Mois d’aout 1999,enfin majeur et vacciné depuis peu,un sentiment de ne plus être un enfant,d’avoir des responsabilités.J’étais apprenti dans un atelier de construction de charpentes métalliques, je découvrais les joies de dépenser son propre argent durement gagné.La vie quoi…
La plupart du temps je passais mes week-end dans des rave party que nous organisions avec une poignée d’amis, passionnés de mix.A cet age la,l’arrogance prend souvent le pas sur la raison,on a rien vu de la vie , mais on fait comme si;on choisis ses petites amies en fonction de l’effet qu’elles produiront sur notre groupe d’amis, comme une petite compétition , qui onze ans plus tard me parait si superficielle.
Il n’était pas rare que lors du week end, grâce a mes relations pas toujours « bonnes »,j’écoule un stock de certaines substances qui alors me rapportaient un gain considérable, et faisait de moi celui qu’on cherchait a l’entrée de la soirée, si d’aventure on voulait qu’elle prenne une tournure psychédélique.
Fier comme un coq,peur de rien,populaire,dans cette fausse réalité qu’est le monde des rave party,au milieu de cette masse qui s’aimera ponctuellement,le temps d’une soirée,j’en imposais.Je serrais des mains a tout va,je dépensais aussi vite que rentrait le fruit de cette débauche,sans me priver.
Un vendredi, alors que je m’apprête a aller faire mon mix d’une heure sur scène, lors d’une rave dans une ancienne usine de carrelage désinfectée située au milieu d’une z.a.c toute proche de METZ, je rencontre Bertrand, un très bon ami.Il était accompagné de deux jeunes femmes qui cherchaient a se fournir un peu d’herbe,il me dit:
_ »hey ca gaz? Tu peux m’aider , il me faudrait un peu de beuh pour les miss,200 balles »
Je répond:
_ »pas de souci,j’en ai encore,c’est de la orange bud » Sans m’inquiéter d’une éventuelle surveillance du service de sécurité , qui était inexistant,je plonge la main dans mon caleçon,et en ressors un sachet de supermarché enroulé en une boule , dans lequel se trouvait de petites poches transparentes préparées a l’avance , j’en sors une bien remplie et leurs donne .Bertrand sors un billet de sa poche, bien replié, coince dans sa paume, et fait mine de vouloir me serrer la main en faisant un clin d’œil.Je récupère mon argent de cette façon , et m’apprête a prendre place derrière les platines, une des deux filles m’appel , elle a l’air bien plus âgée que sa copine , les cheveux châtains mi-longs, elle portait une robe a petites fleures aux couleurs vives mais pas flashy,un peu ample qui mettait en avant ses formes généreuses et se resserrait sur sa taille ,laissant deviner sont galbe de vraie femme;a ses pieds une paire de vieilles converses, vert pomme qui lui donnait une originalité certaine .Elle avait un petit sourire malicieux et me lança:
_ »si elle est pas bonne , on t’attend après ton mix! »
je lui souris , sur de moi et répond:
_ »pas de problème! » Tout en montant les quelques marches qui mènent a la scène, je suis séduit par belle,savoir qu’elle me regarde me pousse a donner le meilleur de moi,j’enchaine les disques, le publique a ce qu’il est venu chercher,c’est comme ça une heure durant pendant laquelle je me fais désireux de son regard.
Une fois ma tache accomplie , je range mes vinyles dans mon bac de plastique et redescend vers la foule ,ou m’attendent Bertrand et ses deux nouvelles amies qui me félicitent tous en même temps de manière brève mais sincère.Je voulais engager la conversation avec celle a qui j’ai secrètement dédié mon passage sur scène,je lui dis d’une voix forcée a cause de la puissance des haut parleurs :
_ » alors la beu elle est pas bonne? »tout en sachant déjà sa réponse.
_ » ah si! elle est terrible , je plaisantais «
_ »Je le savais,c’est quoi ton prénom ? »
_ »Moi c’est Caro, et ma copine c’est Catherine »
_ »Enchanté , moi c’est Damien »
_ »Dis moi, tu fais quoi après la soirée Damien?Car on fait un « after » chez un ami a Bertrand,tu pourrais peut être venir , il y’a des platines tu nous ferai un mix. »
Caro se tourne vers Catherine en lui jetant un regard semblant vouloir dire » a toi de jouer ma poule « , et Catherine agrippe spontanément Bertrand dans ses bras amoureusement lui dit:
_ »hein Bertrand , ça dérangera pas si Damien vient mixer? »
Bertrand:
_ »ben non, au contraire!plus on est de fou… »
Catherine n’attends pas qu’il finisse sa phrase,et le tire dans la foule:
_ »viens on va chercher a boire! »
Puis ils disparaissent me laissant « seul » avec celle qui suscite mon désir.Nous avons longuement discuté, a l’écart des enceintes, la tête dans les volutes de fumée bleutées que dégageait mon herbe au parfum si fruité.Je découvre qu’elles sont de passage dans la région et sont logées par le fameux ami de bertran , chez qui nous entameront la matinée.La soirée se termine, l’usine désinfectée se vide,Nous rejoignons Bertrand et Catherine qui semblent épuises.Il est environ 6 heures du matin quand nous prenons le chemin de chez notre hôte, dans une petite commune de campagne près du Luxembourg.J’étais installé a l’arrière de la voiture avec caro qui s’endormait sur mon épaule, je sentais qu’elle avait froid, et la réchauffais en passant ma main sur ses bras déjà recouverts par mon sweat-shirt taille xxl,j’étais simplement bien, je sentais que quelque chose se dégageait de cette femme , qui ne semblait rien avoir d’une gamine.Nous arrivons a destination,c’était un appartement trois pièces plutôt vaste au rez de chaussé d’un bâtiment ancien.Il y’avait trois jeunes hommes endormis devant la télé au salon , que je ne connaissais pas, notre arrivée les réveillèrent, l’un deux:
_ »Salut, vous devez être les potes a Miguel,Il est parti dormir chez une amie,anne sophie ou anne laure je crois…on vous attendais pour vous filer les clés »
Étonné, je ne dis rien, tant que caro reste accrochée a mon bras, peu importe du déroulement de la matinée, je suis ravi.Les jeunes hommes se lèvent , nous saluent et s’en vont , avec des têtes a avoir abusé de certaines drogues, un peu comme des zombis, le teint pâle, les yeux cernés.Nous voila tout les quatre presque en couple , Bertrand ne prend pas le temps de s’assoir et dit en s’étirant a Catherine:
_ »moi je vais me coucher , tu viens ? »
_ »ok j’arrive dans cinq minutes,vas te doucher en attendant » Puis il parti a la salle de bain.Catherine sorti de son sac une petite pochette faite avec le flyer de la soirée, et vida son contenu sur la table de verre après s’être assise sur le canapé.C’était de la cocaïne , elle prépare quelques petites lignes qu’elle nous propose de partager avec elle.Je n’étais pas contre , ce n’était pas la première fois que j’en consommais, Caro non-plus a voir son sourire.Nous nous installons sur le canapé marron en velours usé , qui nous aspire littéralement lorsque nous y posons les fesses.Catherine se tourne vers moi:
_ »ça va vous décoincer un peu! »
Caro rigole,elle att**** ma main et la coince au milieu de ses cuisses,découvertes. Dans ma tête j’étais au paradis , c’était clairement une invitation, plus de doutes.Catherine roule un billet de cinquante francs, pour en faire une paille et s’envoie illico une ligne de cette poudre dans chaque narine,se lève , renifle un bon coup en se tenant le nez , et part rejoindre son homme a la salle de bain , en vue d’une nuit amoureuse:
_ »J’vous lèche , pas de bêtises hein ! »
_ »t’inquiète pas va! » lui envoie Caro qui maintient ma main fermement entre ses jambes et en profite pour me voler un baiser quand je tourne la tête.Mon cœur palpite et je sens la chaleur du corps de la belle m’envahir,elle me dit:
_ »a toi ! »En me désignant d’un hochement de tête, les quelques lignes qui gisaient devant nous.Je m’exécute et renifle cette poudre a l’aide du billet et me repose contre le dossier du divan,a ce moment la je me suis senti decoller,ma main se resserre sur sa cuisse chaude et douce,pendant qu’elle se penche prendre sa part.Elle s’adosse a nouveaux, et c’est moi qui lui vole un baiser , nous sommes cote a cote , les yeux dans les yeux l’excitation est dans l’atmosphère , nous planons et communiquons par le regard.J’agrippe fermement sa cuisse , et je sens ses jambes s’ouvrir,et Caro mener ma main moite jusqu’à sa culotte en laissant partir sa nuque en arrière,dans une profonde expiration.J’embrasse son cou et découvre son intimité du bout de mes doigts,qui glissent sur le tissus trempé,je devinais sa pilosité épaisse.Elle me caresse la nuque si sensuellement que , j’en att**** une érection diabolique,j’exerce une pression de plus en plus conséquente sur son sexe qui n’en fini plus de mouiller.Je commence a trouver ce vieux canapé a la retraite pas très commode , nous serions beaucoup mieux dans un lit.Comme si elle lisait dans mes pensées Caro se lève et dit:
_ »viens on va au lit! »
Elle me prend par la main , et m’emmène dans une chambre qui en fait est la chambre du maitre des lieux , absent pour l’occasion, quelle aubaine!.Après une douche furtive dans la petite cabine trop petite pour deux, qui se trouvait dans le coin de la pièce dissimulée derrière une cloison en cubes de verre, j’attends ainsi la douce . Allongé sur le grand lit fraichement fait , je la regarde se laver derrière le mur opaque,deviner ses formes m’excite terriblement, elle enfile une simple culotte blanche allume quelques bougies et descend les stores qui laissent pénétrer le soleil de cette matinée d’été, puis me rejoint sur le lit coiffée d’une serviette pour sécher ses cheveux:
_ »il faut que je t’avoue quelque chose…qui va peut être te faire fuir… »
Très surpris et m’attendant au pire je lui répond:
_ »qu’est-ce que c’est ? »
_ »Je suis une vieille , j’ai bientôt trente ans. »
Je réfléchis un instant , puis fini par éclater de rire:
_ »C’est pas grave ça!! » Et la serre dans mes bras pour lui faire sentir que ca n’a pas d’importance.Elle me plait tellement, tout deux enlacés je caresse ses cuisses tout en lui glissant qu’elle est merveilleuse a l’oreille , je sens ses jolis seins ronds pressés contre mon torse brulant , j’ai envie d’elle passionnément , brutalement, je la serre contre moi de manière franche et pure,je veux ses lèvres, et elle me les offre , nos baiser sont intenses a des moments elle me mange littéralement,je passe ma main sur ses fesses jusqu’à sentir que ca chatte est trempée, et sa culotte bonne a laver .Elle la retire et la jette dans un coin de la chambre:
_ »tu vois ce que tu me fais faire ? cochon va … »
je lui sourie , m’allonge sur le dos, et l’agenouille par dessus moi au niveau de mon torse , de telle façon a pouvoir admirer ce qui était jusque là caché par son sous vêtement.Je bande comme un taureau devant sa poitrine et sa touffe très garnie de femme de trente ans, je luis dis qu’elle est belle, ses yeux brillent , quand elle descend et m’assois sur mon bas ventre le liquide brulant coule sur ma peau , ses poils châtains me caressent se mêlant au jus de son désir.Elle se dresse devant moi et att**** ma tête et la serre contre ses seins doux et tendres,je les embrasse.Je me régale de toucher son minou en insistant bien sur son clitoris , qui est assez important par rapport a certaines femmes , on aurait dit un tout petit pénis hyper-sensible,mes doigts finissent par trouver le chemin de son orifice dans lequel ils s’engouffrent sans le moindre mal , je sens des goutes tomber sur ma queue gonflée.Caro gémit, et se retire subitement:
_ »je vais m’occuper un peu de toi! » Et s’allonge a coté de moi , prend ma queue en main, me regarde droit dans les yeux quelques secondes en me masturbant fermement , puis enfourne presque entièrement mon sexe couvert de sa mouille du premier coup, je sens le fond de sa gorge, c’est incroyable!Le bruit de sa salive ruisselante de ses sucions expertes me font bander encore plus fort,je vois son cul,son vagin poilu m’appelle , j’y enfonce l’indexe, ca la fait gémir malgré qu’elle ai ma tige en bouche.Je veux gouter sa motte , je l’att**** par la taille et la fais basculer tête -bêche, devant mes yeux ,le spectacle de ce délicieux organe que je convoite avec ferveur, et m’empresse de gouter, comme un grand cuisinier qui gouterait son plat favori .Ma langue parcours la surface de ses lèvres que j’écarte des doigts , je bois son jus.Caro sarrette de me sucer un instant et presse sa chatte sur ma bouche active, ma langue s’engouffre profond en elle , j’att**** le haut de ses cuisses et l’encourage dans son entreprise .Le bas de mon visage ruisselle de l’écume de sa fente brulante,elle pousse un cri en regardant le plafond:
_ »aaaaaaaaaah!….je jouis! t’arrête pas bébé! »
Son corps tremble sur mon visage , au bout de quelques secondes je ralentis mon rythme , puis elle se retire , et m’embrasse férocement , léchant mon menton maculé de sécrétion , et frottant ma queue toute prête a l’action contre son vagin encore tout chaud , et si lubrifié par la gâterie qu’il ne fallut pas 10 secondes pour que le manche bien raide y pénètre comme dans du beur sans aucune aide.Caro n’étais pas étroite , je m’en était rendu compte en la doigtant,aussi elle était surement bien plus expérimentée que moi, sa manière de me chevaucher allégrement la trahissait !J’ai envie de la prendre, avant de jouir car je n’en suis pas loin , je la fais mettre a quatre pattes, et passe ma queue pleine de mouille tout le long de sa raie plusieurs fois , l’enfonce dans sa chatte et la ressors ainsi de suite.Je m’enfile en elle jusqu’au fond a sa demande , et me mets a la secouer vivement , je donne d’intenses coup de reins,je l’entend pousser de petits cris intermittents , a la limite entre la jouissance et la douleur, je vais craquer , j’ai atteins la limite :
_ »ca y est je viens !! » Je me retire a une seconde de l’explosion , Caro se retourne en bondissant,att**** ma lance pour y coller sa bouche de son plein grée, et tout en pratiquant une succion et me branle énergiquement.Je me vide littéralement, ne s’attendant pas a pareille quantité, je le vois a son regard ,le trop plein de mon foutre s’écoule sur le lit .Nous nous regardons dans les yeux, amoureusement elle continue la fellation , tout en me massant légèrement les bourses.Je suis ravi de l’instant et aussi je l’embrasse fougueusement , comme pour la remercier, ca la surprend :
_ »d’habitude les mecs n’embrassent pas après avoir jouis dans ma bouche «
_ »mais moi oui » Et pour lui montrer que je n’ai pas d’aprioris a ce sujet , je lèche le sperme qui restait sur sa joue puis l’embrasse a nouveaux .Blottis l’un contre l’autre nous finissons par tomber de sommeil, et nous endormir ainsi toute l’après midi.Après cette aventure , je suis resté quelques temps avec Caro qui m’a permis de faire bien d’autres expériences .
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