais parler. Toutes précautions étaient prises pour que l’on n’en retrouve plus jamais la trace.

La jeune femme avait ainsi développé un réseau de clients extrêmement fortunés prêts à payer n’importe quel prix pour obtenir ce qu’ils cherchaient. Elle était leur pourvoyeuse. Parfois, c’est elle qui proposait un candidat à son réseau et elle voyait s’il y avait preneur. Ses clients étaient partout : Amérique du Sud bien sûr, mais aussi en Afrique, en Chine ou encore Moyen Orient. Elle en avait même en Australie et en Russie.

Son côté naturellement dominant l’avait amené à se spécialiser dans les esclaves mâles. Ses principes lui interdisaient la fourniture de femmes.

Elle avait ouvert un donjon et recrutait des soumis sur le net. Parfois en regard d’une demande précise, parfois sans demande particulière. Elle testait les sujets sur différents critères, puis elle les proposait en fonction de l’utilisation qui pouvait en être faite. Le seul impératif était la qualité : le client ne devait jamais être déçu car sa réputation aurait aussitôt été perdue. Alors elle s’attachait à toujours fournir des produits de bon niveau intellectuel et social, bien éduqué et sachant lui faire honneur même si c’était involontaire de leur part.

Les mails et coups de téléphone qu’elle envoyait à cette heure tardive visait à tester son réseau en regard du captif qu’elle avait en réserve. Elle envoyait de premières informations pour voir le niveau d’intérêt de ses clients, sachant qu’elle complèterait ces informations le lendemain au travers des tests qu’elle avait prévus de sorte à valider la pertinence du produit.

Chapitre 3

La vieille asiatique détacha le captif du sol où il était immobilisé et lui remit ses entraves.

« Toi prendre douche maintenant »

Il le conduisit au sous-sol et le fit pénétrer dans l’une des caves qui longeait le couloir. Elle était totalement vide, le sol juste couvert de paille. Elle le positionna dos au mur et attacha à son collier de chien une chaîne qui pendait du mur.

Elle sortit quelques instants et revint déroulant une lance d’incendie muni d’une vanne à son extrémité. Sans un mot, elle ouvrit la vanne et il reçut en pleine face un déluge d’eau glacée. Il tentait de se soustraire mais elle insistait si bien qu’il étouffait et avait l’impression qu’il allait se noyer. Il tomba sous la force de la pression et elle en profita pour viser son entrejambe. Elle insistait et il avait l’impression que le jet allait lui éclater les testicules. Il n’arrivait pas à se protéger, ses bras et jambes entravées ne lui laissant aucun moyen d’esquiver.

Soudain elle coupa le jet. Le local était totalement inondé, la paille flottait dans l’eau qui n’avait pout tout moyen de vidange que l’absorption par la terre battue du sol. Il se remit péniblement debout. Il crachait de l’eau comme s’il avait plongé dans une piscine.

« Toi sécher maintenant. Moi revenir quand tu es sec ».

Elle rangea le tuyau puis disparut dans l’escalier, le laissant seul debout dans la cave, entravé bras et jambes, et chaîne au mur attachée à son collier.

Il se sentait totalement gelé. Il avait froid. Il regrettait terriblement d’être venu à ce stage et voulait absolument partir. Mais comment se libérer ? Et où avait elle mit ses affaires ? Il était persuadé être tombé sur deux folles. Rien ne correspondait à ce qu’il avait espéré. Il était fatigué et en avait assez. Il voulait pouvoir dire stop et arrêter ce jeu.

Petit à petit le sol absorba l’eau. La paille restait toutefois trempée. Il avait à peu près séché mais ses cheveux restaient mouillés. Il grelottait.

La vielle asiatique revint le chercher et le conduisit à l’étage. Elle le fit installer dans la chaise gynécologique du donjon où elle l’immobilisa. Elle avait préparé divers ustensiles sur une desserte : crème dépilatoire, tondeuse, ciseaux, rasoir. La chaleur de la pièce lui apporta un peu de réconfort et il commença à se réchauffer. Cette vieille femme ne paraissait pas cruelle. Elle faisait juste ce que la Maîtresse lui avait demandé de faire. Peut-être y avait il moyen de discuter avec elle, de lui expliquer qu’au final ce stage n’était pas ce qu’il recherchait. Peut-être accepterait-elle de lui rendre ses affaires et le laisser partir.

Il tenta d’engager la conversation pour négocier sa sortie, mais elle lui intima l’ordre de se taire.

Elle commença à lui examiner la pilosité pour voir quels outils elle allait utiliser. Elle lui passa la main dans les cheveux qu’il avait épais et de couleur poivre et sel. Puis elle examina les poils de son torse. Elle se plaça ensuite entre ses jambes écartées maintenues en l’air par ses pieds immobilisés dans les étriers, et elle passa les doigts dans les poils de son pubis et de son anus. Le contact doux de sa main chaude fit naître en lui une érection.

« Toi aimer ça on dirait ».

Elle saisit son pénis qu’elle commença lentement à masturber.

« Toi connaître supplices chinois ?… Longs, très longs… Douloureux, très douloureux…Toi bientôt découvrir. Demain. Ou après.

Il bandait très fort et aurait souhaité qu’elle le fasse jouir.

« Moi travail à faire ».

Elle cessa de le masturber et prit la tondeuse. Sans autre forme, elle lui tondit une bande de cheveux au milieu du crâne. Il était sidéré, comment allait il pouvoir expliquer ça une fois dehors ? Il était furieux également. Il tenta de protester, mais elle lui tondit une seconde bande de cheveux, de l’oreille droite à l’oreille gauche.

Elle posa ensuite la tondeuse, enfila des gants de plastique, et commença à lui badigeonner le torse et les jambes de crème dépilatoire. Le contact était horrible et le brûlait.

Laissant la crème agir, elle prit des ciseaux et commença à couper l’excès de poils pubiens. Puis elle le badigeonna de crème à raser et se saisit d’un rasoir coupe choux de sorte à le rendre aussi lisse qu’à sa naissance du pubis à l’anus. Avec une raclette, elle enleva tous les poils morts que la crème dépilatoire avait brûlés. Son corps était rouge écarlate. Elle le badigeonna d’une lotion qui se voulait apaisante probablement, mais qui le brûla également.
Puis elle termina de lui raser la tête à la tondeuse.

Elle se saisit alors d’une outre qu’elle remplie d’eau chaude, équipée d’un tuyau et d’un embout. Elle plaça un grand récipient sous la chaise, puis lui enfonça l’embout du tuyau dans l’anus. Levant l’outre à la verticale, il sentit l’eau lui pénétrer les entrailles. Puis elle enleva le tuyau, le laissant expurger une eau brunâtre. Elle renouvela l’opération une seconde fois.

Pour finir, elle alla chercher sur une étagère une ceinture de chasteté, sorte de slip en fer muni d’un tube métallique et d’un plug. Elle la lui mit en place sans ménagement, enfilant son pénis dans le tube et lui enfonçant de force le plug dans l’anus. Puis elle lui referma l’ensemble autour de la taille et le fixa à l’aide d’un cadenas.

« Tard maintenant. Toi dormir. Dure journée pour toi demain ».

Elle le délia de la table et le fit se lever pour lui remettre les contentions. Il éprouva beaucoup de mal à redescendre au sous-sol où elle le conduisit de nouveau, lui ouvrant un cachot identique à celui de la douche, au sol uniquement couvert de paille, muni de deux bassines l’une d’eau claire et l’autre vide.

Elle attacha le collier à la chaîne murale, puis ferma la porte du cachot à clé. Elle remonta l’escalier et le laissa dans le noir.

Chapitre 4

La jeune femme était passée de bonne heure à son bureau. Elle voulait voir si elle avait déjà reçue des premières réponses de clients intéressés par son captif. La pêche était bonne puisque quatre avaient déjà répondu et manifestaient leur intérêt. Mais il fallait encore attendre. D’autres pouvaient répondre, et puis il lui fallait également mieux savoir à quels usages pouvaient servir son captif.

Elle récapitula dans sa tête ce que devait être le programme de la journée.

Sur sa liste de clients se trouvaient de nombreux adeptes d’esclaves sexuels. Mais son captif n’était ni assez jeune ni assez attractif physiquement pour ceux-là. Elle ne prendrait pas le risque de le leur proposer. Des laboratoires clandestins aussi. Celui-ci cherche en permanence des cobayes humains pour mettre au point de nouvelles drogues. Oui, pourquoi pas, c’est un débouché possible pour lui mais ce laboratoire ne paye pas très cher. Je dois pouvoir trouver mieux. Tiens, ce labo au Vénézuéla qui fait de l’insémination artificielle à partir de donneurs européens. C’est une piste envisageable mais il faut que je vérifie la qualité de son sperme. Et le volume qu’il est capable d’éjaculer aussi. L’avantage est que je prélève, je congèle, et je laisse repartir le gars. Donc peu de risques. Oui mais zut, j’ai déjà détruit ses fringues. Bon, à voir…

Ce labo chinois. Ah oui, il fait des produits présumés aphrodisiaques à base de testostérone humaine. Quelle stupidité de croire que ça marche…Mais eux il leur faut les couilles du type. Pourquoi pas, à voir aussi, je ferai aussi doser son taux de testostérone.

Ah ! J’ai aussi cet homme d’affaires africain. De vrais pervers lui et sa femme. Je leur ai déjà livré quatre esclaves que je n’ai jamais revus. Avec lui ça ferait cinq hihihi !…Là, soumission totale et grande résistance à la douleur requises sans quoi l’esclave meurt de suite.

J’ai aussi mon éleveur de crocodiles de la région de Melbourne, mon directeur d’un parc national en Afrique, bon, bref, je vais forcément trouver preneur.

Elle referma son bureau et reprit le chemin du donjon après avoir adressé un texto à la vieille asiatique.

Elle trouva l’esclave dans la même position que la veille, à genoux au milieu du donjon, fesses en l’air et front contre terre.

« Bonjour esclave »

Comme la veille, elle lui tendit sa chaussure afin qu’il la lui embrasse.

« Bonjour Maitresse ».

« J’espère que ta nuit fut bonne car nous avons du travail aujourd’hui. Mets toi debout que je te vois. »

« Mais que tu es mignon comme ça ! Avec ta cage de chasteté et complètement imberbe. Bravo ! Tu marques des points là ! Tiens, viens par là t’installer dans la chaise gynécologique que je te vois de plus près, maintenant que tu es présentable ».

Elle fit un signe à son assistante qui vint lui ôter la ceinture de chasteté et l’attacha sur la chaise.

La Maîtresse vint se positionner à côté de lui et adopta un ton sirupeux faussement amical tout en caressant son crâne devenu chauve :

« Ah oui ! Tu es beaucoup plus mignon ! Tu me plais beaucoup ! »

Tout en faisant courir ses doigts sur son torse et ses jambes, elle contourna la chaise et vint se positionner entre ses pieds. Elle se saisit gentiment de son sexe qui commença à durcir.

« Par contre j’ai appris que tu n’as pas été obéissant hier ? Tu as même demandé à mon assistante de te masturber ? Tsss ! Tsss !Tsss !… Pourtant je t’avais prévenu que c’est interdit ! »

Elle continua sur un ton complice et câlin :

« Tu aimes te masturber ? Ou mieux, tu aimes que l’on te masturbe ? Réponds »

Elle le masturbait lentement tout en le questionnant.

« Oui Maîtresse, j’aime ça ».

« Et sucé, tu aimes être sucé ? Je suis sûr que tu aimes ça, ne me mens pas ».

Il adorait la situation et bandait très fort dans la main de la Maîtresse.

« Oui Maîtresse, j’aime être sucé ».

« Merci pour ta franchise. Remarque que je m’en doutais un peu. Tu comprendras que je ne propose pas de te le faire car j’ai horreur de ça. Je trouve qu’il n’y a rien de plus dégradant pour une femme. Le pénis d’un mec me dégoûte au plus haut point. Par contre une amie à moi adore faire ça. Elle aime tellement qu’on la surnomme la suceuse. Je vais te la présenter de suite car elle est derrière cette porte ».

Elle claqua deux fois dans les mains, et la vieille asiatique apparut, poussant devant elle un chariot sur lequel se trouvait une machine. Une pompe à vide munie d’un réservoir et d’une trayeuse.

« Je te présente mon amie la suceuse. Tu verras, elle est infatigable. Je vais te brancher dessus pendant une heure et je pense que tu vas adorer. Ejacule autant que tu veux. Tiens, je t’autorise – ou plutôt, non, je t’ordonne – d’éjaculer trois fois. Tu ne seras débranché qu’après trois éjaculations, et bien sûr sans aucune rémission intermédiaire. Au début ce sera du plaisir, mais je te préviens qu’ensuite ce sera assez douloureux. »

La Maîtresse s’écarta pour laisser opérer son assistante. Son but était de récupérer du sperme afin de le faire analyser : quantité éjaculatoire, qualité des spermatozoïdes, dosage hormonal, etc… Elle commençait la journée par ce test de sorte à avoir les résultats d’analyse rapidement le jour même. Et puis ça calmerait ce crétin.

Une fois la machine en place et le pénis du captif enfermé dans le tube trayeur, la Maîtresse vient se mettre derrière lui de sorte à lui exciter les tétons du bout des doigts tout en lui prodiguant des encouragements murmurés à l’oreille et en lui introduisant la langue dans le lobe.

La machine commença un lent travail de succion. L’esclave se sentait très excité, tant par la machine qui le suçait que par la voix chaude de la Maîtresse et l’excitation qu’elle lui prodiguait. L’assistante augmenta progressivement le rythme de la machine si bien qu’il éjacula au bout de quelques minutes.

« Oh ! Déjà ?…Mais tu es lamentable mon ami. Tu es éjaculateur précoce ou quoi ? Tu éjacules en quelques secondes, une dose qui n’atteint même pas la graduation minimum du réservoir receveur. Allons, il va falloir faire mieux pour la seconde dose ! Prends ton temps, je te rappelle que tu es branché pour une heure ».

Elle s’écarta de lui avec un petit rire sardonique L’assistante augmenta la dépression de vide afin de le maintenir artificiellement en érection, et augmenta également la vitesse de la machine. Les deux femmes disparurent ensuite de sa vue.

La machine commençait à lui faire très mal. Il n’avait plus aucune envie de jouir mais il était totalement emprisonné par cette machine qui le suçait. Il essaya de concentrer son esprit sur des sujets érotiques susceptibles de faire revenir une certaine excitation. Petit à petit une légère excitation lui revint mais ses testicules lui faisaient mal, comme si elles étaient aspirées et allaient lui sortir par la verge. Cette excitation grossissait à mesure qu’il se concentrait, et il éjacula une seconde fois. Toutefois la machine ne s’arrêtait pas et continuait à lui aspirer la queue avec frénésie, ou plutôt à le traire. La douleur devenait insupportable, jamais il ne pourrait supporter ça pendant une heure. Il cria et essaya de se dégager sans pouvoir y parvenir. La machine aspirait et le pilonnait. Il essaya de nouveau de se concentrer pour trouver une excitation mais n’y parvenait pas. La douleur était trop intense. Il avait la nausée. Puis soudain il eut une troisième éjaculation, purement mécanique, un spasme plutôt car il n’éjacula rien. Son sexe et ses testicules vides n’étaient plus qu’une immense zone douloureuse et plus rien n’arrivait à le détourner d’elle.

La vieille asiatique réapparut comme par enchantement et arrêta la machine.

La Maîtresse se tenait là également.

« Alors toi tu es vraiment pathétique. Plus nul que toi, je crois n’en avoir encore jamais vu. Regarde moi ça, mais tu ne produis rien ! Tu es un mec ou quoi ? Tu nous casses les pieds avec ta queue depuis hier alors qu’elle n’est bonne à rien. Au moins j’espère que tu es calmé maintenant ! La journée n’est pas finie garçon, et j’espère pour toi que tu passeras mieux les prochaines épreuves ! ».

Elle était dépitée car elle n’était pas certaine d’avoir une quantité suffisante pour ses analyses. Ceci réduisait considérablement les possibilités de valorisation de ce type dans le réseau.

Elle prit le réservoir qu’elle emballa dans une broîte avant de le confier à un coursier qui devait l’emmener pour analyse. Elle était furieuse.

Pendant ce temps la vieille asiatique le détacha de la chaise, et l’installa dans le carcan. Il lui fit passer le cou et les poignets dans les encoches de la planche du bas, et referma en bloquant la partie haute par un loquet. Elle lui installa une barre d’écartement aux chevilles de sorte à ce que ses testicules soient faciles à atteindre.

Face au mur, il ne voyait rien mais entendit juste les talons de la Maîtresse qui s’approchait. Elle vint se positionner côté tête, ce qui lui permit de constater qu’elle s’était déshabillée et ne portait plus que des sous-vêtements noir et ses escarpins. Elle le gifla de toute volée d’un aller-retour brutal.

« Puisque tes couilles ne servent à rien, on va voir si l’on peut jouer avec autrement ».

Elle vint se placer derrière lui et lui saisit les testicules à pleine main et les compressa avec force, ce qui lui arracha un cri.

« Je te conseille de te taire sinon je te bâillonne ».

Sans relâcher sa pression, elle lui donna un coup de poing dans les boules, puis un second. Elle relâcha sa prise et il l’entendit faire quelques pas. Elle ne dit rien, mais soudain lui donna un violent coup de pied qui de nouveau lui arracha un cri. Puis un second, puis un troisième, puis une série qu’il ne pouvait plus compter, à fréquence irrégulière de sorte à ce qu’il ne puisse pas s’y préparer, mais toujours très violents. Il se sentait en agonie et ses genoux fléchissaient à chaque coup. Chacun lui arrachait un cri qu’il ne pouvait contrôler. Sans dire un mot, elle revient vers sa tête et lui asséna de nouveaux des paires de gifles, puis lui mit un scotch noir sur la bouche.

« Tu es vraiment une fiotte toi, un sous-mâle. Tu ne devrais même pas avoir une paire de couilles. Je comprends mieux ton fantasme de castration maintenant. En fait ce n’est pas un fantasme, c’est une prémonition. J’ai bien envie de te les couper ».

Elle claqua deux fois dans ses mains et la vieille asiatique vint le relever du carcan pour le positionner dos à la croix de Saint-André à laquelle elle lui fixa les poignets et les chevilles. La Maîtresse s’approcha de lui, le visage si proche de lui qu’il pouvait sentir son souffle. Elle lui décocha brusquement un violent coup de genoux dans les couilles.

« Tu ne bandes plus, hein looser !… »

Puis elle saisit sur un rack une paire de pinces crocodiles qu’elle lui fixa aux testicules, sans omettre de leur mettre auparavant un grand coup de poing.

« On va voir quel poids elle peuvent supporter, tes couilles, pauvre larve. Et puis je vais te faire danser aussi, histoire que tu bouges un peu ton corps… »

Elle suspendit des poids qui lui distendirent complètement les bourses. Puis elle recula et pris un fouet court muni d’une large lanière de cuir, et elle commença à lui fouetter le torse, chaque coup laissant de larges zébrures rouges. Elle s’arrêta un moment et lui installa des pinces aux tétons auxquelles elle suspendit également des poids. Elle recommença alors à le fouetter, visant de temps à autres sa verge. Le mouvement de recul que la douleur lui faisait faire à chaque coup amenait les poids à se balancer, rendant plus douloureuse encore la morsure des pinces et la distension de ses couilles.

Puis elle s’arrêta. Elle lui cracha à la figure alors qu’elle enlevait les pinces des tétons, et lui asséna de nouveau un violent coup de genoux après avoir enlevé celles de ses boules.

Elle fit un signe à son assistante qui détacha ses chevilles de la croix et mit en place une barre d’écartement. Elle détacha alors ses bras qu’elle lui immobilisa dans le dos à l’aide des menottes de cuir avant de le faire asseoir au sol. Puis elle saisit la commande électrique munie de poussoirs d’un treuil qu’elle fit descendre du plafond et qu’elle fixa à la barre d’écartement. Actionnant la montée du treuil, il se retrouva bientôt suspendu les pieds en l’air, jambes écartées, la tête à vingt centimètres du sol.

Elle le laissa ainsi suspendu un long moment, et joua à le torturer. De nouveau un coup de poing dans ses testicules qui pendaient. Puis l’ayant fait pivoter, elle lui écarta les fesses pour lui examiner l’anus. Elle se saisit d’un plug métallique sur lequel elle mit du lubrifiant, puis le lui enfonça dans le cul tout en lui imprimant de nombreux aller retours. Elle le sodomisa ainsi de longues minutes.

Laissant le plug en place, et le fit de nouveau pivoter et l’immobilisa en le tenant par la verge. Elle lui intima d’ouvrir la bouche.

« Tiens bouffe ça puisque c’est ce que tu aimes ».
Elle lui enfonça avec force son escarpin dans la bouche, lui distendant complètement les mâchoires. Elle fit de même avec son autre chaussure.

Puis elle les enleva fit la même chose de son pied nu, le tirant par la verge pour imprimer au captif un mouvement de va et vient pour une fellation de ses pieds. Bien sûr elle ne voulait en aucun cas sentir le contact de ses dents et un coup de poing dans les couilles lui rappelait à chaque fois de faire attention.

En temps normal, il aurait adoré l’odeur de ce pied chaud dans sa gorge, mais là il n’en pouvait plus. Tout son corps lui faisait mal et la position lui faisait en outre monter le sang à la tête.

Elle enleva son pied, et laissa le captif ainsi suspendu. Longtemps, très longtemps, plusieurs heures. Les deux femmes avaient disparu et il ne les entendait plus.

Puis elles revinrent. Il vit alors la Maîtresse se saisir d’un long fouet, et sans mot dire, commencer à le fouetter avec frénésie. Il tournait sur lui-même et se balançait à mesure des coups de fouets et de la lanière qui s’enroulait sur lui, comme une toupie ou un pantin. Elle frappait et la lanière s’enroulait tantôt sur le torse, tantôt sur les jambes, lui mordant souvent le sexe et les fesses. Il n’en pouvait plus et perdit connaissance.

Chapitre 5

Il reprenait progressivement ses esprits. Il se sentait comme dans du coton. Il s’éveillait puis perdait de nouveau connaissance. Il avait l’impression d’être dans un lit. Les intermèdes de conscience devenaient plus nombreux et son esprit s’éclaircissait petit à petit. Mais oui, il était bien dans un lit. Qu’est ce qu’il faisait là ? Avait-il eu un accident ? Ou peut-être avait il fait un mauvais rêve ?

Il entendit la porte s’ouvrir et aperçut vaguement la silhouette d’un homme en blanc qui venait l’examiner, forçant l’ouverture de ses paupières et l’aveuglant avec une lampe de poche.

L’environnement devenait plus net. Il était dans ce qui lui sembla être une chambre d’hôpital. Un lit, une table de nuit, un fauteuil, une télévision murale, des murs blancs.

Il ne comprenait rien à ce qu’il pouvait faire là. Il essaya de bouger mais se rendit compte qu’il était attaché aux montants de lit par les chevilles et les poignets. Il était totalement nu.

La porte s’ouvrit de nouveau et il vit la Maîtresse entrer. Elle tenait un ordinateur portable à la main.

« Et bien esclave, j’ai cru que tu ne t’éveillerais jamais ! ».

Le visage ahuri du captif la fit rire. Elle vient s’asseoir sur le bord du lit.
« Tu te demandes sans doute ce que tu fais là ? Et bien sache que j’ai de bonnes, et de mauvaises nouvelles pour toi. Par lesquelles veux tu que je commence ? Encore que bonne ou mauvaise n’est qu’une question du point de vue selon lequel on se place !…Ne dit on pas que le bonheur des uns fait le malheur des autres…Commençons par le commencement, et laisse moi d’abord t’expliquer qui je suis et où tu es ».

Elle lui expliqua son statut de diplomate, le détail de ses activités parallèles, les réseaux qu’elle alimentait et l’argent qu’elle en retirait.

Il se sentait hébété, groggy. Il n’était pas certain de comprendre tout ce qu’elle lui disait. Il comprenait toutefois avoir été piégé. Il était important pour elle qu’il le comprenne car après l’avoir cassé physiquement, elle voulait le détruire psychiquement, lui ôter tout sentiment de révolte, toute confiance en lui. Il était essentiel que les esclaves qu’elle livrait aient perdu toute volonté et tous repères de sorte à ce qu’ils se plient aux desseins de leur nouveau propriétaire.

Par nécessité, mais aussi par pur sadisme intellectuel, elle voulait que sa proie se sente terrifiée. Terrifiée, mais aussi rassurée par certains aspects. Elle la voulait également désespérée. Désespérée, mais en entretenant toutefois quelques lueurs d’espoir. Il fallait que le captif se sente perdu, isolé. Il fallait qu’il comprenne que sa vie ne tenait plus qu’à un fil, le fil de l’obéissance dans le cadre d’une servitude totale. Un jeu du chat et de la souris commençait. Elle était le chat, lui était la souris. Malheureusement pour la souris, le chat gagne toujours à la fin. Le tout est de lui laisser croire jusqu’au bout qu’elle peut gagner.

« Laisse moi te dire où tu es ».

Elle ouvrit son ordinateur dont l’écran afficha une carte du monde après quelques manipulations au clavier.

Le positionnant face à lui, elle lui désigna en riant une partie du globe :

« Bienvenue en Colombie ! »

Elle éclata de rire en voyant la tête qu’il faisait.

« Tu es plus exactement dans la jungle colombienne, dans les locaux clandestins de narco trafiquants. Ce n’est pas un hôpital, mais l’une des chambres qu’ils ont aménagées pour suivre les essais sur des cobayes humains des substances qu’ils mettent au point. Eh oui ! Tu es à des milliers de kilomètres de chez toi ! N’espère d’ailleurs jamais y retourner. Pour tes proches, pour ta famille, tes amis, ton boulot, tu fais désormais partie de ces centaines de personnes qui disparaissant corps et âme chaque année. Oublie également toute idée de pouvoir t’évader ! Je t’ai fait venir ici par la valise diplomatique. Une piqure de sédatif lorsque tu avais perdu connaissance dans le donjon, le transfert dans une caisse en bois jusqu’à l’aéroport mise dans la soute du jet privé de l’ambassade direction Bogota, puis un transfert en 4×4 jusqu’ici. Le tour était joué ! »

C’était donc ça. Un sédatif…Les choses s’éclaircissaient de plus en plus pour lui et il sentait un sentiment de panique l’envahir. Il sentait un gigantesque piège se refermer sur lui. Il était effaré de comprendre comment il était arrivé là. En un instant, il se remémorait sa vie en tant que soumis, d’abord ses expériences d’adolescent où il avait découvert être excité par les filles lorsqu’elles le m*****aient ou se moquaient de lui. Puis son attirance incontrôlable pour les pieds des femmes, leur odeur, leur vision. Toutes ces femmes qu’il avait rencontrées, ces pieds qu’il avait léchés. Puis la découverte progressive du SM, et de la soumission. D’abord avec des professionnelles, puis avec de vraies dominantes. Son admiration immodérée des femmes à l’intélect supérieur. Cette admiration sans borne qu’il avait pour les femmes, y compris dans la vie courante ou le domaine professionnel. Cette admiration qui, de tous temps, l’avait amené à vouloir se soumettre à elles, les servir. Toutes ces rencontres qu’il avait faites, ces humiliations qu’il avait subies de façon volontaire et consentie. Il avait renoncé à entrer au service de cette dominante d’origine turque, qui pourtant le pressait. Ses exigences étaient qu’il divorce, qu’elle gère ses avoirs et son budget, qu’elle le fasse circoncire, et qu’il soit en permanence nu dans l’intimité. Il avait refusé car ces demandes lui paraissaient vraiment excessives. Et pourtant aujourd’hui il se retrouvait là, conséquence de cette rencontre, la dernière, l’ultime, celle à laquelle il n’aurait jamais dû aller. Elle allait lui coûter la vie ! Elle allait détruire tout ce qu’il avait pu construire. Mais quel sort l’attendait-il ? Pourquoi avoir cédé à ces pulsions imbéciles ?…

La Maîtresse poursuivait :

« Et surtout ne t’imagine pas pouvoir t’échapper et retourner en Europe ! A poil et sans papiers… Il te faudrait déjà réussir à sortir d’ici. Je connais bien ces trafiquants car nous faisons du business ensemble, il y a un respect mutuel. Mais ils ne sont pas spécialement amicaux et il y a fort à parier qu’ils t’aient fait la peau avant même que tu ais atteint les limites de leur territoire. Tu comprends, ils aiment la discrétion. Et supposant que tu atteignes ces limites, tu te retrouverais en pleine jungle. Serpents, araignées venimeuses, bestioles de toutes sortes, sangsues, cours d’eau infestés de piranhas…Toi tout seul dans cet environnement hostile, ne sachant même pas quelle direction prendre, avec pour toute arme, ta bite et ton couteau, comme on dit. Hi ! Hi ! Hi ! Non, même pas de couteau d’ailleurs, juste ta bite. Tu risques fort de terminer dévoré par les fourmis rouges.»

« Tu voulais vivre une expérience d’esclavage ? Bonne nouvelle, tu vas pouvoir la vivre. Une vraie, grandeur nature. Mais attention, ce n’est plus du jeu. Je t’ai vendu en tant que véritable esclave ! Pour le moment, tu es encore ma propriété car je n’ai pas encore été payée par ton futur propriétaire. Mais sitôt le transfert d’argent effectué, tu deviendras sa propriété. J’ai pouvoir de vie ou de mort sur toi ! Sache d’ailleurs que je t’ai déjà sauvé la vie : les trafiquants voulaient te tuer et te dépecer pour vendre certains de tes organes. Je m’y suis opposé car j’ai mieux pour toi. Ou plutôt mieux pour moi car ils payent mal ces trafiquants, le client auquel je te réserve paie beaucoup plus. Mais je t’ai sauvé la vie ! ».

Cette femme lui apparaissait terrifiante, maléfique, le diable en personne. Elle était telle une sorte de bras vengeur divin, un ange exterminateur destiné à lui faire payer toutes ses inconduites et ses vices.

On aurait dit que la Maîtresse lisait dans ses pensées car elle sembla répondre.

« Tu sais, je n’ai rien contre toi. Ni rien pour toi d’ailleurs. En fait ton sort m’indiffère totalement. J’ai juste un jour décidé de devenir riche. Certaines femmes le deviennent en épousant un homme riche. Moi non, j’utilise les hommes pour m’enrichir. J’aime l’argent et l’indépendance qu’il confère. Vous êtes tellement prévisibles, vous les hommes. Dès que votre queue devient dure, votre cerveau ramollit ! Alors moi je vous ramollis le cerveau et je m’enrichis à vos dépens. Rien ne sert de te lamenter sur ton sort, il fallait réfléchir avant. Tu peux juste regretter de m’avoir rencontré sur ta route, mais c’est une autre histoire. Sais-tu combien tu vas me rapporter ? Pas très cher en fait, vingt mille dollars. J’ai déjà gagné beaucoup plus. J’ai par exemple vendu 100.000 dollars un jeune éphèbe beau comme un dieu à un milliardaire chinois. Je ne sais pas ce qu’il est devenu, j’espère qu’il est encore en vie vu le prix. Toi c’est différent, tu ne vaux pas grand-chose. Les prix montent dès qu’il y a exploitation sexuelle de l’esclave. Désolé de te le dire, mais tu ne vaux rien sur ce plan. Tu es même dans le peloton de queue de tout ce que j’ai pu voir. En plus tu es plutôt moche. Donc personne ne voudrait de toi dans un quelconque but touchant à la reproduction ou au sexe. Remarque, la bonne nouvelle pour toi est que garderas tes burnes. Je crains que mon éphèbe à 100.000 $ ait perdu les siennes car le chinois voulait le féminiser…Toi, en principe, tu les conserveras, encore que rien n’est sûr dans le domaine. Et puis ça ne serait pas pour te déplaire si j’ai bien compris ».

« Pour toi, le problème sera plus dans le domaine de l’espérance de vie. Elle sera courte je le crains, je dirais un an tout au plus, ou un mois… Je vais te donner quelques informations sur celui à qui tu es destiné. Mais je peux me tromper, peut-être vivras tu grand-père ! Le pire n’est jamais certain. Je ne sais rien de ce qu’il fera de toi en fait. Je me base, disons, sur un sentiment en fonction de ce que je sais de lui …».

Chapitre 6

La Maîtresse se leva du lit et alla allumer le téléviseur mural sur lequel elle connecta son ordi. L’image de l’écran était reportée sur la télé qui affichait ainsi la carte du globe. A l’aide de la souris, elle pointa la flèche au centre de l’Afrique.

« Il habite ici, dans la République Démocratique du Congo. Attends, je vais te montrer quelques vidéos qui t’aideront à mieux comprendre ce qu’il fait».

Elle rechercha dans une arborescence de fichiers qui apparaissait celui qu’elle voulait lui faire visionner, puis l’image apparue à l’écran. La vidéo démarrait comme un film documentaire. Forêt équatoriale luxuriante dans un paysage pluvieux de montagne, des hommes en uniforme de gardes forestiers qui marchaient dans cette forêt s’aidant de machettes pour leur progression, quelques images sur un homme barbu d’un certain âge, à l’embonpoint évident et souriant. Puis des images de familles de gorilles, mâles au dos gris, femelles avec leurs petits.

La Maîtresse suspendit l’image et donna quelques explications :

« L’homme barbu que tu viens de voir est mon client. Il est richissime. Il est aussi passionné par les grands singes, spécialement les gorilles. Il a acquis des hectares de forêt qui constitue l’habitat naturel des gorilles, et il a organisé une réserve naturelle dans laquelle ils vivent en complète liberté. »

Elle remit en route la vidéo dans laquelle était expliqué le mode de vie des gorilles, les petites cellules familiales dans lequel ils vivent, les rivalités entre clans, l’alimentation, le territoire, etc…

Le captif ne voyait pas bien où la Maîtresse voulait en venir et en quoi ce documentaire pouvait le concerner.

« Mon client est tellement passionné par ces animaux qu’il étudie de façon scientifique leurs comportements : la façon dont ils défendent leur territoire, celle dont ils défendent leur clan, leur manière de gérer les rivalités, ou bien encore de prendre le pouvoir ».

« Il mène aussi des études un peu plus obscures, pour ne pas dire secrètes, sur le rapport des gorilles à l’homme. Il voit dans ces singes une forme primitive de l’humanité, ayant dix fois plus de force physique qu’un homme, mais également un cerveau trois fois plus petit. Et il organise des compétitions de toutes sortes afin de faire des comparaisons. Je le soupçonne de trouver une certaine excitation dans ces compétitions qui souvent sont faites sous forme de spectacles réservés à quelques initiés. Il y a des paris où circule beaucoup d’argent. Un peu comme des combats de coqs, ou des combats de chiens. Mais là c’est gorille contre homme. Il garde tout ceci très secret car c’est illégal, mais je dois de temps à autres lui fournir des esclaves pour ces expériences ».

« Tiens, j’ai quelques vidéos, je vais te les montrer »

Elle lança une vidéo sur laquelle on voyait une fosse d’environ deux mètres de haut, ouverte à l’air libre, dont l’un des murs était constitué des barreaux d’une cage. Cette fosse, comme une petite arène, était entourée de gradins qui la surplombaient. Dans la fosse se trouvait un grand mâle au dos gris qui était tranquillement assis en train de dévorer des végétaux. Un commentaire expliquait qu’un gorille placide lorsqu’il mange peut devenir furieux si on le dérange, et encore plus si l’on tente de lui voler sa nourriture. L’expérience consistait à ce qu’un homme s’introduise dans la fosse et tente de ramener à l’assistance trois ananas, l’évaluation consistant à voir si son intelligence humaine lui permettrait de surmonter la force a****le. Sur les gradins se tenait une assistance assez nombreuse, des hommes uniquement. Sur des marches, deux hommes en uniforme tenaient par les bras un troisième. Il était totalement nu et avait l’air terrorisé. Il tentait de résister, mais les deux gardes le menaient vers la fosse où ils le poussèrent.

La Maîtresse suspendit la vidéo et commenta :

« Regarde bien. C’est un esclave que je lui avais vendu. Comme toi. Recruté selon le même processus ».

Elle remit la vidéo en route. On voyait l’esclave d’abord tenter de remonter le mur en se hissant à la force des bras. Mais sans succès car la fosse était trop profonde. Sous les insultes des spectateurs, il tenta de s’approcher à pas de loup, espérant naïvement ne pas être repéré par le gorille. Celui-ci bien évidemment ne pouvait pas ne pas le voir. Encouragé par la foule qui criait, l’homme tenta toutefois de s’approcher. Le gorille fit alors une brutale volte face et fondit sur lui. L’attrapant par une cheville, il le projeta au sol avec une force incroyable. L’esclave disloqué tel un pantin ne bougeait déjà plus, si bien que le gorille l’attrapa de nouveau pour l’étouffer de ses bras contre sa poitrine tel un étau. On apercevait le sexe de l’esclave en complète érection liée à cette strangulation, et bientôt des jets de sperme projetés sur le sable de l’arène sous les plaisanteries obscènes et les rires de l’assistance. Le gorille projeta le corps de l’esclave mort dans un coin puis se rassit pour finir calmement son repas sous les applaudissements des spectateurs.

La Maîtresse émit un petit rire :

« Belle mort, non ? Une dernière jouissance et, fini ! En fait, pour tout te dire, mon client est totalement cinglé. Il est pervers au plus haut point».

La Maîtresse regardait avec sadisme son captif du coin de l’œil. Il était liquéfié de terreur.

« Non s’il vous plaît, ne faites pas ça, ne me vendez pas à ce type »

« Oh mais il n’est pas sûr que tu finisses ainsi ! D’ailleurs l’expérience ayant eu lieu ne sera pas refaite je pense. Donc tu as ta chance ! Tiens je vais te montrer une autre vidéo d’une expérience. Cette fois il s’agissait d’étudier le combat entre deux mâles pour voir qui serait le dominant et qui serait le vaincu. Dans la nature, ces combats ne sont jamais à mort. Là, c’est différent car les forces sont inégales. L’un a la force physique, l’autre a son intelligence. Le but était d’étudier comment chacun utilisait ses atouts pour vaincre l’autre ».

On voyait à l’écran la même fosse, à l’intérieur de laquelle se trouvait un gorille mâle beaucoup plus excité et agressif que précédemment. Sur les gradins, les mêmes hommes en uniforme tenant un esclave nu. Ils l’aspergèrent d’un liquide présenté être des phéromones d’un autre gorille mâle, puis le poussèrent dans la fosse. L’attaque du gorille fut immédiate, gueule grande ouverte et crocs dehors, poussant des cris effrayants. L’esclave terrorisé essaya de s’enfuir en courant mais la vitesse du gorille était telle qu’il fut immédiatement sur lui. L’homme roula dans la poussière. On ne voyait plus que ses pieds nus sous la masse noire. Puis un hurlement strident. Le gorille avait arraché de ses crocs les parties génitales de l’esclave qui restait sur le sable en se vidant de son sang, mort.

La Maîtresse éclata de rire:

« Moins belle mort, pas de jouissance et sûrement plus douloureuse ! Mais une belle castration qui devrait te plaire !!… »

Son rire redoubla :

« Tu devrais te voir ! Cette tête que tu fais ! Et ta position ridicule à être attaché en croix à poil sur ce lit avec ce minable bout de viande qui te sert de sexe tout recroquevillé. Tu ne bandes plus, hein ? Et crois moi, tu n’es plus prêt de bander avec ce qui t’attend. Mais ne te fais pas trop de souci, rien ne dit que tu seras mis à mort par un gorille ! Je t’ai montré ces vidéos à titre d’exemple, mais ton rôle d’esclave sera peut-être différent. Mon client à d’autres passions que je te

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