Nous n’avions pas prévu des températures pareilles. Notre séjour sur la côte tournait certains jours au calvaire. Nous étions trop contents que notre location fut dotée d’une climatisation efficace. Cependant nous tâchions de ne pas en user inconsidérément. Notamment pour la santé des enfants. Ceux-ci squattaient la journée la piscine. Il avait été convenu de faire un tour sur la plage qu’au début du soir. Sieste et ombre étaient de rigueur les après-midi. J’y dévorais des livres tandis que les gamins et leur père s’adonnaient à leurs jeux vidéos. Il y avait recours aussi aux magasins.
Moi-même je goûtais ces grands espaces de la galerie marchande tout saturé de frais. Après que nous ayons effectué le principal des achats , loisir était à chacun d’aller écumer ses boutiques préférées. J’abandonnais mes mecs pour me perdre dans l’étage où sévissaient fringues et parfums. J’escomptais aussi croiser des regards d’hommes suscités par ma petite jupe et mon joli bronzage. Mon mari relatif pervers m’avait débauché en ce sens. Déplorant que je ne mette davantage en exergue mon cul et parfaites cuisses, il me convertit ainsi au port de la mini-jupe.
Au temps de mon mariage, j’étais relativement coincé. Du moins considérais-je le port de ce vêtement sulfureux que comme l’apanage des garces et des femmes de frêle vertu. Je résistais un temps. Je concédais au début de ne porter cela que dans l’intimité. Cela avait don d’exciter mon mari et de décupler ses forces et ses performances. Puis peu à peu je m’enhardis. Notamment aux vacances d’été et en compagnie de parfaits inconnus, j’arborais enfin et sans pudeur ce vêtement. D’autres gars que mon mari me témoignèrent de l’engouement.
Je pris goût et d’exciter et d’allumer autour de moi. Mon mari était friand des anecdotes que je lui rapportais. Il avait une totale confiance en ma fidélité. A cet égard et durant un temps je ne déçus pas sa confiance. Puis les années passèrent. Nous baisions toujours autant mais le couple s’usait. Je sus peu à peu les incartades de mon mari puis moi-même je pris un amant au bureau. Nous convînmes que ces tiers et coups d’un soir étaient nécessaires au ciment de notre couple. Notre calcul à ce jour se révéla juste car nous sommes toujours ensemble.
N’empêche j’avais pris l’habitude l’été d’être sautée par d’autres mâles que mon mari. Je les recrutais notamment vers la plage. Il me vint idée de faire de même dans un centre commercial. Somme toute j’y pouvais rencontrer la même qualité de dragueurs. En cet endroit et cette saison les hommes et les femmes se dévisageaient sans vergogne. Tout respirait le désir et la luxure. Je savais que mon bonhomme de son côté ne se privait pas de mater voire de brancher. Durant ces dernières années j’avais arrêté mon goût à l’homme mur et viril plutôt qu’au minet.
Je ne regardais pas tant au physique qu’à l’aptitude de me faire jouir et grimper au rideau. Avec l’âge on veut avoir quelque chose dans l’assiette. On est impitoyable au mauvais coup. Chez le vieux cochon on est rarement déçu. Il connaît au mieux l’intime de la mécanique féminine. On passe dextrement les vitesses. Le parcours est décoiffant. Qui plus est il sait relever dans mon genre la parfaite salope. Point de minauderies. Ma façon de rouler du cul et des hanches témoignant assez pour moi. Le baratin avec moi devait être direct et des plus sommaires.
Ce jour-là un monsieur, un vieux beau m’aborda. Ce furent ces biceps qui me frappèrent. Il avait en fait le look de M Propre. Celui de la publicité. Une sorte de Popeye. Le bougre allait sur ses soixante. Je sus qu’il avait été sergent dans la légion. Un genre de baroudeur comme dans les films. Il avait un ton posé et fit montre de l’humour et l’élégance requises. Il obtint que j’acceptasse qu’il m’offrit du parfum. Notre rencontre avait eu lieu dans ce genre de boutique. Il me proposa à prendre un verre. Je lui rétorquais que j’avais peu de temps. Que cependant j’aimerais le remercier.
Nous lûmes dans nos regards la même pensée. Se penchant à mon oreille il me dit : « J’aimerais que vous me raccompagniez à ma voiture dans le parking du bas. » Tout autre femme se fut offusquée. Moi au contraire je ris rajoutant : « M’assurez-vous de n’être pas de ces serial-killers ? » Nous éclatâmes de rire. Tandis que nous arpentions les premières allées du parking, il avait glissé sa main déjà sous ma jupe pelotant mes fesses rebondies. Il est vrai que celles-ci étaient peu couvertes par la mini-jupe. Tous les vicieux s’en délectaient. Je risquais souvent la main au cul.
Derrière un pilier nous nous embrassâmes. Quelques voitures passaient près de nous dont je n’avais cure. J’étais tout excitée. J’adorais ainsi dans la pénombre embrasser un parfait inconnu. J’escomptais bien qu’on me prit pour une de ces garces de Paris qui viennent ici se faire peloter. Ma main entre temps avait caressé la bosse qui enflait le pantalon. Il bandait dur. Dans la voiture tout se fit plus âpre. Je déballais la marchandise. Il avait le sexe magnifique que je rêvais. Je mis un point d’honneur à le sucer. Il m’enfilât rudement sur la banquette arrière.
Là aussi je goûtais les mines outrées des hommes et des femmes). « Y a pas idée de faire ici ses cochonneries. Y’a des gosses pardieu ! » Il y avait là-dedans un fumet de scandale. Il ne fallait pas trop s’attarder. Un guguse pourrait aller quérir le gendarme. Eric car ainsi se prénommait mon légionnaire, déplaça la voiture quelques encablures plus loin. Il voulait me prendre en mon endroit le plus étroit. Notoire cochon, il encula. Je ne fis guère de manière. J’adorais cela aussi. Il suffisait que d’écarter le fil du string et d’y enfoncer son pieu. Le sperme souilla mon trou.
Nous échangeâmes nos numéros. Tout cela méritait le match retour. Là-bas on s’affolait. Les gosses et le mari me réclamaient. Je n’en dus pas moins faire un tour aux toilettes pour me rafraîchir. Point besoin qu’on devinât ma débauche. J’alléguais être tombée sur une connaissance, une satanée pipelette. Je n’étais pas mécontente d’avoir fait la pute dans la pénombre. Je savourais encore les coups de boutoir qu’Eric là-bas m’avaient administré. J’étais sûre de le rappeler. En fait il me prévint. Il voulait me présenter à un ami. Là aussi je n’y vis guère à redire.
Depuis longtemps mon mec projetait avec les gosses de faire du voilier. Sachant mon mal de mer je convins d’aller faire seule les courses. Il faisait un temps parfait pour folâtrer sur la grande bleue. Ils affectèrent d’être chagrin de me laisser à ma corvée. Ils eurent été bien étonnés que je courus moi-même à un joyeux divertissement. Eric et son ami n’avaient pas moins loué pour moi une chambre d’hôtel. Du moins fut-ce le pote qui paya. Un fameux Armand, un type plein aux as. Un peu voyou. Eric ne targuant pas d’éloges sur la pute que j’étais. Ils escomptaient tous deux bien s’amuser.
Je vins comme l’autre fois en petit haut, mini-jupe et jolies mules aux pieds. J’avais assez forcé sur le maquillage. Je faisais pute. Le groom en bas me regarda de façon curieuse. Il ne me déplaisait pas qu’on me vit telle une prostituée courant à son client. Petits fours et champagne m’attendaient. Ils entreprirent de me faire boire. Mes dernières préventions tombèrent. Je les suçais tour à tour. Trois heures d’orgies où ils me prirent souvent ensemble. J’avais les orifices en feu à force d’avoir servi. Je ne concevais pas autrement des vacances réussies. Une fête du cul.
Par la suite je fus draguée par un type de la résidence flanqué d’une épouse revêche. Nous les avions convié à un apéro de pure forme. Le type me dragua discrètement. Je l’allumais à mon tour. Je croisais et écartais les cuisses comme il fallait. Heureusement sa femme à mes côtés ne perçut rien de mon manège. Le coquin un instant prit l’occasion de me rejoindre à la cuisine. Il m’enlaça et m’embrassa. Me pelotant le cul, il sollicita un rendez-vous. Pouvais-je dire non ? Je lui savais gré d’user de moi comme d’une salope.
Peu après tandis que j’allais seule à une plage, j’entendis un klaxon derrière. C’était lui dans son auto qui se proposait en taxi. Il eût idée d’aller à une autre plage plus loin. Je le branlais et suçais tandis qu’il conduisait. Il m’avoua en rigolant que sa femme me trouvait trop mauvais genre. Je lui répondis que cela me rassurait car je ne prétendais pas à autre chose. Trop enclin à me venger de cette idiote je résolus à ne rien refuser à son mari. Sur un morceau de serviette au pied de la voiture nous baisâmes tels deux chiens. Je n’avais cure qu’on nous vit.
Je sus que mon cochon m’avait repéré dès le premier jour. Tous les gars du coin goûtaient ma croupe, un sujet récurrent dans leurs conversations. Pour eux mon mari devait porter nécessairement des cornes. Il n’était pas mécontent d’avoir prévenu le projet des autres et de me sauter tout le premier. Assurément il irait s’en vanter. De toute façon j’escomptais ne pas rester assez longtemps pour être rattrapée par ma réputation sulfureuse. Trois autres eurent l’heur de me sauter. Mon mari pris d’un dernier scrupule me demanda si le séjour m’avait plu. Je répondis d’un : Oui chéri !
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