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Ceci n’est pas une pipe

Ceci n’est pas une pipe



Slrrp, slrrp, slrrp.
Ce n’est pas le bruit qui m’a tiré en premier du sommeil. D’abord l’impression que mon gland était immense et brûlant, plongé dans une décoction moite et magique, suspendu à la tige raide et dure de ma verge en érection.
J’ai les yeux clos, l’esprit en paix, concentré sur la chaleur et l’humidité qui irradient de mon gland pour gagner toute ma queue.
Slrrp, slrrp, slrrp.
Le bruit a quelque chose d’hypnotique, surtout qu’il fait écho aux sensations qui parcourent mon sexe. Un va et vient languide entre l’excitation presque électrique de mon gland et la plongée apaisante de ma verge dans un bain tiède.
Elle est en train de me sucer. Rien que de me le dire, ma queue durcit dans sa bouche. Elle alterne les coups de langue autour du frein ou de la couronne de mon gland (pour me titiller) avec la prise en bouche de ma queue (pour me faire venir). De temps en temps, elle plonge son nez dans mes boules, pour s’imprégner de l’odeur tout en me les massant délicatement avec sa bouche.
J’ouvre les yeux. Je vois ma queue entre ses lèvres, luisante de sa salive. Elle me rend mon regard, excitée de me sentir durcir et grossir encore.
Elle pose la main à la base de ma verge et commence à me branler doucement. « Tu bandais tellement dur quand je me suis réveillée, je me suis dit qu’il fallait absolument que je te suce ».
« J’adore ta bouche, continue s’il te plait. »
Elle recommence sa pipe. Me sachant complètement réveillé maintenant, elle y va vigoureusement, gobant autant de cm de ma queue qu’elle le peut entre ses lèvres tout en collant sa langue contre elle, sa main suivant le rythme de sa bouche. Elle branle la partie de ma bite qu’elle ne peut avaler.
J’adore cette sensation unique de me faire littéralement pomper. Je sens le sperme comme s’accumuler dans mes bourses. Je sens la lourdeur de mes couilles pleines qui tirent sur le cremaster en train de se contracter. Je sens ma verge qui se raidit et qui enfle encore. Je sens mon gland qui s’ouvre. J’imagine l’oeil de mon urètre dilaté dans sa bouche, s’ouvrant chaque fois plus à chacun de ses coups de langue.
« C’est si bon, suce moi encore »
C’est elle qui m’impose son rythme. Je n’ai plus qu’a me laisser porter, lutter un peu contre la montée du plaisir avant de finalement céder et me laisser emporter.
Slrrp, slrrp, slrrp.
Le bruit se fait plus frénétique. Elle sent bien que je vais céder bientôt. Tout en continuant à branler ma queue toute humide de sa salive et de mon présperme, elle me regarde, lascive: « je vais te faire gicler avec ma bouche ».
Ma bite est parcourue d’un tremblement à ces mots. Elle en profite pour la reprendre en bouche, en faisant disparaître leeeentement ma queue entre ses lèvres, descendant aussi loin que possible. Arrivée là, elle me lance une dernière oeillade.
« Putain, c’est trop bon, vas-y fais moi jouir ». Je le crie presque.
SLRRP, SLRRP
Elle suce vite et fort. Je sens le sperme monter de mes bourses vers mon gland. C’est comme une vague. Ma queue, mon bout se dilatent comme 10 fois, 100 fois. J’ai l’impression que tout mon corps raidit et se tend sous l’action de sa bouche. Elle est comme la lune et moi la marée.
« RAAAH!!! »
Je viens dans sa bouche. Je fonds dans sa bouche. Je pleure dans sa bouche.
C’est du temps arrêté, un orgasme qu’on ne voudrait pas voir cesser.
Et puis ça s’arrête. Elle me fait une mimique mi gênée mi amusée et file se rincer la bouche pendant que j’essaie de reprendre mon souffle et de sourire en même temps.
5 minutes plus tard, elle est amoureusement nichée dans mes bras, moi détendu.
« Ian ? »
« Oui ? »
« Tu as intérêt à être de nouveau gaillard dans les 20 minutes, parce que maintenant j’ai une envie folle de sentir ta bite à l’intérieur de ma chatte! »
Nous sourions. « Pour toi, je trouverai toujours un moyen ».

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