Je suis depuis quelques jours à Rochefort près de bordeaux, j’étais venue pour une réunion qui s’est vite finie, peu de participants. Je buvais un café sur une terrasse d’un café, il n’y avait pas trop de monde. J’ai eu l’idée de téléphoner à Mélanie pour combler le temps avant le départ de mon train. J’ai appris que Fred était à Rochefort pour un entretien, cela m’a fait plaisir et je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je commençais à mouiller. Après avoir raccroché, une idée folle m’a traversé l’esprit. Pourquoi pas annuler mon billet resté ici quelques jours. J’ai de nouveau appelé Mélanie pour savoir à quelle heure Fred finissait, elle m’a dit 11h15, il était à ma montre 10h50. Je lui ai demandé si cela ne la gênait pas que Fred reste avec moi quelques jours pour mieux nous connaître tous les deux (évidemment toutes les deux, nous savions de quoi nous parlions – évidemment de Baise).
J’ai attendu près de la Gare comme une écolière qui attend avec impatience son chéri. Fred est arrivé, il m’a vu, un peu surpris, et on s’est embrassé comme un couple normal qui se retrouve. Des personnes passaient à côté de nous et nous nous embrassions et caressions pendant 10 minutes au moins. J’étais aux anges, mon minou aussi était complètement mouillé, je sentais la bosse qui voulait déchirer le pantalon de Fred (une de ces envies impossible à satisfaire à côté de la gare). Nous nous sommes assis sur un banc et on a parlé de tout et de rien. J’avais trop envie de baiser, aussi il m’a proposé de prendre un hôtel et qu’il paierait tout. Je suis allée voir le chef de gare pour annuler mon billet, quitte à perdre un peu d’argent mais ça valait le coup.
Pendant que je parlais au chef de gare, je lui ai tenu le doigt naturellement, il m’a embrassé et une main sur mon corps. Cette main a provoqué un déchainement d’envies chez moi, j’ai bafouillé un truc au chef de gare, tellement mon excitation était à son comble. J’aurai voulu le violer (le mot est faible) devant tout le monde et envoyer chier le chef de gare. Nous sommes sortis de la gare et il avait vu en marchant un hôtel Ibis pas trop loi. La personne nous a dit que la chambre qu’à partir de 14 h mais qu’on pouvait laisser nos valises à la réception de l’hôtel. Nous avons opté pour cette solution, j’ai demandé si je pouvais aller aux toilettes, la personne m’a dit oui et m’a montré du doigt la porte. Dans les toilettes, j’ai descendu mon string mouillé juste pour essuyer la mouille, au lieu d’essuyer, je me suis masturbée comme une tarée. J’avais envie d’autre chose, la bite chérie était de l’autre côté du mur, je savais qu’elle m’aurait fait du bien. Je fantasmais encore plus, j’ai caressé mes seins en accélérant sur mon clito. Je n’ai pas attendu longtemps pour avoir ma jouissance. Je me suis essuyé de nouveau, remis mon string et me suis rafraichie avec l’eau sur le visage. Fred m’attendait dans un coin, il m’a pris la main et nous sommes allés découvrir le village. J’étais heureuse de marcher avec un homme qui me plait en entier, il baisa ma main de temps à autre, ce qui déclencha une violente envie. On est arrivé près d’un square, on s’est assis sur un banc, et je ne sais pas je suis venue m’asseoir sur lui. Cette fois-ci, la violente excitation du devant s’est propagée à mon anus. Je sentais sa grosse bite à travers le pantalon, je voulais me la foutre au cul. Comme il n’y avait pas trop de monde, j’ai fait glisser mon string de ma jupe afin qu’il me touche le minou qui était en feu. Le pompier Fred était là pour éteindre mon feu mais qui au contraire embrasa mon corps entier. J’ai osé lui dire :’’ trop envie de ta bite dans ma chatte, putain j’ai une furieuse envie de baiser là’’. De son côté sa bite devenait énorme, et je la voulais dans mon cul, ma chatte ou ma bouche. Il m’a caressé les jambes et est remonté à mon minou, le fait de caresser mes cuisses, j’ai eu envie de baiser de suite sans attendre comme une droguée qui veut sa dose. Mes seins me faisaient mal, ma chatte était chaude comme la braise, mon cul bougeait un peu pour stimuler la Bite. Nous avons vu un flot de monde se diriger vers nous et nous avions compris qu’il devait être midi. On est allés acheter un pain polaire avec du saumon, une tuerie, moi en jupe sans string. On s’est mis dans un coin et on a partagé le pain. On s’est caressés et embrassés juste après. Quand il faut attendre 14h pour avoir une chambre alors que tu as réellement envie de baiser, c’est un supplice. Plus loin sur une route de village, je suis penchée en avant quand il y avait personne et je lui ai montré mon minou et mon cul. Lui de son côté a sorti l’artillerie lourde si je puis dire, nous étions comme 2 aimants, avoir envie l’un de l’autre et ne pouvant rien faire. Enfin à 13h30, après nous être encore une fois embrassés et caressés plus hard que d’habitude, réussissant pour ma part à toucher le dit engin et à déposer un peu de ma mouille sur son sexe, nous avons fait le chemin inverse assez rapidement. Je n’en pouvais plus d’attendre, j’avais envie de me faire défoncer, faire l’amour habillée ou nue mais faire quelque chose de polisson version hard. Insistant auprès de la personne qui s’occupe des chambres, elle accepta de nous donner une chambre en avance. Si tôt la clé eu, direction l’ascenseur. Purée quelle merde cet ascenseur, il prenait son temps à arriver, je n’en pouvais plus d’attendre. On dirait qu’un couillon avait appuyé sur toutes les touches des étages juste pour me faire super chier, pensais-je !
A l’arrivée de l’ascenseur, moi qui pensait déjà entamer le processus d’avant baise en lui montrant mes seins, je fus déçue, je n’avais pas vu le couple âgé derrière nous. Nous allions au 4ème étage et eux au 2ème. Je me suis rapprochée de Fred et j’ai passé ma main à son cul. Le 2ème étage est arrivé, formule de politesse entre nous et les vieux, j’ai enlevé mon soutien-gorge et j’ai donné Fred mon sein pour être sucer, il m’a mordu le téton, je dégoulinais de mouille hors de mon string. Je l’ai roulé une pelle et il m’a embrassé au fond de ma gorge et j’ai senti le gros pénis venir heurter mon minou. La porte du 4ème s’est ouverte, on a trouvé la chambre, à peine entrer, j’ai refermé la porte, j’ai enlevé son pantalon et le caleçon, je l’ai jeté sur le lit, je me suis déshabillée en express, nue pour juste sucer cette queue que j’avais envie depuis quelques heures. J’ai caressé cette bite, en lui suçant les couilles, passant ma main sur sa longueur. Ma langue léchait la tige, je pris soin de sucer le gros gland naturellement. Je me suis rassasiée en léchant cette bite à la manière d’une sucette. J’ai pris mes deux gros seins et j’ai fait glisser la bite entre pour la masturber, cela me faisait devenir chienne. Comme elle est longue et épaisse, j’ai pu passer ma langue dessus pour la goûter. La bite était mienne, j’avais attendu trop longtemps. Généralement je mets en 69 quand je suis avec un homme, là, non. Il m’a surpris de suite, il m’a stoppé et m’a mis debout. Il a pris dans sa valise un drap anti tâches pour protéger le matelas des mouvements hard qu’on allait exécuter. Puis il m’a appuyé contre le mur, en me regardant dans les yeux, mes seins étaient sueurs, il s’est approché de moi, à caresser mon minou, pris un peu de mouille et la sucer. Je suis devenue hystérique, j’ai pris sa grosse bite et je l’ai enfourné dans mon sexe. A peine avait-il franchi le seuil, que j’oubliai le monde et je me concentrai sur mon plaisir, son corps et ma bouche. Sa verge se trouvait au fond de ma chatte, je poussais de grands râles de plaisir. Je me rassasiais avec sa langue, une main caressait mon sein qui m’attendait que cela, l’autre, le téton et lui entier était léché et sucé. Mes Mains tenaient ses fesses et lui caressaient le dos. Il savait s’y prendre, il sortit son sexe de mon minou, puis l’entra de nouveau plus rapidement.je lui ai dit à l’oreille :’’ hummm, j’aime’’. Il a joué avec mes cheveux, m’embrassant le cou, léché le nez, les yeux et m’embrassant passionnément. Il a sorti sa bite de nouveau, il est descendu avec la langue à mon sexe pour me lécher le clito. Il caressait mes cuisses, mon entre jambe et suçait délicatement le clito, je dirigeai sa tête pour avoir plus de plaisir. Il tirait sur mes seins et caressait mes fesses. Je l’ai fait remonter et je l’ai installé sur le dos afin de m’empaler dessus. J’ai fait glisser son sexe sur mon sexe avant de me le mettre profond.je me suis penchée vers lui pour l’embrasser et qu’il me défonce plus rapidement. Je me remis droit sur lui car j’aime qu’un homme me caresse les gros seins et me tire sur les tétons, il m’a caressé la taille et les fesses. Je m’activais plus vite sur lui, nos mains se croisèrent, je lui suçais les doigts, une main me caressait la poitrine en insistant sur le téton dur. Puis il m’a retourné, et m’a défoncé encore plus vite, le gros calibre me déchirait le sexe. Mon cul voulait sa dose, je lui murmurais :’’mon cul a envie de toi, chéri’’, aussitôt dit, aussitôt exécuté. La grosse bite m’ouvrait littéralement le cul, j’avais un peu mal, je me sentais bien, il ma caressait le clito en même temps. Une fois devant, une fois derrière, je sais que cela peut porter préjudice à mon vagin, mais là c’était hard et bon. Heureusement pour moi que j’ai eu la bonne idée de me faire poser un stérilet, sinon avec un tel mec, je serai enceinte de suite. Je ne sais pas par quel trou mais j’ai eu une jouissance à faire trembler les murs, j’ai mis un coussin sur ma bouche, tellement j’ai gueulé de plaisir. Il a éjaculé quelque part en moi et il s’est allongé et moi de même fatiguée. Il m’a repris dans ses bras juste pour m’embrasser les cheveux, m’embrasser et caresser mon corps, je fis de même avec lui. J’ai aimé être Sa femme à ce moment-là. Pour la 1ère fois, je suis restée enlacée avec un homme en faisant des petits bisous, des douces caresses sur le corps. J’étais vraiment conquise, il embrassait par intermittence mes seins, moi, mes bras et caressait mes parties intimes. Je faisais la même chose, je laissais sa tête sur mes seins pendant qu’il me caressait le corps, me doigtant, mettant son doigt dans mon anus rempli de foutre. J’ai fait la même chose, je me suis mise vers son nombril et j’ai pu regarder et jouer avec sa bite. Donnant des petits coups de langues sur la bite, embrassant le contour de son sexe, lui me caressait les cheveux et le dos, sa bite repris de sa vigueur et aussi j’ai entamé une fellation car je n’étais pas rassasiée. Je me mise de travers afin qu’il me caresse le cul et le minou. Il me doigta avec tendresse et je suçais toujours plus vite cette grosse bite, quand il allait éjaculer (pour la plupart de mes amants je n’avale jamais), j’ai ouvert la bouche la plus grande possible pour avaler ce délicieux sperme. Il fut abondant et je me régalais encore plus. Il me reprit dans ses bras, je n’avais pas encore tout avalé, lorsqu’il voulut m’embrassé, on a échangé un peu de sperme dans nos bouches. Nous nous ‘’mangés’’ à la folie, j’ai mis la grosse bite au chaud dans mon sexe. Nous sommes restés là quelques minutes enlacés en nous embrassant, des câlins, et pour moi une joie d’avoir pris mon pied. Ensuite, il m’a offert son spécial cunni, qui m’a fait dresser les poils et des frissons sur tout le corps. Son exploration vaginale m’a excitée totalement, je ne compte pas le nombre de mini orgasmes que j’ai eus. J’ai sucé ses doigts à la folie, mon bassin est monté très haut, il m’a mis un doigt dans le cul, qui m’a excité encore plus, je me suçais mes gros seins, il me tenait par les fesses, j’étais au paradis. Sa langue agissait en moi comme le ferait une bite, je sentais mon bassin se contracter, je suis devenue fontaine et lui, suçait, avalait cette quantité de mouille, il sentait que je venais à l’orgasme absolu, car je poussais des petits cris à la manière des chinoises, j’avais envie de sa langue il me donna sa main que je suçais comme une morte faim, je caressais son bras et prit sa main pour qu’il écrase davantage mes seins. Enfin j’eus le sentiment de quelque chose venant de loin en moi qui s’accentuait et qui se rapprochait, mes poils se dressaient, mes tétons étaient insensibles, je perdais complètement la tête, j’allais comme m’évanouir et j’ai poussé le plus intense cri de jouissance que je n’ai jamais eu à ce jour. Je pense tel comme la naissance d’un enfant qui sort de soi pour la 1ère fois. Fred continuait à sucer et à sortir délicatement de moi en prenant son temps. J’avais eu Mon orgasme, mais il sorti tout doucement de mon intimité. Je l’ai pris dans mes bras, je l’ai embrassé et serré fort contre moi pour ce magnifique cadeau. Et nous sommes encore une fois rester des heures à nous caresser et prendre du temps pour l’amour ensemble.
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