e suis une veuve de 50 ans avec un fils de 18 ans.
Depuis 3 semaines, il me tarabustait pour m’accompagner chez le médecin chez lequel j’avais pris rendez-vous pour une visite de routine (n’y étant pas allée depuis plusieurs années).
Ne sachant pas jusqu’où le médecin pousserait ses investigations, mais supposant qu’il m’examinerait les seins, j’avais évidemment refusé qu’il m’accompagne.
Depuis mon refus, mon fils était déprimé, disant fréquemment que je ne l’aimais pas. J’essayais bien de le convaincre du contraire, mais la situation ne s’arrangeait pas.
Voulant arranger les choses en lui faisant plaisir, je lui dis donc qu’il pourrait m’accompagner chez le médecin et assister à la visite.
Je m’étais dit que le médecin me ferait peut-être juste mettre en sous-vêtements et qu’au pire si je devais retirer mon soutient-gorge, même si je trouvait ça un peu gênant, ce n’était pas bien grave que mon fils me voit dans cette tenue.
Nous nous sommes donc retrouvé tous les deux dans la salle d’attente et, comme convenu, lorsque le médecin me fit entrer dans son cabinet mon fils ne me suivit pas. Je l’avait prévenu que je rentrerait seule pour expliquer la situation au médecin et le convaincre d’accepter.
Le médecin était une femme d’environ mon age, assez peu sympathique. Dès qu’elle m’eut fait entrer, je lui expliquait donc que mon fils souhaitait assister à la visite, probablement parce que depuis la mort de son père il était inquiet de tout ce qui touchait ma santé.
Elle me dit, d’un air revêche, qu’elle trouvait ma demande un peu bizarre, et me demanda si je ne trouvais pas ça gênant. Je lui répondis, sur le même ton, que c’était mon fils et que je n’avait pas de secret pour lui. Ce n’était pas totalement vrai, mais ce fut une réaction d’agacement.
Je vis que ma façon de lui répondre ne lui plut pas, mais contrairement à ce que je pensais, elle me dit que je pouvais le faire entrer, mais qu’il ne faudrait pas que je change d’avis après…
Je trouvai cette remarque étrange, mais je fis entrer mon fils.
Elle nous fit assoir face à son bureau et me demanda la raison de ma venue.
Je lui expliquai que ne n’avais pas de problème particulier, mais que simplement je n’avais pas pas vu de médecin depuis plusieurs années et qu’il s’agisait juste d’une visite de routine.
Elle me demanda si je n’avais même pas consulté de gynécologue pendant cette période : je le lui confirmai.
Elle me dit alors que nous allions passer à la visite et me demanda pour cela de me déshabiller.
Elle m’indiqua que je devais me mettre en sous-vêtements et précisa que je pouvais garder mon soutient-gorge pour l’instant.
Sa dernière remarque n’était pas une bonne surprise car je compris aussitôt que je devrai l’enlever plus tard…
Son cabinet n’était pas équipé d’une cabine pour se dévêtir : elle m’indiqua juste une chaise sur laquelle je pouvais poser mes vêtements.
Il fallait que j’effectue mon ’striptease’ devant elle et mon fils. Je commençai par retirer mes escarpins puis je défis les boutons de ma robe que j’enlevai et posai sur la chaise prévue à cet effet.
Je n’étais plus ’habillée’ que d’un soutient-gorge et d’un slip blancs et d’une paire de bas autofixants couleur chaire.
Voyant que le regard de mon fils se portait sur mon pubis, je me dis que j’aurais dû mettre un slip un peu moins ’sexy’.
Même s’il n’était pas totalement transparent, il pouvait certainement entrevoir ma toison châtain sombre et assez fournie.
Je commençais à trouver cette situation plus gênante que je ne l’aurais pensé et instinctivement mes mains s’étaient placées devant mon pubis.
L’auscultation habituelle fut vite expédiée : passage sur la balance, prise de la tension, écoute du coeur,… Tout allait bien. Le médecin me dit alors que nous allions passer à l’examen mamaire.
Comme je ne bougeais pas, elle me précisa d’un air amusé que je devais enlever mon soutien-gorge. Mon coeur se mit à battre plus fort et je m’éxécutai. Je dégraffai celui-ci, le posai sur la chaise et fit face au médecin.
Celle-ci me commanda de me retourner et je me retrouvai ainsi face à mon fils, les bras ballants et les seins à l’air… Elle avait manifestement décidé de rester derrière moi pour procéder à l’examen, ce qui ne fit que rajouter à ma gêne.
Elle commença à me palper les seins sous les yeux de mon fils. Il semblait faciné de me voir me faire explorer les seins par une femme, sous toutes les coutures, me palpant les globes et faisant rouler les bouts entre ses doigts.
Je suis sur que j’étais rouge de honte, mais en même temps une réaction que je n’expliquais pas faisait que la pointe de mes seins s’était mise à durcir et je sentais que ma vulve commençait à s’humidifier.
Le médecin s’aperçut certainement de mon émoi et me fit remarquer que j’étais très sensible des seins, surtout des mamelons, mais que rien ne semblait anormal.
Elle me commanda alors de m’allonger sur la table pour qu’elle procède à un examen abdominal.
Je m’installai donc sans même remettre mon soutien-gorge et retrouvai couchée sur la table, en culotte et bas, les seins à l’air, exposés au regard de mon fils.
Le médecin commença à me palper l’abdomen, puis ses mains continuèrent vers le ventre et le bas-ventre.
Afin de faciliter ses explorations près des aines, elle baissa légèrement mon slip sur mes hanches, ce qui en même temps dévoila le haut mon pubis presque jusqu’à ma fente. Je vis alors que mon fils regardait attentivement ces quelques poils qui s’offraient à ses yeux.
J’indiquai au médecin que je ressentais une légère douleur lorsqu’elle appuyait près de l’aine droite. Elle m’expliqua qu’il pouvait s’agir d’un problème à l’ovaire et qu’elle me ferait, si nécessaire, une ordonance pour aller passer une échographie dans un cabinet de radiologie.
Mais pour en décider, elle me dit qu’elle allait devoir m’examiner de façon plus approffondie et je la vis alors déployer les étriers métalliques au bout de la table.
Comprenant qu’elle avait décidé de me faire passer une visite intime, ma respiration se bloqua et les muscles de tout mon corps se raidirent.
Etrangement, alors que je n’éprouvais pas le moindre plaisir, je sentis un nouveau flot de sécrétions, plus important cette fois-ci, couler de mon vagin et souiller mon slip.
Mon fils qui lui aussi avait manifestement compris ce qui allait se passer, au lieu de sortir comme je l’espèrais naïvement, vint se placer au bout de la table pour pouvoir pleinement profiter du spectacle.
Alors qu’elle enfilait des gants de latex, le médecin me commanda de retirer ma culotte et me mettre en position les pieds dans les étriers.
J’étais complétement paniquée, les larmes aux yeux et ma tête bougeait d’un côté à l’autre pour dire non, sans qu’un mot ne sorte de ma bouche.
Devant mon manque de coopération, elle s’ennerva, me dit qu’elle n’avait pas que ça à faire et me fit remarquer que si cette situation me gênait, je ne pouvais m’en prendre qu’à moi !
Je ne sais si c’est son ton autoritaire qui anihila ma volonté, mais toujours est-il que je fis ce qu’elle m’ordonnait.
Telle une somnanbule, les yeux hagars et envahis par les larmes, je pliai les jambes, mes mains saisirent ma petite culotte et la firent descendre jusqu’à mes pieds et l’enlevèrent complètement.
Le médecin me pris celle-ci des mains pour me débarrasser et remarquant le fond gluant de sécrétions vaginales dit, d’un air narquois, que vu l’état de mon slip je ne devais pas trouver tout ça tellement désagréable.
Cette dernière remarque m’acheva ! Comment pouvait-elle prétendre que j’éprouvais du plaisir à me trouver désormais entièrement nue devant mon fils ? Je me sentais tellement rabaissée que je n’avais plus la moindre volonté pour m’opposer à ses ordres.
Ainsi, je me laissai faire lorsqu’elle me plaça les pieds dans les étriers et me mis en position lorsqu’elle me dit de rapprocher mes fesses du bord de la table. Elle écarta alors les étriers au maximun de ce que pouvait supporter ma souplesse.
Le téléphone sonna et elle se dirigea vers son bureau pour prendre l’appel.
Pendant le temps de la conversation, mon fils toujours placé au bout de la table m’observait dans la position humiliante que je devait endurer.
J’étais allongée sur cette table, totalement nue excepté mes bas, ne pouvant plus rien cacher de mon intimité à mon fils.
J’étais même plus que nue : mes cuisses largement écartées entrouvraient ma chatte et mes fesses, lui permettant certainement d’apercevoir aussi mon anus.
Le médecin revint et se plaça à côté de moi pour continuer l’examen, laissant ainsi à mon fils une vue dégagée.
Je sentis ses doigts examiner ma vulve, écarter les lèvres, puis me décapuchonner le clitoris. Cette dernière manipulation provoqua un nouvel écoulement gluant qui ne pouvait pas échapper à leurs yeux.
Elle m’intoduisit ensuite l’index et le majeur profondément dans le vagin et se mit à le fouiller dans les moindres recoins. De temps à autres, elles écartait ses deux doigts, les ressortait puis les réintroduisait.
A chaque manipulation, on percevait comme des bruits de sucion venant de ma chatte, tant elle était mouillée, et l’odeur de mon intimité se faisait nettement percevoir.
Ses doigts ressortirent et ne me pénétrèrent plus. Enfin c’était terminé et j’allais pouvoir me rhabiller.
Malheureusement, je sentis son doigt enduire mon anus de lubrifiant, tout en le massant. Soudain, son majeur pénétra brutalement mon anus et s’enfonça au maximum dans mon rectum et l’examina.
Au bout de quelques minutes, alors que son majeur était toujours dans mon anus, elle m’introduisit son pouce dans le vagin et ses deux doigts purent ainsi examiner la paroie séparant mes deux orifices.
J’avais atteint le maximum de l’humiliation : être ainsi devant mon fils, cuisses écartées avec un doigt dans le vagin et un autre dans l’anus.
Enfin, elle ressortit ses doigts et me donna un morceau de papier avec lequel je pu essuyer le lubrifiant qui restait entre mes fesses. Je pouvait enfin remettre mes vêtements.
Le médecin me dit que tout allait bien à part une petite irritation de la vulve. Pour celà, elle me prescrivit une pommade et des gellules vaginales et m’indiqua que je ne devrait pas porter de slip pendant quinze jours.
C’est donc les fesses à l’air sous ma robe que je quittai le cabinet médical…
Ajouter un commentaire