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Quand la réalité dépasse le fantasme

Quand la réalité dépasse le fantasme



Je n’aurais jamais imaginé, qu’un jour, je prenne autant de plaisir à vous écrire une réalité qui me dépasse désormais. Vous devez savoir que le virage qu’a pris ma vie, il y a de cela maintenant deux semaines, est lié de très près à ce site, auquel je suis assidu depuis les premières heures. J’ai, grâce à vous, pu explorer les fantasmes les plus obscurs qui m’ont donné l’envie d’assumer ma perversion qui n’en restait jusqu’ici qu’au stade de fantasme.

Je me prénomme François, 35 ans et originaire d’une famille modeste de boulanger d’un village du nord de la France. Grâce aux sacrifices de mes parents, j’ai pu obtenir mes diplômes pour devenir directeur financier d’un grand groupe industriel siégeant en région parisienne.
Heureux en ménage, je suis marié et père de 2 petits garçons.
Mais voilà, comme vous le savez, chers lecteurs, nos désirs et notre épanouissement passent, aussi et surtout, par d’autres aspirations plus obscures de notre réalité.
Par le biais de notre site préféré, j’ai appris ma perversité très saine au travers de tous ces récits moralement transgressifs.

En effet, je fantasme énormément sur les histoires i****tueuses et zoophiles.
Ça m’a d’ailleurs permis de trouver ma nature dominante auprès de mes maîtresses que je choisis toujours autour de la cinquantaine. J’ai toujours pris cette attirance pour un Oedipe mal soigné. Même si jamais, je n’avais fantasmé sur ma mère, jusqu’à il y a peu. En effet, notre éducation de la bonne morale judéo-chrétienne de notre civilisation refoule cet instinct au plus profond de nous-mêmes.

De plus, le physique plutôt ingrat de ma mère âgée de 53 ans et qui mesure 1.65 pour 97 kg se trouve assez éloigné de mon approche de la beauté féminine. Voilà qui m’amène au cœur de l’histoire qui vient et qui commença un jour de mai 2004 et qui a repris suite ces dernières semaines. Je vais souvent rendre visite à mes parents le week-end, mais aussi en semaine car mon travail me rapproche souvent du Nord.

Tout a commencé il y a de cela 6 mois lorsque je me suis aperçu que je surprenais souvent ma mère sur internet pendant la sieste de mon père l’après-midi.
En regardant discrètement, je pus voir qu’elle chattait sur MSN et sur un site de rencontre.
Adepte de ce genre de réseau pour trouver mes amantes, j’étais très contrarié de penser qu’elle cherchait à tromper mon père. Je n’osais lui en parler, mais il y a un mois, je décidai d’en avoir le cœur net et mis un stratagème en place.
Je décidai, un soir où ils étaient couchés, d’aller voir son historique pour connaître les sites qu’elle fréquentait.

C’était décidé, je me connecterai le lundi au bureau et me ferai passer pour un prétendant.
Je ne mis pas longtemps à trouver son pseudo, elle y avait accolé sa photo.
Je fus d’abord surpris par la docilité et la réactivité de sa réponse à mes compliments du fait de mon jeune âge.
Depuis le temps que je drague les vieilles dames sur le net je pressentais déjà chez elle un intérêt certain à mes mots, ce qui me surprenait de sa part.

Elle répondit docilement à mes avances lorsque je l’invitai en cam sur MSN. Elle ouvrit rapidement sa cam et moi, la tenant juste ouverte sur mon torse… Je lui fis d’abord parvenir des photos de moi, visage caché sous toutes les coutures. J’éprouvai, tout d’abord, une colère noire quand je m’aperçus que ma mère attendait d’être séduite et était séduite aux mièvreries que je lui rétorquais pour voir jusqu’où elle serait capable d’aller.

Mes intentions se faisaient plus pressantes en lui suggérant une véritable liaison. Elle me répondit qu’elle semblait rêver, tellement elle avait espéré séduire encore un homme ; qui plus est : un jeune et beau mâle, comme je m’étais décris.
J’étais stupéfait de voir le visage de cette mère que je ne connaissais pas se tordre de désir et approuver mes injonctions de plus en plus crues.
De l’horreur, je passai à un trouble que je n’avais imaginé.
L’adrénaline montait, je l’aspirais vers la docilité. Elle se découvrait cette excitation à répondre à mes mots « de grosse salope », en me répondant qu’elle avait toujours eu envie de se faire prendre par un beau jeune salop comme moi. Je passai à la vitesse supérieure.

« Dessape-toi, grosse cochonne, fais-moi voir ton gros cul ! »

Son visage se tordit encore, elle s’exécuta. Je n’en pouvais plus de toutes les femmes « soumises », je sentais en elle, la plus perverse et en même temps, la plus candide, tellement elle transpirait le vice refoulé. Je lui sortis ma queue devant la cam. Je bandais comme un turc… JE BANDAIS DEVANT MA MERE !!!!!

De là, tout dérapa, je voulais l’amener à tous les vices. Je ne voyais plus ma mère, mais une truie assoiffée de sexe. Elle me montra, désormais, ce qu’elle se mettait dans le cul.
Les après- midis passèrent derrière mon clavier pendant une semaine. Je voulais connaître ses désirs dans tous ses retranchements. J’allai même jusqu’à l’émouvoir, la faire mouiller de honte dans ce qu’elle n’avait jamais imaginé. Je l’assénai de tous mes fantasmes, de mes désirs, elle acquiesça et voulait m’obéir, tellement elle voulait goûter la queue de ce jeune pervers. Je la testai, lui parlai d’une conquête passée qui jouait avec son chien. Mon dieu, elle ne rechigna pas. Peu à peu, je l’amenai à mes vices.

Un jour suivant, je m’enhardis à lui envoyer le fichier d’un film zoophile d’une blonde saillie par son berger allemand. Et pendant qu’elle regardait ce film, je lisais son effroi, puis son excitation. Elle admit très vite que cela l’excitait beaucoup, mais ne s’y voyait pas. Avec plus de perversion et d’autorité que jamais, je lui fis dire qu’elle s’y verrait. Elle détailla même en me disant qu’elle s’était vue se faire saillir allongée sur le dos, jambes écartées sur la table basse, à la place de la blondinette du film.

Qu’elle devenait ma chienne, qu’elle vivait un rêve, d’être tombée sur cet homme qui lui faisait découvrir la jouissance extrême encore virtuelle. Elle ne se lassait pas de me voir bander et d’éjaculer à ses yeux. ELLE ETAIT LA CHIENNE DE MES REVES ET EN PLUS, MA MERE. Je devenais dingue, obsédé par elle. Je ne décrochais plus mes pensées d’elle.
En rentrant chez moi, je me branlais même quotidiennement en pensant à toutes les images qu’elle me renvoyait.

Au fil des après-midis, elle acceptait et accaparait mes vices en pute docile. Tout y passait, le gouinage, les gang bang, les films uro, tout y passait. Elle lâchait prise à toutes ses perversions refoulées ou encore inconnues avant moi. Elle voulait maintenant découvrir mon visage, me connaître.

« JE VEUX DEVENIR TA PUTE, TU ES MA DROGUE, JE NE TE CONNAIS PAS, MAIS JE T’AIME ! »

Mais voilà, à toutes ces images virtuelles, étais-je capable de commettre l’irréparable ?
Cette nuit-là fut très agitée. Confondu entre l’excitation, l’obsession de cette mère salope et les relents pugnaces de cette morale, je ne parvins à m’endormir que très tard, après 3 branlettes pour me calmer. Au petit matin, c’est encore avec une gaule extrême que je me réveillai, mais cette fois, avec la certitude sereine de vouloir passer à l’action.

Le lundi suivant, je me trouvai au rendez-vous virtuel, devenu quotidien.
J’allais provoquer un rendez-vous pour le vendredi, puisque j’avais un rendez-vous d’affaires le matin à Lille. Cela me laissait l’après-midi pour apprivoiser ma salope de mère.
Cependant, je ne l’avais pas encore testée sur le dernier de mes fantasme devenu réalité : l’amour i****tueux.

Après l’avoir encore une fois bien faite mouiller avec ma queue exposée et mes histoires salaces, je me risquai à lui raconter les vices d’une mère i****tueuse.
Cela sembla la rebuter un premier temps. Elle admit, quelques moments plus tard, que cet interdit l’excitait tout de même. Je lui demandai alors si elle avait déjà eu envie de son fils.
À mon grand dam, sa réponse fut catégoriquement négative. Pour la première fois, je perçus en elle un refus de cette idée, totalement non négociable. J’étais refroidi. Mais sa façon d’exhiber ses grosses mamelles devant moi m’excitait au point de ne pas lui donner le choix lors de notre rencontre. De toute façon, j’en savais trop sur elle, quitte à la tenir par un odieux chantage.

Elle me demanda, une fois de plus de dévoiler mon visage avant…
Je lui fis comprendre qu’il était encore plus excitant de répondre et obéir à un total inconnu en lui montrant ma tige encore dressée devant la cam.
Elle acquiesça, obnubilée par cette queue, en se branlant de plus belle lorsque je lui en donnai l’ordre.

Je me lançai en lui donnant rendez-vous à 15 heures, ce vendredi, en face du cinéma. Elle était totalement hypnotisée et bien décidée à se transformer enfin en pute de parking pour cette première rencontre que j’avais grossièrement scénarisé pour l’allécher.
Je lui intimai l’ordre, comme à chaque dial, de se présenter à moi sans culotte ce jour-là, pour retrousser sa robe lorsqu’elle viendrait s’asseoir à côté de moi, le cul nu sur le siège.
Pour que sa surprise fût totale, j’avais pris soin de prendre rendez-vous chez le garagiste pour la révision de ma berline. En échange, j’avais à disposition, pour le vendredi, un véhicule de courtoisie.

Le jour J arriva. Je me dirigeai vers notre point de rendez-vous, le cœur battant à 100 à l’heure. Je pris soin de bien baisser les pare-soleil qui dissimulaient mon visage, vu ma grande taille. Un dernier angle de rue à dépasser et je vis ma mère debout devant ce cinéma, aux aguets. Je m’arrêtai à sa hauteur, ouvrit la glace, lui intimai de venir s’asseoir.
Elle découvrit, le teint blême, mon visage, à peine installée.

« Mais, que fais-tu là, François ? En prenant un peu plus de contenance.
– Et toi donc, à faire la pute dans la rue de la sorte ? » Lui rétorquai-je, sèchement.

Elle se reprit comme elle put à ces mots.

« Mais, j’attends une amie ! Troublée par mon ton autoritaire.
– Tais-toi, espèce de salope, ça t’a fait quoi de te branler comme une truie devant ton fils et devant les pires vices qui soient ???
.. Celui par qui tu voulais te faire baiser comme une garce est devant toi ! »

Elle fondit en larmes, je commençai à rouler.

« Alors, comment peux-tu te transformer en chienne aussi immonde ???
.. Réponds… ! Hurlai-je.
– Tu m’as tendu un piège, ce n’est pas vrai, je ne suis pas comme ça ! Soupirait-elle.
– Ah bon, tu crois que quand je vais montrer tes photos, les films de toi que j’ai enregistré et les saloperies zoophiles sur ton ordi, papa va te croire ???
– Oh non, je t’en supplie, plus jamais je ne me laisserai aller à ça, ne dis rien a papa, je t’en prie, pense à notre famille ! »

Elle était incapable de me fixer des yeux.

« Ah, mais pour ça, il va falloir que tu sois très gentille avec moi… !
.. Alors, pour expier tes pêchers au vu de ton fils, tu vas devoir le mériter !
– Oh oui, mon chéri, tout ce que tu veux pour que tu me pardonnes un jour… ! En pleurnichant toujours et se croyant sortie de l’impasse.
– Tu voulais être la pire des chiennes !!!! Hé bien, rassure-toi, tu vas devenir la salope à queue que tu voulais être ! »

Son visage se décomposait de nouveau.

« Mais que veux-tu de moi ???
– Tu vas devenir ma mère salope et totalement soumise à mes et à tes Vices !
– Mais tu es fou, je suis ta mère, comment peux-tu imaginer cela un instant ?
– Je ne te donne pas le choix…, pense à la famille ! »

Elle devint blême de nouveau.

« Je ne pourrai jamais faire cela, n’y pense même pas !
– Ta gueule, j’avais dit de retrousser ta robe, alors magne-toi le cul !
– Oh non, ça jamais !!!
– Je te préviens, je te rentre tout de suite et vais montrer à papa ce que tu regardes comme saloperies avec les animaux ! »

Je deviens fou en la voyant pleurnicher de plus belle. Cela provoque chez moi une excitation décuplée. Je lui tire sur la jupe. Elle se défend.

« Tu l’auras voulu, je fais demi-tour, direction la boulangerie !
– Oh non !!! Je t’en supplie ! En relevant, maintenant, sa robe, le cul nu sur le siège, tout en pleurant à chaudes larmes.
– Et ben, voilà, tu deviens plus raisonnable, maman chérie ! »

Je m’arrêtai auprès d’un bois et détachai ma ceinture, elle n’arrivait pas à me regarder.
Je m’approchai de son oreille pour lui souffler le chaud et le froid.

« Tu sais, je t’aime très fort, maman chérie ! En lui déposant un baiser sur la joue, la main sur ses grosses cuisses. Elle se calma.
.. Allez, écarte-moi tes gros jambons maintenant que je caresse ta chatte de mère pute, comme je te l’ai dit sur le net…, tu avais l’air d’en avoir envie ! »

Elle éclata de nouveau en sanglots. Je forçai pour lui faire ouvrir les cuisses. Elle lâcha prise doucement.

« Et bien, tu vois, tu vois que tu peux être gentille, ma grosse garce… !
.. Je suis sûr que d’être prise comme une traînée te fait mouiller… ! »

Je vins fouiller sa chatte, très sèche, en fait.
Elle était terrorisée. Je continuai à lui parler plus doucement, tout en la caressant.
Elle tourna la tète, n’osant me regarder, en continuant à pleurnicher.

« Allez, maman chérie, te rends-tu compte que tu vas pouvoir être aimée avec celui qui est le plus complice…. ?
.. Je t’aime, tu sais, je ne veux que ton bonheur, mais il passe aussi par l’épanouissement de tes désirs les plus interdits… !
.. Tu m’as dit, sur le Net, que j’allais devenir ton équilibre dans ce côté obscur, laisse-toi faire, ce sera notre secret ! »

Je l’embrassais tendrement dans le cou tout en lui caressant l’intérieur des cuisses, remontant plus délicatement mon doigt sur ses lèvres. Quel ne fut pas mon bonheur quand je touchai, enfin, la moiteur qui se dégageait de sa chatte maintenant ouverte. Puis, toujours en susurrant :

« Tu vois, maman salope, l’effet que je commence à te faire !
– Mais c’est impossible, tu es mon fils !
– C’est notre secret, beaucoup le font tu sais… !
.. Rien ne nous empêche d’assumer cette envie en secret… !
.. De toute façon, je ne te donne pas le choix ! »

Je lui fis tourner la tête, cette fois-ci. En pleurant et en fermant les yeux, elle eut droit à un baiser sur ses lèvres crispées et closes. Je passai ma langue perverse sur sa bouche en lui parlant de son gros cul que j’adorerai enculer sauvagement dans les bois. Elle ne répondait pas. Je sentais, cependant, ses cuisses s’inonder. Je surpris, enfin, un soupir de sa part, entrouvrant sa bouche. J’en profitai pour y faire pénétrer ma langue.
Elle écartait maintenant, sans résistance, ses cuisses, son souffle devenait plus court. Même sa langue commençait à enrouler la mienne.

« Alors, c’est bon ma grosse pute de parking ?
– Oui mon chéri, mais qu’allons-nous devenir ?
– Mais ce que je t’ai promis sur le Net, tu vas devenir cette grosse cochonne heureuse et perverse !
.. Allons, trêve de plaisanterie, ma garce, descends que je voie un peu ton cul dans les fougères ! »

Je sentais sur mes doigts les jets de cyprine que lui produisaient mes mots crus à chaque fois en rupture.
Elle obéit très docilement. Nous commencions à marcher dans les sous-bois, lorsque je lui ordonnai de retrousser sa jupe en la coinçant dans la ceinture.

« Hummmmmm, ton gros cul de pute me fait déjà bander !
– C’est vrai, mon chéri, tu ne le trouves pas trop gros ?
– Il m’excite gravement, j’ai tout de suite envie de t’enculer, sauvagement, à 4 pattes ! »

Je la pris, à ce moment, par la nuque pour la faire fléchir à genoux devant moi. Je lui ordonnai de déboutonner mon pantalon. Je pris mon sexe bandé pour le lui porter aux lèvres.
Elle résista un temps pour ouvrir enfin sa bouche :

« Allez, montre-moi comment une mère pute comme toi, sait sucer ! »

Je la sentais très tendue sur ma verge dans un premier temps, mais le fait de lui asséner la vulgarité de mes mots lui faisait perdre prise. Elle m’avalait de plus en plus goulûment, maintenant.

« Hummmm, quand je te vois comme ça, j’ai vraiment envie de t’inonder la bouche de mon sperme, tu sais… !
– Mais j’aimerais beaucoup, mon chéri ! »

Elle avait enfin, à ces mots, abandonné toute pudeur et toute morale. Je la tenais, elle était maintenant complètement mienne. Je lui ordonnai, maintenant, de se cambrer à 4 pattes sur la terre humide, le cul bien ouvert.
Mes doigts vinrent jouer avec son cul qui s’ouvrait sans résistance.

« Et bien, ma grosse truie, quand je vois l’élasticité de ton cul, tu as du t’en fourrer des truc dans le cul !
– Oui mon chéri, j’adore cela…, mets-moi trois doigts… ! » Répondit-elle, en haletant.

Je la troussai, maintenant, de ma queue incroyablement dure pour la pénétrer sauvagement. Mon excitation était telle que je ne mis pas longtemps à éjaculer. La perversion qu’elle m’inspirait me fit revenir la bite contre son visage pour bien l’asperger de mon liquide chaud. Totalement calmé de mon excitation, je la fis se rhabiller pour revenir à la voiture.

« C’est très bien, je suis fier de toi, pour une première fois !
.. Tu vas devenir mon amante pour toujours et je te ferais explorer tout les vices que tu as imaginés… !
– Oh oui, tu m’as tant excitée, mais j’aurais tant voulu jouir plus, ça a été trop court… !
– Nous aurons plus de temps, maintenant et la vie devant nous… !
.. Tu aimes m’obéir, donc à partir d’aujourd’hui, tu seras prête à m’obéir à tout moment… !
.. D’ailleurs, je te veux sans culotte, à toute heure de ta vie, en pensant a moi… !
– Je suis prête à tout vivre avec toi, maintenant, même si ça me fait encore terriblement bizarre, mais je n’ai jamais ressenti autant d’envie… !
.. Regarde ma chatte, elle est encore trempée !
– Branle-toi la chatte pendant que je te ramène !
– Ouiiii…, François… ! »

Elle écarta les cuisses en se caressant le clito frénétiquement. Elle éclata dans un râle, juste à l’approche de la boulangerie, en hurlant qu’elle était ma salope et qu’elle m’aimerait passionnément toute sa vie durant désormais.

Voici le premier pan du virage qu’a pris ma vie depuis 15 jours maintenant.
J’ai décidé de continuer à vous faire vivre où nous conduiront nos vices.
Mon esprit est plein de fantasmes à explorer, avec ma mère désormais.

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