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Croisière

Croisière



7h du matin.

À peine les yeux ouverts, je me tourne vers Meggh. Elle dort encore. Toujours allongée sur le ventre, elle m’offre à ses dépends une vue exquise sur son joli postérieur. Contrairement à hier soir, je ne vais pas prendre le risque de me masturber à ces cotés. La probabilité qu’elle se réveille et me surprenne la bite à la main est bien trop importante. Non, je vais simplement rester un moment à la regarder dormir. Et savourer le spectacle de son derrière à l’air libre.
Au fond de moi je souhaite qu’elle change de position et, qu’enfin, elle me dévoile son autre face. Ce qui n’arrive pas hélas. Mais ce n’est pas grave, le spectacle qu’elle m’offre est suffisamment agréable. Je resterai bien ainsi la journée entière mais ma vessie se rappelle à mon bon souvenir. Je quitte donc le lit avec mille précautions pour ne pas la réveiller.
À mon retour elle n’a toujours pas bougé. Je reste quelques secondes au bord du lit pour profiter d’un angle nouveau. Ses fesses sont bien rondes et généreuses sans être grasses ou flasques. Les fesses de mes filles, aperçues hier, me reviennent en mémoire. Décidément les filles du côté de ma femme sont vraiment gâtées par la nature.
En me remémorant les petites filles qu’étaient Alix, Julie et Meggh rien ne laissait deviner les beautés qu’elles allaient devenir à présent.
Je reprends ma place sans faire de mouvements brusques. Mais hélas ma nièce écarte légèrement les paupières.
« Bonjour tonton. » me dit-elle d’une voix encore toute endormie, mais le sourire aux lèvres.
« Bonjour ma puce. »
Elle change de face – enfin! mais bien trop tard à mon grand regret – et s’étire langoureusement. Quand elle s’aperçoit que son tee-shirt est relevé elle rabat rapidement le drap vers elle. Son pubis, rapidement dévoilé, disparait.
« Excuse moi tonton, je n’avais pas fait attention. »
« Ce n’est pas grave. Il n’y a aucun mal. » Au contraire même ajouterait mon côté voyeur.
« Mais j’aurais du mettre une culotte. »
« Écoute ma puce, nous allons partager cette couchette pendant deux mois, alors met toi dans la tenue où tu te sens la plus à l’aise. Je ne te ferai aucun reproche. »
« Merci. T’es vraiment un amour. »
« Allez, prépare-toi ou continue à dormir. Moi je vais préparer le petit déjeuner puis on lèvera l’ancre. »

La journée se déroule comme hier. Dès que nous sommes éloignés de la côte, et donc hors de portée des regards indiscrets, les filles revêtent leurs maillots de bain. Au fur et à mesure, je perds tout sentiment de culpabilité à les admirer. Après tout ce sont elles qui ont choisi de porter des tenues si dénudées en ma présence. Que je les regarde ne doit pas les gêner plus que ça. D’autant plus que les filles viennent régulièrement passer un petit moment à mes cotés pour discuter. Parfois même m’embrasser sur la joue ou chercher un câlin. Comme Alix qui me rejoint et me dit:
« Pourquoi tu restes à la barre en permanence? Tu n’as qu’à mettre le pilotage automatique et laisser faire les choses. »
« Oui je sais mais je suis tellement en manque de navigation que pour le moment je préfère piloter moi même. »
Puis passant un bras autour de mes reins, ma fille me murmure, hilare:
« Dis plutôt que tu ne sais pas faire marcher le pilotage automatique. »
« Eh dis donc chipie! »
D’un geste machinal je lui adresse une petite tape sur les fesses, oubliant qu’elles sont nues (la ficelle du string se logeant entre elles). Alix m’étreint d’avantage, ne protestant nullement de la présence de ma main sur son postérieur.
« T’es vraiment un papa merveilleux. Je t’aime. »
ajoute-t-elle en se serrant contre moi et en m’embrassant d’un bisou sonore sur la joue avant de rejoindre sa sœur et sa cousine.

23h30.

Nous avons rejoint la marina d’Anglet, pour une escale, au milieu de l’après-midi. J’ai donné quartier libre aux filles pour quelques heures, le temps pour moi d’effectuer quelques formalités. Puis à leur retour nous sommes allez diner à Biarritz.
Il est déjà très tard lorsque le taxi nous dépose au port de plaisance. Si bien que nous décidons d’aller nous coucher. Toute la journée j’ai évité de trop penser à cet instant, mais durant le trajet en taxi rien d’autre ne trouvait place dans mon esprit.
Une fois rentrés dans la cabine, Meggh me laisse utiliser la salle de bain en premier. Quand j’en ressorts je la trouve déjà en tenue de nuit: son tee-shirt et, je le constate à regret quand elle se penche pour prendre sa trousse de toilette dans son sac, un shorty…
Elle s’éclipse à son tour. Je m’allonge sur le lit, moi même simplement vêtu d’un boxer. Quand elle réapparaît, elle s’allonge à mes côtés.
« Si tu veux dormir je peux éteindre!? »
« Non je ne suis pas fatiguée. C’est gentil. »
« Tant mieux parce que moi non plus. Alors dis moi, tu apprécies cette croisière? »
« Oh oui c’est trop bien. La mer. Le voyage. Changer d’endroit tous les jours. Et puis d’être avec vous trois c’est parfait. On est parti simplement depuis hier matin et déjà je sais que ce sera les plus belles vacances de ma vie. »
« Je l’espère aussi. Et nous aussi on est heureux de t’avoir avec nous. »
« Par contre je m’inquiète un peu pour les nuits qui viennent. »
Aïe! Je sens que ça va mal tourner pour moi.
« Tu ne veux plus partager la cabine avec moi? On peut s’arranger avec les jumelles si tu veux. »
« Ah non non non! Ce n’est pas ça du tout. C’est juste que la nuit dernière j’ai eu très chaud. Et là, nous descendons bien au sud et j’ai peur de mal dormir à cause de la chaleur… »
« Je te l’ai dit ce matin: met toi totalement à ton aise. Ne te soucie pas de moi ma puce. Comment dors-tu chez toi normalement? »
« Ben en fait en cette saison quand il fait trop chaud je dors… euh… sans rien. »
« Écoute, on est entre nous là. Moi ça ne me dérange que tu te mettes nue pour dormir. »
« Tu es mon oncle. Je ne sais pas si ça se fait de se montrer sans rien devant son oncle. En fait moi ça me dérangeait pas parce que je t’adore. Mais je ne sais pas. J’ose pas. »
« Tu sais je t ai déjà vu dans toute ta nudité! Quand t’étais bébé et que nous te gardions, je changeais ta couche. »
Meggh m’adresse un grand sourire. Je sens qu’elle hésite. Il me semble entendre les voix intérieures qui se chamaillent pour savoir si elle osera franchir le cap.
Et puis sans attendre sa réponse, je retire mon boxer.
« Moi aussi je dors nu quand je suis dans mon lit. »
Ma nièce me regarde avec surprise puis à son tour elle retire son shorty et son tee-shirt.
« Tu as raison: faisons comme à la maison. Et puis on est la pour passer de bonnes vacances, pas pour se prendre la tête! »

Nous discutons un long moment. Allongé sur le dos, j’évite de trop la regarder. Elle est allongée sur le côté, tournée vers moi. Par moment j’aperçois ses yeux qui se fixent sur mon sexe.
« Alix et Julie ont vraiment beaucoup de chance… »
« Ah bon! Pourquoi? »
« Mon père a disparut après avoir mis ma mère enceinte. Depuis je n’ai eu que de beaux-pères tous plus cons les uns que les autres. Les jumelles t’ont toi: t’es un papa plutôt cool, généreux, intelligent et ouvert. »
« Mais t’oublies que je suis parfois un papa un peu trop absent… »
« Sauf que c’est pour un boulot dont elles sont fières et en cas de problème tu es la. Je me rappelle que lorsque Alix a eu l’appendicite l’année dernière tu as interrompu tes recherches au Japon pour rentrer et être présent. »
« Tu ne connais pas tous mes défauts ma puce. En tout cas à partir de maintenant, je vais être un tonton aussi attentionné que possible. »
Meggh vient se placer dans mes bras. La tête sur mon épaule. Je l’enlace tendrement. Sa poitrine entre en contact avec mon torse. Son pubis, entièrement dépourvu de poil frôle ma hanche. D’une main je lui caresse affectueusement le dos, descendant jusqu’aux creux de ses hanches. Je m’aventure sur quelques centimètres sur sa fesse gauche. Bien qu’elle ne dise rien, je délaisse son joli petit cul et remonte sur ses reins, son dos. Et je redescends. M’arrêtant encore à la naissance de ses fesses. Sa peau est douce. Plus douce que je ne l’aurais imaginé. Tout son corps irradie de chaleur. Son parfum, léger et fruité, ravis mes narines.
Meggh par instant dépose des bisous sur ma joue. Un frisson parcourt son corps au moment où le bout de mes doigts effleurent une nouvelle fois sa fesse.
« Tu as froid ma puce? »
« Non… Tes doigts sont si doux… » me murmure-t-elle dans un souffle. Puis se plaquant contre moi elle m’ordonne de la serrer fort.
Nos corps se trouvent alors face à face. Inévitablement mon sexe se retrouve bloqué entre nous. Et il commence à grossir et durcir. Meggh s’en rend compte bien sur. Elle s’écarte de moi et regarde ma queue tendue. D’un geste rapide je tente de saisir un morceau de drap pour dissimuler mon érection. Mais elle m’en empêche.
« Je… je suis désolé »
« Chuuut! » souffle-t-elle. « C’est rien. Je suppose que si nous partageons ce lit durant deux mois, j’aurai encore l’occasion de la revoir grandir. »
Je ne sais quoi répondre. Alors je garde le silence.
Ma jolie nièce pose sa main sur mon ventre, non loin de mon sexe. Elle passe sa main sur les rares poils qui couvrent mon abdomen. Par instant un doigt innocent vient frôler mon membre. Ce petit jeu qui semble lui convenir me met au supplice. Mon sang bouillonne. Je donnerai tout ce que j’ai à cet instant pour qu’elle le saisisse dans sa petite main et qu’elle me masturbe. Peut-être irait-elle jusqu’à le prendre dans sa bouche…
Mais non. Papillonner autour et l’effleurer du bout des doigts lui suffit.
Au bout de quelques minutes je perçois que ses doigts ont cessé de jouer et que son souffle a changé. Elle s’est endormie. Je me libère de son emprise afin de me rendre dans les toilettes et me soulager.
Je fais le tour du lit, la queue en avant. Meggh ouvre les yeux et me dit, tout en regardant mon érection:
« Dépêche-toi tonton. Je veux dormir dans tes bras. »
Je dois avouer que me masturber ne m’avait jamais pris aussi peu de temps tant j’étais sur le point d’exploser.
En retournant vers la couchette, je vois que Meggh ne s’est pas endormie. Elle regarde mon sexe dégonflé et me sourit. Elle a comprit ce que je viens de faire, j’en suis certain.
Dès que je suis couché, elle m’enlace à nouveau et m’embrasse sur la joue, mais tout près de ma bouche.
« Tonton Paul? »
« Oui Meggh? »
« À partir d’aujourd’hui je veux que tu me prennes dans tes bras et que tu me serres contre toi tous les soirs. »

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