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Douceur obsucre du passager noir

Douceur obsucre du passager noir



Tu as mis en lumière la part sombre de ma sexualité, libéré mes tensions physique, mais aussi psychologique. Comme si en t’abandonnant dans mes bras (même si ce n’est pas totalement), tu me pompait toutes mes frustrations, refoulements et non-dit… Une espèce de « reset » ou « reboot » mentale.
J’ai envie de t’accueillir avec douceur… Nous commencerons par prendre une douche ensemble, ce sera le moment d’échanger quelques premières caresses, de s’attarder sur nos baisers brûlants, petit à petit, sans brusquerie… Chacun savonnant l’autre, nos langues découvrent nos bouches et nos mains s’attardent à proximité de certaines zones et parfois les effleurent…
Gourmand, mais mains enserrent ta taille, pétrissent tes seins et tes fesses… La tendresse du début devrait pas tarder à laisser sa place à une sauvagerie enivrante et respectueuse… Lorsque mes mains serrent ton cou, ton souffle devient chaud, je maintient ta tête, mes doigts creusant tes joues, ma langue se veut plus profonde et nos baisers sont tellement mouillés par la salive que nous ne l’avalons plus…
Néanmoins, la douceur domine
Je cale le pommeau de douche dans son réceptacle et pose ta pied sur le rebord de la baignoire… Je te regarde entièrement… Puis me fixe à tes yeux… Je passe ma main devant tes paupières pour les fermer et je descends en même temps le visage au niveau de tes grandes lèvres… Prenant mon temps, j’y passe les lèvres, ma langue exquise tes lignes, sans jamais toucher ton sexe et surtout pas ton clitoris… Tu gémit, te crispe, te cambre… Tu ouvre les yeux par moment mais les referme aussitôt de peur que je te vois les avoirs ouverts… Les caresses de ma langue et de mes doigts s’enflamment, maintenant je te croque de mes lèvres et mes dents glisse sur ta peau… Je griffe délicatement l’intérieur de ta cuisse gauche, en partant de l’intérieur de ton genoux vers ton sexe, plus je monte et approche de tes lèvres, plus je ralentis, te laissant jouir de l’idée de ce que je vais faire…
Ta tête est maintenant renversé, contre le mur, la bouche ouverte, tu es comme un instrument de musique, une harpe dont je module les gémissements par mes attouchements, raffermissant la prise de mes doigts par là, croquant les parties de ta peau délicate par ici et laissant glisser ma langue ici et là…
L’intérieur de ta cuisse est rouge, rouge d’envie, de douleur, marqué par le passage de mes ongles… Je te soulage en soufflant dessus mon souffle frais et embrasse les parties les plus rouges… Parfois, j’y ajoute la trace de mes dents… Tu gémit de soulagement après le feu de ce mauvais traitement.
Après plusieurs minutes, j’insère le bout de mon index en toi et te masse de l’intérieur… Mon autre main a saisi la peau de ton pubis et fermement, le soulève pour que ma langue joue de tes petites lèvres… Tu te cambre encore, la mélodie qui sort de ta bouche se veut lancinante, tu parle de ce que tu ressens, tes désirs, me demandant même d’arrêter tellement c’est bon… J’aime t’entendre comme ça… Le fait que tu partage ton ressentit me donne plus ardeur… Ma langue insiste sur ton pubis et passe sur ton clitoris. A ce moment, la corde de la harpe casse, un cris se fait entendre, tu serre ma tête ouvre les yeux et jouit.

Là, j’enlève ma tête, tu es rouge du front à la poitrine et le reste de ton corps est marqués d’une multitude de couleur. Je te demande « Tu as ouvert les yeux ? »… Gêné, ravi et surprise, tu me réponds en reprenant ton souffle d’une petite voix « oui »… « Tu connais le gage » je réponds… Ta poitrine monte et descend tant tu es essoufflé, je profite que tu reprenne ton souffle avant de répondre pour me redresser… Délicatement, je saisi ta tête, ouvre ta bouche et y enfonce ma langue, partageant avec toi les fluides de ce délicieux parfum… Je répète « tu connais ton gage »
Là tu réponds « oui » avec ta petite voix puis poursuit « oui, prend moi »
Je reste un gentil et te laisse une porte de sortie « tu es sûre »
De là, tu m’embrasse de tes lèvres et me réponds en me regardant dans les yeux « oui, je te déteste alors prend moi »
Le verrou est maintenant libéré, nous venons de supprimer une partie de notre modération (il y a plusieurs niveaux, il ne s’agit là que d’une partie) et tu devient mon jouet pour la soirée, ma poupée sombre pour le dîner.
J’use ta langue sur moi, j’abuse de ta bouche, tes fesses sont marquées par mes mains brûlantes… Ton visage est trempé, il porte les stigmates de ton avilissement à moi. Essoufflé, je t’ai étouffé de mon sexe. Tes seins sont meurtris par le déferlement de mon orgasme sur tes tétons mordillés… La nuit nous appartient…

Rendez-vous au 4ème tout de suite ou tu préfère qu’on se voit plus tard ailleurs

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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