-Tu restes encore longtemps dans la salle de bains? Le repas sera prêt dans cinq minutes.
– Oui, oui, j’arrive, dis-je en me secouant la bite de plus belle.
La base des couilles appuyée sur le bord du lavabo, d’une main je me branle et de l’autre, je me filme avec une petite caméra. En équilibre sur l’émail, une jolie jeune femme brune me montre sa chatte et son cul sur l’écran de mon ordinateur.
Son nom? SophieExhib 1000.
Cette beauté insolente et rieuse aux longs cheveux noirs ne se contente pas de se faire mettre régulièrement par le ou les petits veinards qui coulissent leur queue dans sa belle chatte suceuse et élastique. Il ne lui suffit pas de se faire fourrer à quatre pattes, fière de sa poitrine pleine et ronde qui balotte à chaque coup de ces bites qui jouissent d’autant plus vite que leur possesseur contemple les fesses de la belle, putain quel cul! la belle dont la muqueuse vaginale est en train de traire leur foutre qui monte inexorablement, faisant bouillir le sperme depuis les tréfonds…
,sperme impatient de tapisser la matrice de cette splendide salope.
non, elle est « exhibe », elle aime savoir que ce plaisir de faire gicler son foutre en elle ou sur elle n’est pas réservé à l’intimité de sa chambre à coucher. Elle veut que des centaines de queues, que dis-je, qu’un champ de queues se dresse et gicle pour elle.
elle le dit elle-même, « je veux qu’on me remplisse de foutre ». Il ne suffit pas de le dire, elle veut des preuves filmées: les bites déversent leur sperme pour elle. Des glands frustrés de ne pouvoir piner Sophie, mais qui crachent leur jus en hommage à ses nichons de rêve.
en quelques messages échangés, Sophie m’a demandé de me lui dédier quelques giclées. Et ça m’excite de me branler pour elle. Malgré le côté virtuel de la chose, elle me voit vraiment me vider les couilles sur elle.
Je lui ai promis que je lui donnerais bientôt mon sperme, et j’ai décidé de le faire avant midi.
Debout, cabré dans la salle de bains d’Evelyne, ma logeuse de 76 ans dont je ne baise la chatte avide et très serrée que de temps en temps, je m’enfonce mentalement entre les fesses de Sophie, qui debout, la tête en bas, me montre sa fente et son cul sur la photo.
Dans mon imagination, je viens de passer un moment à genoux, les mains sur les fesses toutes douces de Sophie, et j’ai exploré toute la raie de son cul en la balayant de coups de langues variés.
J’ai léché doucement, langue tendue, de haut en bas, de bas en haut. Je me suis arrêté sur ses grandes lèvres pour les prendre dans ma bouche, et j’ai fait un bruit obscène en aspirant, en tétant ces replis de chair, dans l’espoir de m’emplir de toute sa liqueur vaginale, et même d’en faire couler encore plus.
Je veux remonter jusqu’à son anus, et le lécher délicatement. Je ne reste pas délicat très longtemps, car je suis trop excité de bouffer le cul de Sophie. Ma langue n’arrive plus à s’arrêter, je lui suce le cul avec rage, dans l’espoir de la faire jouir, de l’étonner. Je veux lui faire ça de façon cochonne, outrancière.
Ma langue se tend comme une petite pine. Sophie, tu sens comme je lance ma langue dans ton cul? Comme il est souple, ton petit trou, à force de se faire bouffer comme ça. Attends, je vais te mettre le gland sur le bord, tu verras, il s’enfoncera tout seul.
Et je commence à enculer Sophie.
Pour m’exciter, je dis à haute voix:
-Sophie, je t’encule. Je t’encule.
En relevant la tête, je voix Evelyne, médusée, dans le miroir de la salle de bain.
Comment? Je n’avais pas fermé la porte?
Elle est étonnée, sans doute un peu choquée…mais comme nous sommes intimes, et que nous ne nous devons rien, la curiosité fait place bientôt à l’excitation.
Je lui explique rapidement la situation…
-Oui, c’est normal que tu aies envie de cela…dit la vieille dame de sa voix douce. tu sais, moi je me touche souvent, j’aime aussi me faire plaisir. On le fait si rarement tous les deux…
A la voir, on ne dirait jamais que cette femme austère et douce se masturbe régulièrement, que ses main fines qui font bien leur âge ne font pas que du tricot ou des gâteaux, mais s’égarent sur sa fente aux poils tout fins, et donne des orgasmes électriques à sa vieille fente qui mouille.
-Continue, vas-y, je veux te voir…
Elle m’étonnera toujours quand je la voix se caresser…
Elle enlève son tablier de cuisine, passe sa main sous sa jupe. Je ne vois rien qu’un mouvement de bras, mais devine à l’expression de ses yeux à demi fermés que ses doigts commencent à clapoter dans la mouille.
-Vas-y, continue, je veux te voir. Parle, comme tu faisais. ça m’excite.
En quelques coups de poignets, ma queue redevient toute raide.
-Sophie, tu m’excites. Je vais jouir pour toi. ça ne te fait rien si Evelyne nous regarde? Tu voulais du sperme, je sens qu’il monte.
Putain, la vielle dame qui se branle, et les formes généreuses de Sophie qui m’invitent à me répandre. Je m’exhibe en train de juter sur une exhibitionniste.
Oh! Sophie, je coule dans ton cul. Des fusées de foutre! Putain , c’est bon…. et la vieille dame qui se branle frénétiquement, elle en ferme les yeux tellement elle jouit de me voir jouir.
Ah! j’ai bien joui, Sophie, tu voulais du sperme, en voilà!
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