Chap XXIV
Une correction en privé. 2eme Round
Après ce premier orgasme qui l’a laissée sur le tapis. Viviane sors doucement de la torpeur qui l’a gagnée. Elle a bien jouis mais c’est un début et pour l’instant elle n’a pas trop eu à subir. La strangulation la met en transe mais ce n’est pas ce qu’elle préfère non plus. Viviane sait que ce qui vient de se passer c’est juste un hors-d’œuvre.
« Allez relève toi! A genoux espèce de traînée!! » criais-je
« Oui maître » dit elle la tête basse.
J’allais chercher le martinet.
« Ouvre la bouche.. tiens çà! »
Je lui mettais le manche du martinet dans la bouche. Elle referma ses dents dessus et elle tiendrait l’instrument tant que je ne le retirerais pas. Si il tombait elle serait punie durement.
Plus passait les semaines moins je ne m’imposait des limites avec Viviane. Je savais, je sentais qu’elle demandait toujours plus. Dans les moments de la vie courante, on se parlait beaucoup, elle me parlait de ses envies ses fantasmes, des choses qu’elle voulait subir, qui la faisait fantasmer. Souvent elle me faisait froid dans le dos quand elle décrivais ses envies. Pendant longtemps j’ai cru que certains désirs extrêmes étaient de ceux dont on peut rêver mais que l’on sait ne jamais réaliser. Elle non les pires sévices, les pires idées que l’on pouvait échafauder elle voulait les vivre réellement.
Je pris les cordes de nylon qui étaient dans le sac. Je faisais une boucle et enserrait son sein droit, puis passant derrière son cou, son sein gauche, puis autour du torse. Tant et si bien que rapidement ses deux seins totalement étranglés ressemblaient à des obus. Les tétons tout tendus semblaient être le prolongement de l’ogive des ses seins. Puis je serrait une autre corde autour de sa taille. Je serrais fort, elle en avait le souffle coupé. Je lui liait les mains puis lui faisait lever les coudes de chaque côté de sa tête. La corde qui liait ses mains passée dans celle qui entourait sa taille, je lui fit mettre les mains comme ne prière, mais inversées les bras retournés dans le dos. Puis je passais des cordes autour de ses avant bras, rapprochant les deux membres. Viviane gémissait tant je serrais. Ses mains rougissaient.
Moi ma queue gonflait, je n’avais pas cessé de bander malgré mon éjaculation. Ayant lié ses bras. Je lui retirait le martinet de la bouche, y plantais ma queue.
« Suces moi salope!! Ouvre grand!! plus!! » criais-je
Je poussais ma queue dans sa gorge, jusqu’à ce que je sente le haut le cœur. Je me retirais, sa salive coulait, puis je recommençais. Cinq ou six fois, l’étouffant rapidement Viviane était haletante, sa poitrine couverte de bave, son menton souillé par sa salive épaisse. Je la giflais faisant rougir sa joue.
« Ouvre ta gueule!! Putain!! » hurlais-je
Sa bouche grande ouverte je crachais sur sa langue, plusieurs fois. Viviane rejeta la tête en arrière les yeux mis clos, comme pour goûter le plaisir d’avoir ma salive sur sa langue. Elle commençait à nouveau a être parcourue de frissons.
Sans crier gare je lui cinglais ses seins gonflés par un aller retour du martinet.
« arrrrghhhhhh aiiie ouhhhh » criait elle.
Je frappais à nouveau plus fort encore.
« Qu’est ce qu’on dit? »
« Ahhhh ahhe Merci Maître » dit elle dans un souffle.
Ses seins rougissaient d’être serrés dans les cordes mais les marques des lanières étaient plus foncées encore et ne tarderaient pas à être violettes.
J’agrippais ses cheveux et lui secouait la tête. Approchant mon visage du sien, elle crut que j’allais lui donner un baiser. Mais je lui dit juste en la regardant dans les yeux.
« Ce soir… salope.. j’ai envie de te démolir… tu va hurler.. tu va souffrir.. »
Viviane les yeux écarquillés, les pupilles dilatées eut un frisson et sa bouche se mit à trembler.
« Oui.. maître, merci maître » dit elle la voix cassée.
Il faisait chaud, mais sa peau c’était couverte de chair de poule.
Je repoussais sa tête violemment. Viviane faillit perdre l’équilibre. Maintenant je choisis dans le sac un plug anal de belle taille en latex. Il faisait 7 cm au plus gros. D’un coup de martinet sur les fesses je fis plier Viviane en avant. Comme ses bras étaient attachés dans le dos, elle ne pouvait que poser le front au sol. J’écartais ses fesses, son anus était humide elle avait tellement mouillé tout à l’heure. Mes doigts forcèrent l’entrée facilement, deux doigts, puis trois je poussait violemment Pistonnant et tournant dans son cul. Puis un quatrième droit eut sa place. Je poussais sans ménagement déclenchant des cris de souffrance et de plaisir. Viviane haletait, ses bras et ses mains saucissonnés étaient écarlates. Ma main fouillait son cul, seul mon pouce restait à l’extérieur. Je ressortais vivement mes doigts, Viviane restait ouverte.
« Pousse salope!! ouvre moi ce cul!! allez pousse!! » criais-je ne lui donnant une claque sur le cul.
Viviane s’ouvrait, poussant son anus s’ouvrait, suintait car on ne peut aller contre la nature. Elle poussait le plus fort possible sans déclencher l’irréparable. Je vis quelques gouttes d’urine qui tombaient au sol. Je plaquais le plug, lubrifié, la pointe contre son anus béant.
« Allez recule!! prend!! Empale toi chienne!! » criais je
Viviane obéis docilement. Le plug entrait doucement, son anus s’ouvrait, mais il fallait qu’il s’ouvre a 7 cm . A peu prés la taille d’une tasse, un petit mug par exemple. Haletante le souffle court dans cette position peu agréable, elle faisait des efforts. Son anus était exsangue, couronne blanchie tentant d’avaler le latex noir. Je poussais d’un coup sec, le plug fut avalé d’un coup tandis qu’elle réussissait a se redresser. Au passage elle lâchait une longue giclée d’urine sur le tapis. Tandis qu’elle était secoué d’un spasme lui agitant tout le bassin creusait son ventre. Elle se cambrait. Elle avait très mal.
« Arfhhhhhhhhhhhhh noonnnnnnnnnnnnn aieeeeeeeeeeeeeeeee ohhhhh ohhh dur!! » hurla t-elle
Viviane tremblait de la tête au pied, ses fesses serrées les muscles fessiers faisant de grosses fossettes. Son anus se serrait sur le plug. Elle était maintenant arquée en arrière. Je giflais ses deux seins gonflés de ma main. Une douleur faisant oublier l’autre je frappais fort, elle se cassa en deux en avant pour protéger ses mamelles. .
Tirant ses cheveux je la redresse à nouveau en fourrant ma queue de plus en plus gonflée entre ses lèvres. Je reste plongé dans sa bouche jusqu’à ce que je sente qu’elle ne peut plus respirer. Je lui pince même le nez. Sa bouche s’affole, sa gorge palpite. Je sens ses seins brûlants contre mes jambes. Je la laisse reprendre son souffle, elle laisse ma queue couverte d’une salive abondante, qui dégouline sur son menton, lui macule les lèvres. Viviane n’a plus de maquillage, de longues coulures noires lui strient les joues, les larmes font des rigoles brillantes sur ses joues. Elle à les joues rouges du fait des gifles. Malgré tout cela elle est magnifique, elle est d’une sensualité incroyable. Malgré l’excès tout en elle donne l’impression que l’extase est à portée de sa main.
« Tu est belle salope!! Tu est une truie!! une chienne!! Dis moi que tu aimes !! Dis moi ce qui te fait envie!! » criais je
« Oui maître je suis une chienne, une salope….. cognes moi… cognes moi fort.. » dit elle la voix tremblante.
Je lève le martinet et je frappes ses fesses, ses cuisses, puis je reviens sur ses seins ou j’abats avec force les lanières. Ses seins virent peu a peu au violet. Les marques des coups sont de plus en plus visibles, par endroit elles sont violacées presque sanglantes. Ses cuisses portent déjà les boursouflures des coups de cravache, je m’applique maintenant à lui cingler l’intérieur des cuisses. Puis plusieurs coups tombent sur sa chatte. Son clito gonflé, et ses lèvres prennent des coups.
« Argghhhhh aieeeeeeee encore!!!!!!!! encore!!!!!!! plus fort!!!!!! » crie Viviane
« Quoi? » demandais-je
« Encore Maître … arggggghhh aiieee encore plus fort ouiiii »dit elle
Viviane à le regard fou, ce regard je ne peut pals l’oublier, une bête traquée qu’on va mettre à mort doit avoir le même regard. Ses grands yeux gris, ses pupilles totalement dilatées me fixent.. La tête légèrement baissé, elle me regarde par en dessous. Sa poitrine se soulève de façon hachée, sa salive coule le long de son menton et goutte sur ses seins.
Je prend la canne de bambou, et je la pousse avec le bout, je le pose sur son nombril c’est une chose qui la terrifie, elle a toujours eu peur que je lui fasse entrer par le nombril. Quand je pose le bout sur son nombril, elle se met à trembler comme une feuille. Je pousse un peu.. Elle hurle.. tente de se soustraire. Je la retiens d’une main. Maintenant je glisse la badine entre ses cuisses. Je l’insinue entre les petits lèvres qui pendent déjà bien gonflées par les pinces de tout à l’heure.. Le bambou frotte contre son clito. Elle frissonne, elle geint.. son bourgeon est tendu, totalement sorti de son capuchon. Il pointe comme une bite miniature. Je vois que je bambou est tout luisant, elle mouille.. Je le mets devant sa bouche..
« Lèche moi ça esclave!! tu mouilles petite putain!! »
Je me place sur le côté. Je l’oblige a se cambrer à offrir ses seins. Je lève la canne, je frappe sur son ventre, trois coups qui aussitôt la marque. Puis trois coup sur l’intérieur de chaque cuisse. Elle crie, hurle de plus belle. Les larmes coulent sur son visage, une goutte au bout du nez. Elle me regardait suppliante, comme si elle ne voulait pas ce qui allait suivre. Mais pas un mot ne sors de sa gorge, elle sait que si elle dit rouge on arrêtera. Ce sera le signe qu’elle est à bout. Et je sais qu’elle est loin d’être a bout.
Je caresse de la baguette les seins violets, leur peau est si tendue qu’elle brille sous la lumière, les tétons sont durs comme de la pierre. Les cordes entrent dans la chair tendre de ses seins. Viviane me regarde.. fait non de la tête. Je caresse encore le dessous des seins. Elle lève la tête me laissant le champ libre. J’abats mon bras pas de toutes mes forces mais avec une v******e certaine. Viviane accuse le coup.. Hurle.. la bave aux lèvres Secoue la tête. En tous sens. Avant de se remettre en position. Une marque en creux et en bosse, violacée, sanglante même naît sur ses seins. Elle est secoué par des spasmes. J’entends le bruit du plug qu’elle vient d’expulser de son cul. En même temps que je vois un filet doré couler de son sexe. Je me baisse, ramasse le plug. Il est tombé au sol donc plein de poussière je ne vais pas lui remettre . Il y en à un autre de même taille en latex rose. Je prend en main le noir.. Lui agite sous le nez.. Puis lui montre le rose.
« Tu va être punie…. tu à perdu ton plug!!! Je vais te cogner comme tu le mérite. Allez lèche çà!!»dis-je
Ma queue commence à me faire mal, mes couilles sont blotties contre ma tige. Je vois mon gland mouillé qui coule littéralement. J’ai un long fil transparent attaché à mon gland et qui goutte au sol.
Viviane a le plug dans la bouche, je pousse lui faisant presque avaler. Puis brusquement le la pousse en avant. Ses fesses sont rougies pas les coups, son anus est encore béant, trempé. Je pose la pointe du plug et je pousse l’engin d’un coup en elle. Elle se cambre.. crie encore une fois son urine souille le sol.. Mais il est entré d’un coup. Son ventre est agité de longs spasmes.
Je fouille à nouveau dans le sac. Je trouve un god gonflable. Muni d’une poire il peut se gonfler jusqu’à une taille impressionnante. Je le glisse entre ses petites lèvres qui s’écarte devant l’engin. D’un coup sec je lui plante le god au fond de la chatte. Il entre facilement, je butte au fond de son sexe. Je donnes 4 ou 5 coups.. allant et venant dans son con ruisselant. Le god noir se couvre d’une pellicule laiteuse, qui coule et épaissis au fil de mon pistonnage. Je frappe le fond de son sexe avec la pointe du god comme si je voulais détruire sa chatte. Elle inonde le god de son jus laiteux. Avec la poire je gonfle le god. Elle geint, il enfle en elle, il lui dilate la chatte. Si je le laisse ainsi il va glisser. Un bout de corde me permet de bloquer en place, le plug anal et le god gonflable. Une fois bloqué je gonfle encore le god. Viviane se cambre, le god doit être aussi gros que mon poing fermé. Du pouce je frotte son clito. Elle à des sauts de carpe, crie gémis, se démène. La caresse la met en transe.
« Maintenant je vais te punir pour avoir fait tomber ton plug espèce de chiennasse!! Allez bombe le torse.. plus.. montre moi tes obus!! Tu sais ou je vais taper? Tu le sais hein? » demandais-je
De la tête elle fait non
« Tu ne sais pas ou tu ne veux pas? » questionnais je
« Je ne sais pas maître…. » dit elle d’une voix a peine audible.
« Je vais te faire éclater les tétons espèce de truie!! Oui tes gros tétons tu va voir!! » criais-je
« Non… non.. pas çà.. pas çà je t’en supplie!!! » dit Viviane les larmes inondant ses yeux.
« Non? Qui? » demandais-je
« Maître, maître.. oh pas çà….. » dit elle en sanglotant
« Pour te punir tu aura deux coups au lieu d’un.. n’oublies plus de m’appeler Maître .. ou je te crève!! Salope!! »
Tremblante, Viviane attendait la punition. Elle avait la bouche entrouverte, ses lèvres agitées d’un tremblement qu’elle ne savait stopper. Son corps entier s’agitait, ses cuisses pourtant sans cellulite étaient agitées comme si ses muscles étaient de la gelée. La peur était visible sur son visage. Quelques semaines avant, j’aurais hésité, mais maintenant j’avais pris la mesure de ses désirs. Je souhaitais presque qu’elle stoppe tout Je devenais de plus en plus dur avec elle mais à l’époque des se vacances j’avais encore quelques réticences. Que je perdrais une paire de mois plus tard.
La baquette siffla, j’atteignais ma cible, ses tétons juste au dessus de l’aréole en fait. Elle s’écroula sur le dos, le coup avait porté et presque instantanément les tétons gonflèrent sous le coup. Ses seins étaient d’un violet sombre, les traces de mes coups rouge noirâtre presque. Je vis que son sexe laissait échapper encore une fois un jet d’urine. Elle hurlait sanglotait.
Je tapotais du bout de la baguette sur son clito énorme . Elle poussa de nouveaux cris..
Je la redressais.. la remettait à genoux. En position.. le visage baigné de larmes elle savait que j’allais recommencer. Viviane me défiait du regard. Elle avait planté ses yeux gris dans les miens. Elle ne détournait pas le regard.
« Allez.. bombe le torse salope!! offre moi tes seins!! je vais te faire éclater les tétons!! » dis-je.
C’était une menace, pas une volonté je n’avais pas envie de la mutiler. Mais poussé au bout le jeu pouvait parfaitement se terminer par cette issue. Cela n’arriva pas… cette fois là.
J’abattais la cane une nouvelle fois et avec force. Je frappais pile sur les tétons cette fois!! Ce fut comme un électrochoc. Foudroyée par la douleur, Viviane ouvrit la bouche, aucun son ne sortit immédiatement, elle se laissa tomber sur le sol.. Secouée de spasmes. Elle se tordait au sol comme une bête blessée.
« ahhhh arhhhh ahhhh aiiiiii aiii noooon nooooon ooooooooohhh » hurlait elle.
Je la relevais sans ménagement la remettais à genoux. Je regardais ses tétons. Les pointes avaient facilement doublé de volume sous les coups et gonflaient encore. Ses seins étaient maintenant totalement violet sombre, les coups avaient creusé des sillons pourpre, un peu de sang coulait à quelques endroits. Je passait ma main sur ses seins les caressant, ils étaient brûlants Cette caresse fit hurler Viviane. Je ne pouvais pas la laisser comme çà.. Je voyais que son sexe avait dégorgé une quantité de mouille impressionnante sur le god, une mousse laiteuse ceinturait le latex noir. Je gonflais encore plus le god. Jusqu’à ce que je sente que Viviane ne pourrais plus rien supporter. Je trouvais le vibro dans le sac. Je le mettais en marche. Je le posais sur le clitoris saillant. Elle poussa un cri perçant tant la sensation était forte. Je continuais.. Passant la tête du vibro sur le clitoris. Je caressais de mon autre main ses seins meurtris.. Ce qui lui tirait des cris de douleur. Son visage ruisselait de larme. Mais ses yeux brûlaient d’un feu incroyable. Ses pupilles étaient si dilatées que ses prunelles gris pâles semblaient une couronne. Elle sautait, tremblait.. Viviane était on aurait plus le croire au seuil de la mort.. suppliciée rendant son dernier soupir. En fait tout son être était tendu vers la libération. Un orgasme qui promettait d’être d’une v******e rare. Jusque là je ne l’avais guère vu aussi excitée.. aussi barrée.. même. Ses yeux se révulsaient pendant de longs instants.
Moi j’étais au bord de l’explosion. On ne conduit pas une femme sur ce chemin de l’extase à coup de fouet sans ressentir le plaisir. Moi je prenais de plus en plus de plaisir à la faire souffrir, à la voire souffrir. C’est horrible.. oui horriblement bon. Ma tête est bourdonnante. Ma queue me fait un mal de chien je suis tellement tendu que j’ai l’impression que me toucher ferait craquer la peau.
Maintenant d’une main je vais libérer la corde qui retient le god dans sa chatte et le plug dans son cul Le vibro contre son clito vibre comme un fou il est a fond. Viviane à la tête penchée en avant, elle mords mon épaule. Quand je dis elle mord.. elle plante ses dents dans ma chair. Puis elle rejette la tête en arrière.. je lâche la corde.. le god et le plus sont littéralement expulsés avec force..
Viviane hurle comme une possédée.. Elle jouit son sexe béant laisse s’écouler une mouille grasse épaisse qui s’était accumulée autour du god gonflable et qui tombe maintenant en grosses gouttes sur le tapis Je lâche le vibro, je n’ai pas le temps d’att****r ma queue que mon foutre gicle sur le ventre de Viviane c’est violent. J’ai la tête qui tourne.. je ne sais plus bien où je suis ce qui se passe je ne sent que ma queue qui palpite mon sperme qui part en longue giclées..
Secouées de tremblements de frisons les yeux retournés Viviane s’effondre sur moi, je tombe à la reverse. Elle semble inconsciente. Elle est inconsciente.
L’orgasme est si fort qu’elle fait une petite syncope qui dure moins d’une minute.
Ses yeux papillonnent et s’ouvre. Ils brûlent d’un éclat incroyable.
Elle cherche ma bouche et m’embrasse.
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