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Clarisse mère au foyer 2

Clarisse mère au foyer 2



Chapitre 2
Un jour, près de huit mois plus tard, elle vint me trouver dans mon appartement, un soir, après avoir couché ses enfants. Elle se mit à genou devant mes pieds, se penchait en avant, tel un sphinx.

« Monsieur, il me plairait de vous appartenir pour toujours. »

« Mais tu es à moi ! »

« Oui, je le sais, je vis cette appartenance à chaque seconde qui passe et j’aime ça. C‘est que je vous aime pour tout vous dire. Seulement, il me manque quelque chose, ce petit quelque chose qui fera de moi votre pute encore plus docile. »

« Et c’est quoi ? »

« Des anneaux, Monsieur. Aussi, je vous demande humblement la permission de me faire annelée. »

« L’idée est bonne. Où veux-tu porter des anneaux ? »

« Sur mon sexe, sur le capuchon de mon clitoris. Il y a mes seins, un par tétons. Monsieur pourra ainsi me suspendre par ces anneaux. Enfin, S’il plait à Monsieur, à mon nez, sur ma cloison nasale, pour que Monsieur puisse me promener en laisse. »

« Je suis d’accord, mais as-tu la moindre idée du cout ? »

« Je possède quelques économies qu’il me serait facile d’utiliser pour ça, Monsieur. Et puis, je travaille le cuir de manière artisanale, cela me permet d’améliorer notre ordinaire. Mon martinet est un exemple du fruit de mon labeur. »

Là, quant à ce qu’elle paie tout, je mets mon veto. Je posais mon pied sous son visage, elle me le lèche, me le suce avec une dévotion qui ferait pâlir de jalousie bien quelques soumis. Jamais femme ne me fut plus dévouée, plus docile qu’Clarisse. Puis, elle passe à l’autre pied. Cette fois, le corps bien droit, tenant mon pied entre ses douces mains. Je fixe son visage, m’imaginant à son nez un petit anneau. Je me vois faire nos courses, le tenant en laisse, poussant son landau et tenant son fils par la main. Sauf que, ben, dans mon quartier, ma réputation d’homme bien sous tous rapports en prendrait un sérieux coup dans la poire. Je me vois alors, la promenant la nuit, encore en laisse, sauf qu’elle était fixée à son sexe cadenassé ou à celui de son clitoris. Je n’ai qu’à fermer les yeux pour voir ces images provenant du fin fond de mon cerveau de pervers. Lentement, inexorablement, sa bouche remonte le long de mes jambes, passant d’une à l’autre. Je bande ferme. J’ai envie de ce corps et pourtant, si l’envie est très forte, je la laisse faire. Je dois me faire v******e pour ne pas la détourner de son envie et la prendre comme un chien baisant sa chienne.

« Si tu devais me donner juste une partie de ton corps ? »

« Sans hésiter, mon Maître, ma bouche ! Elle pourrait vous sucer dès votre réveil, vous être toujours là au moindre désir de mon Maître. Ne plus vivre que dans votre slip pour vous être qu’agréable à tout instant de votre vie, peu m’importe le pourquoi ou le comment si ce n’est que c’est pour votre seul plaisir, Monsieur mon Maître. »

« Ce ne serait pas désagréable, en effet. »

Alors, mon imagination devint encore plus fertile plongeant dans les vices les plus tordus les perversités les plus vaches et sales. Il me semblait déjà que je sentais cette bouche, sa langue nettoyer mon cul, mon chibre à tout instant de la journée. J’imaginais des choses peu ragoutantes et je bandais encore plus fort. Je ne tins pas plus longtemps. Je pris sa tête de mes mains et sa bouche se posa sur ma queue. Je ne fus tranquille dans ma tête qu’au moment de jouir dans sa bouche. Elle prit alors mon verre de bière, y trempa mon auriculaire, l’effet fut immédiat, dans sa bouche, je me soulageais, elle me but jusqu’à la dernière goute.

« J’ose espérer que mon Maître aime sa salope. Parce que sa salope l’aime quand il se montre sale avec elle. Sachez que le slip du Maître oublié chez moi me sert de bâillon quand je me fouette de mon martinet, le soir. »

« Alors vas le chercher, ton martinet. »

« Avec grand plaisir, Monsieur. Monsieur, dois-je prendre des bougies afin de me couvrir de cire brulante ? »

J’ai accepté. Elle revient aussi vite qu’elle est partie. Mon slip oublié dans sa bouche, elle se positionne à genou, le corps bien droit, ses bras levés vers le plafond. De son martinet, je se rougis sa poitrine, son ventre. Elle se mord ses lèvres à chaque coup. Je vois son corps onduler telle une danse érotique. Parfois, elle ferme ses yeux, comme pour mieux sentir la brulure des lanières. Je lui donne ma queue à sucer. Penchée en avant, je zèbre son dos avec son martinet. Plus je frappe, plus elle gémit, la bouche remplie de mon chibre. Puis d’une bougie allumée, je répands cette cire brulante sur son dos, ses fesses et entre ses fesses. La belle remue du croupion, cela rend la chose plus excitante encore. Surtout, cela me donne l’idée de transformer une de mes trois chambres en une petite salle de supplice.

C’était la première fois que je me montre aussi violent avec Clarisse et elle aime ça autant que mon cœur commence sérieusement à battre pour elle. Mon cœur qui m’ordonne de ne pas la quitter sous peine d’un arrêt brutal et je crois mon cœur. Je jouis encore, je la redresse, délaissant son martinet. Je l’embrasse tendrement.

« Outre les anneaux, je te veux entièrement à moi et, pour ça, y pire que tes anneaux, il y a un mariage. » Je respirais tranquillement en l’observant. Et j’enfonçais le clou. « Avec les fêtes qui arrivent. On va aller chez mes parents, avec tes enfants. Eux, on va les pourrir de cadeaux. Toi, je vais pourrir ton cul avec ma queue. J’en profiterais pour clouer le bec à ma famille en annonçant notre mariage pour l’été prochain. Tu as quelque chose à redire ? »

« Oh non, Monsieur, surtout pas, je m’en voudrais de vous contrarier, je suis à vos ordres. Il me plait déjà de ne plus appartenir à personne d’autre que vous, Maître. »

Ses mains masturbent encore ma queue. Je la couche sur le dos et m’enfonce lentement en elle, tendrement, cette fois. Oui, je ne l’ai pas baisée, je l’ai Aimée.

On a dormi ensemble, sans qu’elle ne soit entravée d’aucune manière que par mes bras. Au matin, je me lève avant elle. Je lui prépare un déjeuner digne d’une princesse. C’est la seule et unique fois que j’ai pu préparer un repas pour ma soumise.

« Monsieur, il n’est pas digne que mon Maître me fasse à manger ! » Qu’elle me reprocha.

Elle reçoit une copieuse et douloureuse fessée à la main. Je la fesse si durement qu’elle ne peut s’assoir ailleurs que sur un moelleux coussin et encore, en faisant une vilaine grimace. Ensuite, elle file à son travail. Ayant congé, pour la première fois depuis pas mal de temps, je me transforme en baby-sitter, pour la plus grande joie de ce bonhomme et de cette petite.

Noël arrive. Dans le break, on charge tout. Sur la route, malgré une circulation dense, nous arrivons sans encombre dans le village de mes origines, là, au fond de ma vallée. Mais si vous aviez vu la tête de ma mère quand elle vit Clarisse, j’ai bien cru qu’elle allait nous faire une crise cardiaque. Ce n’est pas mieux pour mon père. En fait, j’avais averti que je venais, sans préciser que je ne serais pas seul. Mais la surprise vient de petit bonhomme. Il embrasse ma mère en l’appelant mamie et mon père, papi. Pour eux, me voir avec deux petits, de futurs petits enfants, était un rêve que je comblais enfin.

Le soir du réveillon, après la messe de minuit, tradition oblige, on se retrouve tous dans la grange pour le repas de noël. Une montagne de cadeau pour les gosses. Deux sont particulièrement gâtés, ceux de mon Clarisse. Enfin, au moment des cafés, debout, je fais l’annonce de notre mariage en aout prochain et j’observe autour de nous. Je ne vous dis pas les têtes parmi ma famille.

Ensuite, pour laisser digérer la nouvelle de mon mariage, nous nous permettons une promenade après avoir mis au lit les enfants. En chemin, profitant que nous soyons seuls, je lui mets sa laisse à l’anneau de son nez. Au détour d’un chalet, une jeune femme se tient debout devant nous.

« Pardonnez-moi mon intrusion dans votre promenade, mon cousin. J’avais donc vu juste, mon cousin, c’est une soumise, votre future. Elle est très belle en tout cas. » La voix de ma cousine était emprunte d’un profond respect.

« Ouais, et alors ? » Rétorquais-je fâché d’avoir été suivi.

« Elle est annelée entièrement ou juste son nez ? » Curieuse la cousine

« Mais qu’est-ce que cela peut te faire ? »

« Non, moi je dis ça parce que…ben je suis aussi annelée. Voulez-vous voir ? »

Elle change totalement pour se montrer encore plus humble, encore plus soumise

« Seulement si tu es une de ces salopes qui se la jouent soumise ! » Je peinais à la croire

Elle relève sa jupe, dévoilant ses bas, son porte-jarretelle et son entrecuisse glabre et orné de trois jolis anneaux cadenassés entre eux. Je reste impassible, caressant tendrement la nuque d’Clarisse. Devant mon manque de réaction, elle nous dévoile sa poitrine posée un soutien à balconnet. Deux beaux anneaux les décoraient, reliés par une belle chainette en argent.

« Mouais, ok, et ? » Dis-je, jouant les blasés.

Elle est vexée de me voir si distant. Il y a une vieille barrière en bois. Je pose la laisse sur l’un des piquets et m’approche de ma cousine. Sans lui laisser le temps de me cacher son corps, je lui att**** la chainette et l’attire contre moi. Mes mains sur ses épaules, je la force à s’agenouiller sur la neige dure.

« C’est qui ton Maître ? À moins que cela ne soit une Maîtresse, te connaissant. ! » Que je lui demandais avec une certaine impatience.

« C’est une Maîtresse que Monsieur connait très bien »

« De la famille ? » Demandais-je.

« Oui, Monsieur, de la famille, une tante ! »

« Quoi, Isabelle, cette sale gamine puérile ? »

Là, j’étais réellement énervé, voire en colère, mais plus contre ma cousine, contre ma garce de tante, cette vipère.

« Une bien sévère Maîtresse, Monsieur » Précisa ma cousine Karine.

« Une peau de vache pour cette petite dinde. Alors, mon neveu, on me voit comme une gamine puérile ? » Me lance ma tante, elle a mon âge à quelques mois près.

« En fait, je te voyais pire encore, comme une gosse pourrie par son père. Je te vois toujours comme celle qui nous a pourri nos vacances par ses caprices d’enfant gâtée. »

« Et cette jeune chienne, elle est à toi depuis quand ? »

« Qu’est-ce que ça peut te foutre, ça ne te regarde pas. Tu comptes me la prendre comme tu piquais les petits amis de mes cousines ? Cousine, là, tu me déçois beaucoup ! »

« Elle est magnifique et très docile. Ma pute devrait en prendre de la graine. Ça fait six mois que je la dresse. Tu sais qu’elle crèche chez moi, elle veut devenir vétérinaire en plus. »

Décidément, ma tante à bien changé. Si elle est toujours aussi hautaine, avec manière de parler de la haute. La voilà en plus vulgaire, utilisant des mots crus quand elle parle de ma cousine.

« Non seulement elle est magnifique, elle est une soumise particulièrement docile et qui sait parler sans être vulgaire comme toi. Pour la cousine, tu devrais lui apprendre à ne pas interrompre un dominant durant sa promenade sans se présenter et s’excuser. » Je devins autoritaire avec ma tante. « Il en faudrait peu pour que je vous fesse toutes les deux comme des malpropres. Surtout toi, ma tante. Tu ne sais même pas éduquer une soumise. C’est vrai que pourrie comme tu l’es par grand-père, l’oisiveté ne t’aide pas ! Et puis, pour dominer une personne, il ne faut pas seulement agiter des liasses de gros billets, c’est dans la tête et le corps que ça se passe. Mais pour ça, ma très chère tante, encore faut-il en avoir une et avec une cervelle, ce qui est très loin d’être ton cas. Pour moi, tu n’es rien de plus que ramassis de méchanceté, de jalousie. Viens ma Clarisse, nous continuons. »

Elle ne sut que répondre. Je pris la laisse de ma douce compagne et continue notre promenade en sa compagnie sans me retourner. Derrière moi, le bruit d’une paire de gifle ne me fait même pas tourner la tête. Isabelle, la jolie tantine, mais totalement idiote, doit être terriblement vexée de me voir si impassible. Elle nous rejoint, trainant ma cousine Karine derrière elle. Je m’arrêtais net quand elle me parla de faire une partie de jambes en l’air, tous les deux.

« Déjà, je ne parle pas à des femmes qui se la pètent, qui se prenne pour une autre. Secundo, une femme qui domine n’a pas à se comporter comme une pute, c’est juste qu’elle manque de caractère. Tu imites les autres, tu n’es pas toi quand tu gifle ta nièce, ma cousine. En fait, je la verrai bien de punir et te dominer. » Je pris mon temps pour voir sa réaction. Et, comme à mon habitude, j’enfonçais le clou. « Tu vois, avec elle, je n’ai pas cherché, elle ne m’a pas cherché, on s’est juste trouvé à cause de ce petit accident domestique. Par contre, pour toi, je suppose que le simple fait de l’abriter chez toi pendant qu’elle étudie fait de toi sa Maîtresse ? Mouais, à voir ta gueule de pute, j’ai vu juste. Karine, si tu te cherches une autre Maîtresse digne de ce nom, ou un Maître, ce n’est pas avec une soumise comme ta tante que tu vas trouver ton bonheur, bonne nuit et joyeux noël ! »

On est rentré se coucher. Dans mon lit, je presse le corps d’Clarisse contre moi. Elle replie ses jambes, mon pénis s’insinue entre ses cuisses, bien en profondeur.

Au matin, Clarisse aide ma mère pour le déjeuner des enfants. La petite me vit et nous cria : « Papa ! » en me montrant du doigt. Je reste interdit, ne sachant comment prendre cela. Enfin, revenu de ma surprise, je la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement. Ma mère ne trouve rien de mieux que de pleurer, mais de joie. Je suis aussi ému qu’elle, mais pas autant que la maman de ce petit garçon adorable. Du coup, je suis allé prendre la fille de ma compagne. Je la lève, la change et l’habille en jouant avec elle, sous les regards d’Clarisse et de ma mère encore plus émue.

On reste encore pour le nouvel an, qu’on fête en famille, toute la famille. Je peux en profiter pour me moquer à pleine brouette de ma tante, la rabrouer, la rabaisser et, sans le vouloir, ni même remarquer de l’inversion des rôles. Avant de partir, je me suis rendu, avec Clarisse, dans ce petit cimetière aux croix identiques. Je me dirige vers une tombe très précise, celle d’une certaine Véronika. Je fais un trou dans la neige pour y mettre une photo de nous deux avec une bougie.

« Ma belle, tu vois, je ne t’ai pas oubliée. Je te présente Clarisse, ma future et ses deux bambins. Si tu peux, par un signe ou comme tu le voudras, dis-moi si elle te plait. Perso, si tu me vois de là-haut, tu sais que je suis fou d’elle comme de ses enfants. »

« C’est d’elle que tu rêves la nuit ? »

« Véronika est celle par qui j’ai appris mon travail et faire l’amour. Mais, je te raconterais notre vie à tous les deux. Après elle et avant toi, il y eu encore une jeune femme que j’ai formé et aimer. Et puis, j’ai quitté la vallée. La menuiserie n’arrivait plus à tourner face à une concurrence moins chère. Mouais, c’est bien vieux tout ça. »

La petite commence à devenir bavarde au fur et à mesure qu’elle se développe. Aussi, je fais ce qu’il faut pour que le père les prenne deux semaines avec lui. J’oblige Clarisse à prendre aussi deux semaines en même temps que moi. Un oncle possède un chalet, je lui avais demandé la permission pour deux semaines, un lieu loin de toute civilisation, idéale pour repousser les limites de ma soumise. Le courrier en poste restante, on est parti.

Dans ce chalet, c’est Byzance. Nous vivons nus, prêt à faire l’amour à tout instant et on ne s’en prive pas. Elle se montre encore plus soumise, plus docile quand j’éprouve le besoin de la dominer. Le plus souvent, c’est elle qui me cherche quand l’envie d’une bonne fessée se fait sentir. Pour baiser, tous les endroits autour de ce chalet s’y prêtent. Je peux enfin profiter de ma Clarisse. Je crois, qu’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais passé des vacances aussi merveilleuses. Et surtout pas gâchée par cette gerce de tante.

C’est le jour, le dernier jour des vacances, Clarisse a tout nettoyé dans le chalet, le rendant encore plus propre qu’à notre arrivée. En plaine, il nous faut aller reprendre les enfants. Alors que je mets le dernier sac dans le coffre, elle arrive dans une mignonne petite robe comme je les affectionne sur son corps. Elle s’ouvre sur le devant. Devant moi, elle me tend la courte laisse que je m’empresse de fixer à son nez. Assise sur le siège passager, elle ouvre sa robe, me dévoilant son merveilleux corps. Je me penche, baise ses seins avant d’entamer la route du retour.

Un peu avant d’arriver dans la plaine, j’ai une envie folle de baiser ma compagne. Un envie qui me fait souffrir. Sur un petit chemin, je stoppe la voiture hors de la vue de la route. Je sors Clarisse à l’aide de la laisse. D’instinct, elle place ses bras croisés dans son dos. Près de moi, sur le capot de la voiture, je la prends sans perdre de temps. Elle est chaude, bouillonnante de désirs ma toute belle. Je lui en donne pour son argent jusqu’à ce qu’elle jouisse et m’entraine dans son orgasme. Peu après, devant moi, elle s’accroupit en me fixant pour soulager sa vessie bruyamment sur le gravier du chemin. J’avoue que de la voir uriner me redonne une folle envie. Mon sexe dans sa bouche, elle me pompe goulument en même temps qu’elle se soulage. Sur mes chaussures, mes chevilles, je sens les gouttes de son urine s’étendre au fur et à mesure. Je jouis très vite, bien trop vite à mon gout. Pourtant, Clarisse se régale de mon sperme, se la jouant vorace. Puis, c’est sur mes chaussures qu’elle a léché avec soin, elle remonte même sur mes chevilles avant de se mettre à genou, ses mains derrière la nuque, sa tâche accomplie. Je la relève, referme sa robe en l’embrassant. Et nous remontons en voiture. Sur la route, sa voix me susurre de recommencer aussi souvent que l’envie me prendra.

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