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Une petite chèvre

Une petite chèvre



La petite chèvre blanche se retrouvait nue, attachée à son piquet. Le loup voulait la garder comme dessert. Elle voyait, à sa grosse queue gonflée, qu’il la désirait, cela la troublait et l’agaçait. Au point où elle en était, il n’avait qu’à la violer tout bonnement une fois pour toutes et on n’en parlerait plus ! Mais non, ce salopard la faisait lanterner, partagée entre crainte et désir. Elle sentait ses seins gonfler et poindre lorsque le regard du fauve se posait sur eux. Ses pointes se dressaient alors comme attirées par un aimant vers ses yeux bleus. Une sorte de honte étrange l’envahissait alors, elle se sentait rougir, elle sentait le sang affluer dans sa poitrine. Elle aurait voulu pouvoir se couvrir de ses mains au moins, mais le salopard avait attaché ses poignets de façon telle que ce n’était pas vraiment possible. Au contraire, lorsqu’elle essayait de soustraire ses jolis petits seins aux regards du fauve, ses doigts frôlaient alors les pointes et rendaient encore plus insupportable la situation.
Voila que le salaud s’approcha d’elle, s’accroupit devant elle, lui écartant les cuisses, il donne un coup de langue sur sa vulve ! Surprise, elle pousse un petit cri. Il lui prend les fesses pour l’attirer à lui et le voilà qui lape doucement son fruit intime. Elle commence presque à y prendre un lâche plaisir lorsqu’il se redresse, la regarde narquois et s’éloigne, avec sa queue dressée ! Des spasmes secouent son ventre. Elle ne sait à quoi se laisser aller : la haine pour ce salaud, ou le sourd désir qu’elle sent naître dans ses intimités les plus profondes. Elle sent seulement qu’elle ne peut que se laisser aller. Une sorte de résignation douce s’empare de son esprit. Elle tente même de se caresser, de se suffire à elle-même en jouant avec son clitoris, comme elle le fait si souvent, mais encore ses mains retenues par la corde au haut du piquet ne peuvent atteindre son bas ventre. Ce ventre dont elle ne peut plus oublier le besoin intense.
Il tourne autour d’elle, parfois une claque sur les fesses, parfois, un doigt inquisiteur enfoncé entre les lèvres de son sexe. Il suce un téton, et, encore, la regarde, visiblement excité et satisfait, mais il s’éloigne encore. Elle se sent exposée, malgré elle, elle se tourne toujours pour voir la queue tendue de ce mâle tortionnaire : assez courte, finalement, mais épaisse, on dirait, le gland est sorti, tout rouge et luisant et semble comme un troisième œil la suivant et la désirant. La hampe est dressée et parcourue de grosses veines bleues, et semble prête au combat. Paf ! Voilà qu’il lui claque encore les fesses. Elle les sent rebondir et vibrer sous la secousse. Il lui palpe et triture le derrière, malaxe les fesses et pousse un doigt sur le petit orifice de son anus. Il lui embrasse la nuque. Et, encore, il l’abandonne ainsi nue et éveillée au désir. Il sort même. Quand reviendra-t-il ? Elle reste là, torturée par les désirs étranges qui maintenant courent partout dans son joli corps exposé, incapable de se satisfaire, ignorante des désirs de son geôlier !
Le temps passe. Elle a terriblement envie de se masturber. Elle sent son miel imprégner sa chatte affamée. Le voilà qui revient. Du doigt, il sent l’humidité du sexe de la belle. Il palpe ses seins, pinçant un peu les tétons. Il frotte sa grosse queue chaude sur ses hanches, sur ses fesses, s’éloigne encore, le salaud ! Il la regarde, il la trouve belle, il la désire sauvagement, mais il veut savourer ces instants suspendus. Il veut la voir désemparée par le désir, affolée de se sentir à la merci du mâle. Et elle l’est, en effet, non pas tellement parce qu’elle est attachée, mais parce que sa chatte maintenant, la tient dans une dépendance totale à la queue de ce salaud.
Enfin il la libère. Elle s’approche. Elle avance contre lui ses seins tendus, elle les frotte contre sa poitrine. Il les prend et les masse, les lèche, les suce. Elle prend sa queue dans sa jolie petite main et la presse contre sa cuisse douce et accueillante. Elle le sent bander encore plus fort, prisonnier de sa main avide. Elle écarte les cuisses, se met sur la pointe des pieds et tente de faire entrer le gland dans sa fente. Une décharge électrique la parcourt lorsqu’elle sent le gland frotter son clito en feu. Il lui mord les seins.
Enfin il la retourne, la met à terre à quatre pattes, lui prend les hanches et enfonce son sexe énorme entre ses fesses. Il le baisse pour pénétrer sa vulve trempée. Il s’enfonce lentement, très lentement, et c’est elle qui, donnant de petits coups de reins, fait pénétrer la queue du mâle dans son ventre ! Elle n’y tient plus et se met à aller et venir elle-même sur la queue enfoncée en elle. Elle se dandine en tous sens pour sentir la bite emplir son vagin ruisselant. Lui recule un peu ! Elle le sent prêt à ressortir, à l’abandonner encore une fois ! Mais non, il revient en elle, cette fois très fort, presque brutalement. Il s’enfonce complètement jusqu’à la racine dans sa chatte trempée. Puis il ressort encore, et se renfonce, ressort, rentre et encore et encore ces mouvements lents et rapides, dedans, dehors, dedans et encore. Elle se sent devenir comme folle. Il lui claque les fesses et les hanches. Elle sent ses seins valser sous elle, au rythme des mouvements du mâle. Il lui tient la nuque et la fait aller et venir autour de sa queue enfoncée dans son ventre. Elle ne sait plus où elle est. Elle pousse de petits cris, elle chanterait presque, prise dans une sorte de délire nouveau, d’ivresse inattendue. Elle se sent tout à coup comme morte.

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