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Mon dressage

Mon dressage



Reprise d’anciens récits que j’avais publié en 2015 sur un site.
Je les ai retrouvée par hasard en surfant sur le net.

Après mon dépucelage, ma libido c’est décuplée.
Mes aventures furent nombreuses et souvent chaudes.
Je vais vous narrer un des fantasmes récurant qui me met dans tout mes états.
(Ce texte n’est qu’un pur fantasme)et avec des aventures diverses.

J’avais un appétit sexuel assez fort et en navigant sur le net, j’étais de plus en plus attirée par tout ce qui tournait autours de la soumission.
Tout avait commencé par un simple échange sur internet où je me laissais à certaines confidences sur mes fantasmes.
Un inconnu m’avait demandé:
« Mais qu’attends-tu réellement d’un homme ? »
« Qu’il me traite comme sa femelle, que je sois réduite à l’état d’une chienne domestique et de servir juste pour son bon plaisir. »
« Autrement dit, tu aimes être soumise et te sentir traitée comme telle ? »
« Oui, j’ai énormément d’envie sexuelles, mais ce qui m’excite encore plus c’est qu’on me les impose. J’aimerai pouvoir me sentir comme une chienne, une chienne docile. »
« J’ai toujours adoré les animaux… »
« Alors pourquoi ne pas m’adopter ? »
« Hum…pourquoi pas…Mais tu es consciente que tout a****l a besoin d’une période de dressage ? »
« Je ferai tout ce que vous m’imposerez…Maître… »
Mon corps fut immédiatement parcouru d’un frisson. La simple lecture de ce mot m’électrisa.
« Entendu, alors je te donne une heure pour m’envoyer des photos de toi. Laisse libre court à ton imagination, sois provocante et impudique. »
« Oui, maître. »
21h15. Envoyer des photos à cet inconnus me fait flipper. Vais-je oser aller suffisamment loin et franchir ce pas ? Je fais quelques photos et une heure plus tard, je me lance.
« Je suis là maître. »
« Bien, tu es ponctuelle, c’est déjà un début. Envoie-moi tes photos. »
J’envoie une première photo où je suis à 4 pattes par terre, jambe écartée et je cambre bien mes fesses.
« Ca vous plaît maître ? »
« Oui, pas mal! Quand veux-tu commencer ton dressage ? »
« Dès que vous le souhaitez, je suis à votre disposition. »
« Très bien, alors demain 20h30. Je t’envoie l’adresse. Tu viens nue sous ta robe ! »
« Bien Maître. »
« Vas te coucher maintenant et pense à tout ce que tu vas pouvoir subir pendant ton dressage ! Alors bonne nuit, petite chienne. »
« Merci Maître… »
Toute la nuit je fais des rêves érotiques où je suis l’objet sexuel de qui veut m’utiliser.
Le lendemain soir, dans la tenue exigée par cet inconnu, alors que j’arrive dans le bas des escaliers à l’adresse indiquée, Le Maître me guette, caché dans un recoin. Je passe devant lui sans le voir et sonne à sa porte, fébrile. Tout à coup, un homme me colle brutalement contre la porte. Je pousse un cri de surprise, mais ne cherche pas à me débattre.
« Ne bouge pas, salope ! »
Moi qui voulais être secouée, ça commence à fond la caisse. L’inconnue me masque les yeux d’un foulard qu’il noue autour de ma tête. Il me pousse vers l’intérieur de l’appartement en me tenant par les hanches.
Je reste figée attendant les ordres. Il me fait languir et je le sens tourner autour de moi pour certainement me détailler de son regard de vicieux. Les yeux bandées et nue sous ma petite robe, je suis très vulnérable et certainement très désirable pour cet homme.
Je frisonne quand il pose ses mains sur mes épaules et me force à me mettre à genoux. Je sens une chose dure et humide qui se frotte sur ma joue. A l’odeur je devine qu’il s’agit de sa queue et aussitôt, ma bouche recherche sa hampe.
« Tututut, une bonne chienne doit réclamer avant d’avoir sa friandise. »
« Est-ce que je peux vous sucer, maître ? »
« Une bonne chienne ne parle pas, elle suce les boules de son maître avant d’avoir le droit à sa queue. »
Aussitôt, je commence à sucer ses couilles. Je les lèches et il semble apprécier quand je les prends en bouche.
Je trésaille quand il me dit :
« J’ai envie de prendre ta gorge. Ouvre ta bouche en grand. »
J’obéis.
Il fait glisser sa ma queue entre mes lèvres bien ouvertes. Je les referme sur sa hampe et commence de petit va-et-vient avec ma bouche. Ma langue qui s’enroule autour de son gland. Je sais qu’il aimera car j’ai une belle expérience, mais ça ne lui suffit pas.
Il m’att**** par les cheveux, et il s’enfonce brusquement au fond de ma gorge. J’essaye de me retirer, mais je suis bloquée par ses mains. Il me maintient quelques secondes dans cette position et relâche un instant la pression pour me laisser respirer.
Puis il commence des allers-retours au fond de ma gorge. Ma salive coule sur mon menton. Quand il retire sa queue pour admirer son œuvre, un flot de salive coule de ma bouche, alors que j’essaye de reprendre ma respiration. Le salop ne me laisse pas de répit et je reprends ma gorge aussitôt.
« Tu vas avoir ta friandise petite chienne. Garde tout dans ta gueule ! »
Il m’enfonce alors sa bite au plus profond de ma gorge pour y lâcher sa semence. J’essaye de déglutir difficilement et il se retire son affaire faite.
« Montre » moi si tu as tout bien avalé ! Ouvre ta gueule ! »
Il me parle comme à une chienne domestique. Mais c’est ce que je souhaite au fond de moi. Etre traité en chienne m’excite. Docile j’ouvre la bouche pour lui prouver que j’ai bien tout avalé.
« C’est bien, maintenant remercie moi. »
« Merci Maître de m’avoir honoré de votre sperme. »
« C’est bien tu es obéissante, on va peut-être pouvoir faire quelque chose de toi. Viens par ici à quatre pattes comme une chienne en aboyant ! »
Au milieu du salon, il passe derrière moi, et me retire le foulard.
« Tu n’as pas honte de te livrer ainsi comme une petite pute devant un parfait inconnu? De t’exhiber comme une chienne en chaleur? »
« Si Maître… »
« Mais ça te plaît on dirait… »
« Beaucoup Maître…Je suis trempée…Mais vous m’avez interdit de me toucher… »
« Baisse les yeux salope ! »
« Au pied putain !-Viens-là.Tu apprendras que je n’aime pas la provocation délibérée ! Tu vas recevoir ta première punition !»
Je m’approche timidement de lui. Il m’att**** par le bras et me fait tomber à plat ventre sur ses genoux.
Après m’avoir fouillé le minou pour vérifier si je mouillais, il commence à m’asséner des claques sur les fesses. Je serre les dents et encaisses sans broncher. Il claque encore et encore, jusqu’à ce que mon cul devienne rouge. Sa main glisse de nouveau vers mon intimité et il me malaxe sans douceur ma chatte détrempée.
« On dirait que tu aimes te faire corriger ! »
« Oui maître. »
« Tu vois la porte là-bas ? »
« Oui Maître ! »
« C’est ma chambre. Il y a quelque chose sur le lit pour toi, va le chercher et rapporte-le moi ! »
Je me redresse et :
« Non, pétasse ! Tu es une chienne, n’oublie pas ou je devrais te punir de nouveau. »
Je m’arrête net comprenant que ma position est à 4 pattes.
« Décidément, je suis tombé sur une vrai salope ! »
Prise au jeu, je reviens un instant après avec, entre les dents, un collier de chienne et une laisse.
« Bien, ma petite chienne veut faire une promenade? Tu veux faire tes besoin ? »
Pour toute réponse, je lâche les ustensiles sur ses genoux, et pose ma tête sur ses cuisses, attendant les ordres.
« Remonte tes cheveux ! »
Il me passe le collier autour du cou, et y attache la laisse. Il prend un martinet et se lève en m’ordonnant :
« A quatre pattes ! Cambre ton cul ! »
J’obéis et aplatis mon buste sur le sol pour bien tendre mes fesses.
« Écarte tes fesses Michèle ! »
J’écartes mes lobes, et il enfonçai brusquement un doigt dans mon cul. Je trésaille légèrement mais garde la position.
Il le tourne lentement, le sort, puis le rerentre. Il en ajoute un deuxième. Mon cul commence à s’assouplir.
Il retire ses doigt pour les remplacer par un gros plug queue de renard qu’il m’enfonce dans le fondement sans douceur. Je pousse un petit cri étouffé et fait une grimace. Puis il m’attache avec la laisse au bois de lit et m’entrave les poignets de menottes, derrière le dos.
« J’ai un dîner important ce soir. Je reviens dans deux heures! »
Je le regarde d’un air implorant mais d’un regard froid, il me colle un bâillon boule dans la bouche.
Avant de partir, il me jette un dernier coup d’œil. Il semble satisfait de voir sa victime ainsi et me lance :
« Toi qui voulait être chienne, tu es servie ! »
Sur ces mots, il tourne les talons et me laisse seule avec ma chatte dégoulinante.
Je me retrouve seule dans le noir. Mon maître est parti depuis un temps qui me semble interminable. Je commence à être engourdie. J’ai envie qu’on me baise violemment. Je bave comme une grosse salope à cause du bâillon. Ma salive coule sur mes seins. Je me sens sale, humiliée. Mais je suis tellement excitée…
Je rêve du moment ou mon maître me prendra, me possédera enfin.
Je suis retournée dans le salon.
« Tu sais te mettre en valeur Michèle ! »
Je lui souris légèrement provocante.
« Puisque tu es une chienne espiègle, tu vas avoir l’honneur de dîner sous ma table, à mes pieds, ce soir ! »
« Merci Maître, vous m’honorez. »
« Ne fais pas trop la fière, je saurai te rappeler ton rang bien assez tôt! Allons viens sous la table ! »
Il me donne une gamelle dans laquelle je dois manger sans les mains. J’ai le droit de temps à autre à des caresses ou une tape sur les fesses.
Le repas fini, il me dit :
« Va faire la vaisselle et rejoins moi après ! »
A peine fini, je le rejoins à quatre pattes. J’ai vraiment une allure de chienne.
Lovée aux pieds de mon Maître en attendant les ordres, il met un film. Je brûle de désir et il le sait. Mais il me fait languir. Au bout d’un moment, il empoigne mes cheveux et plaque ma tête entre ses cuisses, me forçant à lui lécher les couilles.
J’y met du cœur et il ne tarde pas à avoir des soubresauts de sa tige annonciateurs.. Quand il se sent venir, il tire ma tête en arrière et me fourre sa queue en pleine bouche. C’est délicieux, et j’y prends plaisir.
« Allez ma chienne, il est temps que je prenne ton cul de salope ! »
Tirant sur la laisse, il passe derrière moi et retire le plug queue de renard doucement. Mon cul s’ouvre sous son passage.
« Cambre-toi chienne! »
J’obéis lui offrant un spectacle réjouissant. Il se met au-dessus, pointe son gland sur ma rosette, et me pénètre d’un seul coup, jusqu’à la garde. Sous le coup, je pousse un cri, plus de surprise que de douleur.
Mais, déjà, il commence ses allers-retours sans faire attention à mes suppliques. Il me lime sévèrement.
« T’as vraiment un beau cul. On est bien dedans ! T’aimes te faire enculer brutalement?»
« Oui Maître, allez-y, je suis à vous! Ouiiii ! »
« Dis-le moi salope ! »
« J’aime quand vous m’enculez Maître, j’aime que vous me défonciez le cul ! »
Il se lâche alors dans mon cul en longue giclées épaisses, chaudes et crémeuses.
Il me retourne et me lance :
« Ouvre ta gueule! nettoie ma bite jusqu’à ce qu’elle ressorte bien propre de ta bouche de chienne ! »
Je m’applique à le nettoyer comme une bonne chienne et lui rends sa queue molle toute propre.
Puis comme on jette un objet qu’on ne veut plus se servir, il me congédie comme on jette un kleenex, en me disant :
« Casse toi ! J’ai d’autres choses plus importantes que toi à faire. Je te contacterais quand j’aurais besoin d’une vide couilles ! »
Je me suis senti humiliée et suis rentré chez moi très perturbée.

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