(j’ai hésité à découper ce texte en deux parties, car il est plus long que ceux que je poste d’habitude. J’ai pris mon temps pour l’écrire. Prenez le vôtre pour le lire. Très bonne lecture à vous) :::
C’était au mois de juillet, aux alentours de minuit. Un mardi soir.
J’habitais en centre-ville, dans une ruelle étroite, au deuxième étage d’une maison qui comprenait trois appartements. Il faisait une chaleur à crever et la fenêtre de mon salon était ouverte.
J’étais en train de regarder un DVD et, pendant quelques instants, j’ai cru que les gémissements venaient du film, mais je me trompais : ils venaient de la rue. C’était des gémissements de plaisir. Ceux d’une fille qui était en train de se faire sauter.
J’ai baissé le son de mon film et me suis approché de la fenêtre. La rue nocturne était déserte et j’ai tendu l’oreille. C’était ma voisine du dessus, ça ne faisait aucun doute. D’autant que j’avais entendu des pas dans l’escalier en début de soirée, puis des rires au-dessus de ma tête.
Ma voisine qui se faisait pénétrer.
Elle habitait ici depuis deux ou trois mois et je ne la connaissais pas plus que ça. On se saluait quand on se croisait dans l’escalier, c’était tout. Elle devait avoir dans les 25 ans, peut-être moins. Elle avait les cheveux châtain clair, bouclés, mi-longs. Assez grande et plutôt mince, il me semblait. J’aurais été incapable de dire de quelle couleur étaient ses yeux et si elle avait des gros seins ou des petits. Tout ce que je savais, c’était que sa fenêtre était également ouverte et qu’un mec était en train de se la taper à l’étage au-dessus.
La maison d’en face était inoccupée. Quatre étages de volets fermés. Les gémissements de ma voisine, assez espacés, se répercutaient contre la façade et me parvenaient clairement.
Je me suis mis à bander. Car le timbre de la voix de cette fille me plaisait. Je l’avais déjà noté en la saluant, mais là c’était insoutenable et je me suis mis à l’imaginer à poil, ce que je n’avais jamais fait auparavant.
Alors je me suis un peu éloigné de la fenêtre et j’ai sorti ma queue. Je me suis branlé en écoutant cette fille qui avait au moins dix ans de moins que moi et qui devait tout de même bien se douter qu’on l’entendait depuis la rue.
Le faisait-elle exprès ?
Je me suis laissé dire que oui.
Je me suis dit que c’était une salope.
A un moment donné, j’ai senti qu’elle allait jouir. Elle poussait des « Oui, oui, oui… oh putain, vas-y, oui… », et je me suis branlé plus rapidement. Je la voyais d’ici se toucher les seins ou se branler le clito tout se faisant bourrer la chatte, et alors j’ai éjaculé. Je n’ai pas pu me retenir. Trois giclées rapprochées qui ont échoué sur le plancher de mon salon.
Ensuite, épuisé, vidé, j’ai fermé ma fenêtre et j’ai remonté le son de mon film. Je me suis endormi devant et, le lendemain au réveil, il n’y avait pas de bruit à l’étage au-dessus. Je me suis de nouveau branlé en me remémorant la scène de la nuit.
Ce jour-là, j’ai guetté les bruits de pas dans l’escalier, en me disant que si jamais j’en entendais, je sortirais histoire de croiser ma voisine et d’essayer de la regarder un peu plus attentivement. Histoire de me faire une meilleure idée de son physique, du volume de ses nichons et de la forme de son cul. Mais je n’entendis rien, hormis des petits bruits par moment au-dessus de ma tête. Elle était chez elle, apparemment seule.
Et je me suis branlé encore, en milieu de journée, en imaginant que je montais la voir pour lui dire :
« Je vous ai entendu baiser la nuit dernière. Est-ce que ça vous dirait de recommencer ? »
Elle réfléchirait pendant quelques instants, puis elle me répondrait :
« D’accord, je veux bien. Entrez. »
Puis elle se mettrait à poil en me tournant le dos.
J’ai de nouveau éjaculé.
En début de soirée, l’idée m’est venue d’un seul coup : il devait bien y avoir moyen de pénétrer dans la maison d’en face, inhabitée, par une cave ou une porte défectueuse. Moyen de monter les étages et de trouver une fenêtre qui donnerait sur celle de ma voisine.
Je suis sorti et j’ai tenté d’ouvrir discrètement la porte qui faisait face à la maison où je vivais. Mais elle était fermée comme il faut. Aucun des volets du rez-de-chaussée ne voulut s’ouvrir non plus, alors je fis le tour du pâté de maisons. Et c’est ici que j’ai trouvé une faille : un soupirail démuni de grille, suffisamment large pour qu’un adulte s’y glisse et puisse accéder à la cave.
Je suis rentré chez moi et j’ai attendu qu’il fasse bien nuit.
Vers 23h, après m’être assuré depuis la rue qu’il y avait de la lumière chez ma voisine et que sa fenêtre était ouverte comme la veille, je me suis dirigé vers mon soupirail. J’avais emmené une lampe de poche et mis des vieilles fringues qui ne craignaient rien.
J’avais vu juste : je me suis introduit sans difficulté par le passage rectangulaire situé au niveau du sol, puis j’ai trouvé un meuble où poser mes pieds, allumer ma lampe et sauter au sol. Je n’ai pas tardé à découvrir l’escalier qui menait au rez-de-chaussée, ni celui qui grimpait aux étages.
Le lieu était silencieux et toutes les pièces que je vis en montant étaient vides. Je n’ai même pas croisé un chat errant ou une souris.
Et ce que je vis par l’interstice des volets du troisième étage, c’est-à-dire pile au niveau de l’appartement de ma voisine, me fit bander instantanément : elle faisait les cent pas dans une pièce en discutant au téléphone. Elle portait un débardeur couleur de miel, à fines bretelles, mais pas de culotte. J’ai ainsi vu sa chatte, puis son cul, au fil des va-et-vient qu’elle faisait.
J’avais éteint ma lampe avant d’entrer dans cette pièce, puis ouvert le plus discrètement possible la fenêtre qui avait résisté un peu. J’ai sorti ma queue, le front collé au bois d’un volet, pour bien mater la chatte et le cul de ma voisine, et je me suis branlé.
Son cul était très ferme et sa chatte épilée, mais pas complètement lisse. Ce qui restait de toison dessinait une ligne étroite qui naissait de ses lèvres.
Je chuchotais :
« Salope, tu t’es bien faite baiser hier soir, hein ? Tu aimes les bites, hein, salope ? Tourne-toi, c’est ça. Montre-moi ton cul. J’y fourrerais bien ma langue, tu sais. Je te ferais bien gémir, salope. »
Puis elle a changé de pièce pendant un moment.
Alors j’ai fait une pause. J’ai rangé ma queue et j’ai fumé une cigarette tout en continuant de guetter par les stries des volets.
Mais je ne l’ai plus revue ce soir-là. Elle a éteint la lumière et elle a dû se coucher. Plus tôt que la veille qui avait dû l’épuiser.
Dans la pénombre de la pièce où je me trouvais, au plafond teinté de orange par les lampadaires urbains, je me suis néanmoins branlé une fois de plus, en me remémorant la chatte de ma voisine.
Pour finir, j’ai enlevé mon t-shirt, baissé mon pantalon et mon caleçon, puis je me suis disposé sur le sol comme pour faire des pompes, sauf que je n’étais en appui que sur un bras. L’autre branlait ma bite. Mon corps était ainsi en tension, et quand le sperme monta, je ne pus m’empêcher d’échapper un cri très court. Un « Aaaaaaah… », puis des giclées violentes qui atterrirent sur le vieux plancher poussiéreux.
Le lendemain soir, un jeudi, j’y suis revenu.
Ma voisine était là et sa fenêtre était ouverte, mais elle regardait un film et je ne vis que le sommet de sa tête et ses cheveux. Je ne voyais pas l’écran d’où je me trouvais, mais ce n’était pas un film porno.
J’eus beau patienter, je ne vis rien d’autre cette fois-là.
Je suis rentré chez moi sans m’être branlé dans la maison inoccupée.
J’ai pris une douche et me suis couché.
Le vendredi, ma voisine s’absenta dès le matin. Et je n’eus pas l’occasion de la croiser dans l’escalier. La nuit venue, j’eus beau patienter, elle n’était toujours pas de retour à une heure du matin.
Je me suis allé me coucher. Déçu.
Le samedi, aux alentours de 20 heures, j’étais accoudé à ma fenêtre quand je vis un homme s’arrêter devant la porte de la maison, puis sonner à l’interphone. Plus âgé que moi. J’aurais dit une bonne quarantaine.
Une voix indistincte lui répondit et il dit :
« Sarah, c’est Pierre. »
Elle lui ouvrit et il entra.
Non seulement j’avais vu son cul et sa chatte, mais je connaissais à présent son prénom.
L’homme monta les marches, passa devant ma porte, puis continua de grimper. C’était prometteur. Restait à espérer qu’ils ne baisent pas avant la tombée de la nuit, car il y avait du passage le samedi soir dans les rues du quartier, et je ne pourrais pas m’introduire par le soupirail.
Alors j’attendis patiemment, tout en tendant l’oreille.
L’envie me brûlait de me branler à l’idée de pouvoir mater sans tarder un couple en train de baiser, mais je parvins à me retenir.
Je quittai l’appartement à 22h15.
Et je fis le tour du quartier.
Tout était calme. Je dus seulement attendre qu’un couple passe pour me glisser par mon ouverture habituelle.
Mais il y eut un imprévu ce soir-là.
Par les volets, je pus voir l’homme et ma voisine, qui tenaient chacun un verre dans leurs mains et qui semblaient discuter. Ils étaient habillés et la conversation semblait plaisante, car j’entendis la fille rire à deux reprises.
Je ne bandais pas vraiment.
Et je venais d’allumer une cigarette quand soudain j’entendis du bruit dans mon dos, quelque part dans la maison inoccupée. Des bruits de pas, assez lents. La première idée qui me vint à l’esprit me fit frissonner : quelqu’un m’avait vu entrer et avait prévenu la police.
Mais je me trompais.
Je ne bougeais plus. Je m’étais éloigné de la fenêtre pour me blottir dans un angle et j’avais les yeux rivés à la porte de la pièce dans laquelle je me trouvais. Les pas montèrent encore, puis ils s’arrêtèrent à l’étage où j’étais.
Deux personnes.
Un homme et une femme qui se chuchotèrent quelque chose.
Puis ils entrèrent dans la pièce, mais ne me virent pas tout de suite.
L’homme s’approcha en silence des volets devant lesquels je me tenais deux minutes, y colla son front et se tourna vers la femme qui était en train d’ôter ses chaussures à talons, trop bruyantes.
« Elle est chez elle, dit-il. »
La femme ne répondit pas. Elle laissa ses chaussures près de la porte, puis traversa la pièce en direction de l’homme. Mais ses yeux avaient dû s’habituer à la pénombre, car elle me vit et sursauta en poussant un cri.
« Il y a quelqu’un ! lança-t-elle. »
L’homme me localisa à son tour et dit :
« Qu’est-ce que vous faites ici ? »
J’ai remué la tête et bredouillé :
« Rien, je visitais. J’étais sur le point de m’en aller. »
« Vous êtes qui ? »
« Personne, dis-je. J’habite dans le quartier et cette maison m’intriguait. Je vais vous laisser tranquille. Désolé. »
L’homme me fixa du regard pendant un petit moment. Je voyais ses yeux dans le halo des lampadaires qui pénétrait dans la pièce. Puis il se tourna vers les volets en disant :
« La vue est agréable depuis cette fenêtre. »
Je ne répondis pas.
La femme n’avait pas bougé d’où elle était.
Il me sembla que l’homme souriait quand il me dit :
« Je crois savoir qui vous êtes. Vous étiez à votre fenêtre mardi soir, juste en-dessous de chez elle, je me trompe ? »
Je me suis décidé à répondre :
« Vous la connaissez ? »
« Absolument pas, mais ma femme et moi on aime bien venir ici pour la mater. C’est la première fois que vous venez ? »
J’ai remué la tête, puis j’ai dit :
« Non. »
L’homme a fait :
« Oh… Et on ne s’est jamais croisés ? Quels soirs venez-vous ? »
Je m’étais remis à respirer à peu près normalement. J’ai sorti mon paquet de cigarettes et je l’ai ouvert en disant :
« Vous fumez ? »
« Non, merci, a répondu l’homme. »
Je me suis tourné vers sa femme qui se tenait à deux mètres de moi, et elle a pincé une cigarette en disant :
« Merci, je veux bien. »
Je lui ai tendu une flamme et j’ai allumé la mienne.
« Je viens tous les soirs depuis mercredi, dis-je à l’homme. »
« Depuis le lendemain du soir où cette salope s’est faite baiser comme une petite chienne… dit-il. N’est-ce pas chérie ? ajouta-t-il en se tournant vers sa femme. »
« Oui, dit-elle. »
« Je m’appelle Paul. Ma femme, c’est Hélène. »
« Antoine, dis-je. »
« Enchanté Antoine. Vous nous avez fait peur. »
« Vous aussi. »
« Mais tout va bien à présent, dit l’homme en s’approchant des volets. Rien ne bouge de ce côté-là, on dirait. Il va falloir patienter un peu. »
Je tirais sur ma cigarette.
La femme aussi.
De temps en temps, on entendait des pas dans la rue, trois étages en dessous. Parfois des voix et des rires. Et le murmure incessant de la ville, en sourdine. Une sirène de police à un moment donné, au loin.
J’écrasai mon mégot sous ma semelle, contrairement à la femme qui se contenta de le jeter, puisqu’elle était pieds nus.
Puis l’homme me dit :
« Que pensez-vous de ma femme ? »
Je me suis tourné vers lui :
« Je vous demande pardon ? »
Il a dit :
« Elle vous plait ? »
Je me suis tourné vers la femme. Elle me regardait. Je lui ai donné 45 ans, mais l’éclairage urbain combiné à la pénombre de la pièce faussait les traits des visages. Au moins 45 cependant.
Elle avait les cheveux bruns, coupés au carré, et portait une jupe sombre, assez courte. Une chemise qui pouvait être gris clair, ou bien kaki. Elle était presque aussi grande que moi et visiblement bien foutue.
« Elle est charmante, dis-je. »
« Je suis d’accord, dit l’homme. Elle est charmante. Vous aimeriez la toucher ? »
« La toucher ? »
« Oui, la toucher. La tripoter. Elle aime ça, et moi aussi. »
J’ai répondu :
« Je ne voudrais pas qu’il y ait de problème. »
« Il n’y en aura pas. Ne vous inquiétez pas. Si vous le souhaitez, je peux même changer de pièce. Il y a une autre fenêtre qui donne sur l’appartement de la petite chienne. Ou alors, vous y allez tous les deux ? Vous y serez plus à l’aise, il y a un vieux matelas qui est à peu près net. Ça n’a aucune importance pour moi, je vous assure, je peux rester ici pour mater la petite salope. C’est vous qui décidez. »
Des secondes se sont écoulées.
J’ai allumé une autre cigarette en voyant l’homme qui scrutait par les volets. Qui vérifiait s’il y avait quelque chose à voir ou pas, à dix ou douze mètres de là.
Un couple de jeune est passé dans la rue en ricanant.
Une autre sirène de police a traversé la ville en hurlant.
La femme me regardait toujours.
J’ai fini par dire :
« Je préfère aller dans la pièce d’à côté. »
« Très bien, a répondu l’homme. Je vais rester ici. On dirait que tout va se dérouler dans le salon de la petite chienne, ce soir. »
Puis j’ai vu la femme me tourner le dos pour sortir de la pièce à petits pas et me précéder dans celle attenante.
Il y avait un matelas, en effet. Je n’avais jamais mis les pieds dans cette pièce auparavant. Un matelas de 140cm, à première vue, pourvu de rayures très contrastées. La femme l’a contourné, s’est approchée de la fenêtre, a jeté un œil par les volets, puis s’est tournée vers moi.
Elle a dit :
« Ils n’ont pas l’air décidé à passer à l’action ce soir. »
J’ai dit bêtement :
« Ah bon ? »
Puis elle est venue vers moi.
Elle s’est arrêtée à moins d’un mètre et m’a dit :
« Parlez à voix basse. J’aime bien que mon mari n’entende pas ce que je dis aux hommes qui me touchent. »
« D’accord, ai-je répondu. »
Puis on est resté là, à se regarder, sans vraiment se voir. Sa silhouette se découpait à contre-jour. Et alors je me suis rendu compte qu’en l’absence de lumière suffisante, elle n’avait plus vraiment d’âge déterminé. Je pouvais tout aussi bien me dire qu’elle avait 25 ans que 55.
Au choix.
Et tandis que j’écrasais mon mégot sur le plancher, elle a dit :
« Je n’ai pas de culotte. »
Dans ces moments-là, il ne faut pas se poser de question. Il ne faut pas regretter de ne pas avoir bu deux verres de whisky auparavant, histoire d’être un peu plus détendu. Il faut faire le vide dans sa tête et ne penser à rien d’autre. Rien ni personne. Il faut profiter de l’instant, car il y a de fortes chances pour qu’il ne se reproduise pas souvent dans votre vie.
J’ai passé ma main sous sa jupe, doucement.
Puis j’ai trouvé sa moule trempée.
Je l’ai branlée, délicatement, tandis qu’elle faisait sauter les boutons de sa chemisette en soie qui était gris cendre. Elle avait de gros seins qui tombaient jusqu’au milieu de son ventre. Pas de soutif. Je les ai soupesés d’une main, pendant que l’autre continuait de la branler.
Elle avait fermé les yeux et elle gémissait doucement.
Elle m’a dit :
« Qu’est-ce qu’elle attend, la petite chienne d’en face, pour se faire baiser comme l’autre soir ? »
Un peu plus tard, j’ai fait glisser ma bite dans la chatte de cette femme. Nous avions enlevé tous nos vêtements. Avant de se coucher sur le dos, elle m’avait sucé la queue pendant un petit moment, puis il avait fallu que je la baise, tandis que son mari se trouvait dans la pièce à côté.
Elle avait des tétons très tendres aux auréoles très larges, et ma bite ne s’épuisait pas de lui bourrer la chatte. Nos bouches ne sont pas entrées en contact une seule fois. Elle voulait juste que je la pénètre, sans capote. Elle voulait juste se faire sauter, à poil, non loin de son mari.
Ça me convenait.
J’y suis allé doucement, lentement. Ma bite était dure comme de la pierre et sa chatte trempée. Je serais incapable de dire pendant combien de temps on a baisé. Tout ce que je sais, c’est qu’à un moment donné, j’ai déchargé dans sa chatte, tout au fond. De grosses giclées brûlantes qui l’ont faite gémir et qui se sont mises à couler de ses lèvres comme de la salive.
Quand nous avons regagné la pièce voisine, son mari était tout nu. Le front collé aux volets clos et les yeux vrillés à la fenêtre de ma voisine du dessus, il se branlait.
Il a tardé à se rendre compte que sa femme et moi nous l’avions rejoint. Nous étions toujours à poil. Le cul d’Hélène me plaisait bien. Il était encore très ferme pour son âge, et puis j’avais giclé dedans.
Elle s’est approchée de son mari et s’est mise à le sucer, délicatement, pendant qu’il regardait la petite chienne qui semblait s’être décidée à baiser dans la maison de l’autre côté de la rue, car il a dit :
« La salope… Non mais regarde-moi cette salope. »
Le lendemain matin, j’ai croisé ma voisine dans l’escalier. Je n’avais pas beaucoup dormi. On s’est salué et je lui ai dit :
« Merci. »
Elle m’a répondu :
« Merci pour quoi ? »
Je me suis raclé la gorge et je lui ai dit :
« Pour rien. »
Ensuite, je suis rentré chez moi pour me branler.
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